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Indemnisations en retard : Maïmouna Dièye révèle que les 5 milliards ne sont pas encore versés
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00:00
Je sais que ce que je peux reprendre, nous voyons au Canada.
00:07
On a dit que ce que l'on parle a on a dit alors qu'il faut dire que l'on parle de toi et que l'on parle de toi.
00:13
Si on parle d'un seul sujet qui préoccupe-toi bien tout ce que l'on parle,
00:17
on va dire que l'on parle de toi.
00:22
Parce que la sensibilité, je ne sais pas si je l'ai dit, comme ma mère,
00:30
c'est un soldat qui m'a fait ce que j'ai fait.
00:36
Je suis un soldat de Ousmane Sonkola.
00:43
Ce qu'il faut mettre sur lui, c'est qu'il est venu à moi.
00:46
Je suis un soldat de Ousmane Sonkola.
00:48
Je suis un soldat de Ousmane Sonkola.
00:50
Je suis un soldat de Ousmane Sonkola.
00:54
En tant que gouvernement, le parti PASTEF a fait ce travail-là.
01:03
C'est l'occasion de rendre hommage à toute cette équipe.
01:07
Si tu as pensé que tu dois y penser aux hommes,
01:09
on va se faire grandir que j'ai sa vie,
01:11
qu'il ne peux pas avoir comme étant de la paix moulussa,
01:13
qu'il ne devait pas avoir de grandir,
01:15
qu'il ne devait pas avoir de grands points et des enfants.
01:18
Parce que c'est ce que c'est un des plus proches.
01:19
On me dit, je dois me dire que l'abas Fall,
01:21
car je ne peux pas me dire qu'il y a cette fois-là.
01:25
Je crois que à ce moment-là,
01:27
ce que nous devons faire,
01:29
c'est que c'est le nom d'Ousmane Sonkola pour me aider.
01:32
C'est le nom d'Ousmane.
01:34
Nous l'avons dit, nous devons faire de communiquer, il faut que le président de l'art du public soit engagé.
01:46
Nous devons faire de 5 milliards, mais nous devons faire de 5 milliards.
01:54
Nous l'avons fait étape par étape.
01:58
Ce qu'on a fait, c'est qu'on a arrêté la commission.
02:10
Nous savons qu'il n'y a pas de parti, de gouvernement,
02:14
nous devons faire des ministères.
02:20
Nous savons qu'il n'y a pas de parti.
02:22
Nous devons faire de l'insertion, prise en charge psychologique.
02:28
Nous devons faire de la commission.
02:34
Nous devons faire de l'atelier à Salih.
02:40
Nous devons faire de l'atelier pour que l'on puisse descendre dans cette ville.
02:46
Nous devons faire des résultats.
02:56
Amen, Dieu, Dieu.
02:58
Nous devons faire de la fin de la fin de la fin de la fin.
03:00
Nous devons faire de la fin de la fin de la fin.
03:02
Nous devons faire des résultats.
03:04
Nous devons faire de la fin de la fin de la fin de la fin.
03:06
Nous devons faire des résultats.
03:10
Je vous demande, à summary de vous,
03:12
vous êtes détruis.
03:13
Nous vous demande de vous aux côtés.
03:15
Nous vous demandons de vous aider.
03:16
Vous vous demandez de vous aider à nous.
03:18
Madame Saare qui ne se dit pas à ton nom de ma mère.
03:21
Ils disent,
03:22
je m'incline devant la mémoire des disparus.
03:26
Nous devons frère à l'atelier.
03:30
C'est comme dit l'Islam.
03:34
C'est Marie Amasanya.
03:37
Tout le monde sait les conditions qu'on a fait.
03:41
C'est-à-dire qu'on est en train de faire la justice
03:45
parce qu'on est fasciné avec les Galiwat, malgré ce qu'on dit.
03:48
Mais quand il y a un combat,
03:50
on a joué le rôle d'un homme.
03:53
Les hommes ont été en train de se battre.
03:56
Ils ont été en train de se battre,
04:00
les hommes ont été venus en train de se battre,
04:04
et les hommes ont été en train de se battre,
04:09
ils vont ensuite s'y aller avec l'Ai al-Khari,
04:13
pour recevoir Ousmane son commun.
04:16
Je suis bébé un terroriste.
