Mise à disposition de 600 logements sociaux
- il y a 14 ans
Quelque 600 logements sociaux en attente de rénovation pourraient être mis à disposition, à titre précaire, des personnes victimes de la crise du logement, a déclaré jeudi Vincent De Wolf, Bourgmestre d'Etterbeek et chef de file des libéraux au Parlement bruxellois.
«Je compte soumettre ma proposition à la conférence des Bourgmestres de la Région-capitale, aux CPAS et aux sociétés immobilières de service public en charge du logement social à Bruxelles ainsi qu'au secrétaire d'Etat au Logement, Christos Doulkeridis (Ecolo),» a expliqué Vincent De Wolf.
Le député libéral bruxellois a expliqué que sa proposition était fondée sur un cas de figure concret:
l'obligation imposée par lui-même, en tant que bourgmestre, à des squatteurs d'un immeuble anciennement occupé par la mission locale d’Etterbeek de quitter, jeudi après-midi, les lieux qu'ils ont investi par effraction, mais en leur soumettant une offre d'occupation à titre précaire d'un logement du Foyer etterbeekois.
«Cet appartement est en attente de rénovation et de mise en conformité au Code bruxellois du Logement. Mais la sécurité des installations y est toujours garantie,» a expliqué Vincent De Wolf.
«600 logements sociaux en attente de rénovation, toujours conformes aux normes de sécurité de base, pourraient faire l'objet de ce type d'occupation temporaire dans la capitale, quitte à compléter le Code du Logement d'un article supplémentaire pour mieux encadrer ce dispositif,» a-t-il ajouté.
Vincent De Wolf affirme que la crise du logement et l'incapacité des pouvoirs publics de la surmonter rapidement imposent en tout cas la recherche de formules d'occupation temporaire. Selon lui, l'année 2008 aura vu 12 logements sociaux de plus mis sur le marché en Région bruxelloise, ce qui est bien trop peu pour les milliers de personnes inscrits sur les listes d'attente.
«Je compte soumettre ma proposition à la conférence des Bourgmestres de la Région-capitale, aux CPAS et aux sociétés immobilières de service public en charge du logement social à Bruxelles ainsi qu'au secrétaire d'Etat au Logement, Christos Doulkeridis (Ecolo),» a expliqué Vincent De Wolf.
Le député libéral bruxellois a expliqué que sa proposition était fondée sur un cas de figure concret:
l'obligation imposée par lui-même, en tant que bourgmestre, à des squatteurs d'un immeuble anciennement occupé par la mission locale d’Etterbeek de quitter, jeudi après-midi, les lieux qu'ils ont investi par effraction, mais en leur soumettant une offre d'occupation à titre précaire d'un logement du Foyer etterbeekois.
«Cet appartement est en attente de rénovation et de mise en conformité au Code bruxellois du Logement. Mais la sécurité des installations y est toujours garantie,» a expliqué Vincent De Wolf.
«600 logements sociaux en attente de rénovation, toujours conformes aux normes de sécurité de base, pourraient faire l'objet de ce type d'occupation temporaire dans la capitale, quitte à compléter le Code du Logement d'un article supplémentaire pour mieux encadrer ce dispositif,» a-t-il ajouté.
Vincent De Wolf affirme que la crise du logement et l'incapacité des pouvoirs publics de la surmonter rapidement imposent en tout cas la recherche de formules d'occupation temporaire. Selon lui, l'année 2008 aura vu 12 logements sociaux de plus mis sur le marché en Région bruxelloise, ce qui est bien trop peu pour les milliers de personnes inscrits sur les listes d'attente.