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#Interstellar, #ForrestGump, #TheTrumanShow,... Depuis le fauteuil de #MAGNETO, le réalisateur, acteur et producteur, Jonathan Cohen revoit et commente ses films préférés.

▶️ Retrouvez-le dans la comédie fantastique "L'Âme idéale" de Alice Vial, avec Magalie Lépine-Blondeau, en salle à partir du 17 décembre.. #Lâmeidéale

👉 Si vous aimez cet épisode avec Jonathan Cohen, on vous invite à découvrir d'autres épisodes avec Jérémy Ferrari ou Thomas Ngijol : https://urlr.me/RSGFHr

📚 Les films :
00:00 Intro
00:26 Forrest Gump
03:34 Captain Philipps
04:47 Anchorman: The Legend of Ron Burgundy
07:29 Interstellar
09:50 L'Âme idéale
11:22 The Truman Show
14:52 Le top films de Jonathan Cohen

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💬 À quels autres films et séries auriez-vous aimé que #JonathanCohen réagisse ? Dites-nous en commentaires 👇

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😹
Amusant
Transcription
00:00Salut, ça va ?
00:02C'est moi, c'est Jonathan Cohen.
00:04On va regarder des films qui ont marqué ma vie.
00:10Le reste game, c'est quand même un film parfait.
00:13On est en 2005, 2006, 2004.
00:16Tac, tac, tac.
00:17Je ne sais même pas comment on joue ça en fait.
00:18Personne ne sait faire ce que c'est faire Jim Carrey en vrai.
00:21Le cinéma, il est partout.
00:23Tu es une maman, Jimmy.
00:29Je suis une maman.
00:33Son nom est Forrest.
00:36Comme moi.
00:39Je l'ai nominé après son père.
00:42Il a un père nommé Forrest aussi ?
00:46Tu es son père, Forrest.
00:48Il est trop beau ce moment.
00:51C'est vraiment un des moments les plus émouvants de tout ce film
00:55qui est quand même assez parfait.
00:57En fait, Forrest, c'est quand même un film parfait.
00:59Moi, je suis dingue de ce film.
01:01Et ce moment-là où il apprend que c'est son fils
01:03et qu'il a peur qu'en fait le petit soit comme lui.
01:09Ça, c'est un des moments les plus déchirants du cinéma, je trouve.
01:12C'est un film que j'ai revu beaucoup, beaucoup, beaucoup.
01:14Déjà jeune, il m'avait bouleversé.
01:16Je n'ai pas cessé de le revoir en fait.
01:17C'est plus qu'un film doudou en fait.
01:19C'est un film dans lequel tu aimes revenir
01:21parce qu'il y a un secret dedans
01:23et tu veux réavoir à faire avec ce secret-là
01:26et être retouché au même endroit,
01:28comprendre des choses que tu n'as pas compris quand tu étais jeune.
01:31Et c'est vrai que plus tu vieillis avec ce film,
01:33plus tu as une grille de lecture différente à chaque fois que tu le mates en fait.
01:36Il est tellement humain ce film. Il parle de la différence. Il parle d'un point de départ où l'enfant, il part pas avec les meilleurs attributs du monde. Et au final, sa mère lui promet un avenir radieux, merveilleux et qu'en fait, il est comme tout le monde.
01:54Et en fait, il grandit avec ce mantra-là de « t'es comme tout le monde ». Et ça me rappelle un peu, mine de rien, ma mère du Essilivartan qu'on a fait avec Leila et où, en vrai, le gamin naît avec un pied beau et elle lui dit « c'est rien en fait, t'es pas handicapé ».
02:08Et Forrest Gump, il y a de ça. C'est grandir avec une différence. Et au final, cette différence fait toute la richesse de ce personnage. En fait, ce que j'adore dans ce personnage-là, c'est sa réussite malgré lui en fait.
02:20Son regard, il est tellement beau sur tout, même sur les choses les plus horribles.
