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  • il y a 2 heures
«La justice n'a pas protégé Elias, nous savons qui l'a tué», a dénoncé sur CNews Stéphanie Bonhomme, la mère de l'adolescent tué à l'arme blanche à Paris par d'autres jeunes, alors qu'il rentrait d'un entraînement de football. Pour Amaury Brelet, journaliste, ce meurtre «est une affaire d’État, un État qui a failli à le protéger et à mettre hors d’état de nuire des délinquants multirécidivistes».

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Transcription
00:00La mort du jeune Elias est une affaire d'État, l'affaire d'un État qui a failli non seulement à protéger le jeune Elias
00:05et à mettre hors d'état de nuire ces deux délinquants multirécidivistes mineurs que l'on a laissés en liberté et sans surveillance.
00:14Le rapport de l'inspection générale est accablant, il évoque des dysfonctionnements en série,
00:19le manque de moyens, mais enfin le manque de moyens à bon dos, parce que dans cette affaire il y a aussi un problème d'idéologie,
00:23une idéologie de cette justice qui considère que finalement l'éducation est l'alpha et l'oméga de la justice pénale des mineurs,
00:31alors qu'il faudrait évidemment réprimer.
00:34Au cours de cette affaire, le procureur avait réclamé le contrôle judiciaire pour les deux adolescents,
00:38qui a été refusé par le juge des enfants au motif qu'ils avaient exprimé des regrets.
00:43Quels regrets dans la situation que l'on connaît ?
00:45Les magistrats aussi qui ont déploré, qui ont reproché à la mère du jeune Elias,
00:50qui l'a déclaré ce matin chez Sonia Mabrouk, d'être partie en croisade, d'être, je cite,
00:55une victime esservelée des populistes.
00:58C'est terrible ce que cette femme a subi, on l'entendra d'ailleurs.
01:01C'est absolument scandaleux, donc le manque de moyens évidemment,
01:04mais aussi et d'abord changer les lois aujourd'hui qui sont trop laxistes et durcir la réponse pénale.
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