- il y a 2 jours
Avec Seymour Brussel et Flore Cherry
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00:00:01Bonjour à tous, nous sommes ensemble durant ces deux heures sur Sud Radio.
00:00:09On parle souvent des maux du corps en compagnie de Michel Oudoul.
00:00:12Mais aujourd'hui on va évoquer la santé et comment parvenir à aller mieux en laissant tomber le mental.
00:00:19On sait bien sûr que nos peurs sont à la racine de bien des stress et des anxiétés
00:00:23à tel point que mon invité Seymour Bruxelles avait fait un livre dont le titre était particulièrement évocateur
00:00:30« La peur à l'origine de toutes nos maladies ».
00:00:34Justement, Seymour Bruxelles est avec nous et il va nous donner des pistes
00:00:38pour que vous puissiez mieux vous prendre en main ou plutôt, j'ai envie de dire, mieux habiter votre corps.
00:00:44Il pourra également vous aider éventuellement à vous libérer de certains traumas
00:00:47comme par exemple une enfance avec de la maltraitance.
00:00:51D'ailleurs, on ne le dira jamais assez, mais bien des symptômes proviennent de ces moments
00:00:55où on ne s'est pas senti en sécurité.
00:00:58Et on en parlait hier encore avec le 13 novembre.
00:01:03Mais rien n'effligé, qu'est-ce que ce soit dans votre corps ou dans votre tête ?
00:01:08Alors, au travail, et pour ça, peut-être qu'il faut nous appeler au 0826 300 300
00:01:14pour décoder tout ça avec Seymour Bruxelles.
00:01:16Et puis, en deuxième heure, on parlera de « Sexualité sacrée » en compagnie de Flore Chéri
00:01:21qui vient de sortir un ouvrage sur le sujet.
00:01:23Donc, on en parlera avec elle.
00:01:26Seymour Bruxelles, merci d'être avec nous.
00:01:29Bien dans sa tête, bien dans son corps.
00:01:32On est quand même dans une société où on parle beaucoup d'être bien dans sa tête.
00:01:36Enfin, que tout parle d'abord dans la tête.
00:01:39Mais vous n'êtes pas d'accord avec ça, je crois.
00:01:41Je pense donc je suis, non ?
00:01:43Oui, quand je pense, je ne suis pas dans le présent.
00:01:48Je suis soit dans le passé, je cherche des références connues,
00:01:52et ou alors je projette, je suis dans le futur, mais rarement dans le présent.
00:01:57Oui, ce fameux instant présent dont on parle certaines thérapies,
00:02:02certaines philosophies même, on pourrait dire.
00:02:04Mais qui est assez peu, enfin, dans le monde occidental actuel,
00:02:09c'est pas trop, enfin, dans cette émission quand même, si, un peu.
00:02:13Oui, un peu plus, mais dans notre société,
00:02:15j'allais, il y a trois semaines, chercher des fleurs dans un grand magasin.
00:02:20On était au mois d'octobre et je suis tombé sur les jouets
00:02:23et toutes les décorations de Noël.
00:02:25Je veux dire, ce qui est terrible dans cette société,
00:02:27c'est de pousser les gens à ne pas, justement, vivre le présent,
00:02:32à consommer et à être toujours décalé de l'instant.
00:02:38Et donc ça, c'est mauvais pour notre santé ?
00:02:40C'est mauvais pour notre corps ? En quoi ?
00:02:42Parce que le corps, lui, il répond à toutes nos pensées.
00:02:46Si on était conscient de ce qui se passe dans nos cellules,
00:02:49après ou pendant chaque pensée, ça va très vite.
00:02:51Une pensée, c'est une vibration qui déclenche une réaction chimique dans le corps,
00:02:56immédiate.
00:02:57Une pensée de peur va déclencher la fabrication d'adrénaline,
00:03:01pour pouvoir se sauver, etc.
00:03:03Voilà, le cœur s'accélère, les pupilles se dilapides.
00:03:06Se dilapides.
00:03:09Oui, peut-être, d'ailleurs.
00:03:10Elles vont peut-être se dilapider.
00:03:12Et les muscles se tendent, voilà.
00:03:13Donc on est en réaction de défense.
00:03:15Et la peur, elle peut être complètement fantasque.
00:03:18Elle n'est pas forcément réelle.
00:03:19On croise rarement un tigre dans les rues de Paris.
00:03:21Et ensuite, par contre, une pensée de joie, d'amour,
00:03:27va déclencher de bonnes hormones qui vont permettre à nos cellules
00:03:30de fonctionner correctement et à notre corps d'être dans le bien-être.
00:03:34Moi, j'avais vu, je crois que c'était dans Psychologie Magazine,
00:03:37un jour, ils avaient mis des corps humains avec des couleurs
00:03:41en fonction des parties des organes
00:03:44qui étaient stimulés par les quatre émotions essentielles
00:03:47qui sont la peur, la joie, la tristesse et la colère.
00:03:52Et c'était très intéressant parce que c'était vraiment des...
00:03:55On voyait bien quatre corps coloriés de manière totalement différente.
00:03:59Donc, ça, c'est important à comprendre.
00:04:02Et ça, ce n'est pas les pensées, c'est les émotions.
00:04:04Alors, les émotions vont plus...
00:04:05L'émotion va plus vite que la pensée.
00:04:06La pensée, elle arrive derrière.
00:04:09Je donne toujours l'exemple de la peur de l'araignée.
00:04:11Mais si on a, à l'intérieur de notre subconscient,
00:04:15le programme, parce que nous sommes fait de programme,
00:04:17la peur de l'araignée,
00:04:19donc l'émotion, vision de l'araignée, émotion.
00:04:21L'émotion va plus vite que la pensée.
00:04:23La pensée peut avoir envie de calmer le jeu,
00:04:27se dire, mais non, une araignée, ça ne fait pas de mal,
00:04:29ça ne mange pas les hommes.
00:04:30Et bien, c'est trop tard, parce que le programme est déclenché
00:04:32et l'émotion a provoqué ce qu'on définissait tout à l'heure
00:04:35au niveau du corps humain.
00:04:37Donc, l'émotion va beaucoup plus vite que la pensée.
00:04:39Alors, ce qui est intéressant sur les couleurs,
00:04:40il faut savoir que ça existe depuis très longtemps,
00:04:42c'est au niveau visuel,
00:04:44on peut photographier le champ vibratoire du corps.
00:04:49C'est l'effet Kyrian, c'est dans les années 50.
00:04:51Et aujourd'hui, avec une technologie beaucoup plus avancée,
00:04:54le professeur Kordkopf, un russe,
00:04:57a repris les travaux de Kyrian
00:05:00qui nous permettent,
00:05:03avec des appareils sophistiqués,
00:05:05de photographier ces couleurs, justement.
00:05:07la qualité vibratoire du corps énergétique
00:05:12qui peut nous montrer des fuites,
00:05:14ce qu'on appelle des fuites énergétiques,
00:05:16et le dysfonctionnement de certains organes.
00:05:18Donc, on peut avoir un diagnostic très précis
00:05:21du champ vibratoire du corps
00:05:23par ce phénomène technologique.
00:05:25C'est la science.
00:05:27Et peut-être ce qui est important aussi à dire,
00:05:31enfin, c'est ce que vous travaillez dessus
00:05:34depuis très longtemps,
00:05:35la seule chose qu'on peut faire
00:05:40dans notre fonctionnement,
00:05:43c'est la respiration sur laquelle on peut agir.
00:05:47Et c'est pour ça que c'est si important
00:05:48d'apprendre à bien respirer.
00:05:51Et grâce à la respiration,
00:05:53on peut diminuer le stress,
00:05:54on peut diminuer la peur,
00:05:55on peut diminuer la colère,
00:05:57parce que c'est une manière
00:05:59de réhabiter son corps,
00:06:01en quelque sorte.
00:06:02C'est ça ?
00:06:02Exactement.
00:06:03Alors, il y a une technique
00:06:04qui s'appelle la cohérence cardiaque,
00:06:06et aujourd'hui,
00:06:07qui propose dans vos smartphones
00:06:10un programme qui s'appelle,
00:06:12par exemple,
00:06:12il y a celui-là,
00:06:13il y en a plusieurs,
00:06:14mais comment ça se dit ?
00:06:15Respire relax.
00:06:17Respire relax, voilà.
00:06:18C'est un programme qu'on met
00:06:19dans le smartphone
00:06:20avec un rythme respiratoire,
00:06:22d'inspiration, d'expiration.
00:06:23Ça dure cinq minutes,
00:06:24et on remet le corps
00:06:26en cohérence cardiaque.
00:06:28La cohérence cardiaque,
00:06:28c'est la cohérence
00:06:29entre le cerveau-coeur
00:06:30et l'encéphale.
00:06:32Et ce système améliore
00:06:33tous les systèmes du corps humain.
00:06:35Et on se remet vraiment
00:06:36dans un rythme
00:06:37et un centrage de sérénité
00:06:39face à une émotion,
00:06:41en quelques minutes.
00:06:42La respiration,
00:06:43c'est très juste,
00:06:44nous ramène
00:06:45dans la conscience du corps.
00:06:46Alors que la pensée,
00:06:48le mental ou l'émotion
00:06:49va nous dégager du corps
00:06:50et partir dans des méandres
00:06:52du mental.
00:06:53Et c'est pour ça,
00:06:54par exemple,
00:06:54que le yoga,
00:06:56en général,
00:06:57a beaucoup d'effets positifs
00:06:58sur notre santé,
00:06:59sur notre relaxation,
00:07:02sur notre capacité
00:07:02à se sentir mieux.
00:07:04Parce que justement,
00:07:05c'est un sport.
00:07:07Enfin, bon,
00:07:07je sais qu'il y a des personnes
00:07:08qui n'aiment pas parler de sport
00:07:09quand on parle du yoga.
00:07:10C'est une méthode.
00:07:11Oui, c'est une technique,
00:07:12merci,
00:07:12qui nous remet dans le corps,
00:07:14en fait.
00:07:14Et c'est tout ce qui va...
00:07:16D'ailleurs,
00:07:17souvent,
00:07:18souvent,
00:07:18ce n'est pas une généralité non plus,
00:07:20mais souvent,
00:07:20les sportifs sont plus
00:07:21en relation avec leur corps.
00:07:23Parce que justement...
00:07:24Alors peut-être trop,
00:07:24parce que j'ai soigné des...
00:07:26Parfois dans la performance, oui.
00:07:28Oui, parce qu'il y a des sportifs
00:07:28de haut niveau
00:07:29qui scrutent
00:07:30le moindre ligament,
00:07:32le moindre nerf,
00:07:33le moindre muscle,
00:07:34j'en ai connu,
00:07:35et alors ça devient
00:07:36un enfer pour eux
00:07:36parce que justement,
00:07:37ça va trop loin.
00:07:39C'est parce qu'ils en font...
00:07:40Enfin, ils demandent trop...
00:07:40Ah, c'est leur métier.
00:07:41Ils demandent trop à leur corps.
00:07:42Voilà, exactement.
00:07:43Ça va trop loin.
00:07:44Le sport,
00:07:44disons,
00:07:45détruit le corps.
00:07:46Comme tout,
00:07:47c'est le juste milieu
00:07:48entre la pensée et le corps
00:07:51parce que malgré tout,
00:07:53c'est important
00:07:54d'avoir une intelligence
00:07:56née au cortex
00:07:57parce que c'est lui aussi
00:07:58qui va pouvoir interpréter
00:08:00les ressentis
00:08:01que nous donne le corps.
00:08:03Le mental,
00:08:04on ne crache pas
00:08:05sur ses capacités.
00:08:06C'est un outil formidable
00:08:07qui nous a permis
00:08:08d'être éclairé en ce moment,
00:08:10d'être chauffé,
00:08:11d'avoir des technologies
00:08:13qui nous permettent
00:08:14de s'alimenter.
00:08:15Que la radio fonctionne.
00:08:16Voilà.
00:08:17Donc, dans ce sens-là,
00:08:19le mental est très intéressant.
00:08:21Mais au niveau émotionnel,
00:08:23affectif,
00:08:24la destruction des cellules
00:08:27par le mental,
00:08:28elle se fait tous les jours
00:08:29par la peur et la colère,
00:08:30par exemple.
00:08:31Et le stress, oui.
00:08:32Voilà.
00:08:32Le stress,
00:08:33c'est que 90% des maladies
00:08:34viennent du stress.
00:08:35Et l'anxiété.
00:08:36Qui déstabilise
00:08:37tous les systèmes du corps.
00:08:38D'accord.
00:08:39Et puis,
00:08:40quand on a eu un trauma,
00:08:42peut-être que c'est important aussi
00:08:43de retravailler sur le corps,
00:08:46sur le ressenti
00:08:46pour aller mieux.
00:08:49Et je crois que c'est Nathalie
00:08:50qui va témoigner en ce sens
00:08:51dans un instant.
00:08:5314h-16h,
00:08:54Brigitte Laé,
00:08:55Sud Radio.
00:08:56Nous sommes aujourd'hui
00:08:57avec Seymour,
00:08:59Bruxelles,
00:08:59qui va vous aider
00:09:00à vous sentir mieux
00:09:01dans votre corps
00:09:02et vous maintenir
00:09:03en bonne santé.
