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L'obligation de déclarer en ligne ses dons à partir du 1er janvier 2026 «permet de mieux contrôler l'argent des gens», selon Christophe Bordet
Europe 1
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il y a 2 heures
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00:00
Europe 1
00:02
16h-18h, Pascal Proébu
00:06
Sabrina Bédjaber, Christophe Bordet, Gérard Carreau, Gauthier Lebrette, Olivier Guenet
00:10
qui sont avec nous pour parler peut-être de la déclaration des dons d'argent.
00:14
Elle est déjà obligatoire pour tout vous dire, mais simplement à partir du 1er janvier 2026,
00:20
il faudra la déclarer numériquement.
00:23
A partir du 1er janvier 2026, la déclaration des dons manuels et des sommes d'argent
00:26
devra obligatoirement être réalisée en ligne.
00:28
A partir de l'espace particulier sur un Pogouv, il suffit de cliquer sur déclarer,
00:33
puis déclarer un don ou une cession de droits sociaux et se laisser guider.
00:36
Alors, c'est vrai qu'on a l'impression qu'on est un peu plus fliqué avec cela
00:41
et qu'on se dit que l'État a peut-être autre chose à faire
00:44
lorsque vous donnez de l'argent à vos enfants, lorsque vous les aidez d'ailleurs.
00:48
Bien souvent, il y a beaucoup de parents qui aident leurs enfants aujourd'hui
00:51
parce qu'ils rentrent dans la vie professionnelle, ceux qui peuvent bien sûr,
00:55
ceux qui peuvent, et ils donnent 100 euros, 500 euros, je ne parle pas des anniversaires ou de Noël,
00:59
mais ils aident, moi je connais beaucoup de parents qui aident leurs enfants mensuellement.
01:05
Alors, ça existait déjà, on devait le faire, personne ne le faisait, personne ne le faisait.
01:10
Mais le fait que ce soit désormais en ligne,
01:13
ajoute à cette impression d'être fliqué numériquement toujours et tout le temps.
01:18
Et qu'est-ce que ça change de le déclarer ? J'ai pas bien compris, pardonnez-moi.
01:20
Le paradoxe, c'est que personne ne sera taxé
01:24
parce que vous pouvez donner à vos enfants jusqu'à...
01:28
Alors, les chiffres changent un peu, mais je crois que c'est jusqu'à...
01:30
C'est 100 000 euros pour les parents qui donnent à leurs enfants.
01:34
Les donateurs bénéficient d'un abandonnement en fonction du lien de famille renouvelable.
01:39
Tous les 15 ans, il est de 100 000 euros entre parents et enfants, par exemple.
01:42
Alors, avant que vous payiez des impôts ou que vous payiez des taxes,
01:47
100 000 euros, qui peut donner 100 000 euros à ses enfants de son vivant ?
01:52
Généralement, tu le donnes quand t'es...
01:53
C'est jusqu'à 31 800 pour les grands-parents qui donnent à leurs petits enfants.
01:58
Donc, a priori, tu vas pas payer de taxes
02:01
et tes enfants qui reçoivent de l'argent ne paieront pas d'impôts dessus.
02:06
C'est quand même un revenu qui rentre, par définition,
02:08
mais ils ne paieront pas d'impôts dessus.
02:10
Mais c'est pour mieux contrôler, c'est ça, le sujet.
02:13
Le sujet, c'est vraiment ça.
02:15
C'est mieux contrôler les gens, mieux contrôler ce qu'ils font avec leur argent.
02:19
Parce que, par exemple, imaginons que vous donnez une certaine somme à votre fille
02:22
qui se marierait et que ça ne correspondrait pas à ce que vous avez comme revenu
02:27
ou ce que vous gagnez ou ce que vous avez normalement à la banque.
02:30
Tout de suite, on se poserait quand même des questions.
02:32
Voilà, on voudrait quand même vérifier.
02:34
C'est ça, un peu, quand même, l'idée.
02:35
Et puis, moi, il y a quand même une autre chose derrière tout ça qui m'inquiète, je vais vous dire.
