Huguette, une femme du 3 âge, vit seule dans son appartement d’où elle ne sort plus pour éviter le regard des autres. En effet, alors qu’elle se sent jeune dans sa tête, l’image que lui renvoient les autres est celle du grand- mère, ce qu’elle refuse. La décoration chez elle sent le jeune, elle utilise un ordinateur, écoute très fort de la musique (peut-être est-elle un peu dur d’oreille) et écoute l’horoscope. Elle dérange régulièrement sa voisine du dessus, une jeune femme en études de droit qui tente de réviser dans le calme.
Alors que la musique est à tu-tête chez Huguette, l’étudiante sonne à la porte pour lui demander de baisser le son, ce qu’elle fait. On suit alors l’étudiante remonter dans son appartement où elle se met à son bureau.
Tout à coup, un vacarme de percussions venant de l’appartement du dessus se fait entendre, l’étudiante monte alors pour demander d’arrêter ce bruit. André, un retraité ouvre transpirant de ses exercices de batterie. Il s’excuse et s’arrête pour l’instant.
Quelques heures plus tard, le soir, on retrouve l’étudiante au lit essayant de s’endormir lorsque que le bruit redémarre de l’appartement du haut et du bas. Elle pousse un râle le bol et sort de son appartement une lampe de poche à la main en claquant la porte.
On se retrouve dans l’appartement d’Huguette qui joue à un jeu vidéo, le son très fort. Lorsque tout à coup, coupure de courant. Huguette cherche une lampe de poche et sort à la recherche du disjoncteur. Elle arrive dans un couloir sombre et avance. La lumière se rallume brutalement et elle se retrouve nez à nez avec André son voisin du dessus devant le disjoncteur : rencontre coup de foudre.
Le lendemain, l’étudiante aperçoit les deux retraités monter sur un scooter. On suit alors leur trajet jusqu’à ce qu’ils s’arrêtent devant une maison de retraite. Là, ils sortent des panneaux et commencent à manifester : libérez nos camarades ! Les pensionnaires se montrent aux fenêtres.