00:09:04Vous êtes ostéopathe
00:09:05et vous êtes également
00:09:07auteur de nombreux ouvrages
00:09:11dont
00:09:12La peur,
00:09:13à l'origine de nos maladies.
00:09:14C'était aux éditions...
00:09:16Le courrier du livre.
00:09:18Le courrier du livre.
00:09:18Très Daniel.
00:09:19D'accord.
00:09:20Eh bien, Nathalie,
00:09:21merci de prendre la parole
00:09:22et d'être avec nous.
00:09:23Bonjour.
00:09:24Oui, bonjour Seymour.
00:09:25Bonjour, Brigitte.
00:09:26Bonjour, Nathalie.
00:09:27Je suis ravie
00:09:28d'être avec vous aussi.
00:09:29Oui, effectivement.
00:09:31Alors moi,
00:09:31j'ai eu des gros, gros traumas
00:09:33de toute petite fille.
00:09:35Oui.
00:09:36Voilà.
00:09:37Mais je vais donner
00:09:39un témoignage très positif
00:09:40parce qu'aujourd'hui,
00:09:41j'ai 62 ans
00:09:42et je vais très bien.
00:09:43Ça, c'est super.
00:09:45Bonne nouvelle.
00:09:45Parce que ce qui...
00:09:46Excusez-moi, Nathalie,
00:09:47mais je pose la question
00:09:48à Seymour Roussel.
00:09:49Ce qu'il faut bien comprendre,
00:09:50c'est que quand on est enfant,
00:09:52on va se construire
00:09:53dans une sécurité parentale,
00:09:55normalement,
00:09:56et tout doucement,
00:09:57on va prendre confiance
00:09:59en soi,
00:10:01en son corps,
00:10:01en son esprit,
00:10:02en ses émotions,
00:10:03etc.
00:10:04Quand il y a des traumas
00:10:05tels que ce que vous avez l'air
00:10:07de décrire, Nathalie,
00:10:09on est en dissociation.
00:10:11C'est-à-dire qu'il y a
00:10:11une partie de nous
00:10:12qui n'est pas dans le réel.
00:10:15Oui, parce que justement,
00:10:16c'est la fuite
00:10:17qui permet des fois
00:10:18de survivre.
00:10:19La fuite du réel
00:10:20qui permet de survivre
00:10:21parce que la réalité
00:10:22est trop dure.
00:10:23C'est effectivement
00:10:24la fuite de la réalité,
00:10:25tout à fait.
00:10:25et à partir du moment
00:10:27où j'ai commencé
00:10:28à faire un travail
00:10:30avec une kinésiologue,
00:10:31à pratiquer le yoga,
00:10:33comme vous disiez,
00:10:33la respiration,
00:10:35effectivement.
00:10:36Et j'ai approfondi
00:10:37les techniques respiratoires,
00:10:38justement,
00:10:39avec la découverte
00:10:41de Vimov
00:10:41et un de ses disciples,
00:10:46j'allais dire,
00:10:47qui enseigne ça très bien
00:10:49et qui a approfondi
00:10:49la respiration,
00:10:50qui s'appelle
00:10:50Leonardo Pellagotti.
00:10:53Alors, Vimov,
00:10:53il faut expliquer un peu
00:10:54ce que c'est
00:10:55parce que je pense
00:10:55que les auditeurs...
00:10:56Moi, je ne connais pas.
00:10:56Voilà, c'est se plonger
00:10:59le corps dans la glace.
00:11:01Allez-y, allez-y.
00:11:02Dans le froid.
00:11:02Dans le froid.
00:11:04Alors, plus ou moins...
00:11:06C'est pas pour moi, ça.
00:11:07Moi, je déteste le froid.
00:11:09Ouh là là !
00:11:11Alors, moi, je détestais le froid,
00:11:12Brigitte.
00:11:13Eh bien, j'ai découvert ça
00:11:14pour la confiance en soi.
00:11:16C'est-à-dire que c'est des challenges,
00:11:18quoi.
00:11:18Et en fait,
00:11:19il y a toute une préparation respiratoire
00:11:21qui est un peu de l'hyperventilation,
00:11:23comme en réhélération holotropique.
00:11:25Voilà.
00:11:27Donc, on réchauffe le corps
00:11:28et on fait une visualisation.
00:11:31Mais après,
00:11:32au niveau inflammatoire,
00:11:33au niveau des traumas,
00:11:34ça va vous chercher au plus court.
00:11:36D'accord.
00:11:36En fait, on vous met dans du froid
00:11:39pour réparer des inflammations
00:11:42ou des articulations qui sont...
00:11:45Si je peux me permettre.
00:11:46L'objectif, c'est de créer un stress
00:11:49dans le corps pour réparer.
00:11:51Voilà, justement.
00:11:52La cryothérapie...
00:11:53Le mal par le mal, quoi.
00:11:55Le stress,
00:11:56on ne va pas très loin dans le stress
00:11:57parce que si ça devient inconfortable,
00:11:59ce n'est pas bon pour le corps.
00:12:01Donc, on y reste le temps
00:12:03que son corps puisse supporter.
00:12:06À partir du moment où le corps...
00:12:07Et quand on fait des initiations,
00:12:09ce n'est pas au-delà de deux minutes,
00:12:11si vous voulez.
00:12:12C'est juste pour avoir
00:12:12les premières sensations.
00:12:14Après, les gens qui pratiquent vraiment...
00:12:17Voilà, moi,
00:12:17le plus que j'ai pu y rester,
00:12:18c'est six minutes et demie.
00:12:20Et c'était mon max, quoi.
00:12:21C'est déjà pas mal.
00:12:22C'est déjà pas mal, oui.
00:12:23Mais derrière,
00:12:24ça m'a donné...
00:12:26Derrière,
00:12:27ça donne une pétillance
00:12:29au niveau des cellules
00:12:30et ça va chercher...
00:12:32Alors, évidemment,
00:12:32je vais toujours avec une intention.
00:12:35Oui.
00:12:36Voilà, je pose toujours une intention.
00:12:37Mais l'intention,
00:12:38chaque fois que j'ai fait
00:12:39ce genre de bain,
00:12:40c'est la confiance en moi,
00:12:41la confiance en moi,
00:12:42la confiance en moi.
00:12:42Mais est-ce que, justement,
00:12:43j'essaye de comprendre
00:12:45pour que tout le monde
00:12:46puisse comprendre.
00:12:47Est-ce que, Nathalie,
00:12:48justement,
00:12:48ça vous donne confiance
00:12:49parce que vous vous dites
00:12:50j'ai su le faire,
00:12:51j'ai dépassé le...
00:12:53Je peux le faire, oui.
00:12:54C'est ça ?
00:12:54D'accord.
00:12:55Oui, c'est le dépassement de soi.
00:12:56D'accord.
00:12:57Ok, je comprends.
00:12:58Oui, le dépassement de soi.
00:12:59Bon, alors, après,
00:13:00ça s'est venu quand même
00:13:02en ayant fait...
00:13:03J'ai fait de l'EMDR,
00:13:04j'ai fait de l'EFT.
00:13:06Bon, moi,
00:13:06j'ai toujours été attirée
00:13:07par tout ce qui est...
00:13:08Je n'ai jamais pris de médicaments
00:13:09malgré mes gros traumas
00:13:10parce qu'il y a des traumas
00:13:11de petites filles.
00:13:12Mon grand-père était pédocriminel,
00:13:15mon papa était un violeur
00:13:16et mes frères aussi,
00:13:18dans une famille de 10 enfants.
00:13:20D'accord.
00:13:20Donc, j'ai été l'objet sexuel
00:13:22et ma maman a passé
00:13:24toutes ces frustrations sur moi.
00:13:26Donc, j'étais le sens au douleur.
00:13:28Oui, vous venez de loin.
00:13:29Bravo.
00:13:30Je viens de loin.
00:13:31Oui, je viens de loin.
00:13:32Mais je suis fière de mon...
00:13:33Vous pouvez, bien sûr.
00:13:36Et alors,
00:13:37comme quoi,
00:13:38quand on a la volonté,
00:13:40je pense,
00:13:41on peut y arriver, quoi.
00:13:42C'est-à-dire que ma sensibilité
00:13:44à la vie,
00:13:45j'ai toujours eu
00:13:45une grande sensibilité,
00:13:47une énorme sensibilité.
00:13:48Je sens des choses
00:13:48que les gens ne sentent pas
00:13:50ou ne voient pas,
00:13:50je dirais.
00:13:51Bon, enfin, voilà.
00:13:52Et cette grande sensibilité
00:13:54m'a toujours fait aimer la vie
00:13:56au plus profond de moi.
00:13:58Oui, mais c'est là où...
00:14:00Ma petite voix intérieure...
00:14:01Oui, oui.
00:14:01Mais Nathalie,
00:14:02c'est votre témoignage.
00:14:04Encore une fois,
00:14:05je rebondis dessus
00:14:06parce que quand on parle
00:14:07de dissociation,
00:14:09c'est réellement ça.
00:14:10Vous avez une sensibilité
00:14:12qui a dû vous permettre,
00:14:14justement,
00:14:15au moment où on vous violait,
00:14:17où votre corps d'enfant
00:14:20était soumis
00:14:21à des horreurs,
00:14:23eh bien,
00:14:23il y avait une partie de vous
00:14:24qui était ailleurs.
00:14:26Qui était ailleurs.
00:14:27Je me revois,
00:14:28mon frère,
00:14:29quand mon frère m'a violée
00:14:30à 13 ans,
00:14:30vraiment,
00:14:31je me revois
00:14:32au-dessus de moi, quoi.
00:14:33Mais oui, absolument,
00:14:34la sortie du corps
00:14:35dont on parle.
00:14:37Et ce n'est pas par hasard
00:14:38que pratiquement
00:14:39tous les vrais bons médiums,
00:14:41je ne parle pas
00:14:42des manipulateurs,
00:14:43sont des gens
00:14:45qui ont eu des enfants
00:14:45se massacrer.
00:14:46Parce que, pareil,
00:14:47c'est cette...
00:14:49Alors,
00:14:49vous en avez fait
00:14:51une force,
00:14:52et tant mieux.
00:14:54Et c'est pour ça
00:14:55qu'aujourd'hui,
00:14:55à la fois,
00:14:57vous allez mieux
00:14:58parce que vous en avez fait
00:14:59quelque chose
00:15:00de positif.
00:15:00Voilà,
00:15:01et aujourd'hui,
00:15:02je visualise que mes rêves,
00:15:05quoi.
00:15:05Oui,
00:15:05mais alors,
00:15:06vous n'avez pas de mérite,
00:15:07vous n'avez pas de mérite,
00:15:07Nathalie,
00:15:08parce que quand vous rentrez
00:15:08dans un truc d'eau glacée,
00:15:10vous sortez du corps.
00:15:12Alors,
00:15:12c'est facile, hein.
00:15:13Non,
00:15:13je ne sors pas du corps.
00:15:14Qui est dans l'eau glacée ?
00:15:16Qui ?
00:15:17Qui est,
00:15:17c'est génial.
00:15:18C'est absolument génial.
00:15:19C'est génial.
00:15:20Et d'ailleurs,
00:15:21Spélagoti,
00:15:21il a mis en place
00:15:22un festival du froid.
00:15:24Ah bon ?
00:15:24Début janvier,
00:15:25dans le Cantal.
00:15:26Oui.
00:15:26D'accord.
00:15:30pour qu'on arrête
00:15:31de se plaindre
00:15:32de la hausse de l'électricité
00:15:34qui nous oblige.
00:15:36C'est très intéressant.
00:15:38Et puis après,
00:15:38bon,
00:15:39voilà,
00:15:39il a créé une école
00:15:40Inspire Potential.
00:15:42Donc,
00:15:42j'ai pris des cours,
00:15:43moi,
00:15:44j'ai fait plusieurs formations
00:15:45avec lui.
00:15:45C'est très intéressant,
00:15:46la respiration.
00:15:47Parce que c'est un outil
00:15:48qu'on peut maîtriser.
00:15:49Alors qu'on a l'impression
00:15:50qu'on peut avoir
00:15:51un effet sur notre respiration.
00:15:53Oui,
00:15:54bien sûr.
00:15:54C'est passionnant,
00:15:55la respiration.
00:15:56Vraiment.
00:15:56Ah ben ça,
00:15:56je suis d'accord.
00:15:57On est tous convaincus.
00:15:58On est tous convaincus.
00:16:00Cette capacité
00:16:01à ralentir sa respiration,
00:16:04ça devrait être appris
00:16:05aux adolescents.
00:16:07À l'école.
00:16:08À l'école.
00:16:09À l'école.
00:16:09Vraiment.
00:16:10Vraiment.
00:16:10Sur une classe de CM1,
00:16:12j'ai fait un exercice.
00:16:14Il y avait deux élèves
00:16:16qui savaient respirer normalement
00:16:17et les autres pratiquaient déjà
00:16:19la respiration inversée.
00:16:21C'est grave.
00:16:23CM1,
00:16:23c'est pas vieux.
00:16:25C'est 9-10 ans.
00:16:26Il y a un très beau livre
00:16:27sur la respiration
00:16:28d'ailleurs qui s'appelle
00:16:29Les Contes Soufflés
00:16:30d'Olivier Mortara.