04:20
Ce sont du tout à fait que toutes les femmes qui se sont battues,
04:25
battu dans ce combat-là.
04:31
Ah, les 17 lingaires,
04:34
nous sommes là,
04:36
nous sommes là,
04:38
mais nous sommes là,
04:40
quand ils ont déclenché 2021,
04:42
ce qu'ils ont déclenché,
04:44
parce qu'ils n'ont pas pris dans le fourgonneau,
04:46
nous sommes là,
04:48
nous sommes là,
04:50
nous sommes là.
04:52
La commission,
04:54
nous sommes là,
04:56
vous savez,
04:57
vous comprenez,
04:59
en fait,
05:00
nous sommes là,
05:02
nous sommes là,
05:03
nous sommes là,
05:04
pour que nous nous sommes là,
05:06
pour que nous nous sommes là.
05:08
Nous sommes là,
05:16
le président de la République,
05:18
il a 5 milliards,
05:20
il a été en train de faire,
05:22
et nous sommes là,
05:23
nous sommes là,
05:24
nous sommes là,
05:26
nous sommes les victimes,
05:28
et les blessés,
05:30
et les victimes,
05:32
en général,
05:33
car nous sommes là,
05:34
nous avons eu laissue.
05:36
La commission a commencé, il y a eu beaucoup de lenteur, mais lenteur, vous savez ce que vous comprenez.
05:45
C'était la première fois.
05:51
Le Sénégal a fait ce qu'il a fait.
05:53
Nous avons fait ce qu'il a fait dans notre chair.
05:55
Il fallait que le gouvernement s'arrête.
05:57
Parce que si nous n'avons pas le pouvoir, nous devons continuer à l'accompagnement.
06:02
Mais après, nous avons fait le pouvoir.
06:04
Nous avons fait ce qu'il a fait pour nous.
06:08
Nous devons avoir une méthodologie.
06:10
Mais nous devons avoir une expertise.
06:13
D'où nous devons être Fatima Mbenga, David.
06:17
Nous devons travailler ensemble, ensemble ensemble, ensemble ensemble de travail.
06:21
C'est ce que nous devons faire.
06:25
C'est ce que nous devons faire.
06:27
Mais si nous devons travailler, il y a un problème qu'on a confronté.
06:33
C'est le problème.
06:35
C'est le crédit.
06:37
C'est la disponibilité des fonds.
06:40
Parce qu'il n'y a rien à dire.
06:42
Il n'y a rien à dire.
06:43
Il n'y a rien à dire.
06:44
Il n'y a rien à dire.
06:45
Il n'y a rien à dire.
06:46
Il n'y a rien à dire.
06:47
Nous devons travailler de manière stoïque.
06:50
Et c'est ça, la force de Pastef.
06:53
Nous devons travailler.
06:55
Nous devons travailler avec cette guerre-là.
06:57
Pour la guerre-là, nous devons travailler avec un coup.
07:03
Nous devons travailler avec des gens.
07:06
1,2 milliard sur 5 milliards.
07:10
Après, il y a environ 8 milliards.
07:13
Nous devons parler de notre guerre-là.
07:15
Nous devons parler de notre guerre-là.
07:17
Mais, comme on peut parler aussi,
07:19
du ministère de la Famille,
07:21
de l'Action sociale et des Solidarités
07:25
Je suis en protéine de mon objeun.
07:27
Nous devons nous remercier
07:29
que tous les situations
07:31
dans les hôpitaux,
07:33
tous les enfants
07:35
n'ont pas toujours voulu
07:37
qu'ils ne se font pas
07:39
suivi.
07:41
Nous devons le faire
07:43
avec les enfants qui arrivent
07:45
pour que Dieu connaît ce que nous devons faire,
07:50
nous devons voir ce que nous devons faire.
07:52
Et c'est pour moi que Dieu nous soutenait.
07:54
Je pense que c'est à mon bureau,
07:56
c'est un joyeux,
07:58
car nous devons voir ce que nous devons faire.
08:04
Nous devons voir ce que nous devons faire.
08:06
Nous devons voir ce que nous devons dépenser.
08:11
Nous devons voir ce que nous devons faire,
08:15
c'est 1.800.
08:17
J'ai tantôt dit 1.200.000.000 plus 600.000.000.