02:39
Parce que ça fait quand même plusieurs fois maintenant que ça apparaît au niveau européen
02:43
où on voit quand même des signes avant-coureurs d'une volonté de mettre fin à l'argent liquide.
02:49
Parce que si vous mettez fin à l'argent liquide, c'est sûr que là, tout d'un coup,
02:53
il n'est plus question pour les artisans, par exemple,
02:56
on le sait bien qu'il y a des artisans qui font un peu de blague à côté pour s'en sortir, etc.
02:59
Terminé ! Là, il n'y a plus question de blague du tout.
03:02
Donc, on vérifie tout, l'État s'immisce, en fait, dans tous les interstices de nos vies.
03:09
Moi, ça m'effraie, je vais vous dire, ça m'effraie.
03:11
Franchement, ça m'effraie.
03:12
Il y aurait parfois... Parce qu'il y a toujours des bonnes raisons.
03:14
Par exemple, que l'argent liquide, ça serait pour lutter, par exemple, contre la drogue.
03:18
Oui !
03:18
C'est-à-dire que tu dirais, effectivement, comme j'imagine la drogue...
03:21
Enfin, la lutte contre la drogue, elle a déjà lieu.
03:23
Oui, mais...
03:24
Et puis, ils ont des TPE.
03:25
Oui, des comment ?
03:26
Ils ont des TPE.
03:27
Ah !
03:27
Qui a des TPE ?
03:28
Les dealers, bien sûr.
03:30
Mais bien sûr, ils ont des boîtiers, je vous assure.
03:32
Des boîtiers ?
03:33
Oui, des boîtiers, comme vous trouvez dans les Uber, les taxis.
03:35
Bon, qu'avez-vous pensé de ça ?
03:38
Je le dis, il ne faut pas qu'il y ait confusion.
03:40
Ce matin, on en a parlé sur l'antenne d'Europe 1 et sur CNews,
03:42
et c'est M. Carré qui me disait, tout à l'heure en conférence de rédaction,
03:46
qui me disait, attention, ça existe depuis longtemps, mais personne ne le faisait.
03:49
Version papier.
03:49
Voilà, et de la même manière, si tu reçois un bijou de ta mère...
03:53
Il y a plein de gens qui ne vont pas le faire.
03:54
Quoi ?
03:54
Je vais vous dire tout de suite.
03:55
Même pour un bijou ?
03:56
Ah bah, si tu reçois un bijou de ta mère, tu dois le déclarer.
03:58
Oui, une voiture, on vous lègue une voiture, par exemple.
04:00
Bien sûr.
04:01
Vous avez 18 ans, on vous lègue une voiture, il faut le déclarer.
04:04
Mais un tableau, un objet de valeur, par exemple, Gérard Carré, il a des livres anciens.
04:11
Ah oui.
04:12
Si Gérard me lègue tous ses livres...
04:14
Ah bah, je peux dire que vous êtes riche.
04:15
Ah oui ?
04:16
Ah, la bibliothèque de Gérard, je pense qu'elle vaut de l'argent.
04:18
Non, mais on va voir la bande d'argent, il faudrait les lire.
04:20
Ah, on m'a dit que le fisc vient d'arriver chez Gérard, il demande à la concierge d'ouvrir l'abartement.
04:25
Les livres, déjà, il faudrait un type qui soit lettré.
04:28
Gérard Carré.
04:28
Un type lettré.
04:29
Ah bah, donc tu ne risques pas !
04:31
Tu ne risques pas venir à voir !
04:32
Parce que pour apprécier, entre un livre à 30 euros et un livre à 200 ou à 4000 euros,
04:41
il faut déjà être lettré.
04:43
De même pour un tableau.
04:44
Oui.
04:44
Vous en avez de 4000 euros ?
04:47
De livres de 4000 euros ?
04:48
Mais si je vous dis ça, tout le monde va arriver chez moi !
04:50
C'est ce que je vous dis !
04:53
Ils sont en chemin !
04:54
Ils sont en chemin !
04:55
Bon, je retire ma question.
04:56
Revenons à la conversation de départ.
04:57
Non, mais c'est des livres qui ont été achetés peut-être il y a 20 ans, 30 ans, 40 ans,
05:00
qui ne valaient rien, et puis qui ont pris de la valeur.