00:16:33C'est aussi bien
00:16:33pour les enfants
00:16:34que pour les grands.
00:16:35D'accord.
00:16:36Il est absolument divin
00:16:38ce livre.
00:16:39Et moi,
00:16:41puisque je parle beaucoup
00:16:42de sexualité
00:16:42dans cette émission,
00:16:44je dis que parfois,
00:16:45respirer en cœur
00:16:47dans un couple,
00:16:49dans des moments
00:16:50d'intimité,
00:16:51pas forcément sexuel,
00:16:52mais dans des moments
00:16:52d'intimité,
00:16:53c'est extraordinaire
00:16:54parce que ça permet
00:16:56de se calquer
00:16:56sur la respiration
00:16:57de l'autre,
00:16:58ça permet de prendre
00:16:59conscience de sa respiration
00:17:00dans quelque chose
00:17:01qui est un jeu
00:17:02sympathique
00:17:04parce que c'est quand même
00:17:05chouette
00:17:06d'avancer
00:17:08dans ce domaine-là
00:17:09avec l'autre.
00:17:10Un jeu de partage
00:17:11et d'accord
00:17:12sur la même fréquence.
00:17:13C'est ça
00:17:13qui est important.
00:17:13C'est vrai.
00:17:15C'est vrai.
00:17:17Amusez-vous
00:17:19pendant ce week-end,
00:17:21pendant que vous êtes
00:17:22en train de faire l'amour.
00:17:24Inspirez en pénétrant
00:17:26et expirez en ressortant.
00:17:29C'est très intéressant.
00:17:31Oui, c'est très intéressant.
00:17:32J'ai déjà expérimenté.
00:17:33Et dans l'eau glacée ?
00:17:34Vous l'avez fait
00:17:34dans l'eau glacée ?
00:17:35Non.
00:17:36Dans l'eau glacée,
00:17:37on fait de la respiration
00:17:38profonde.
00:17:38Parce que l'eau glacée,
00:17:40bien évidemment,
00:17:41quand vous descendez
00:17:42au niveau du ventre,
00:17:43elle a tendance à pousser.
00:17:44Enfin, elle n'a pas tendance.
00:17:45Elle est fini.
00:17:46D'accord ?
00:17:47Donc là, il faut aller
00:17:48dans sa respiration
00:17:48la plus profonde.
00:17:50Sinon,
00:17:51vous haletez
00:17:52et si vous commencez
00:17:53à haleter,
00:17:53c'est bon,
00:17:53vous pouvez sortir.
00:17:54Ce n'est pas la peine
00:17:55de défermer dans l'eau.
00:17:56Bien sûr.
00:17:57Mais là,
00:17:58ce que vous racontez,
00:17:59en fait,
00:18:00si on va à l'extrême
00:18:00de ce que vous racontez,
00:18:02on le voit,
00:18:03il y a certains maîtres,
00:18:06je ne sais pas
00:18:06comment on les appelle d'ailleurs,
00:18:07qui sont capables
00:18:08de marcher sur les braises
00:18:09sans sentir la chaleur.
00:18:12Enfin,
00:18:12c'est une capacité,
00:18:14en effet,
00:18:14à être tellement en soi
00:18:17que quelque part,
00:18:18on ne ressent plus
00:18:18ni le froid,
00:18:19ni le chaud,
00:18:20ni la douleur,
00:18:20ni la douleur,
00:18:21ni le plaisir.
00:18:23Ça, c'est un peu dommage.
00:18:25Mais bon,
00:18:26c'est une autre histoire.
00:18:27Écoutez,
00:18:27merci beaucoup Nathalie
00:18:28de cet échange en tout cas.
00:18:30Merci à vous
00:18:30et bravo.
00:18:32On fait une petite pause
00:18:33et on va se retrouver
00:18:34avec le Love Conseil du jour
00:18:36« On va se dire je t'aime ».
00:18:39Pourquoi c'est si important
00:18:40de se dire je t'aime ?
00:18:41Vous le saurez dans un instant.
00:18:43Brigitte Lae et Sud Radio,
00:18:45le Love Conseil.
00:18:47Eh bien,
00:18:47Sémour,
00:18:47Bruxelles,
00:18:48on va se dire je t'aime.
00:18:50Vous connaissez peut-être
00:18:51cette scène
00:18:52d'un film de Fernandelle
00:18:53qui répète
00:18:54sur tous les tons
00:18:55quelque chose
00:18:57et c'est un petit peu ça
00:18:59que je peux conseiller
00:19:00parce qu'il y a des personnes
00:19:01qui ont vraiment du mal
00:19:02avec le « Je t'aime ».
00:19:03Eh bien,
00:19:04il faut essayer
00:19:05de pratiquer cet exercice
00:19:06qui consiste à dire
00:19:08« Je t'aime »
00:19:08de différentes manières
00:19:09mais tout seul.
00:19:12Et puis,
00:19:12on le dit
00:19:13dix fois,
00:19:14vingt fois,
00:19:15sans aucune intonation,
00:19:17très très neutre
00:19:18et puis ensuite
00:19:19avec beaucoup de sensualité,
00:19:21ensuite avec beaucoup d'amour,
00:19:22enfin bref.
00:19:24Et c'est vrai
00:19:24qu'à partir du moment
00:19:26où ce mot
00:19:27rentre dans notre langage,
00:19:29rentre dans notre tête,
00:19:30eh bien,
00:19:31ce sera plus facile
00:19:32de le dire
00:19:32parce que
00:19:33quand on ne sait pas dire
00:19:36« Je t'aime »
00:19:37à son ou sa partenaire,
00:19:39eh bien,
00:19:40ça peut créer
00:19:41quelque chose
00:19:41qui à force
00:19:42va nuire à la relation
00:19:44et c'est vrai
00:19:46que si vous arrivez
00:19:48à vous entraîner
00:19:49et si vous arrivez
00:19:50à être réceptif
00:19:51à ce que vous ressentez
00:19:52en le disant
00:19:52parce qu'au début
00:19:53ça ne sera peut-être pas facile,
00:19:54vous allez vous dire
00:19:55« Mon bête,
00:19:56avec son exercice,
00:19:57Brigitte,
00:19:57je n'ai pas du tout
00:19:58envie de le faire ».
00:19:59Et pourtant,
00:19:59si vous répétez
00:20:00cet exercice,
00:20:01vous obtiendrez
00:20:02vraiment un résultat.
00:20:03Alors,
00:20:03ça pourrait être valable
00:20:04avec d'autres choses
00:20:05que le « Je t'aime »
00:20:06mais on sait
00:20:07que les mots
00:20:08qu'on ne sait pas dire,
00:20:10il faut s'habituer
00:20:11à les dire
00:20:11d'abord seul,
00:20:12face à soi,
00:20:14pourquoi pas,
00:20:15pour ensuite arriver
00:20:16à les dire.
00:20:16il faut qu'ils sortent
00:20:17du mental,
00:20:18il faut qu'ils sortent
00:20:18du cerveau,
00:20:19il faut qu'ils prennent
00:20:20justement une valeur
00:20:21matérielle sonore.
00:20:23Alors,
00:20:23le film,
00:20:24c'est le « Spoonz »
00:20:24avec Fernand L.
00:20:26Ah oui,
00:20:26c'est ça,
00:20:27oui,
00:20:27oui.
00:20:28Donc,
00:20:28il va répéter
00:20:29sous différentes
00:20:30sensations,
00:20:32humeurs,
00:20:32sa phrase,
00:20:34mais quand on a
00:20:36du mal à dire
00:20:36« Je t'aime »,
00:20:37je pense que
00:20:37c'est parce qu'on
00:20:37ne nous l'a pas dit.
00:20:39Souvent,
00:20:39c'est qu'on ne l'a pas reçu.
00:20:41Pour le donner,
00:20:42il faut recevoir.
00:20:43C'est toujours l'équilibre
00:20:44entre donner et recevoir.
00:20:45Bien sûr,
00:20:46mais...
00:20:46Alors,
00:20:46il faut se le donner
00:20:47à soi-même,
00:20:47d'abord,
00:20:48je crois.
00:20:49Donc,
00:20:49je m'aime ?
00:20:50Ben oui.
00:20:50Je m'aime,
00:20:51je m'aime,
00:20:51je m'aime.
00:20:51Ben oui,
00:20:51je m'aime.
00:20:52Et puis après...
00:20:53Pour aimer l'autre,
00:20:54il faut d'abord,
00:20:56la phase précédente,
00:20:57c'est de s'aimer soi-même.
00:20:58Pas de s'aduler,
00:20:59mais de s'aimer soi-même.
00:21:00Je pense qu'il faudrait
00:21:01commencer par ça,
00:21:03par s'aimer soi-même,
00:21:03se dire « je m'aime »
00:21:04et le dire,
00:21:05sortir vibratoirement
00:21:06de la bouche,
00:21:08du corps.
00:21:09Et puis,
00:21:10cet exercice,
00:21:11voilà,
00:21:12de s'entraîner
00:21:12à dire « je t'aime »
00:21:13à l'autre.
00:21:14Absolument.
00:21:15Et puis,
00:21:16c'est le moment important
00:21:17parce qu'on est vendredi,
00:21:18aujourd'hui.
00:21:19Si vous avez suivi
00:21:19tout au long de la semaine,
00:21:21vous savez que d'abord,
00:21:22tous les jours,
00:21:23grâce à Sud Radio
00:21:24et grâce à Passage du Désir,
00:21:27vous pouvez gagner
00:21:28ce vibromasseur gonflable
00:21:29Hector.
00:21:30C'est pas rien.
00:21:32Il s'envole ?
00:21:32Il s'envole.
00:21:33Comme s'il est trop gonflé.
00:21:34Non, non,
00:21:35mais il se gonfle.
00:21:36C'est assez impressionnant.
00:21:37Enfin,
00:21:38c'est un objet assez...
00:21:39Voilà.
00:21:40Et c'est aujourd'hui,
00:21:42parmi tous ceux
00:21:42qui se sont inscrits
00:21:43depuis lundi,
00:21:44mais qui vont aussi
00:21:44s'inscrire aujourd'hui,
00:21:46que l'on remporte
00:21:47le calendrier de l'Avent,
00:21:49Passage du Désir.
00:21:50Vous savez ce que c'est
00:21:51que le calendrier de l'Avent.
00:21:53Tous les jours,
00:21:53on ouvre...
00:21:54L'Avent Noël.
00:21:551er décembre,
00:21:562e décembre.
00:21:57Et on ouvre
00:21:57une petite case
00:21:59et on gagne...
00:21:59Alors là,
00:22:00on ne gagne pas des chocolats,
00:22:00on gagne des objets.
00:22:03Dans ce calendrier de l'Avent,
00:22:04Passage du Désir,
00:22:05il y a quand même
00:22:06pour 660 euros de cadeaux.
00:22:08Ah oui, quand même.
00:22:08Ce n'est pas rien.
00:22:10On ne rigole pas
00:22:10sur Sud Radio
00:22:11et Passage du Désir.
00:22:12On joue quand même
00:22:14pour quelque chose
00:22:15de formidable.
00:22:16Mais il n'y a pas de chocolat.
00:22:17Quel dommage.
00:22:19Je peux vous offrir
00:22:20des chocolats pour Noël,
00:22:22mais vous avez dit
00:22:23qu'il ne fallait pas
00:22:23parler de Noël avant.
00:22:25Alors maintenant...
00:22:26Oui, mais maintenant,
00:22:26on y est,
00:22:27le calendrier de l'Avent.
00:22:28Non, non, non.
00:22:28Ça commence le 1er décembre.
00:22:29On est en novembre,
00:22:31mais vous l'aurez
00:22:32pour le 1er décembre.
00:22:33C'est important.
00:22:34Voilà, donc n'hésitez pas
00:22:35à vous inscrire.
00:22:36Vous envoyez par SMS
00:22:37Brigitte au 7-20-18
00:22:39et l'un d'entre vous
00:22:40sera tiré au sort
00:22:41et repartira
00:22:43aujourd'hui,
00:22:44peut-être,
00:22:45avec le vibromasseur
00:22:46gonflable Hector
00:22:47de Passage du Désir
00:22:48ou le calendrier
00:22:49de l'Avent,
00:22:50Passage du Désir.
00:22:51Donc ça vaut vraiment
00:22:52le coup d'aller vous inscrire
00:22:53par SMS.
00:22:55Et puis c'est Valérie
00:22:56qui est avec nous.
00:22:57vous avez eu un accident
00:22:58avec une triple fracture
00:23:00de la rotule.
00:23:03Bravo Valérie.
00:23:05Et vous avez envie
00:23:05de témoigner justement
00:23:06sur cet accident.
00:23:07Bonjour.
00:23:09Oui, bonjour Brigitte.
00:23:10Bonjour à votre invitée.
00:23:11Bonjour.
00:23:12Bonjour.
00:23:12Oui, c'est vrai que
00:23:15M. Michel Oudon
00:23:16m'avait reçu
00:23:17parce que j'étais
00:23:18plein de questionnements
00:23:19par rapport à cette
00:23:21triple fracture
00:23:22de la rotule
00:23:23avec un cerclage au banage.
00:23:26Enfin bon,
00:23:27c'est un genou
00:23:28qui a mis presque deux ans
00:23:29pour se rétablir
00:23:30entre le kiné,
00:23:31entre pas mal de choses.
