00:00C'est venu naturellement et ce n'est pas moi qui l'ai imposé en aucun cas.
00:05Et dès qu'elle a vu que ça matchait, et hop, deux mois après, je vais chercher le meuble, voilà.
00:18Alors, comme situation à trois, elle ne se passait pas trop mal parce que j'avais la chance que Sophie,
00:23quand elle faisait trop les moins jeux, moins jeux, moins jeux, hop, elle partait filmer la clope.
00:28Et donc, elle s'éclipsait et puis moi, je me retrouvais avec son son tout seul, là, et des fois, c'était, je me rappelle des trucs, c'était un petit peu cocasse un peu, mais bon.
00:37Et moi, j'avais compris qu'elle, c'était sa propre sécurité.
00:40Et alors, en déconnant, je disais, elle mettait encore, elle est allée filmer la clope.
00:43Mais déjà que moi, j'avais fait presque mon choix déjà, donc c'était de l'ironie.
00:48Mais j'ai essayé d'être, et je ne sais pas si j'étais arrivé, mais je ne sais pas, je ne sais pas si j'étais arrivé parce qu'elle m'a dit qu'elle ne savait pas de toute manière
00:56laquelle avait été choisie, et je ne sais pas ce que j'avais essayé, enfin, oui, ce n'est pas normal, c'est que tu en aies deux et que tu choisisses la langue.
01:04Ce n'est pas la vivrée, mais voilà, on va dire ça comme ça, allez, on va dire ça comme ça.
01:08C'est compliqué quand même.
01:09Tu passes ça, tu passes, enfin, moi, je me rappelle que de dire oui à une et non à l'autre, c'est, tu passes une matinée qui est compliquée.
01:17Allez, au bout de dix minutes, moi, je savais qu'il y en a, ça, ça ne pouvait pas le faire, moi, je, moi, je, et tu ne m'achètes pas.
01:29À Jean-Louis, tu ne peux pas l'acheter, tu ne couvres pas un cadeau, et puis, je me rappelle que j'ai dit une phrase à Sophie, il fait toi,
01:38et bien, elle me fait, mais moi, j'ai tout oublié, je n'ai rien à mener, et bien, il fait, il y a trois déjà.
01:42Mais ce n'est pas passé, je ne passe pas à la Téléza, c'est un offre, ça.
01:45Alors, si on reprend la chronologie, le samedi, c'était moi-jeu, moi-jeu, moi-jeu, et puis on est allé au resto, ça n'est pas passé du tout à la Téléza.
01:53Là, il ne s'est pas passé quelque chose, je pense que c'est pour ça que ce n'est pas passé.
01:58Il n'y a eu pas de révélation flagrante, et puis, le lendemain, j'ai envoyé Sosso à la messe avec maman.
02:07Ça m'a permis d'avoir une petite heure avec Sophie, à tête à tête.
02:12Et puis après, je les ai mises au milieu de mes 50 copains.
02:15Et là, quand elles sont arrivées, elles étaient toutes les deux à égalité.
02:19Mais à la fin de la soirée, il n'y avait qu'une qui avait gagné.
02:21Et donc, ça m'a conforté, mais plus que conforté dans mon choix, moi.
02:26J'ai dit, bon, mais là, tu ne te vois pas, c'est vrai, c'est celle-là.
02:28Elle a fait bonne figure devant moi, et puis, j'ai eu la phrase, peut-être malhonnête,
02:38je ne sais pas, de lui dire, je te ramène arrière à la gare.
02:41Tout le monde me dit, allez me dire ça, pas question.
02:44Et la journaliste qui s'appelait Sarah, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon.
02:52C'est bon, le calvaire est fini.
02:54Et puis après, il se passe, elle ne voulait plus voir Sophie,
02:58elle ne voulait plus me voir à moi, elle voulait dire au revoir avec maman.
03:01Ça a été un moment compliqué, oui, là, pour elle et pour moi.
03:04Je pense qu'elle a été très maladroite.
03:06Il y a une belle personne, mais je pense qu'elle a été très maladroite.
03:09Mais je pense que c'était elle, c'était sa façon de vivre et sa façon d'être.
03:16Et ça ne me correspond, ça ne pouvait pas me correspondre à moi, ça ne pourrait pas me correspondre.
03:25Alors, avec maman, on se comprend, sans se parler, on se comprend, donc.
03:30Donc, il y avait, elle ne voulait pas m'influencer, mais elle était d'accord avec ça.
03:35Que oui, il y en a une qui était trop mogeuse, ça se voyait trop.
03:40Elle en faisait trop, mais ça ne correspondait ni à maman, ni à moi.
03:43Mais à maman, elle aurait pu s'en accommoder, on va dire, mais à moi, c'était pas possible.
03:47Non, moi, c'était pas possible.
03:52Sophie a une faculté à s'adapter, donc c'est parfait et maman aussi.
03:58Donc, je n'ai pas de doutes et de craintes, là aussi.
04:01Enfin, l'avenir nous le dira, mais non, je ne vois pas pourquoi il y aurait de craintes.
04:08Eh bien, aujourd'hui, Sophie, j'ai l'immeuble de Sophie à la maison.
04:13Je n'ai pas Sophie parce qu'elle est contrainte, elle est allée aider sa soeur, un problème santé.
04:19Ça lui a permis de ne pas venir direct, de faire une petite pause, on va dire, allez, voilà.
04:24Et normalement, à la fin du mois, je l'aurai, ouais, elle sera titulaire à la maison.
04:32C'est venu naturellement et c'est pas moi qui l'ai imposé en aucun cas.
04:37Et dès qu'elle a vu que ça matchait, hop, elle a dit, ben, moi, il me faut, j'ai deux mois pour de préavis au logement.
04:43Donc, eh bien, j'ai fait pause au-dessus de moi et, eh bien, c'est ce que je pense que je vais faire.
04:48Et hop, deux mois après, je vais chercher le meuble, voilà.
04:53C'est pas plus compliqué.
04:57Des projets, il y en a plusieurs, mais encore qui sont en état d'embryonnaire, on va dire, ouais.
05:02Parce qu'il faut poser le pour ou le contre, si c'est faisable, si c'est pas faisable, et puis, voilà.
05:07On en est là, mais c'est des projets qui lui tiennent à cœur et qui me tiennent à cœur aussi.
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