05:01
D'accord.
05:02
Il y en a d'autres qui en ont perdu, mais je crois que la chose a été dévoilée par Christophe Bordet.
05:08
C'est pour le liquide.
05:11
L'État, et l'État français, c'est pas par hasard.
05:14
En Allemagne, on pouvait encore, je pense que c'est encore valable,
05:17
on pouvait encore avoir des billets de 500 euros.
05:20
En France.
05:21
Très compliqué.
05:21
Oui, oui.
05:22
En France, ça fait un moment que c'est le billet, la coupure la plus grosse, c'est 200 euros.
05:29
Mais de moins en moins de gens ont des coupures de 200 euros, d'ailleurs.
05:33
Effectivement, c'est normal, ils ont de moins en moins d'argent.
05:36
Mais si vous voulez, c'est l'idée qu'on limite.
05:38
Parce que c'est un moyen, le contrôle, l'argent liquide est beaucoup plus difficile à contrôler.
05:44
Vous savez, c'est pour ça que les gens mettaient ça sous le matelas dans le temps,
05:48
ou mettaient ça dans le jardin à l'époque d'Arpagon et de Molière, si vous voulez.
05:52
La cassette.
05:52
On cachait l'argent.
05:54
Même parfois, dans le monde du football, on a mis de l'argent dans les jardins.
05:57
Nous devons encore se remonter à...
05:59
Mais l'État, l'État et l'État européen, notamment, veut faire disparaître l'argent liquide.
06:06
Écoutez, il y a une expérience, pour aller à votre banque, n'importe quelle banque,
06:11
dans votre quartier, vous avez eu une rentrée de quelconque, vous avez un peu d'argent,
06:16
vous allez le déposer, ça prend 3 minutes à la banque, pour déposer 10 000 euros,
06:19
si vous avez 10 000 euros. Par contre, vous voulez revenir 3 jours après,
06:25
pour retirer, parce qu'entre-temps, vous avez vu je ne sais quoi,
06:28
et vous voulez l'acheter, vous voulez retirer vos 10 000 euros.
06:30
Vous allez voir combien ça vous prendra de temps.
06:32
Ça sent le vécu, hein ?
06:33
Mais ça sent le vécu, bien sûr, et tout le monde le sait.
06:36
Ben évidemment, il a raison !
06:38
J'en ai dit qu'ici, il a le vécu.
06:41
C'est un coup de gueule, là, c'est pas une analyse.
06:43
Moi, j'ai jamais retiré 10 000 euros de ma vie, je sais pas, en liquide.
06:47
Vous n'avez jamais fait un beau cadeau, alors ?
06:49
Ben 10 000 euros de ma vie, c'est-à-dire que je comprends pas…
06:51
Non, vous avez besoin…
06:52
Écoutez, alors…
06:53
Ils vaut vraiment venir !
06:54
Non, je vais continuer d'enlever le vécu.
06:58
Moi, j'ai acheté…
07:00
J'ai acheté, bon, les livres, j'en ai acheté plusieurs milliers.
07:03
Oui, mais on paye les livres, on paye en virement.
07:06
Non, non, souvent, on se mettait d'accord.
07:09
C'est normal, vous allez au marché aux livres, à Brassens,
07:13
où vous allez au puce.
07:14
Stop, stop !
07:15
Le marchand vous disait, non, mais écoutez, tout le monde le sait.
07:19
Le marchand vous disait, bon, écoutez, ce livre-là, il vaut 3 000,
07:22
mais si vous me le payez en liquide, je vous le ferai à 2 000.
07:25
Mais c'est courant, et c'est courant dans toutes les transactions.
07:29
C'est la même chose avec les artisans.
07:29
Dès lors qu'il s'agit d'art, de tableau, c'est la même chose.
07:33
Vous allez au puce, vous voyez un beau tableau.
07:34
Moi, je fais très attention, mais on ne peut pas payer de, comment dire,
07:43
au-delà de 1 000 euros, on ne peut pas payer en ligne.
07:44
Mais je sais, mais ça n'empêche pas que tout le monde le fait, quand même.