00:23:34Alors c'est vrai
00:23:36qu'on avait évoqué
00:23:38les circonstances
00:23:39dans lesquelles
00:23:40je vivais à cette époque-là.
00:23:42Et j'étais bourrée
00:23:44de colère,
00:23:44j'étais bourrée de colère.
00:23:46D'autant plus
00:23:47que cet accident
00:23:48n'a fait que
00:23:49accentuer cette colère
00:23:51puisque la colère
00:23:53me disait d'arrêter
00:23:55et je ne l'écoutais pas.
00:23:57Donc on a fini
00:23:59par me stopper
00:24:00effectivement.
00:24:00Vous voulez dire
00:24:03que l'accident
00:24:05vous a stoppé net
00:24:06votre...
00:24:08Arrêtez quoi ?
00:24:10Ma vie.
00:24:11Ma vie que je menais
00:24:14toujours dans l'effort,
00:24:17toujours dans l'urgence.
00:24:18Donc c'était un genou droit
00:24:19alors j'imagine
00:24:20dans ce que vous dites.
00:24:21Non,
00:24:21c'était le genou gauche.
00:24:26D'accord,
00:24:26parce que vous parliez
00:24:27de votre vie,
00:24:28de votre besoin.
00:24:29Donc je pensais
00:24:30que c'était par rapport
00:24:31à vous-même.
00:24:31Donc non,
00:24:32c'était par rapport
00:24:33à votre relation ?
00:24:36Oui,
00:24:36alors il y avait la relation
00:24:37mais il y avait
00:24:38ce que je vivais aussi.
00:24:39Il y avait ce que je vivais
00:24:40et en fait,
00:24:44j'ai eu des alertes
00:24:45puisque j'avais fait
00:24:47une double entorse,
00:24:48j'étais tombée du temps.
00:24:49Enfin bon,
00:24:49il y avait plein
00:24:50de petites choses
00:24:50qui auraient dû
00:24:53m'alerter avant
00:24:54et je n'ai pas su
00:24:55les entendre,
00:24:56je n'ai pas su
00:24:57les voir
00:24:57ou peut-être
00:24:59les écouter
00:24:59et puis du coup,
00:25:01voilà,
00:25:02cet accident
00:25:02m'a stoppé net
00:25:03pour me permettre
00:25:05aussi peut-être
00:25:06de faire un feedback
00:25:10sur ma vie,
00:25:11sur ce que je vivais.
00:25:13Alors,
00:25:13vous voyez,
00:25:14ce qui est important,
00:25:16vous pouvez réagir aussi
00:25:18si vous voulez mettre
00:25:18du sens,
00:25:19c'est moi,
00:25:19mais ce qui est important
00:25:20quand on est immobilisé
00:25:22à cause
00:25:23d'une fracture
00:25:25ou d'une entorse
00:25:27ou etc.,
00:25:28le corps
00:25:28ne peut plus
00:25:30fonctionner
00:25:31et l'hyperactivité
00:25:33du corps
00:25:34ne pouvant plus
00:25:35fonctionner,
00:25:36il y a parfois
00:25:37une activité psychique
00:25:39qui se met en place
00:25:40et qui peut être
00:25:41très bénéfique
00:25:42pour avancer
00:25:44dans sa compréhension
00:25:45de soi
00:25:45ou alors
00:25:47on continue
00:25:48à être
00:25:49dans des ruminations
00:25:51ou dans des colères
00:25:52et à ce moment-là,
00:25:53on met beaucoup plus
00:25:54de temps à guérir.
00:25:55Mais si on a la chance
00:25:56au moment de l'immobilité
00:25:58du corps
00:25:58d'avoir une activité
00:26:00psychique
00:26:01qui fonctionne plus,
00:26:02et bien à ce moment-là,
00:26:03on peut mettre du sens
00:26:04et on va guérir plus vite.
00:26:08Alors,
00:26:08c'est un peu simpliste
00:26:10tout ce que je raconte,
00:26:11mais c'est une réalité.
00:26:12La souffrance,
00:26:13elle a un sens.
00:26:16Le sens de la souffrance,
00:26:17c'est de nous faire avancer.
00:26:18Moi,
00:26:18je suis désolé
00:26:19de voir autant de gens
00:26:20puisque je soigne
00:26:21beaucoup de monde,
00:26:22voir ces gens-là
00:26:23souffrir
00:26:24et ne pas comprendre
00:26:25pourquoi
00:26:26et ne pas avancer
00:26:27et se remettre
00:26:27dans les mêmes situations,
00:26:30dans les mêmes problèmes.
00:26:31Hippocrate disait
00:26:32si tu tombes malade,
00:26:33change de vie.
00:26:34Changer de vie,
00:26:35ce n'est pas facile.
00:26:37Change de façon
00:26:37de voir la vie.
00:26:38C'est le moment
00:26:39où il faut réfléchir
00:26:40et que cette souffrance
00:26:41soit bénéfique.
00:26:43Ce n'est pas facile
00:26:44à dire à tout le monde.
00:26:45Oui, c'est vrai.
00:26:46Et je pense
00:26:47qu'il y a un temps
00:26:48justement pour accepter
00:26:50puisque moi,
00:26:51j'étais dans le refus
00:26:52en fait.
00:26:53Bien sûr.
00:26:53j'étais dans le refus
00:26:55de broche,
00:26:56d'un chirurgien
00:26:58qui m'avait opéré
00:26:59que je ne connaissais pas.
00:27:00Donc, il y avait
00:27:00toute cette colère-là
00:27:01en plus.
00:27:03Donc, j'ai généré
00:27:03aussi de l'algodystrophie.
00:27:05Voilà.
00:27:06C'est ce que j'allais
00:27:06vous demander
00:27:07parce que c'est la suite logique
00:27:09de ce genre de situation.
00:27:10L'algodystrophie,
00:27:11donc le corps
00:27:12refuse la guérison.
00:27:13Voilà.
00:27:14Et j'avais un océopathe
00:27:15parce qu'on m'a fait
00:27:16faire des cures thermales,
00:27:17on m'a fait faire
00:27:17de la rééducation intense
00:27:19pendant deux mois et demi
00:27:20dans un établissement spécialisé.
00:27:22J'ai fait huit mois
00:27:22de kiné.
00:27:24Mon kiné,
00:27:25mon kiné à cette époque-là
00:27:26me disait
00:27:27écoute Valérie,
00:27:29je suis désolée
00:27:30de te le dire,
00:27:30je ne devrais pas te le dire,
00:27:32mais tant que tu auras
00:27:33la ferraille en toi,
00:27:36tu souffriras déjà
00:27:37parce qu'elle me faisait
00:27:38souffrir énormément.
00:27:41Tu souffriras
00:27:42et on ne pourra qu'avancer
00:27:46que quand ce sera sorti.
00:27:47D'accord.
00:27:48Donc le chirurgien m'avait dit
00:27:50c'est un an,
00:27:51un an de broche
00:27:53et à la suite d'elle,
00:27:55on l'enlèvera.
00:27:57Et du coup,
00:27:57vous voyez,
00:27:58j'ai eu l'accident
00:27:59le 7 mars,
00:28:00j'ai été broché tout de suite
00:28:02et au mois d'août,
00:28:04la broche ressortait.
00:28:06La broche ressortait
00:28:07de mon genou
00:28:08et là,
00:28:09j'ai revu mon chirurgien
00:28:10qui m'a réopéré
00:28:11en septembre d'urgence.
00:28:13Mais c'est en quelle année ça ?
00:28:14C'est en quelle année ?
00:28:16Comment ?
00:28:16C'est en quelle année ?
00:28:18L'année dernière.
00:28:19C'est récent tout ça.
00:28:22Non, l'année dernière,
00:28:23non, l'année d'avant, pardon.
00:28:242023.
00:28:252023.
00:28:26Mais alors,
00:28:27qu'est-ce qui vous a fait
00:28:28à un moment donné
00:28:29lâcher,
00:28:30comprendre,
00:28:31accepter
00:28:32parce que c'est cette phase-là
00:28:33qui fait qu'à un moment donné
00:28:35ça va mieux ?
00:28:36Eh bien,
00:28:37c'était de continuer
00:28:39à se battre.
00:28:40C'est vrai que
00:28:40quand le matériel
00:28:41a été extrait
00:28:44de mon genou,
00:28:45donc il y a eu
00:28:45tout un travail
00:28:46encore de rééducation
00:28:47pour marcher,
00:28:48pour reprendre
00:28:50le goût à la vie,
00:28:51pour reprendre
00:28:52confiance en soi
00:28:53parce que
00:28:53quand on est comme ça
00:28:55aussi longtemps,
00:28:57j'ai envie de vous dire
00:28:59handicapé,
00:29:00ne pas pouvoir conduire,
00:29:02ne pas être son béquille
00:29:04pendant des mois
00:29:04et des mois.
00:29:05Et dépendant des autres,
00:29:07ce qui ne vous plaisait
00:29:08pas non plus.
00:29:08en tout et pour tout,
00:29:14je pense que ça m'a pris
00:29:15une année et demie
00:29:17en fait.
00:29:17Une année et demie.
00:29:18Oui, mais vous ne répondez pas
00:29:19à ma question,
00:29:21Valérie,
00:29:21qu'est-ce qui vous a
00:29:22tout d'un coup
00:29:23aidé
00:29:23à accepter ?
00:29:26Qu'est-ce qui a fait
00:29:27qu'à un moment donné
00:29:27ça allait mieux ?
00:29:28Je pense que quand j'ai vu
00:29:30que j'arrivais à plier
00:29:33ma jambe,
00:29:33surtout parce qu'elle
00:29:34ne pliait plus,
00:29:36et c'est ça en fait,
00:29:39c'est d'avoir mis
00:29:40de l'effort
00:29:41dans l'effort
00:29:42pour pouvoir me convaincre
00:29:44que je n'étais pas la seule
00:29:46dans cette situation-là,
00:29:48que plein d'autres personnes
00:29:49avaient dû passer aussi
00:29:50par ce genre d'intervention.
00:29:53Oui, mais vous voyez,
00:29:54vous êtes toujours
00:29:55dans le fer,
00:29:56dans ce que vous me dites.
00:29:57C'est-à-dire que je pense,
00:29:58alors vous n'en avez peut-être
00:29:59pas été consciente,
00:30:00mais je pense qu'inconsciemment,
00:30:01à un moment donné,
00:30:01il y a quelque chose
00:30:02qui, dans votre psychisme,
00:30:06a accepté
00:30:07et a fait que vous avez avancé
00:30:11en voyant les choses
00:30:12un petit peu différemment.
00:30:14Parce que sinon,
00:30:15vous pourriez être encore dans...
00:30:18Peut-être que vous y êtes encore.
00:30:19La glystrophie,
00:30:20elle a disparu.
00:30:21Ah oui, oui, oui.
00:30:22Ça y est ?
00:30:22Oui, oui, oui.
00:30:23Elle a disparu
00:30:24bien avant qu'on enlève les...
00:30:27D'accord.
00:30:28J'avais rencontré
00:30:29une femme
00:30:32qui faisait de la médecine chinoise,
00:30:33puisqu'à cette époque-là,
00:30:34j'écoutais aussi
00:30:36Michel Laudoux,
00:30:36j'avais son livre.
00:30:38Donc, je faisais quand même
00:30:39pas mal de cataplasmes,
00:30:41d'argile,
00:30:41ce genre de choses.
00:30:43J'allais voir
00:30:44un chiropracteur aussi.
00:30:48Et puis...
00:30:49Et qu'est-ce qu'il y a
00:30:50à un moment,
00:30:51quelqu'un,
00:30:52parmi toutes ces personnes
00:30:54que vous avez vues,
00:30:55qui mettent du sens
00:30:56en règle générale
00:30:57ou qui disent des choses
00:30:57qui peuvent vous faire avancer,
00:30:59vous n'avez pas souvenir
00:31:00de ce qui a pu...
00:31:02Le lâcher prise,
00:31:03il est arrivé quand ?
00:31:03L'acceptation de la situation ?
00:31:06Le oui ?
00:31:07Je pense que...
00:31:07Mais non.
00:31:09Mais pas le nom.
00:31:09L'acceptation,
00:31:10elle est arrivée
00:31:10quand on m'a envoyé,
00:31:11effectivement,
00:31:12cette ferraille-là
00:31:13dans le genou.
00:31:14Il y a eu un soulagement,
00:31:15alors.
00:31:15Le corps étranger
00:31:16a quitté votre organisme.
00:31:18Oui.
00:31:20Mais vous ne savez pas
00:31:21qu'est-ce qui s'est passé
00:31:22en vous, en fait ?
00:31:25Alors, c'est vrai que,
00:31:26voilà,
00:31:27il y a la méditation,
00:31:28il y a ce genre de choses.
00:31:30Et effectivement,
00:31:32quand je reprends le film
00:31:33en arrière
00:31:34de tous ces événements-là,
00:31:36où je me suis mise
00:31:38en danger,
00:31:39personnellement,
00:31:40je me suis dit
00:31:42stop Valérie,
00:31:43il faut arrêter.
00:31:43Et maintenant,
00:31:44il faut être un peu
00:31:44plus douce avec toi.