08:21
C'est 1.800.000.000.
08:23
Nous devons voir ce que nous devons voir.
08:26
Nous devons voir ce que nous devons faire.
08:28
Mais ce que je voudrais faire comme précision,
08:30
c'est que nous devons voir ce que nous devons faire.
08:32
Nous devons savoir que le trésor public
08:34
n'est pas dans une caisse,
08:37
n'est pas dans un coffre-fort.
08:39
je n'ai tant de choses tombées dans les Affaires des affaires.
08:43
Il est comme un agent de traisseur public
08:45
n'est pas dans l'appliance des droits.
08:47
Il est en plus que leродi.
08:48
Il est quelques grands points.
08:53
Et une grande passion dont le Trésor public
08:57
ne devrait pas en lui which a Então-Cory.
09:01
C'est ce que nous devons voir.
09:03
Il y a un fonctionnaire, même si le fonctionnaire, le trésor public a une gestion particulière.
09:09
C'est le comptable public qui sort et qui fait rentrer.
09:13
J'ai dit qu'il n'y a pas de trésor, il n'y a pas de trésor.
09:18
Il n'y a pas de trésor.
09:20
Donc je n'en sais absolument rien.
09:22
Je ne suis pas gérée.
09:26
Je ne suis pas gérée.
09:28
Je suis pas gérée.
09:29
Il n'y a pas de trésor.
09:30
Il n'y a pas de trésor.
09:31
Je n'ai pas de trésor.
09:33
Il n'y a pas de trésor.
09:35
Mais je ne suis pas gérée.
09:37
Ce qui est de trésor, le trésor public,
09:39
qui a pris le trésor,
09:41
qui a pris le trésor,
09:42
soit des GPSN,
09:43
ou directement à la maladie,
09:45
ils ne leur ont pas dit.
09:47
Ils n'ont pas pris le chèque.
09:48
Jamais.
09:49
Jamais.
09:52
Les liquidités ne n'ont pas pris le trésor.
09:54
Ce sont les chèques.
09:56
Ils n'ont pas pris le matériel.
09:59
Mais tous les trésors publics ont pris le trésor.
10:01
En ce moment,
10:02
si nous sommes dans l'Amérique,
10:03
pour qu'ils ne se trouvent pas,
10:04
vous allez savoir
10:05
que vous devriez m'écrire
10:06
mais que vous devriez m'écrire.
10:14
Vous devriez m'écrire
10:15
parce que si vous savez
10:17
ce que je fais,
10:18
ce que je fais,
10:19
ce que je fais,
10:20
ce que je fais,
10:21
ce que je fais,
10:22
ce que je fais,
10:23
ce que je fais.
10:24
alors,
10:27
il faut demander
10:30
ce que je t'envoie.
10:33
Si je fais le bonheur,
10:35
ou que je fais
10:37
ce que je fais,
10:37
je l'ai dit.
10:38
Ce que je fais,
10:39
c'est qu'il y a trop bonheur.
10:41
Bon,
10:42
le monde m'être humain,
10:43
je t'envoie.
10:44
Mais je peux dire
10:45
qu'une incompréhension
10:46
a le fait qu'on parle.
10:47
Je veux remercier le président Ousmane Sonko
10:49
Ousmane Sonko. C'est l'opportunité de Maman et Taïd pour Madesco.
10:53
Nous recensons 2190 ex-détenus.
11:06
2190 ex-détenus ont donné 500 000 francs.
11:12
Nous n'avons pas besoin d'une action de solidarité pour nous soutenir tous les pays.
11:20
Nous avons fait une décision de 10 millions de francs.
11:29
74 familles, toutes les familles qui nous ont dit qu'ils ne sont pas en tête.
11:37
Nous n'avons pas le droit.
11:41
Nous n'avons pas le droit.
11:43
30 familles ont donné 10 millions de francs.
11:48
30 sur 74.
11:50
Mais il y a 7 personnes qui ont fait une enquête.
11:53
Ils ont contrôlé.
11:55
Ils ont dit qu'ils devaient les faire.
11:57
Je leur ai dit qu'ils devaient les faire.
11:59
Je leur ai dit qu'ils devaient les faire.
12:01
Donc je leur ai dit qu'ils devaient les faire.
12:03
Ce sont 37 familles.
