Toutes les religions se valent-elles ?
- il y a 13 ans
Conférence "Jeudi Théologie" de Mgr Patrick Chauvet ,
du Jeudi 6 janvier 2011
Depuis le concile Vatican II et notamment Nostra Ætate [http://www.vatican.va/archive/hist_councils/ii_vatican_council/documents/vat-ii_decl_19651028_nostra-aetate_fr.html], nous sommes accoutumés à l’idée d’un dialogue interreligieux et le considérons généralement, dans son principe, comme fructueux ou positif.
Encore faut-il savoir ce que l’on entend par « dialogue interreligieux » et par la notion qui l’induit, la liberté religieuse. Si l’église catholique ne rejette rien de ce qui est vrai et saint dans les autres religions (cf. Dignitatis Humanae [http://www.vatican.va/archive/hist_councils/ii_vatican_council/documents/vat-ii_decl_19651207_dignitatis-humanae_fr.html]), le souci de la mission reste bien entendu un devoir impératif pour tout baptisé confessant sa foi en un Dieu Un et Trine, tel que le décrivent le Symbole des Apôtres ou celui de Nicée-Constantinople.
On le devine alors : pour répondre à cette question et éviter les pièges du relativisme, il est évidemment indispensable de connaître parfaitement le dogme, c’est-à-dire de comprendre les vérités que celui-ci exprime, enjeu que la présente conférence se propose d’exposer.
du Jeudi 6 janvier 2011
Depuis le concile Vatican II et notamment Nostra Ætate [http://www.vatican.va/archive/hist_councils/ii_vatican_council/documents/vat-ii_decl_19651028_nostra-aetate_fr.html], nous sommes accoutumés à l’idée d’un dialogue interreligieux et le considérons généralement, dans son principe, comme fructueux ou positif.
Encore faut-il savoir ce que l’on entend par « dialogue interreligieux » et par la notion qui l’induit, la liberté religieuse. Si l’église catholique ne rejette rien de ce qui est vrai et saint dans les autres religions (cf. Dignitatis Humanae [http://www.vatican.va/archive/hist_councils/ii_vatican_council/documents/vat-ii_decl_19651207_dignitatis-humanae_fr.html]), le souci de la mission reste bien entendu un devoir impératif pour tout baptisé confessant sa foi en un Dieu Un et Trine, tel que le décrivent le Symbole des Apôtres ou celui de Nicée-Constantinople.
On le devine alors : pour répondre à cette question et éviter les pièges du relativisme, il est évidemment indispensable de connaître parfaitement le dogme, c’est-à-dire de comprendre les vérités que celui-ci exprime, enjeu que la présente conférence se propose d’exposer.