00:31:46Alors, ce que je pourrais dire,
00:31:48je ne vais pas faire
00:31:49du Michel Audoul,
00:31:50je n'ai pas cette prétention,
00:31:52mais ce qu'on pourrait dire,
00:31:53puisque là,
00:31:53vous parlez bien
00:31:54du genou gauche,
00:31:56c'est qu'il y a certainement
00:31:57eu une image paternelle
00:31:59qui vous a fait croire
00:32:01qu'il fallait en faire
00:32:02toujours beaucoup,
00:32:03etc.
00:32:05tout en ne pouvant pas
00:32:07être celle
00:32:09que vous avez envie d'être.
00:32:11Donc là,
00:32:11je pense qu'il faut laisser
00:32:12un peu plus de place
00:32:13aux féminins
00:32:15ou aux yin
00:32:16et lâcher un peu
00:32:18le yang.
00:32:20Tout à fait,
00:32:20tout à fait.
00:32:21Donc,
00:32:21cette jambe-là
00:32:22va beaucoup mieux,
00:32:23va mieux.
00:32:26C'est une jambe
00:32:27que je sens
00:32:27qui est différente
00:32:29de l'autre.
00:32:30Voilà.
00:32:30par rapport
00:32:31à des choses.
00:32:33Elle a un vécu différent.
00:32:36Elle a un vécu différent.
00:32:38Bon,
00:32:38changement de temps,
00:32:39j'ai des petites douleurs.
00:32:43Est-ce que vous avez changé de vie ?
00:32:45C'est ça qui est intéressant.
00:32:47Oui,
00:32:48j'ai changé de vie.
00:32:49Voilà.
00:32:50Oui,
00:32:50aussi.
00:32:51C'est ça qui est important.
00:32:53Oui,
00:32:53oui,
00:32:53oui.
00:32:54Alors,
00:32:54maintenant,
00:32:55c'est d'autres petits problèmes
00:32:56de transit
00:32:57ou de...
00:32:58Ah,
00:32:58on ne va pas passer
00:32:59tout le corps en revue.
00:33:00Ça va aller,
00:33:01Valérie.
00:33:02On va en rester là.
00:33:02On va faire un diagnostic général.
00:33:04On n'est pas
00:33:06dans le cabinet du médecin.
00:33:08Bon,
00:33:08en tout cas,
00:33:08merci Valérie
00:33:09de ce témoignage.
00:33:10On va faire une petite pause
00:33:12et puis on va
00:33:12continuer
00:33:13à parler
00:33:15de douleurs.
00:33:16Mais cette fois,
00:33:16ça va être le bassin
00:33:17et ça,
00:33:18c'est quand même pas rien
00:33:19parce que le bassin,
00:33:20c'est quand même...
00:33:21C'est l'énergie vitale.
00:33:22C'est une énergie
00:33:23extraordinaire
00:33:24et c'est un endroit
00:33:25qui signifie tellement de choses.
00:33:27On en parle dans un instant
00:33:28avec Delphine.
00:33:3114h-16h,
00:33:32Brigitte Laé,
00:33:33Sud Radio.
00:33:34C'est bon,
00:33:34Bruxelles est avec nous
00:33:36et il nous explique
00:33:38à quel point
00:33:38il est important
00:33:39de bien interpréter
00:33:41ce que nous renvoie le corps.
00:33:43De bien l'écouter
00:33:44et d'être en accord avec lui.
00:33:46Et d'être en accord avec lui
00:33:47et notamment
00:33:48avec son bassin.
00:33:50Bonjour Delphine.
00:33:50Bonjour Brigitte.
00:33:52Bonjour
00:33:53Seymour.
00:33:55Oui,
00:33:55Seymour avec un S.
00:34:00Bonjour.
00:34:01Delphine.
00:34:03Avec un D.
00:34:04Delphine.
00:34:05Voilà.
00:34:07Merci d'être avec nous Delphine.
00:34:09Donc,
00:34:10vous aviez des fortes douleurs
00:34:11au niveau du bassin,
00:34:13c'est ça ?
00:34:13Alors,
00:34:15les fortes douleurs,
00:34:16oui,
00:34:16sont apparues
00:34:17il y a à peu près un an.
00:34:23Au niveau du bassin,
00:34:24mais des fortes,
00:34:25un point où ça m'handicapait énormément
00:34:28alors que je ne suis pas toute vieille,
00:34:31je suis toute vieille.
00:34:33Quel âge vous avez ?
00:34:34Pour moi,
00:34:34c'est 51 ans.
00:34:3651 ans.
00:34:37Et en premier lieu,
00:34:41quand j'ai eu ces douleurs,
00:34:42j'ai commencé à réfléchir
00:34:44à justement
00:34:45peut-être la symbolique
00:34:46qu'il pouvait y avoir derrière
00:34:47puisque pour moi,
00:34:49c'est important
00:34:50de rattacher
00:34:51l'émotionnel
00:34:52ou le mental
00:34:52aux douleurs physiques.
00:34:56Donc,
00:34:56j'ai trouvé des échos
00:34:58à ce niveau-là.
00:35:00sauf que
00:35:02malgré que je réglais
00:35:03les problèmes,
00:35:04on va dire,
00:35:04mentaux et émotionnels,
00:35:05les douleurs
00:35:05continuaient à être présentes.
00:35:09Donc,
00:35:10j'ai vu
00:35:10différents ostéopathes
00:35:13qui ne m'ont pas
00:35:14amélioré la situation.
00:35:17Donc,
00:35:17ensuite,
00:35:18il y a eu
00:35:18les examens classiques
00:35:19pour voir
00:35:20et il s'avérait
00:35:21qu'il n'y avait aucun problème
00:35:22au niveau du bassin
00:35:23sauf éventuellement
00:35:24un peu d'arthrose.
00:35:25Voilà.
00:35:27Mais les douleurs étaient là.
00:35:29Donc,
00:35:29pour moi,
00:35:30il y a quand même
00:35:32une piste
00:35:32dont on a parlé mardi
00:35:34au sujet de la ménopause.
00:35:36La ménopause,
00:35:36parfois,
00:35:37provoque des douleurs
00:35:38au niveau des articulations
00:35:40et sciatiques.
00:35:41C'est fréquent.
00:35:43Alors,
00:35:43voilà.
00:35:43Sauf que je ne suis pas ménopausée.
00:35:45Je ne suis pas encore
00:35:46en pré-ménopause.
00:35:47Mais en effet,
00:35:48on est allé
00:35:49régler ça aussi
00:35:50avec mon médecin homopathe
00:35:52pour justement
00:35:54soulager un petit peu
00:35:55les choses
00:35:56en homopathie
00:35:57en se disant
00:35:58qu'à mon âge,
00:35:59il y avait quand même
00:35:59des petites prévices
00:36:01de pré-ménopause
00:36:02qui pouvaient éventuellement
00:36:03engendrer ça.
00:36:05Sauf que moi,
00:36:06ça me posait problème
00:36:07parce que justement,
00:36:08les douleurs du bassin
00:36:09après se sont répercutées
00:36:10aussi au niveau
00:36:11de la pince,
00:36:13au niveau de la main gauche.
00:36:15Donc,
00:36:15ce qui pouvait
00:36:16être apparenté
00:36:17en effet
00:36:17à des petits symptômes
00:36:18de pré-ménopause,
00:36:20d'arthrose
00:36:20liée à la pré-ménopause.
00:36:21mais pour moi,
00:36:23ça ne répondait pas
00:36:27à tout
00:36:27parce que pour moi,
00:36:29il y avait la douleur
00:36:29qui était là
00:36:30et la douleur,
00:36:31j'avais besoin
00:36:31de la comprendre.
00:36:32Et alors,
00:36:32cette douleur,
00:36:33elle se situe où ?
00:36:34Dans tout le bassin
00:36:35ou une partie ?
00:36:36Alors,
00:36:37ça a commencé
00:36:38à se situer
00:36:40au niveau de la fesse droite,
00:36:41donc au côté droit.
00:36:42Ça descendait dans la jambe ?
00:36:44Non,
00:36:45pas dans la jambe
00:36:45et après,
00:36:46ça irradiait
00:36:46au niveau plus haut,
00:36:48justement au niveau
00:36:49du bassin
00:36:49et à l'arrière,
00:36:51un petit peu,
00:36:51on va dire,
00:36:52au niveau du bas,
00:36:54ce qu'on pourrait appeler
00:36:55le bas des reins,
00:36:56quoi, en fait.
00:36:57Au niveau des lombaires,
00:36:57là.
00:36:57D'accord.
00:36:58Il n'y avait pas de sciatique,
00:37:00on a fait les examens,
00:37:02il n'y avait pas de sciatique,
00:37:03voilà.
00:37:04Donc,
00:37:04c'est resté localisé.
00:37:05Il n'y a jamais eu
00:37:06de chute
00:37:07dans votre histoire
00:37:08même en forme
00:37:09ou même lointaine ?
00:37:11Vous n'avez pas subi
00:37:12de chute importante ?
00:37:13Oui,
00:37:14mais comme j'ai tout le temps,
00:37:15on va dire,
00:37:17j'ai tout le temps pris
00:37:17soin de moi
00:37:18autant sur le plan mental
00:37:20que sur le plan physique.
00:37:22Donc,
00:37:23pour moi,
00:37:23ces problèmes-là
00:37:24avaient été,
00:37:25on va dire,
00:37:25posés régulièrement
00:37:27tout au long de ma vie.
00:37:29D'accord.
00:37:29Mais vous avez trouvé
00:37:32le sens
00:37:33que vous mettez
00:37:34à ces douleurs
00:37:35aujourd'hui
00:37:35ou pas ?
00:37:37Alors,
00:37:37oui,
00:37:38pour moi,
00:37:39il y avait deux...
00:37:40Je dis qu'il y avait
00:37:41parce qu'on va parler
00:37:42justement de ce qui s'est résorbé
00:37:44il y a une quinzaine de jours.
00:37:46C'est que,
00:37:46pour moi,
00:37:47j'ai mis le sens
00:37:48autour du féminin
00:37:51et autour de l'ancrage aussi,
00:37:53de l'enracinement
00:37:54de mon empuissancement
00:37:57d'une certaine façon.
00:37:58C'est-à-dire que je suis
00:37:59une personne
00:37:59qui est multi-traumatisée
00:38:01par son enfance,
00:38:03en plus,
00:38:04donc,
00:38:04hypersensible.
00:38:07Et c'est vrai
00:38:08que j'ai tout le temps
00:38:09préféré être en haut
00:38:10qu'ici,
00:38:11en bas.
00:38:11Donc,
00:38:12j'ai travaillé
00:38:14sur cet état
00:38:15dissocié,
00:38:16lié à mes multi-traumatismes.
00:38:17On pourrait dire
00:38:18que vous avez du mal
00:38:18à vous asseoir
00:38:19sur votre fesse droite ?
00:38:21C'est-à-dire, Brigitte ?
00:38:27Non,
00:38:27mais vous m'avez parlé
00:38:28de douleur
00:38:29dans la fesse droite.
00:38:30Oui,
00:38:30non,
00:38:30mais c'est ça.
00:38:32Et d'ailleurs,
00:38:33c'est assez rigolo
00:38:33parce que si je cherche
00:38:35à m'asseoir
00:38:35un petit peu de côté
00:38:37sur ma fesse gauche,
00:38:39ça peut m'irradier,
00:38:40ça pouvait m'irradier
00:38:41dans ma fesse droite.
00:38:43Donc,
00:38:43pour moi,
00:38:44il y avait vraiment
00:38:45une question de posture.
00:38:46c'est-à-dire que j'aille
00:38:47sur ma fesse droite
00:38:48ou ma fesse gauche,
00:38:50en fait,
00:38:51il y avait
00:38:52soit la douleur
00:38:52ou l'irradiation,
00:38:55si je ne sais pas
00:38:55si on peut dire ça,
00:38:56dans l'autre...
00:38:57Mais c'est plutôt musculaire
00:38:58ou votre problème ?
00:39:01Et justement,
00:39:02justement,
00:39:02j'arrive...
00:39:03Pour moi,
00:39:03ça pourrait être osseux,
00:39:06mais je n'arrivais pas
00:39:08vraiment à l'identifier
00:39:09à part de me dire
00:39:11un petit peu,
00:39:11si je reprends
00:39:12une expression,
00:39:13tant que j'aurai le cul
00:39:14entre deux chaises,
00:39:15et que tant que moi,
00:39:17je ne me mettrai pas
00:39:18à ma place,
00:39:19tant que je ne m'assumerai pas
00:39:20en tant que telle,
00:39:22et tant que je ne prendrai pas
00:39:23des postures significatives,
00:39:26tant que je ne serai tout le temps
00:39:27encore dans une certaine forme
00:39:29de suradaptabilité,
00:39:31le problème,
00:39:33quelque part,
00:39:34pourrait rester.
00:39:36Au-delà de la problématique
00:39:37de peut-être
00:39:38de la pré-minoposance,
00:39:39bien sûr.
00:39:39Vous avez trouvé votre...
00:39:41Vous êtes en couple ?
00:39:42Vous avez trouvé
00:39:43votre place
00:39:43dans le couple ?
