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  • il y a 19 minutes
Dans le paisible village wallon de Vitrival, le calme apparent commence à se fissurer. Tout débute par un mystérieux graffiti en forme de phallus sur la porte de l’église, bientôt suivi d’une série de suicides inexpliqués. Pour deux policiers du coin, cousins dans la vie, cette situation marque la fin d’une routine tranquille faite de rondes lentes, de musique locale à la radio et de petites infractions anodines. Les voilà contraints d’enquêter sur les tourments enfouis de leur communauté – une mission pour laquelle ils ne sont pas du tout préparés.
Transcription
00:00En vert c'est bon, en revanche moyen, alors en rouge c'est pas bon du tout.
00:07D'ailleurs c'est pas compliqué, les cinq derniers suicides, j'ai mis une croix à côté et ils étaient en rouge.
00:12Christian, Baptiste Desfrites, Stéphane, Michel et Jean-François de la Radio. En rouge, suicidés.
00:20Bon Marine Catier, tu trouves que Bernard voit bien tous ces derniers temps ?
00:24Ben non, pas du tout. Et chez toi ? Chez Paul et Jeannie ça va comment ?
00:28Quoi, tu penses que c'est judicieux qu'on aille le trouver pour les conseils d'aller voir un psy ?
00:32Ben non, c'est exagéré.
00:34Ecoute Diéton, on est pas venu là pour parler de la pluie du beau temps, on est en service quand même.
00:38Il y a peut-être une autre question qui va vous fâcher, c'est les graffitis.
00:42Alors il n'y a pas de question qui fâche, je vous répondrai fermement.
00:46Tout graffitis est intolérable, il pollue l'espace public et dégrade notre qualité de vie.
00:51Là où les personnes qui en sont responsables doivent être punies et nos policiers, que je salue évidemment ici, y veilleront.
00:57On venait te demander si tu n'avais rien vu de spécial.
01:01Non ?
01:03Tu te fous de qui toi ? Allez rentre à la maison ! C'est du tapage ça !
01:17C'est du tapage ça !
01:19C'est du tapage ça !
01:21C'est du tapage !
01:23C'est du tapage !
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