02:24Il arrive à avoir un regard poétique et beau et il ne cherche jamais la réussite de quoi que ce soit et il réussit malgré lui. Et c'est pas mal comme leçon de vie aussi.
02:46Il y a une grandeur d'âme dans ce personnage-là et dans ce film d'ailleurs, qui est assez sublime, qui fait du bien.
03:06Est-ce que tu as une période préférée, toi, de Forrest Gump dans le film ?
03:09La phase ping-pong, elle est exceptionnelle. En plus, les effets spéciaux, ils n'ont pas vieilli.
03:13Imagine, on est en 94, il fait semblant de jouer au ping-pong comme ça, tac, tac, tac.
03:18Et je me souviens, à l'époque, c'était pas rien, la petite balle de ping-pong.
03:21Aujourd'hui, ils ont fait ça en 40 secondes.
03:23Mais il y avait aussi, c'est le début des incrustes dans l'image où il est avec les présidents, tout ça.
03:28Et on l'incruste dans l'image, c'était les tout débuts de ça.
03:31Et c'est pas mal fait, en vrai.
03:34Qu'est-ce qui se passe à votre tête ?
03:36Catherine, peux-tu me dire ce qui se passe à votre tête ?
03:38C'est pas mal, prends votre temps, prends votre temps.
03:48Il y a une laceration de 2 cm sur l'œil gauche.
03:52C'est pas mal.
03:53C'est pas mal.
03:54C'est pas mal.
03:55C'est pas mal.
03:56C'est pas mal.
03:57C'est pas mal.
03:58C'est pas mal.
03:59C'est pas mal.
04:00C'est pas mal.
04:01C'est pas mal.
04:02C'est pas mal.
04:03C'est pas mal.
04:04Tom Hanks, ça reste...
04:05Je l'ai jamais vu, pas génial.
04:06C'est vraiment la figure des années 90-2000, en termes d'actoring.
04:08C'était sa période.
04:10Captain Phillips, c'est exceptionnel, puisque je suis pas un immense fan du film.
04:13Le film est beau, hein, le film est bien.
04:15Mais Tom Hanks joue un état de choc à la fin, quand il est sauvé.
04:18Peut-être un spoiler pour vous, mais bon, malheureusement, ça arrive à la fin.
04:21Où il est récupéré par, je sais pas, une équipe de sauveteurs, tout ça.
04:25Et il joue un état de choc qui est tellement réel.
04:30Je ne sais même pas comment on joue ça, en fait.
04:32Quand t'es acteur, d'être dans des états justes, c'est déjà balèze,
04:35mais un état de choc, ton corps qui te dépasse, que tu t'es...
04:39Enfin, franchement, c'est...
04:40Je l'ai rematé je sais pas combien de fois cet état de choc.
04:43Faut voir comment il a fait.
04:45« Sky rockets in flight »
04:48« Afternoon delight »
04:51« You guys have it, I think »
04:53« Afternoon delight »
04:57« I don't know Ron, that sounds kinda crazy »
05:00« Sounds like you have mental problems, man »
05:03« Yeah, you got mental problems, man »
05:05« Yeah, it really does »
05:06« Man »
05:07« Afternoon delight »
05:09Ouais, ça c'est fou.
05:11Dans le panthéon des comédies, elle est...
05:13Elle fait partie des...
05:14Elle est en tête de liste, hein.
05:16Donc à 24 ans, je suis au conservatoire.
05:18Je suis jeune comédien, tout ça...
05:19Et j'ai un vidéoclub.
05:21Et c'est là que je découvre ce film.
05:22Au vidéoclub.
05:23Et je vois ce mec-là qui m'éclate dans le Saturday Night Live.
05:28Et je loue et je deviens fou.
05:30« I'd like to put some barbecue sauce on that button »
05:34« I put my
05:38»
05:40« B si »
05:42« Oh, oh, oh, oh look at that full moon bot ! »
05:43« Look at it »
05:44« Ranie »
05:45« Jim, Jim ! »
05:48On est en 2005, 2006, 2004.