00:39:46Mais disons
00:39:47que je suis en couple
00:39:48en prenant une place
00:39:50qui est de ne pas trop
00:39:50m'investir dans le couple,
00:39:52parce que j'ai beaucoup souffert
00:39:54dans mes relations
00:39:55de couple,
00:39:57et aujourd'hui,
00:39:58j'ai une relation
00:39:59qui me convient,
00:40:00on va dire,
00:40:02dans le sens
00:40:02où il y a de l'engagement,
00:40:04sans trop d'engagement
00:40:05non plus.
00:40:05Il y a une expression
00:40:06qui m'est venue à l'esprit,
00:40:09une expression ancienne,
00:40:11belge peut-être,
00:40:12on disait
00:40:12le ménage
00:40:13allait sur une fesse.
00:40:15Quand le couple
00:40:16ne fonctionne pas,
00:40:17le ménage allait sur une fesse,
00:40:19et non pas sur les deux.
00:40:21Ça vous parle, ça ?
00:40:25Est-ce que,
00:40:29d'une manière
00:40:29plus large,
00:40:30Delphine,
00:40:31est-ce que
00:40:32dans la mobilité
00:40:33de votre bassin,
00:40:35qui est quand même
00:40:36toute la symbolique
00:40:37de la féminité
00:40:40au sens sensuel du terme,
00:40:42on pense à la danse du ventre,
00:40:43on pense à beaucoup de choses.
00:40:44La reproduction,
00:40:45la vie,
00:40:45la reproduction.
00:40:46Etc.
00:40:47Est-ce que cette mobilité
00:40:48du bassin,
00:40:49elle est chez vous
00:40:49libre ou pas ?
00:40:51Je crois qu'il y a ça
00:40:52qu'il faudrait voir.
00:40:53Et puis moi,
00:40:54comme ça,
00:40:54il me vient une piste,
00:40:55mais elle vaut ce qu'elle vaut.
00:40:57Moi,
00:40:57je verrai aussi
00:40:59si l'ovaire droit
00:41:00fonctionne bien.
00:41:03Au niveau des ovaires,
00:41:04il n'y a pas de problème
00:41:05puisque,
00:41:06en fait,
00:41:06je fais partie,
00:41:07aussi je tiens à le signaler,
00:41:08des femmes
00:41:10qui ont subi
00:41:11le scandale
00:41:11des implants échoures.
00:41:13Je ne sais pas
00:41:14si vous savez
00:41:14ce que c'est.
00:41:15Non,
00:41:16je ne sais pas,
00:41:17non.
00:41:17Mais vous allez nous le dire.
00:41:19Voilà,
00:41:20parce que c'est un véritable
00:41:21scandale sanitaire.
00:41:23Voilà,
00:41:23c'est que
00:41:23quand certaines femmes
00:41:24demandaient
00:41:25la ligature des trompes,
00:41:28certains obstétriciens
00:41:29ou génicaux
00:41:29nous ont vendu
00:41:30avec un discours
00:41:31bien rodé commercial
00:41:32de mettre
00:41:33les implants échoures
00:41:34qui étaient des implants
00:41:35bourrés de métaux lourds
00:41:38dans nos trompes
00:41:39de façon à créer
00:41:41une contraception définitive
00:41:44sans ligature
00:41:45à des trompes
00:41:46et sans anesthésie générale.
00:41:50Voilà,
00:41:50et donc aujourd'hui,
00:41:51bien sûr,
00:41:52ces implants sont
00:41:52complètement interdits
00:41:53puisqu'il y a
00:41:54un scandale sanitaire
00:41:55autour de ça
00:41:55avec des démarches
00:41:57en cours
00:41:58mais donc
00:41:59moi je me suis fait
00:42:02enlever ces implants
00:42:03en janvier 2024
00:42:07et on n'élimine pas
00:42:09la piste
00:42:10que justement
00:42:11ça pourrait être
00:42:14peut-être lié
00:42:15par rapport aux conséquences.
00:42:16Ça me paraît
00:42:17une piste
00:42:18tout à fait intéressante
00:42:19puisque moi
00:42:19j'ai eu comme ça
00:42:20le mot ouvert
00:42:22qui m'est venu
00:42:23donc voyez que
00:42:24quelque part
00:42:24c'est peut-être
00:42:25une piste
00:42:25qu'il faudrait
00:42:26aller suivre.
00:42:28En tout cas
00:42:28vous nous dites
00:42:29beaucoup de choses
00:42:30et vous avez l'air
00:42:30de bien comprendre
00:42:32aussi quand même
00:42:33toute la symbolique
00:42:34de ce que vous nous dites
00:42:35donc comme je dis souvent
00:42:38ne lâchez pas l'affaire
00:42:39votre santé
00:42:40entre vos mains.
00:42:42Merci en tout cas Delphine
00:42:43je vous propose
00:42:45avant la pause
00:42:47des infos
00:42:47la petite devinette du jour
00:42:49celle-là
00:42:49je l'ai trouvée
00:42:49rien que pour vous
00:42:50puisque vous nous parlez
00:42:51qu'il ne faut pas
00:42:52trop se prendre la tête
00:42:53pourquoi les femmes
00:42:54ont parfois
00:42:55des trous de mémoire
00:42:56la réponse
00:42:57c'est à vous de la trouver
00:42:58C'est Mour Bruxelles
00:42:5914h-16h
00:43:02Brigitte Laé
00:43:03Sud Radio
00:43:03et bien on va
00:43:05continuer
00:43:05durant cette deuxième heure
00:43:06à vous donner
00:43:07des conseils
00:43:07pour aller bien
00:43:09pour être dans votre corps
00:43:11avec C'est Mour Bruxelles
00:43:12qui est avec nous
00:43:14C'est Mour Bruxelles
00:43:14vous êtes bio-énergéticien
00:43:16ostéopathe
00:43:17et auteur de nombreux livres
00:43:19notamment
00:43:19le corps
00:43:21auto-guérisseur
00:43:23ça c'était avec
00:43:23le docteur
00:43:24Rodolphe Meyer
00:43:25aux éditions du livre
00:43:27c'est bien ça ?
00:43:28C'est le courrier du livre
00:43:29Le courrier du livre
00:43:30pardon
00:43:30excusez-moi
00:43:31donc la devinette du jour
00:43:34pourquoi les femmes
00:43:34ont parfois
00:43:35des trous de mémoire ?
00:43:37Et bien là
00:43:37j'ai un trou de mémoire
00:43:38franchement
00:43:39je sais chercher
00:43:39et
00:43:40je vais vous donner la réponse
00:43:42parce qu'elles se creusent
00:43:43la tête
00:43:43alors en force
00:43:44de se creuser la tête
00:43:45ça fait des trous de mémoire
00:43:46c'est bien connu
00:43:48voilà
00:43:49bon on va donner la parole
00:43:51dans un instant
00:43:51à Christophe
00:43:53et tout à l'heure
00:43:55on va recevoir également
00:43:56Flore chérie
00:43:57qui va nous parler
00:43:57du sacré féminin
00:43:59mais d'abord c'est Christophe
00:44:01qui est avec nous
00:44:01bonjour Christophe
00:44:02merci de prendre la parole
00:44:04bonjour Cémo
00:44:05bonjour
00:44:06oui
00:44:06bonjour Christophe
00:44:07c'est le sujet
00:44:08qui m'intéresse
00:44:09parce que
00:44:09des douleurs
00:44:11j'en ai plein quoi
00:44:11voilà
00:44:13donc
00:44:14alors comment
00:44:15comment l'aborder
00:44:17je ne sais trop
00:44:19alors j'ai fait pas mal
00:44:20de
00:44:20ma consultée
00:44:22j'ai vu des chirurgiens
00:44:23j'ai vu tout ça
00:44:24donc il y a des choses
00:44:25qui sont
00:44:25qui sont avérées
00:44:27notamment
00:44:27que je n'ai plus de cartilage
00:44:28sur mes
00:44:29sur mes hanches
00:44:30j'ai plus de
00:44:31voilà
00:44:31j'ai des cervicales
00:44:32qui font très mal
00:44:33parce que je suis saxophoniste
00:44:34depuis 30 ans
00:44:35donc forcément
00:44:36le poids
00:44:37de l'instrument
00:44:38et compagnie
00:44:39puis j'ai fait
00:44:39beaucoup beaucoup
00:44:40de sport
00:44:40dans ma jeunesse
00:44:42et je continue encore
00:44:44voilà
00:44:45j'ai 62 ans
00:44:46et comment dissocier
00:44:47le mental
00:44:48de tout ça
00:44:49mais c'est pas évident
00:44:50quoi
00:44:50c'est pas évident
00:44:51c'est pas évident
00:44:51parce que quand les douleurs
00:44:52sont là
00:44:53elles sont bien là
00:44:53quoi
00:44:54oui oui
00:44:55mais je crois qu'il faut
00:44:56encore une fois
00:44:56ne pas oublier
00:44:57que lorsqu'on parle
00:44:58de psychosomatique
00:44:59ça veut pas dire
00:45:00qu'on a pas mal
00:45:01les douleurs
00:45:02elles sont là
00:45:02après c'est
00:45:04à douleur égale
00:45:05il y en a un
00:45:06qui va rester au lit
00:45:07complètement pétri de douleur
00:45:09et l'autre
00:45:10qui va aller marcher
00:45:11et qui va pas
00:45:12donc c'est pour ça
00:45:14qu'à chaque fois
00:45:15c'est un cas particulier
00:45:16c'est un individu
00:45:17et je pense qu'en effet
00:45:19ce qu'il faut faire
00:45:20c'est faire des examens médicaux
00:45:21pour voir s'il y a quelque chose
00:45:23soigner le corps
00:45:23soigner le corps
00:45:24et puis ensuite
00:45:25voir comment on fait
00:45:26et c'est là où je donne
00:45:27la parole à Simon Broussel
00:45:29qu'est-ce que vous pouvez dire
00:45:30à Christophe ?
00:45:31Christophe
00:45:32vous avez utilisé
00:45:33votre corps quand même
00:45:34d'une façon
00:45:35un peu exagérée
00:45:36peut-être non ?
00:45:37c'est-à-dire que je continue
00:45:38je joue au golf
00:45:39je fais 6 semaines
00:45:40de ski par an
00:45:41bon voilà
00:45:43il faudrait peut-être
00:45:43doser un peu les choses
00:45:45maintenant que vous avez 64 ans
00:45:47vous n'avez plus de quartier d'âge
00:45:48vous faisiez un métier physique avant ?
00:45:50non non non
00:45:51moi j'ai été
00:45:52ça fait 30 ans
00:45:52que je suis dans la musique
00:45:53donc beaucoup de voitures
00:45:55mais je ne suis pas maçon
00:45:57ou je ne suis pas
00:45:58je ne suis pas dans ce genre
00:45:59de match national
00:46:00mais le saxo
00:46:01c'est une maladie professionnelle
00:46:03du saxo ?
00:46:04c'est une maladie professionnelle
00:46:06parce que moi je soigne
00:46:07différents musiciens
00:46:09avec différents instruments
00:46:10il y a vraiment des maladies
00:46:11qui sont liées à l'instrument
00:46:12ah oui oui tout à fait
00:46:13la répétition du geste
00:46:16et puis le poids
00:46:16c'est quoi comme saxo ?
00:46:17c'est un alto ?
00:46:18un soprano ?
00:46:19je joue soprano ténor alto
00:46:20et aussi la fuite de traversière
00:46:22donc les positions
00:46:23ne sont pas forcément
00:46:23d'accord
00:46:25et comme vous travaillez
00:46:26pendant des heures
00:46:26votre instrument
00:46:27ça vous laisse
00:46:28des traces
00:46:29des problèmes
00:46:30des tensions
00:46:30au niveau tissulaire
00:46:32il faut savoir
00:46:32qu'un tissu tendu
00:46:33ça sèche
00:46:34mais finit
00:46:35parce qu'il calcifié
00:46:36et là
00:46:39c'est plus difficile
00:46:40à soigner
00:46:41à partir du moment
00:46:41où la classification
00:46:42s'est installée
00:46:43et vous pouvez jouer encore
00:46:45aujourd'hui ?