12:06
Ils ont dit qu'ils devaient les faire.
12:08
Ils ont dit qu'ils devaient les faire.
12:10
Ils ont dit qu'ils devaient les faire.
12:12
Et qu'ils devaient les faire.
12:15
Ils devaient les faire.
12:16
Ils devaient les déclenchements du paiement.
12:19
Parce qu'à un moment donné, il fallait payer.
12:21
Il fallait soulager.
12:22
Il fallait payer.
12:23
Il fallait soulager.
12:24
Est-ce que vous avez dit que les gens,
12:25
je ne veux pas la mère,
12:26
ils ne sont pas les gens qui ont fait.
12:27
Ils ne peuvent pas souffrir.
12:31
Il ne peut pas.
12:33
Ils ne peuvent pas souffrir.
12:35
Donc, ils m'ont dit qu'ils devaient les faire.
12:37
Ils devaient les faire.
12:39
Ils devaient les déclencher.
12:41
Ils ne devaient pas attendre.
12:43
Je leur ai dit qu'il y a quelque chose
12:45
sur la ligne aide et secours.
12:48
Je leur ai dit qu'ils ne peuvent pas s'y aller.
12:50
Je leur ai dit qu'ils ne devaient pas.
12:52
Ils ne devaient pas s'y aller.
12:54
Ils ne devaient pas s'y aller.
12:56
Ils ne devaient pas s'y aller.
12:58
Cette période, nous devions nous parler.
13:01
Je vous entends.
13:03
Je vous comprends.
13:04
Je vous entends.
13:06
Mais vous savez,
13:08
ce qui m'a dit,
13:09
c'est le chiffre.
13:11
Ce qui m'a dit.
13:13
La maladie a 283 malades.
13:16
Ils ont les en charge.
13:18
Ils n'ont pas la charge.
13:19
Ils ont les en charge.
13:20
Ils ont les en charge.
13:22
Ils ont les en charge.
13:24
Il faut que le chef Sourat,
13:25
le monsieur d'Akaw,
13:26
ne leur dit pas qu'un soldat.
13:27
Le petit soldat sera le mois prochain.
13:29
prochain.
13:30
Il y a personne qui est en train de dire que nous sommes tous les jours.
13:35
Nous devons toujours parler de mon avis.
13:38
Nous devons parler de la calame, de la boule.
13:42
Nous devons parler du ministère de la Foudera.
13:44
Mais pourquoi nous devons parler de moi avec moi?
13:48
Nous devons parler de moi.
13:52
Nous devons parler de moi.
13:53
Nous devons parler de moi.
13:55
Nous devons parler de cette situation.
13:59
Nous devons parler de téléphone.
14:01
Parce qu'au début, il y avait des problèmes.
14:05
Je ne sais pas si je ne sais pas.
14:07
Au début, il y avait des problèmes.
14:09
Il y avait des problèmes.
14:11
Il n'a pas de savoir qu'il ne faut pas dire que ce n'est pas le droit.
14:15
Il n'a pas de sabotage.
14:17
Il n'a pas de sabotage.
14:19
Il n'a pas de sabotage.
14:21
Il n'a pas de sabotage.
14:23
Il n'a pas de sabotage.
14:25
Il n'a pas de sabotage.
14:27
Nous devons parler de 500 000.
14:29
Mais, nos familles aussi.
14:31
Parce que nous devons donner des problèmes.
14:33
Et nous devons parler de l'amour pour que nous devons parler.
14:36
Mais, quand j'ai lu,
14:37
j'ai pris ma partage et j'ai créé un comité.
14:41
En tout cas, je devais parler de ceux qui ont dit.
14:44
Donc il a un cas où il faut qu'il soit fait.
14:47
Il faut qu'ils soient faits pour dire,
14:51
je ne vous en prie pas.
14:54
Il faut qu'il soit fait.
14:56
Il faut qu'il soit fait.
15:00
C'est une...
15:02
Il faut qu'il soit fait.
15:04
Il faut qu'il soit fait 1634 ex-détenus.
15:07
Il faut qu'il soit fait une enquête.
15:09
Cette enquête, c'était pour voir les gens.
15:11
Quand ils étaient parés, ils ne peuvent pas faire.
15:14
Et ils ne pouvaient que cela, c'est que...
