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  • il y a 3 jours
Sabrina Gunnell était invitée de l’émission Morandini Live sur CNEWS ce jeudi 4 décembre. Elle a réagi à la démission d’un directeur de cinéma dans les Hauts-de-Seine : «Personne n’est obligé d’aller au cinéma le voir», a-t-elle rappelé.

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Transcription
00:00D'abord, est-ce que c'est prosélyte ?
00:01Déjà, c'est son avis. J'ai envie de dire, à ce moment-là, on ferme tous les musées parce qu'il y a des Christs partout dans n'importe quel musée.
00:07Nous, on a fait une œuvre, en effet, parce que ça nous semblait important de raconter ce pan de l'histoire
00:11qui raconte, en effet, cette apparition du Christ au XVIIe avec ce message d'amour qui, en fait,
00:18j'allais dire déjà, le monde allait mal il y a deux ans, il ne va pas beaucoup mieux depuis.
00:22Et c'était une façon pour nous de répandre ce message et de rejoindre le cœur et l'âme des gens.
00:27Donc, en effet, personne n'est obligé d'aller dans les salles de cinéma le voir.
00:31Nous, c'est une proposition parmi d'autres pour la pluralité.
00:34Il y a beaucoup de films au cinéma.
00:36En effet, il y en a peu qui parlent de la foi.
00:37Nous, c'est notre façon de nous exprimer.
00:40C'est ce qui nous porte et ça a du sens et c'est beau.
00:43De toute façon, le public parle de lui-même.
00:45Vous êtes à presque un demi-million, c'est ça ?
00:47On est à 463 000 en paix, donc c'est pas mal.
00:50On s'y approche, en effet.
00:52Mais surtout que dans les salles, on a des personnes de 5 à 99 ans.
00:55Et surtout, les gens qui veulent aller le voir, vont le voir.
00:58On a des musulmans.
00:59Ce qui ne veulent pas rester chez eux.
01:00Voilà, on a toute confession.
01:01Et en fait, les gens se sentent juste rejoints.
01:03Je pense qu'en fait, les personnes qui critiquent, qui disent ce genre de choses,
01:06en fait, ils n'ont pas vu le film.
01:07Sous-titrage Société Radio-Canada
01:11Merci.
01:12Merci.
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