00:46:46oui oui oui
00:46:46je travaille
00:46:46encore un
00:46:47je bosse
00:46:48encore un
00:46:48oui bien sûr
00:46:50oui oui je joue
00:46:50je joue
00:46:51il n'y a pas de problème
00:46:52mais c'est vrai
00:46:54mais c'est vrai que
00:46:54ces douleurs
00:46:55bon bah
00:46:55alors il y a
00:46:57une méthode
00:46:58qu'utilisent
00:46:58les musiciens
00:47:00et les comédiens
00:47:01qui s'appelle
00:47:02la méthode Alexander
00:47:03Alexander
00:47:03il avait créé
00:47:04cette méthode
00:47:05parce qu'il avait du mal
00:47:06à terminer
00:47:07sa pièce
00:47:08c'était un type
00:47:08qui avait
00:47:08la particularité
00:47:10de pouvoir jouer
00:47:11une pièce de Shakespeare
00:47:11toute la pièce
00:47:13tout seul
00:47:14mais il avait du mal
00:47:15à terminer
00:47:16et il a compris
00:47:17que c'était sa posture
00:47:18et sa position
00:47:18et ses mouvements
00:47:19qui faisaient qu'ils ne pouvaient pas
00:47:21et qui souffraient
00:47:22en fin de parcours
00:47:23et cette méthode
00:47:24je ne sais pas si vous la connaissez
00:47:25mais il y a beaucoup de musiciens
00:47:26qui l'utilisent
00:47:27non je ne la connais pas
00:47:27voilà
00:47:28alors ça serait intéressant
00:47:29pour vous d'aller voir
00:47:30ça consiste à quoi
00:47:31c'est une méthode posturale
00:47:33qui consiste à prendre bien conscience
00:47:35de ces mauvaises postures
00:47:36justement
00:47:36pendant l'intervention
00:47:37pendant le morceau
00:47:39avec l'instrument
00:47:40et de modifier cette posture
00:47:42pour que l'énergie
00:47:43circule mieux
00:47:44les liquides du corps
00:47:45et de ne pas en souffrir
00:47:46méthode Alexander
00:47:48oui oui je l'entends
00:47:49parce que moi je parle souvent
00:47:50de posture
00:47:51c'est assez étonnant
00:47:51d'ailleurs c'est paradoxal
00:47:52je parle beaucoup de posture
00:47:53parce que je dis souvent
00:47:54quel que soit ce que l'on fait
00:47:56la posture est tout
00:47:56oui mais tout à fait
00:47:57vous avez raison
00:47:58et on peut gagner
00:48:00mais vous n'imaginez pas
00:48:01une énergie incroyable
00:48:04en pratiquant la bonne posture
00:48:06et de ne pas être fatigué
00:48:08en fin de concert par exemple
00:48:09et c'est étonnant
00:48:10quand c'est bien pratiqué
00:48:11il n'y a pas de fatigue
00:48:12qui s'installe
00:48:13je l'entends
00:48:15et je suis convaincu
00:48:16même de ça
00:48:18donc je vais aller
00:48:19me renseigner là dessus
00:48:20ensuite oui effectivement
00:48:22je suis quelqu'un d'actif
00:48:23parce que je peigne
00:48:24je sculpte
00:48:26je ne fais pas
00:48:27de choses
00:48:27comme je dis
00:48:28chez moi
00:48:29les canapés
00:48:29ne sont pas usés
00:48:30c'est bien
00:48:30mais dans toutes vos activités
00:48:32la peinture c'est pareil
00:48:33un peintre
00:48:34s'il utilise mal
00:48:35son bras
00:48:35sa main
00:48:36s'il en tension
00:48:37pendant l'exercice
00:48:38le problème
00:48:39c'est la tension
00:48:39toujours
00:48:40la tension
00:48:41pendant l'exercice
00:48:44qui va créer
00:48:45des problèmes tissulaires
00:48:46à force de répétition
00:48:48peu importe l'activité
00:48:49alors je ne sais pas
00:48:50parce que je ne suis pas
00:48:52mais ce que je sais
00:48:54en revanche
00:48:54c'est que lorsqu'on pratique
00:48:55quelque chose
00:48:56de répétitif
00:48:58avec le corps
00:48:59il y a toujours
00:49:01des exercices
00:49:02opposés à faire
00:49:04pour soulager
00:49:06justement
00:49:06les parties du corps
00:49:07qui sont un peu
00:49:08trop sollicitées
00:49:08sollicité
00:49:08et ça
00:49:09on le sait
00:49:10dans le sport
00:49:11alors je suppose
00:49:11le cheval par exemple
00:49:12une méditation
00:49:13oui
00:49:15en effet
00:49:15c'est comme ça
00:49:17que j'ai découvert ça
00:49:17c'est parce que moi
00:49:18en tant que
00:49:19grande cavalière
00:49:20à l'époque
00:49:21j'avais des exercices
00:49:22que je m'avais
00:49:23expliqué
00:49:24et que je faisais
00:49:25régulièrement
00:49:26pour compenser
00:49:28les muscles
00:49:29qui sont trop
00:49:29sollicités
00:49:30par un sport
00:49:31et qui doivent donc
00:49:32on doit donc
00:49:34travailler
00:49:34les muscles
00:49:34antagonistes
00:49:35et peut-être
00:49:36qu'il y a quelque chose
00:49:37de cet ordre là
00:49:38aussi
00:49:38Christophe
00:49:39qui peut être intéressant
00:49:40pour vous
00:49:40c'est-à-dire que
00:49:41ce qui travaille fort
00:49:43est peut-être
00:49:44un petit peu
00:49:45trop sollicité
00:49:46et au dépens
00:49:47d'autres muscles
00:49:48qui sont peut-être
00:49:49un petit peu
00:49:50atrophiés
00:49:50on peut imaginer
00:49:51la flûte traversière
00:49:52par exemple
00:49:53c'est latéral
00:49:54c'est latéral
00:49:56et puis c'est
00:49:57déséquilibré
00:49:57en fait
00:49:58voilà
00:49:58exactement
00:49:59donc il faut trouver
00:49:59le bon équilibre
00:50:00donc travailler
00:50:01parce que l'instrument
00:50:02il ne repose sur rien
00:50:03il est en équilibre
00:50:04en fait
00:50:04exactement
00:50:05ça va il n'est pas
00:50:06trop lourd celui-là
00:50:07non non il n'est pas
00:50:08trop lourd mais c'est
00:50:08insidieux après
00:50:09comme
00:50:09je ne me rends pas compte
00:50:11quoi en fait
00:50:12oui oui tout à fait
00:50:13et voilà
00:50:14donc oui oui
00:50:15non mais après
00:50:15je suis conscient
00:50:16et j'essaie de travailler
00:50:17là-dessus
00:50:18mais malgré tout
00:50:21je pense que ça peut
00:50:22être intéressant
00:50:23pour vous
00:50:23d'aller consulter
00:50:25par exemple
00:50:26un praticien
00:50:27chez Hatsou
00:50:27pour revenir
00:50:28à Michel Audoul
00:50:29qui était avec nous
00:50:29hier
00:50:30et qui va aussi
00:50:31travailler
00:50:32toute la
00:50:33enfin toute
00:50:34la symétrie
00:50:35du corps
00:50:36tout ce qui fait
00:50:37qu'actuellement
00:50:38vous avez des douleurs
00:50:39qui sont
00:50:39qui sont quand même
00:50:40importantes
00:50:41et qui peut-être
00:50:43peuvent être un petit peu
00:50:44soulagées par une meilleure
00:50:46réorganisation
00:50:47de votre organisme
00:50:49tout à fait
00:50:49j'ai écouté justement
00:50:51l'émission
00:50:51parce que ça m'intéressait
00:50:53et j'ai entendu
00:50:55ce qu'il disait
00:50:55c'est très intéressant aussi
00:50:57parce que
00:50:58encore une fois
00:50:59à douleur égale
00:51:00on a très très mal
00:51:02ou beaucoup moins
00:51:03ça dépend aussi de
00:51:04on sait par exemple
00:51:05que lorsqu'on est
00:51:07en méditation
00:51:08on peut
00:51:08évacuer
00:51:10une douleur
00:51:11voilà
00:51:12la douleur
00:51:13c'est un signal
00:51:14d'alarme
00:51:15qui est important
00:51:16il faut en tenir compte
00:51:18il ne faut surtout pas
00:51:18débrancher l'alarme
00:51:19on est bien d'accord
00:51:20mais on peut dire
00:51:22à sa douleur
00:51:22je t'ai entendu
00:51:23je respire
00:51:25je me détends
00:51:26et d'ailleurs
00:51:27de plus en plus
00:51:28dans certains hôpitaux
00:51:29on travaille
00:51:29avec les patients
00:51:30qui sont avec des douleurs
00:51:31on travaille
00:51:32la relaxation
00:51:33la méditation
00:51:33donc tout ça
00:51:34on sait que ça fonctionne
00:51:35ce qui ne veut pas dire
00:51:36encore une fois
00:51:37qu'on va
00:51:38évacuer la douleur
00:51:40non
00:51:40il faut travailler
00:51:41il faut travailler
00:51:42et s'occuper
00:51:43de sa douleur
00:51:44mais il ne faut pas
00:51:45qu'elle devienne
00:51:47une obsession
00:51:47parce qu'à ce moment là
00:51:48elle va être
00:51:49de plus en plus importante
00:51:50la différence entre
00:51:51accueillir et repousser
00:51:52accueillir la douleur
00:51:54la repousser
00:51:54c'est se mettre en tension
00:51:55c'est se mettre en résistance
00:51:56donc c'est l'entretenir
00:51:58c'est même
00:51:59la renforcer
00:51:59alors qu'accueillir la douleur
00:52:01ça permet
00:52:02quand même
00:52:03c'est pas une fuite
00:52:04c'est accueillir la douleur
00:52:05l'accepter
00:52:06et redétendre
00:52:07les tissus
00:52:07par l'accueil
00:52:08voilà
00:52:09en tout cas
00:52:10merci beaucoup
00:52:10Christophe
00:52:11de cet échange
00:52:12et puis
00:52:13vous avez raison
00:52:15la musique
00:52:15adoucit le mœurs
00:52:16c'est bien connu
00:52:17on se fait
00:52:18on se fait une petite pause
00:52:20de quelques secondes
00:52:21avant de retrouver
00:52:22notre rubrique
00:52:23c'est maintenant
00:52:24et c'est Fabrice
00:52:25qui va nous raconter
00:52:26un moment terrible
00:52:29qui lui est arrivé
00:52:29Brigitte Laé
00:52:32Sud Radio
00:52:33c'est maintenant
00:52:34et bien
00:52:35c'est mon Bruxelles
00:52:36c'est maintenant
00:52:37le moment
00:52:38où on peut
00:52:39nous parler
00:52:40d'un mot
00:52:41qui aura été
00:52:42très important
00:52:42dans notre vie
00:52:43qui aura changé
00:52:44même le courant
00:52:45de notre existence
00:52:45ou un moment
00:52:47qui aura été
00:52:48particulièrement fort
00:52:50et Fabrice
00:52:51est avec nous
00:52:52et ce moment
00:52:53il a été fort
00:52:54mais pas de manière
00:52:55positive
00:52:55me semble-t-il
00:52:56bonjour Fabrice
00:52:57bonjour Brigitte
00:52:59bonjour Seymour
00:52:59bonjour Fabrice
00:53:00non non
00:53:01ça n'a pas du tout
00:53:02été quelque chose
00:53:03de très positif
00:53:03et je pense que
00:53:05malheureusement
00:53:05c'est quelque chose
00:53:06que j'aurais à dire
00:53:07au fond de moi
00:53:07pour faire simple
00:53:09de mémoire
00:53:10le 9 janvier 2009
00:53:12sur Marseille
00:53:12il se met à neiger
00:53:13je trouve qu'il arrive
00:53:14très rarement
00:53:14donc je suis coincé
00:53:16pendant deux jours
00:53:17à mon domicile
00:53:17donc je ne peux pas
00:53:18aller à mon travail
00:53:18le vendredi matin
00:53:20j'arrive à sortir
00:53:21j'arrive à l'agence
00:53:25je joue à l'agence
00:53:26sous la neige
00:53:26donc je disais
00:53:28mes collaborateurs
00:53:28de rentrer chez eux
00:53:29parce qu'on ne pourra
00:53:29absolument rien faire
00:53:30et je décide
00:53:31d'aller voir un client
00:53:32qui se trouvait
00:53:33sur la suéta
00:53:34on déjeune ensemble
00:53:35tout se passe bien
00:53:36et en fait
00:53:37début d'après-midi
00:53:38je me dis
00:53:39allez je vais aller
00:53:40voir un client
00:53:40parce qu'en fait
00:53:41j'ai un client
00:53:41qui depuis
00:53:42des semaines
00:53:44voire des mois
00:53:44ne payait plus
00:53:45ne me répondait plus
00:53:46enfin bref
00:53:47donc j'ai essayé
00:53:48X reprises
00:53:49de ma fédérale secrétaire
00:53:51qui me donnait
00:53:51des nouvelles
00:53:52mais bon après
00:53:52il me dit
00:53:52vous savez moi
00:53:53je fais ce qui me demande
00:53:55de faire
00:53:55je dis bah oui
00:53:55bien sûr
00:53:56donc je me suis dit
00:53:57allez comme vous ne me répond pas
00:53:58c'est sur le chemin
00:53:59où j'y vais
00:53:59donc je me retrouve
00:54:01dans les quartiers nord
00:54:03de Marseille
00:54:03et en fait
00:54:04je garde ma voiture
00:54:05et quand je descends
00:54:07à pied
00:54:07je vois quelqu'un
00:54:08qui sort du bureau
00:54:09en bas
00:54:09qui revient
00:54:10après qui re-rentre
00:54:11bon
00:54:11je rentre dans le bureau
00:54:13je vois la secrétaire
00:54:13bonne année
00:54:14enfin patati patata
00:54:15et là j'ai mon client
00:54:17qui arrive
00:54:17de l'extérieur
00:54:18bon je passe
00:54:22les petits noms d'oiseaux
00:54:23et qui me dit une phrase
00:54:24mais sur le moment
00:54:25la phrase
00:54:25oui je vous en parle
00:54:26j'en ai un chien de poule
00:54:27cette phrase en fait
00:54:28je ne l'entends pas
00:54:30puisque je lui dis
00:54:31écoute voilà
00:54:32ça fait des semaines
00:54:33que j'essaie de te joindre
00:54:33tu ne me réponds plus
00:54:34on peut avoir des problèmes
00:54:35mais bon on se voit
00:54:36on en discute
00:54:36on trouve une solution
00:54:37quoi
00:54:37et en fait là
00:54:39il était sur le pas
00:54:40de la porte
00:54:41et je le revois
00:54:43il passe son corps
00:54:45à l'extérieur
00:54:46de la porte
00:54:46il regarde
00:54:47donc à l'extérieur
00:54:48à droite et à gauche
00:54:49et là il me regarde
00:54:50et je revois
00:54:52ses yeux noirs
00:54:53et là j'entends la phrase
00:54:54il me dit
00:54:56tu partiras d'ici
00:54:57les pieds devant
00:54:57et il prend un ciseau
00:54:59il me met le ciseau
00:54:59sous la gorge
00:55:00et voilà
00:55:01et en fait
00:55:01je ne sais pas
00:55:02comment j'ai pu
00:55:02ou comment j'ai fait
00:55:04si je crois que
00:55:04la société a dû venir
00:55:05aussi pour s'interposer
00:55:07enfin voilà
00:55:07vous avez connu
00:55:10un moment de sidération
00:55:11tellement vous aviez peur
00:55:14je veux bien travailler
00:55:16on passe beaucoup plus de temps
00:55:18dans notre entreprise
00:55:20qu'avec notre famille
00:55:21etc
00:55:21mais je ne travaille pas
00:55:22pour ça
00:55:23et ça a vraiment été
00:55:25un moment
00:55:27où je me suis dit
00:55:28mais non
00:55:29je ne travaille pas
00:55:30pour risquer ma vie
00:55:31c'est pas possible
00:55:32c'est pas possible
00:55:34mais là
00:55:36dans ce que vous nous racontez
00:55:38d'abord
00:55:38on entend
00:55:39votre émotion
00:55:40on entend
00:55:41vous nous avez aussi
00:55:42donné la date exacte
00:55:43c'est-à-dire que
00:55:44c'est une date
00:55:45qui est ancrée
00:55:45dans votre cerveau
00:55:47là moi je pense
00:55:48qu'il faut vraiment
00:55:49vous faire aider
00:55:50par exemple
00:55:51avec le MDR
00:55:53l'hypnose
00:55:53justement
00:55:54j'ai essayé
00:55:55puisque je viens
00:55:57de vivre
00:55:57une autre chose
00:55:59qui n'est vraiment pas drôle
00:56:00puisque je me suis fait licencier
00:56:01je ne dirais pas le terme
00:56:02enfin bref
00:56:03j'irais oui
00:56:05d'accord
00:56:06oui moi je me suis fait virer
00:56:07comme à moins que rien
00:56:08et donc
00:56:10j'ai des gens
00:56:11qui sont dans le musical
00:56:11qui
00:56:12bon alors
00:56:12je suis quelqu'un
00:56:13d'assez l'étude
00:56:14comme dirait ma femme
00:56:15mais quand vous avez une personne
00:56:16qui vous dit une chose
00:56:17une fois
00:56:18vous avez 3-4 personnes
00:56:20qui vous disent
00:56:20la même chose
00:56:21je me dis
00:56:21bon allez
00:56:22je m'ouvre
00:56:23j'essaye
00:56:24j'y vais
00:56:24j'ai fait l'effort
00:56:26j'y suis allé
00:56:26et en fait
00:56:29en face de moi
00:56:29j'ai trouvé
00:56:30une personne
00:56:31qui
00:56:32excusez-moi
00:56:33qui me prenait 100 balles
00:56:33à chaque fois
00:56:34mais en fait
00:56:34il ne se passe rien quoi
00:56:35ça c'est le MDR
00:56:37dont vous parlez
00:56:38vous avez essayé autre chose
00:56:40que le MDR ?