05:51Toute cette période-là, 2004 jusqu'à aller… 2014-2015,
05:562014-2015, il y a un âge d'or de la comédie américaine,
05:59le duo Will Ferrell, Adam McKay, Joe D'Apato,
06:03toute une nouvelle troupe qui n'arrive que des nouveaux visages,
06:05Michael Serra, Jonah Hill, Jason Seagal,
06:09plein de gens comme ça qui ont vraiment fait la comédie pendant 15 ans.
06:26The Anchorman, c'est une immense masterclass, en tout,
06:37parce qu'il y a toujours un fond social et politique.
06:40Là, c'est la place des femmes, l'émancipation des femmes dans les années 70
06:43pour être co-présentatrice, ça n'existait pas avant et que des hommes.
06:46Et en même temps, des vannes d'un level, des personnages complètement fous,
06:51des trucs que nous, on n'avait jamais vus, en fait.
06:53Il y a une folie qui est très maîtrisée et très décomplexée.
06:57Moi, je sais que ça fait partie des références ultimes de ma vie.
07:01Je pense que Serge Lumito existerait s'il n'y avait pas eu ces gens.
07:04Parce que Serge Lumito, c'est plus quelque chose qui est en rapport
07:06avec des gens que j'ai vus, plus des personnages croqués.
07:11Enfin, je ne sais pas, ça devait être un mélange de plein de choses.
07:14Mais des marques de la flamme ou une rythmique de comédie,
07:17je pense que, sans eux, non.
07:20Et si on pratiquait la polygamie ?
07:22Oui, mais malheureusement, c'est interdit en France.
07:24Oui, mais alors, pourquoi on appelle ça la polygamie française ?
07:27Mais aujourd'hui, c'est mon anniversaire.
07:36Et c'est un spécial, parce que vous m'avez dit,
07:39vous m'avez dit que, quand vous venez, nous devons être la même âge.
07:50Et aujourd'hui, je suis l'âge que vous avez quand vous avez fait.
07:52Ils arrivent quand même à nous donner la sensation profonde
08:03d'une chose qu'on ne peut pas se figurer,
08:05parce qu'ils sont dans une planète où chaque seconde,
08:07c'est l'équivalent de...
08:09Enfin, je crois que chaque minute, c'est 10 ans.
08:11Et donc, en fait, pour une erreur,
08:13il y a 25 ans qui viennent de passer.
08:15Et quand il arrive, devant ces vidéos-là,
08:17il fait, vous avez 25 ans de messages.
08:19Et l'émotion qu'il a quand il voit ces vidéos-là,
08:22elle est incroyable.
08:24Christopher Nolan, c'est un peu le seul qui arrive
08:47à retranscrire un peu ces hypothèses scientifiques,
08:50de nous faire sentir la physique quantique,
08:53le poids de la physique quantique à des endroits où...
08:55C'est des théories, mais tout d'un coup,
08:57il les met en images, il les rend très concrètes.
08:59C'est quand même pas évident.
09:00Nous donner la sensation du temps à ce point-là
09:03et de nous l'éprouver, de nous toucher avec ça
09:05et on se met à sa place et on est bouleversé.
09:20Quand je vais au cinéma, j'aime bien vivre des expériences
09:26comme ça, c'est-à-dire des espèces de grands huites émotionnelles
09:30où d'un coup, ce film, il me balade dans tous les sens,
09:33émotionnellement, et ça, ça fait partie
09:34des grands rendez-vous de cinéma qu'on a envie de voir.
09:37Est-ce que moi, je me verrais dans un rôle aussi intense que ça ?
09:39Oui, je pense.
09:41Non, je n'ai jamais eu de malaise avec ça, avec les émotions.
09:44Là, on me propose d'autres types de films
09:45et je suis très heureux.