07:47
Pas tout le monde, mais enfin...
07:48
Mais enfin, bien évidemment, au moins Gérard, au moins Gérard, au moins Gérard.
07:53
Il est vraiment dans votre salon, là, on me dit qu'il est dans votre salon.
07:56
Que celui qui n'a jamais payé, si vous voulez, un peu plus, on gêne le premier billet.
08:00
Vous êtes un très bon citoyen.
08:02
Mais non, ce n'est pas ça.
08:03
Vous ne retirez jamais des grosses sommes en liquide,
08:04
Pascal, vous ?
08:05
Qu'est-ce que tu veux, je vais mettre des grosses sommes en liquide ?
08:07
Et alors, je vais vous dire, dernière chose là-dessus.
08:09
Les gens que j'ai vus le plus utiliser l'argent liquide,
08:13
dans les restaurants notamment,
08:14
quand j'étais dans ma vie de journaliste,
08:18
en 40 ou 50 ans de vie de journaliste,
08:20
j'ai été invité plus d'une fois dans des restaurants de luxe.
08:23
Comme vous, d'ailleurs.
08:23
Comme tous les journalistes.
08:24
Non plus.
08:25
Non plus.
08:26
Mais toi, c'est quoi ?
08:29
Dans les restaurants de luxe ?
08:30
Laissez-moi finir.
08:31
Non, mais c'est Gérard, on m'a dit qu'il y a rien.
08:33
Vous êtes sous le bus.
08:34
Laissez-moi finir.
08:35
Laissez-moi finir.
08:35
Laissez-moi finir.
08:35
Laissez-moi finir.
08:35
Ce que j'ai vu le plus souvent,
08:37
ce que j'ai vu le plus souvent,
08:39
quand c'était d'une invitation d'un homme politique
08:42
qui invitait quelques journalistes,
08:44
vous savez, ça va vite,
08:44
dans un restaurant un peu luxueux,
08:46
4 ou 5 journalistes,
08:48
ça fait une belle addition.
08:49
Et bien, ce que j'ai vu le plus souvent,
08:52
au cours,
08:52
et là, je suis prêt même à...
08:54
Je ne vous ferai pas une liste,
08:55
je peux vous le raconter.
08:56
Non, pas de dénoncer.
08:57
Non, mais Charas faisait ça, par exemple.
08:58
Mais il n'y a pas que Charas,
09:00
des dizaines et des dizaines de gens
09:02
qui ont été des ministres.
09:03
Mais écoutez,
09:04
souvenez-vous,
09:05
souvenez-vous qu'il a fallu attendre
09:07
les années 70
09:08
pour qu'on arrête de donner...
09:10
Chaque mois,
09:11
le directeur de cabinet,
09:12
ou le chef de cabinet,
09:13
plus exactement,
09:14
du ministre,
09:15
allait chercher à la Banque de France...
09:16
Il y a 50 ans, Gérard.
09:17
Les années 70.
09:18
Ça a été arrêté ?
09:19
Eh ben oui,
09:19
les années 70.
09:20
Ça a 50 ans.
09:21
Oui, ça a 50 ans.
09:26
Mais ça...
09:28
Attendez.
09:30
Je vous dis que je l'ai vécu.
09:34
Oui, ben oui.
09:35
Mais je suis sûr qu'aujourd'hui encore...
09:39
Non.
09:40
Mais là, il faudrait demander...
09:41
Moi, je vous dis très bien
09:42
comment ça se passe.
09:43
Quand c'est dans un restaurant,
09:43
c'est le journaliste qui paye
09:44
pour ne pas se faire inviter
09:45
par l'homme politique.
09:47
Et sinon...
09:47
Ah ben oui.
09:48
Et si vous allez déjeuner
09:49
avec un ministre,
09:50
ça se fait au ministère.
09:51
Oui, oui.
09:52
Pas toujours.
09:53
Les choses ont changé, Gérard.
09:54
Les choses ont changé.
09:55
Gérard aura été...
09:57
Gérard, Gérard,
09:57
Maticano,
09:58
explosé.
09:59
Je vous raconterai la prochaine fois
10:01
un certain nombre de choses.
