François Fillon - assemblée nationale - 2 février 2010
- il y a 14 ans
"Il y a des mots que l'on ne veut plus entendre dans notre République"
François Fillon a répondu, lors de la séance de questions au Gouvernement du mardi 2 février 2010, à Jean-François Copé, président du groupe UMP, concernant les paroles de Georges Frêche. "Il y a des mots que l'on ne veut plus entendre dans notre République", a déclaré le Premier ministre.
"Le racisme est une menace permanente pour notre pacte républicain. Et les dérapages des responsables politiques quels qu'ils soient, que ces dérapages soient des dérapages conscients ou que ce soient des maladresses, doivent être combattus et ne peuvent pas être tolérés parce que ces dérapages là font céder les digues que les républicains, générations après générations, ont construit pour lutter contre le racisme et l'antisémitisme."
François Fillon a répondu, lors de la séance de questions au Gouvernement du mardi 2 février 2010, à Jean-François Copé, président du groupe UMP, concernant les paroles de Georges Frêche. "Il y a des mots que l'on ne veut plus entendre dans notre République", a déclaré le Premier ministre.
"Le racisme est une menace permanente pour notre pacte républicain. Et les dérapages des responsables politiques quels qu'ils soient, que ces dérapages soient des dérapages conscients ou que ce soient des maladresses, doivent être combattus et ne peuvent pas être tolérés parce que ces dérapages là font céder les digues que les républicains, générations après générations, ont construit pour lutter contre le racisme et l'antisémitisme."