09:47Mais en tout cas, ça ne m'a jamais effrayé, l'émotion.
09:49Pourquoi vous dites grave ?
09:52Il y a quand même eu à mort.
09:56Mademoiselle, je ne comprends pas ce qui m'arrive.
10:01Ma mère voyait les morts, elle aussi.
10:03J'imagine qu'elle m'a transmis le truc.
10:07L'âme idéale, c'est l'histoire d'Elsa,
10:10une femme qui voit les morts, comme dans le sixième sens.
10:13Elle a cette faculté-là, c'est un pouvoir,
10:15mais qui est aussi un immense fardeau,
10:16vu que ce pouvoir lui gâche littéralement sa vie,
10:20ses histoires d'amour.
10:21Donc elle décide de se dire,
10:23OK, je vais me couper de tout.
10:24Et puis un jour, elle fait un accident de scooter,
10:26quelqu'un vient l'aider, c'est moi.
10:28Je lui propose mon aide de la soigner.
10:30Je la soigne, et une espèce de coup de foudre entre les deux.
10:33Le lendemain, elle est toute guérée,
10:34en se disant, peut-être que ce n'est pas fini encore.
10:37Et elle reçoit un coup de fil de la police.
10:39Et en gros, elle apprend que
10:40mon personnage n'est plus de ce monde.
10:43Et que je ne le sais pas.
10:50Je t'ai vu vivre.
10:52C'est magnifique.
10:53Ce qui est assez marrant,
10:54c'est que le film traverse
10:55beaucoup de genres de films différents.
10:56Il y a de la comédie romantique,
10:58il y a de la pure comédie,
10:59il y a du fantastique,
11:00il y a du drame.
11:02Mais il les traverse vraiment,
11:03et ça, c'est rare.
11:04En fait, ce qui est beau avec ce film,
11:05en vrai, ce qui nous dépasse,
11:07nous, quand on le montre au public,
11:08c'est à quel point, en fait,
11:10les gens sont touchés intimement
11:12pour plein de choses différentes.
11:14Tout le monde a un rapport
11:15avec ces questions-là, en fait.
11:16Avec la mort, avec la vie,
11:17tout le monde a un rapport très intime.
11:19C'est ça, peut-être,
11:20qu'on n'avait pas mesuré, nous.
11:22Say something, goddammit!
11:24You're on television!
11:25You're live to the whole world!
11:38In case I don't see you,
11:46good afternoon, good evening, and good night.
11:54Yeah!
11:55C'est magnifique.
12:02Ça aussi, quel film, quel film.
12:05C'est un film incroyable de Truman Show.
12:06Je l'ai revu encore une fois
12:07il n'y a pas si longtemps que ça.
12:08Cette fin, elle est incroyable
12:09avec ce mur en trompe-l'œil,
12:12avec le ciel.
12:13C'est incroyable parce que c'est un peu
12:14une mise en abyme de nous, en fait, aussi,
12:16de se dire quand est-ce qu'on sort de sa zone.
12:19En fait, l'autre lui parle,
12:20le mec qui a créé le suspicion,
12:21lui parle comme si c'était son père.
12:23Il lui dit, reste dans le cocon.
12:25Reste chez toi, reste dans ta bulle.
12:26Tu ne seras jamais aussi en sécurité.
12:30Mais la sécurité, lui, il sait que c'est la mort.
12:32En fait, il n'a rien vécu.
12:33En fait, ce qu'il pensait avoir vécu,
12:34c'était au-delà du fait que ce soit faux,
12:37si on le transpose sur nous,
12:38c'est qu'il faut voir le monde, en fait.
12:41C'est sorti en 98.
12:42On avait 18 ans.
12:43Il y avait un truc de...
12:44J'ai l'impression que c'est trop étroit.
12:46Il me faut plus.
12:47J'ai envie de...
12:48Enfin, je ne sais pas,
12:48il y a cette sensation-là
12:49d'avoir envie de découvrir le monde.