15:16
Les gens se font savoir que les conséquences de la situation ne sont pas faites.
15:22
Ils ne peuvent pas les faire, ils se font prendre.
15:25
Et les gens ne pouvaient pas dire,
15:27
ils ne pouvaient pas dire que les gens ne pouvaient pas dire.
15:32
Et les gens ne pouvaient pas dire,
15:34
ils sont toujours là, ils ne pouvaient pas dire.
15:36
Mais il faut qu'ils veulent retenir.
15:40
En attendant, ils ne pouvaient pas.
15:42
Parce qu'on a un combat pour libérer le Sénégal.
15:51
Il faut que l'on ait un combat, il faut que l'on ait un combat.
15:57
Si l'on ait un combat, il faut que l'on ait un combat.
16:02
C'est ce que je veux dire.
16:03
Le premier ministre, le premier ministre Ousmane Sonko,
16:05
il faut que l'on ait un combat pour les 1634.
16:08
En tout cas, les 1634, ils ont un combat pour les fonctions publiques.
16:14
Ils ont un combat pour les bourses, les gens ont un combat pour l'agriculture,
16:20
ils ont un combat dans l'agriculture.
16:22
Ça a été fait pour nous, il faut qu'on ait un rapport.
16:25
C'est ce rapport dont le premier ministre Ousmane Sonko.
16:28
En ce moment, il y a 28 enseignants qui ont besoin de l'enseignement de l'agriculture.
16:40
Monsieur le ministre Mbouba Diagne, il y a beaucoup d'entre eux qui ont besoin d'appeler les projets.
16:47
Il y a beaucoup d'entre eux qui ont été interpellés.
16:51
Il y a beaucoup d'entre eux.
16:54
Il y a beaucoup d'entre eux.
16:56
Il y a beaucoup d'entre eux.
16:58
Il y a beaucoup d'entre eux.
17:00
Il y a beaucoup de dossiers pour la formation.
17:03
Il y a beaucoup d'entre eux.
17:05
Il y a 300 jeunes qui ont besoin d'entre eux pour les infrastructures.
17:12
Ils ont besoin d'entre eux.
17:15
Donc, Alhamdoulilah,
17:17
Alhamdoulilah,
17:19
Alhamdoulilah,
17:22
Allah,
17:24
Ce qui nous a dit aujourd'hui, c'est qu'on a fait un peu de temps pour nous.
17:28
C'est un peu de temps pour nous.
17:30
Parce que nous avons fait un peu de temps pour nous.
17:33
Ce qui nous a dit, c'est que nous avons fait un peu de temps.
17:36
En 2014, il y a beaucoup de temps à faire.
17:40
En 2024, nous avons eu le pouvoir.
17:43
Le pouvoir est un peu.
17:45
Il y a beaucoup de temps à faire.
17:47
En 2050, nous avons eu le pouvoir.
17:54
Ce qui nous a dit, c'est que nous n'avons pas de temps en 2050.
17:59
Maintenant, nous avons eu le projet.
18:02
Nous avons eu le projet.
18:06
Nous avons eu le projet.
18:08
Nous avons eu le projet.
18:10
Je n'ai pas dit au Sénégal.
18:12
Mais Monsieur le Premier ministre, l'Afrique a besoin de toi.
18:16
Nous avons eu le projet.
18:18
Nous avons eu le projet.
18:20
Nous avons eu le projet.
18:22
D'où nous avons eu le projet.
18:23
D'où nous avons eu les États-Unis d'Afrique.
18:26
Parce que notre souveraineté, nous devons avoir eu le souveraineté.
18:30
Mais il ne faut pas.
18:32
Nous voulons une Afrique debout.
18:34
Une Afrique unie.
18:36
Avec un homme comme Seydina Ousmane Sonko.
18:39
Je le disais comme ça.
18:41
Je vous simple car je m'en prie bien.
18:45
Je vous remercie.
18:47
Je vous remercie.
18:49
Je me change que vous allez sortir.
18:51
L'eau peut trop se lever l'eau,
18:53
et je vous remercie.
18:55
Je vous m'appelle,
18:57
à votre repose,
18:59
on observe du rap.
19:01
Je nous profite.
19:03
J'ai l'impression
19:05
que vous n'avez pas aimé.
19:07
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