Passer au playerPasser au contenu principal
La décision de Didier Deschamps de faire tourner l’intégralité du onze face à l’Azerbaïdjan s’explique d’abord par la réalité actuelle du football de très haut niveau. Les internationaux disputent un volume de matchs devenu difficilement soutenable, entre leurs clubs, les compétitions européennes et les rassemblements nationaux. Ajouter une rencontre sans enjeu sportif réel dans cette accumulation représente un risque immédiat de blessure pour les cadres.

Déjà qualifiée, l’Équipe de France n’avait rien à gagner à aligner ses titulaires habituels. Dans un tel contexte, préserver les organismes est la seule approche rationnelle. D’ailleurs, si un joueur majeur s’était blessé lors de ce match, la critique aurait été instantanée. On aurait reproché au sélectionneur d’avoir pris un risque inutile, et ce débat aurait éclipsé tout le reste.

L’idée selon laquelle ce turnover massif ferait perdre des automatismes ne tient pas vraiment. Une équipe qui joue ensemble depuis des années, composée de joueurs évoluant dans les meilleurs clubs du monde, ne désapprend pas son football en 90 minutes. Les repères existent, le vécu collectif est solide, et le staff travaille suffisamment en amont pour que ces ajustements ponctuels ne perturbent rien.

Ce match constituait aussi une opportunité pour impliquer les remplaçants et leur donner du rythme. Une sélection nationale n’est pas limitée à onze joueurs : maintenir tout le groupe concerné est indispensable pour aborder les grandes compétitions dans les meilleures conditions. En choisissant de protéger ses cadres tout en donnant du temps de jeu aux autres, Deschamps a agi dans l’intérêt direct de l’Équipe de France.

| ==== | Hashtags pour le référencement, ignorez-les. | ==== |

#Deschamps #DidierDeschamps #France #EquipeDeFrance #Azerbaidjan #CoupeDuMonde #QualifsCoupeDuMonde

#Dailymotion #DailymotionShorts #DailymotionStudio

|| ====== || ====== || ====== || ====== || ====== ||

Certains extraits photos et vidéos (avec filtres) peuvent être intégrés. Aucune atteinte au copyright n'est tentée, ces extraits sont utilisés dans le respect des droits d'auteur et à des fins d'illustration.

|| ====== || ====== || ====== || ====== || ====== ||

Catégorie

🥇
Sport
Transcription
00:00Encore heureux qu'on ait eu un gros turnover, comme vous l'avez vu, Deschamps a quasiment changé tout son once contre l'Azerbaïdjan.
00:05Et on a certaines personnes et certains médias, dont Footballlog, qui s'interrogent sur le fait de faire tourner quasiment tout le monde.
00:10On est les premiers à expliquer que les joueurs jouent trop de matchs, que le calendrier est de plus en plus insurmontable.
00:15Que si on prend les joueurs de classe mondiale qui doivent se taper, championnat, coupe nationale, parfois coupe de la ligue dans certains pays, coupe d'Europe, sélection, tournée estivale en été, coupe du monde des clubs, etc.
00:26Et là, certains vont chouiner parce que Deschamps, dans un match qui n'a plus aucun enjeu, puisqu'on est déjà qualifié pour la coupe du monde maintenant, a fait massivement tourner contre l'Azerbaïdjan.
00:34Mais imaginez deux minutes, Mbappé s'était pété sur un match comme ça.
00:37Imaginez sur un faux appui, je sais pas moi, Michael Olizé se blesse, ou sur un tacle de fou d'Anna Zeri, t'as William Saliba qui se tape une entorse.
00:43Je pense que Deschamps, on le taille pendant plusieurs semaines.
00:46Déjà qu'on le taille beaucoup, alors à raison certes, mais des fois un petit peu trop, mais il faut comprendre un truc, on est déjà qualifié.
00:51C'est un match qui ne sert à rien, et c'est pas un match où Deschamps va faire tourner de A à Z, qui va casser les automatismes, etc.
00:58C'est pas 90 minutes qui va faire qu'Olizé et Mbappé vont significativement mieux s'entendre sur un terrain.
01:03Et au passage, ça permet aussi un truc, de faire jouer les remplaçants.
01:06Au moins, on peut en voir plusieurs jouer, etc. C'est sympa.
01:08Sous-titrage Société Radio-Canada
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire

Recommandations

1:14
À suivre