10:02
Ah, vous avez vu,
10:03
c'est vrai qu'il arrive chez vous,
10:04
Gérard.
10:04
Vous avez vu.
10:05
Non, mais c'est vrai que
10:06
les tableaux...
10:08
Je n'achète pas de tableaux
10:09
ou de livres,
10:10
mais jamais en liquide.
10:11
De toute façon,
10:12
t'as pas de loin.
10:13
Il faut être plutôt vigilant
10:14
aujourd'hui, surtout...
10:16
Je ne savais pas
10:16
qu'il n'y avait pas le droit,
10:17
par contre.
10:18
Quand, en plus,
10:19
t'as un petit poil de notoriété,
10:22
je pense qu'il faut faire
10:23
plutôt attention.
10:25
Aujourd'hui,
10:25
t'as intérêt à vous,
10:26
effectivement...
10:27
Vous étiez prévu
10:28
dans l'émission de demain,
10:29
Gérard ?
10:30
Non.
10:31
Est-ce que vous serez
10:32
peut-être en garde à vue ?
10:33
Gérard, on nous apportera
10:34
des ors.
10:36
Eh, prenez des livres !
10:38
Excellent !
10:43
On découvre Gérard Carréhoux !
10:48
Il est génial !
10:49
Vous découvrez la France !
10:50
Vous découvrez la France
10:52
et comment les Français...
10:52
Non, mais toute la France
10:53
ne va pas s'acheter
10:53
tout le monde
10:54
en plus en liquide !
10:56
Gérard, pardonnez-moi,
10:57
je ne découvre pas la France
10:58
qui a changé.
10:59
Par exemple,
10:59
je connais bien
11:00
les restaurateurs.
11:01
Il y a un logiciel aujourd'hui,
11:02
tu ne peux plus faire de blagues,
11:04
Gérard.
11:04
Dans le temps,
11:05
ils en faisaient.
11:06
Je connais effectivement
11:07
des restaurateurs
11:08
qui...
11:09
C'était...
11:10
Tous les dentistes...
11:11
Tiens, je vais parler des dentistes.
11:12
Oui, c'est un peu pareil.
11:13
Les dentistes dans les années 70,
11:15
ils roulaient tous sur l'or.
11:16
Vraiment.
11:17
Mais aujourd'hui,
11:18
les dentistes,
11:19
ils ont entre 85 et 90 ans,
11:21
parfois,
11:21
ceux qui sont encore de ce monde.
11:23
Ils ont arrêté de bosser
11:23
il y a 10 ou 15 ans.
11:25
Ils ont des toutes petites retraites
11:26
parce qu'ils n'ont pas cotisé.
11:27
Parce qu'ils avaient des vies flamboyantes,
11:29
parce qu'effectivement,
11:30
il y avait beaucoup de blagues
11:30
à l'époque.
11:31
Mais aujourd'hui,
11:32
ça ne se fait plus du tout.
11:33
Donc,
11:33
ils se retrouvent avec...
11:35
Parce qu'ils sont entre 85 et 90 ans,
11:37
ils ont des petites retraites
11:38
parce qu'ils n'ont pas cotisé.
11:39
Comme ils ne bossent pas le plus
11:40
depuis 10 ou 15 ans,
11:41
il faut faire rentrer de l'argent.
11:42
Il n'y en a plus.
11:43
Il n'y a plus de bac.
11:44
Et bien,
11:44
c'est compliqué.
11:45
Voilà.
11:45
Il y a un dentiste dans votre famille ?
11:47
Non,
11:47
mais je les entends.
11:49
C'est la génération de mes parents.
11:53
Dans le temps,
11:54
c'était monnaie courante,
11:55
le blague dans les années 70.
11:57
Mais aujourd'hui,
11:57
cher Gérard,
11:58
avec le système de contrôle,
12:02
ça ne se fait plus.
12:04
On contrôle davantage,
12:05
mais je pense que ça se fait encore beaucoup.
12:07
Amusez-vous à payer votre dentiste en blague,
12:09
vous allez voir.
12:10
À 16h45,
12:11
c'est une...
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