12:51C'est un grand adolescent, le personnage.
12:54Il l'a entretenu comme un enfant.
12:57Tout est faux, tout sonne faux autour de lui.
13:00Il le sent, mais il ne peut pas l'expliquer.
13:03Je l'aime tellement, ce film.
13:21Je l'aime tellement.
13:22Jim Carrey est stratosphérique.
13:25En plus, c'est vraiment un tournant de sa carrière.
13:26Truman Show, dans toute sa filmographie,
13:31parce qu'il était vraiment dans The Bad Lumber,
13:33il était dans The Mask,
13:34il était dans des cartons, dans Ace Ventura.
13:37Il était très décrié comme un acteur outrancier, horrible.
13:40Il y avait beaucoup de gens qui le détestaient.
13:43Et il a un peu calmé tout le monde
13:44avec ce rôle-là dans Truman Show.
13:48Il montre à quel point c'est un acteur de génie,
13:51un acteur qui sait tout faire.
13:53C'est un champion de la grimace, du physique.
13:55Ce qu'il fait physiquement,
13:57personne ne sait faire ce que c'est faire Jim Carrey en vrai.
13:59Et puis après, ce cinéma-là,
14:00il a évolué dans un cinéma incroyable.
14:02Il a fait Eternal Sunshine,
14:04il a fait Man on the Moon.
14:05C'est un grand, grand, chez grand.
14:07Ça reste une grande inspiration, Jim Carrey.
14:08Il y a des acteurs comme ça
14:10qui ont beaucoup de notre bonheur.
14:12Je prédicte que dans un moment,
14:15nous allons voir une femme sur un vélo,
14:19suivant par un homme avec des fleurs,
14:21et une bête de volkswagen avec une dentée.
14:25Truman, s'il vous plaît.
14:26Regarde.
14:33Une femme, des fleurs et...
14:39Truman, this is silly.
14:44There it is!
14:45There it is!
14:46There's the Dinid Beetle!
14:47Yes!
14:53En fait, il n'y a pas de lien
14:55qui relie tous ces films.
14:57En même temps,
14:57il doit en avoir certainement des centaines.
14:59On est obligé de faire une sélection de 8 films.
15:01Je t'aurais fait une sélection de 150.
15:03Il y a plein de choses.
15:04Il y a les films anciens,
15:05il y a To Be or Not To Be,
15:06il y a les films de Loobie,
15:07de Chopper, de McCornier.
15:08J'aurais pu te montrer des films avec Jackie Chan.
15:10J'aurais pu te montrer La Yenne Intrépide,
15:11qui est un grand film de Kung Fu.
15:13Je ne sais pas, plein de choses,
15:14mais comme tout le monde,
15:15j'ai l'impression,
15:16le goût, il est partout.
15:17Le cinéma, il est partout.
15:19Top 3 des films qu'il faut avoir vus dans sa vie,
15:21après,
15:22par un.
15:221, 2, 3.
15:23Voilà, fin l'instant.
15:24Non, non.
15:24Mais non, par un,
15:25par un, évidemment,
15:27parce qu'on y revient toujours,
15:29à cette œuvre-là.
15:31Toy Story,
15:32c'est un grand film, Toy Story.
15:33Toy Story 3, surtout.
15:34Immense film, Toy Story 3.
15:36Moi, de toute façon,
15:36ceux qui écrivent chez Pixar,
15:38je ne sais pas comment ils font,
15:39il paraît qu'ils écrivent à 170,
15:41sûrement,
15:41mais en tout cas,
15:42ils sont,
15:43enfin,
15:43ils nous chamboulent à chaque fois.
15:45Et je dirais,
15:47The Other Guy.
15:48Le film,
15:49encore avec Will Ferrell,
15:50qui en ferait
15:50à mourir de rire
15:52de chaque seconde.
15:53Voilà,
15:533 films à avoir eu dans sa vie,
15:56à mon goût.
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