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  • il y a 15 ans
À la recherche du nouveau Michael Jackson, Paul le Poulpe est mort, Le troisième âge se lâche au micro de Y. Barthès, R. Dati revient sur son lapsus, Fou rire au Sénat, Un mur de slips, J. Lambert ne choisit pas bien ses mots, Chute dans le Juste Prix, Ils communiquent avec les esprits… Voici le Zapping du 27 octobre 2010 !

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Transcription
00:00 Grégory, numéro 19.
00:07 Oh wow.
00:09 Il s'est arrivé tout seul.
00:14 Nous sommes là.
00:17 Bonjour.
00:18 Vous êtes au courant que le poulpe est mort cette nuit ?
00:21 Il est vraiment mort ? La nuit dernière ?
00:26 Non.
00:28 Le succès ne lui était pas monté au tentacule, même s'il était devenu un enjeu diplomatique.
00:32 Inquiet pour sa sécurité, le Premier ministre espagnol, José Luis Zapatero,
00:36 voulait l'exfiltrer après la victoire de l'Espagne sur l'Allemagne en demi-finale.
00:40 Pour lui rendre un dernier hommage, un livre de condoléances a été ouvert.
00:44 Et pour lui succéder, un jeune poulpe serait déjà en formation divinatoire.
00:48 Et là, Verte, on serre les fesses.
00:50 On arrive à toute vitesse.
00:52 Sarko, t'es foutu.
00:54 La jeunesse est dans la rue.
00:56 Capitalisation.
00:58 Piège à cons.
01:00 Sarko, si tu savais ta réforme.
01:04 Sarko, si tu savais ta réforme.
01:10 Où est-ce qu'il y a un méh ?
01:14 Ça, c'est plus...
01:16 Là, c'est un petit peu plus...
01:18 Osé.
01:20 On a des questions de téléspectateurs qui arrivent en direct.
01:23 Il y en a beaucoup pour vous, Rachida, mais il y en a une qui revient forcément.
01:26 Les récents lapsus de vos "pères" vous ont-ils fait rire ?
01:30 Parce que c'est vrai que vous avez donné le premier, mais derrière, vous avez porté la guignac.
01:35 Nous, ça nous a fait la semaine.
01:39 - D'abord, je ne m'en étais pas rendue compte. - Comment vous l'avez vécu ?
01:42 D'abord, je bute sur le mot. Je ne le dis pas. Je suis honnête.
01:44 Je vais vous dire pourquoi. Parce que je suis très facilement sujette au fourrière.
01:48 Si je m'en étais rendue compte, je crois que j'aurais demandé à M. Filippics d'arrêter.
01:51 Je n'aurais pas pu terminer l'interview. Je n'aurais pensé qu'à ça.
01:56 Conclure de quelques mots ce débat ?
01:59 Monsieur le Président, vous me prenez par surprise. Je me réjouis que nous arrivions...
02:06 Je me réjouis que vous... Bien. Mais alors, je n'ajoute rien.
02:12 Non, Madame la Présidente, c'est une heureuse surprise. Vous avez la parole.
02:16 Bon.
02:17 Encore un petit coup.
02:19 Et ce qui devait arriver arriva. Ils nous ont dévergondé Lucienne.
02:23 Ah, la reine des blagues !
02:32 Il ne l'a pas vue ! Il l'avait vue !
02:47 Ah oui, hein ? Ils sont complètement bourrés, ces putains !
02:51 C'est la première fois que je me présente à un casting.
03:11 Donc forcément, c'est toujours très enrichissant d'arriver jusque là.
03:15 Et puis de voir autant de fans et de sosies de Michael.
03:18 Et puis moi, ça fait quand même pratiquement 24 ans que je le fais.
03:20 Je le prends comme une espèce de bâton de pèlerin.
03:23 Où je me dis que, ça y est, Michael est parti. Il te dit, prends le bâton et puis continue à faire le travail que j'ai commencé à faire.
03:30 Pas seulement de la danse et la chanson, mais surtout le message d'amour et de paix qu'il faisait à travers le monde.
03:35 Sept lettres ?
03:37 Jean-Christophe.
03:38 Huit lettres ?
03:39 Oui.
03:40 Avec "connerie".
03:41 La connerie, oui.
03:42 Ça rapporte ça, OK.
03:43 Oui.
03:45 Les slips qui sont derrière moi ne dérangent pas trop.
03:48 Ils interpellent et c'est vrai que les visiteurs sont parfois un peu surpris, se demandant est-ce que c'est de l'art ou pas ?
03:54 Il y a toujours cette grande question.
03:56 Il y a certaines personnes qui doivent dire, mais vraiment, qu'est-ce que c'est que ce mauvais goût par exemple ?
04:01 Ou voyez, quelle idée d'installer dans le musée, sous la charpente ?
04:06 La lumière de slip est en liaison avec une vidéo d'un artiste qui enfile ses slips au cours de sa performance.
04:15 Alors, nous sommes dans un avion. Serais-tu capable de simuler un acte d'amour ? Et si oui, comment ?
04:22 Mettez-le. Voilà.
04:24 C'est simuler un acte d'amour, c'est-à-dire...
04:33 On va dire qu'il y a un côté un peu pute de cette pub, mais je pense que ça sert à ça.
04:37 Non mais je veux dire, c'est de...
04:39 T'es dans la merde.
04:40 Le mot est peut-être pas bien choisi.
04:42 Non, je suis d'accord.
04:43 Attends, on va...
04:44 Non mais voilà.
04:45 Accrocheur.
04:46 Non mais attendez, évidemment, je ne sais pas de...
04:48 Voilà, on parle d'un drame, mais je pense qu'effectivement, c'est beaucoup plus...
04:51 Ça interpelle davantage de montrer une photo comme celle-là, que si on parle du cancer, du utérus ou du colon.
04:56 Ça sera moins glamour.
04:58 Donc c'est évident que je pense que c'était le...
05:00 Ce sera coupé, j'imagine.
05:01 Non, absolument pas.
05:02 Non, ça va pas.
05:03 Et ça !
05:12 Attention, c'est glisse.
05:16 Le 10 novembre 2003, cette femme a brutalement perdu son fils Mathieu, alors âgé de 24 ans.
05:22 Une disparition tragique, mais qui, bizarrement, ne l'a pas du tout rendue malheureuse.
05:26 Tout simplement car, d'après elle, l'âme de son enfant serait toujours présente dans le jardin de la maison.
05:32 Moi, je le vois, là, dans l'arbre qui est là.
05:35 Vous voyez l'arbre qui fait une sorte de triangle, là ?
05:37 On voit vraiment la forme d'une paupière, et en dessous, on voit la forme comme un sourire, comme ça.
05:43 Pour moi, c'est lui.
05:45 *Musique*
06:03 C'est bon, danse, je t'en prie.
06:05 Jusqu'à la fin des années 1980, être tatoué était considéré comme une tare,
06:09 où tout du moins manquant terriblement de professionnalisme.
06:12 Si vous n'aviez pas d'amis, c'était très difficile d'obtenir du travail, lorsque vous aviez des tatouages bien visibles.
06:18 Michael, ça a été mon mentor, c'est lui qui m'a appris, entre guillemets, à chanter, à danser.
06:26 Si je suis là aujourd'hui, c'est grâce à lui.
06:28 *Musique*
06:31 *Bruit de coup*
06:33 Merci à tous !

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