Aux frontières du temps 3

  • il y a 14 ans
le temps, permet bien des développements qui sont totalement étrangers à cette approche sur son origine et sa nature « d’être mathématique pur ».
Dans un même temps, dans un temps unique, dans un temps enfin, toutes choses deviennent » écrivait Alain[1]. L’homme constate en effet trivialement que des « objets » de toutes sortes sont altérés par des « événements » et que ce processus prend place dans un temps partagé par tous ceux qui ont conscience de son cours. Ces objets, ou du moins leur substance, sont cependant censés demeurer les mêmes, numériquement, malgré les changements qu’ils subissent. Le temps semble donc supposer à la fois changement et permanence. Il a comme corrélat la notion de substance, que Descartes avait assimilée, en ce qui concerne les choses matérielles, à l’espace. Ces constatations amènent encore à un autre couple de notions essentielles quant à l’étude du temps :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Temps