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  • il y a 15 ans
Lorsqu’on arrive en Arles
Contrairement à l’arlésienne d’Alphonse Daudet in « Les lettres de mon moulin », le festival de la photographie reparaît chaque année à date fixe pour le plus grand bonheur des professionnels de l’image et autres enfants sages. Profusion d’images du monde entier, sous la houlette artistique de Raymond Depardon, Claude Angélini le « paparazzi à la française », Guy Lequerec, l’homme qui fait jazzer la photo, sans compter les excentricités de Bob Wilson : un nouveau « Visa » je pour l’image.
De la politique de l’image à l’image de la politique.

Edito n°14
Un numéro sous la forme d’un « Da Vinci Code » où en associant les vidéos entre elles on trouve un sens caché : le sens de la dématérialisation de l’image.
En effet, celui-ci est un numéro charnière puisqu’il voit passer définitivement la mutation du monde de la photo de l’argentique vers le numérique.

L’univers de l’image à l’image de l’univers après le Big Bang est en extension, en dilatation permanente. Mais au passage n’en perd-il pas de sa densité. Une image n’est plus suffisante pour un message alors on la démultiplie, comme les série de portraits de Warhol obtenant ainsi une
« une mise en abîme ».
Sommes-nous encore dans la photo ?
Alors l’argentique passe de l’outil de travail à un symbole du temps qui passe et prend comme les bonnes bouteilles de vin le noble dépôt sous la forme de livres d’art. L’objet livre, le retour à la densité.

Et puis, DE Gaulle en guise de statut du commandeur de la politique brandis par Jean Lacouture pour nos futurs présidentiables.

PS : nous vous rappelons que les images et les vidéos présentées ne sont pas libres de droits, ©3declic, tous droits de reproduction réservés sauf accord particulier.