00:56:41non parce qu'après
00:56:42vous avez eu une personne
00:56:45avec laquelle ça fonctionne
00:56:46absolument pas
00:56:47c'est pas la technique
00:56:47qui est en cause
00:56:48c'est la personne
00:56:49c'est la personne
00:56:50et puis c'est peut-être
00:56:51vous qui n'êtes pas encore prêt
00:56:52enfin encore une fois
00:56:53je ne suis pas du tout
00:56:55réceptif à ce genre de choses
00:56:57je vais vous prendre
00:56:57un autre exemple
00:56:58je me suis fait opérer
00:57:00trois fois
00:57:00des ligaments croisés
00:57:01la dernière fois
00:57:02j'ai une phobie
00:57:02j'ai une phobie
00:57:03des piqûres
00:57:04la dernière fois
00:57:05je vois l'anesthésiste
00:57:06je lui dis
00:57:07moi vous dormez au gaz
00:57:08après vous me piquez
00:57:09tant que vous voulez
00:57:10mais tant que je suis réveillé
00:57:11c'est au gaz
00:57:11et il me dit
00:57:12vous savez
00:57:13on a une infirmière
00:57:14elle est spécialisée
00:57:14dans la sophrologie
00:57:16ok donc le jour
00:57:17de l'intervention
00:57:18l'infirmière vient
00:57:19elle me met sa tique
00:57:20musique 12
00:57:21bref pendant 20 minutes
00:57:22elle me parle etc
00:57:23elle me dit
00:57:24alors monsieur
00:57:24vous êtes comment
00:57:25je lui dis
00:57:26le gaz
00:57:26ok
00:57:27elle me dit
00:57:27allez
00:57:27je vais venir au bloc
00:57:28avec vous
00:57:28donc elle vit au bloc
00:57:29elle me chatouille les cheveux
00:57:30alors comment
00:57:30le gaz
00:57:31et je sentais l'anesthésiste
00:57:33qui commençait à me tapoter
00:57:34un peu le bras
00:57:34et tant que je ne me suis pas endormi
00:57:36tant que je pouvais bouger le bras
00:57:37j'ai bougé le bras
00:57:37pour pas qu'il me pique
00:57:38donc c'est vrai que je ne suis pas
00:57:39du tout réceptif à ça
00:57:40vous avez des gens
00:57:42qui vont faire du yoga
00:57:43vous avez
00:57:43oui mais vous avez
00:57:44non mais
00:57:45Fabrice
00:57:47oui
00:57:48mais c'est pas marche ou crève
00:57:50la vie
00:57:51oui mais alors
00:57:53alors après donc
00:57:55mon ami me dit
00:57:55va voir un psychiatre
00:57:56etc
00:57:56j'ai eu une fois
00:57:57où j'ai rencontré
00:57:58une mauvaise personne
00:57:59qui m'a fait penser
00:58:00que j'avais un problème
00:58:01donc je suis allé voir un psy
00:58:02sur Aix-en-Provence
00:58:04qui m'a bourré de cachet
00:58:05donc le soir
00:58:06la journée
00:58:07la nuit etc
00:58:08à un moment donné
00:58:09j'ai quitté cette personne
00:58:10je suis allé voir
00:58:10mon médecin traitant
00:58:11donc j'avais pris 20 kilos
00:58:12et mon médecin traitant
00:58:13je lui explique ce qui s'est passé
00:58:14parce que j'étais en cours
00:58:15de séparation etc
00:58:16il dit ok
00:58:17donc il me dit
00:58:17ça fait deux mois
00:58:18que tu prends des cachets
00:58:19t'as pris 20 kilos
00:58:20ok là il y a des problèmes
00:58:21ils sont résolus
00:58:22donc c'est bon
00:58:23arrête tout
00:58:23non mais Fabrice
00:58:26oui allez-y
00:58:27est-ce que vous connaissez
00:58:28l'éthiomédecine
00:58:29ou l'éthiothérapie ?
00:58:30ça vous parle ?
00:58:31voilà
00:58:31donc c'est pas de la psy
00:58:33c'est pas un travail de psy
00:58:34il n'y a pas de questionnement
00:58:35il n'y a pas de discussion
00:58:36avec le patient
00:58:37c'est un travail sur le corps
00:58:38pour évacuer le trauma
00:58:39le trauma
00:58:40il est resté dans le corps
00:58:41le corps il garde
00:58:41toutes les mémoires
00:58:42il n'y a pas de différence
00:58:44entre le corps et l'esprit
00:58:45mais là c'est ce qu'il faut faire
00:58:46pour vous absolument
00:58:47vous étiez à éliminer ce trauma
00:58:49c'est un travail tout simple
00:58:51à partir d'un témoin
00:58:52qui s'appelle le pouls
00:58:53c'est-à-dire le pouls
00:58:54qui nous donne la réaction cardiaque
00:58:55on appelle ça
00:58:56le réflexe auriculocardiaque
00:58:58ça vient de l'auriculothérapie
00:58:59l'auriculothérapie
00:59:01je ne sais pas si vous savez
00:59:02donc c'est l'acupuncture des oreilles
00:59:04on retrouve tous les organes
00:59:05mais on retrouve aussi
00:59:05toutes les émotions
00:59:06et en travaillant sur le corps
00:59:08mais sans une attitude psy
00:59:10qui ne vous va pas du tout
00:59:12on peut permettre
00:59:14de faire remonter le trauma
00:59:15à la conscience
00:59:16et de l'évacuer
00:59:17surtout de l'évacuer
00:59:18et sans passer par ce qui vous dérange
00:59:20après ce que j'ai compris
00:59:20dans les expériences
00:59:22que vous avez eues
00:59:22avec des thérapeutes
00:59:23éthiomédecine ou éthiothérapie
00:59:25regardez sur internet
00:59:26voilà essayez de voir ça
00:59:27mais en tout cas
00:59:28moi ce que je peux vous dire Fabrice
00:59:29c'est que d'abord
00:59:30vous m'appelez
00:59:31vous savez très bien
00:59:32que je tiens beaucoup
00:59:33conscience du psychisme
00:59:35et que donc forcément
00:59:36je vais vous dire des choses
00:59:38qui vont vous parler
00:59:39ou pas
00:59:39et vous n'allez peut-être pas
00:59:41vouloir les entendre
00:59:42mais moi ce que je peux vous dire
00:59:43c'est que vous voulez être plus fort que tout
00:59:47mais malheureusement
00:59:49on ne peut pas
00:59:50la vie fait qu'on va rencontrer
00:59:52des moments difficiles
00:59:54des épreuves
00:59:54et à ce moment-là
00:59:56il faut accepter
00:59:58de lâcher un peu
00:59:59et éventuellement
01:00:00de se faire un peu aider
01:00:01parce que pour l'instant
01:00:03vous êtes un super petit soldat
01:00:05vous êtes courageux
01:00:08vous avez lutté
01:00:09vous tenez
01:00:10vous etc etc etc
01:00:11mais à un moment donné
01:00:13vous allez vous écrouler
01:00:15et il faut
01:00:16il faut que vous compreniez
01:00:18qu'on est tous
01:00:19on a tous envie
01:00:21d'être des super petits soldats
01:00:23mais
01:00:23non
01:00:25on n'est pas
01:00:25on n'a pas à être
01:00:26des super petits soldats
01:00:27qu'est-ce qui fait que vous pensez
01:00:29que vous devez être
01:00:29un super petit soldat
01:00:31non je pense pas
01:00:32je fais avec
01:00:32ben voilà
01:00:33c'est bien ce que j'entends
01:00:34vous faites avec
01:00:35mais c'est pas ça
01:00:36c'est pas ça le devenir
01:00:38d'un être humain
01:00:38c'est d'accepter
01:00:40qu'on n'est pas
01:00:41on n'a pas
01:00:42on n'est pas des super petits soldats
01:00:44et on n'a pas
01:00:45on n'a pas besoin
01:00:46d'être des super petits soldats
01:00:47donc il faut
01:00:48il faut que vous lâchiez
01:00:49ces injonctions
01:00:50qui vous viennent certainement
01:00:51de votre père
01:00:52ou de quelque part
01:00:54de votre histoire
01:00:56de votre histoire
01:00:57vous voyez
01:00:57parce que
01:00:58parce que sinon
01:00:59vous allez
01:01:00à un moment donné
01:01:01ça va craquer
01:01:02et
01:01:03j'entends bien
01:01:05que vous avez
01:01:05vos émotions
01:01:07qui sont là
01:01:07et si vous nous avez appelé
01:01:09c'est que vous êtes prêt
01:01:10à entendre
01:01:10ce que je viens de vous dire
01:01:11même si vous n'avez pas
01:01:12envie de l'entendre
01:01:12donc voilà
01:01:17mais bien sûr
01:01:19que pour l'instant
01:01:19vous êtes hermétique
01:01:20à l'EMDR
01:01:21vous êtes hermétique
01:01:22au psychiatre
01:01:24vous êtes
01:01:24et au piqûre
01:01:26et au piqûre
01:01:28oui parce que c'est quelque chose
01:01:29qui rentre
01:01:29qui symbolique
01:01:30qui rentre
01:01:31qui vous pénètre
01:01:32alors que vous êtes
01:01:33d'une certaine manière
01:01:34un petit soldat
01:01:36fermé
01:01:36fermé
01:01:37impénétrable à tout
01:01:38mais non
01:01:39personne
01:01:40personne n'est dans
01:01:41cette
01:01:41en tout cas
01:01:43ça ne tient pas
01:01:43à un moment donné
01:01:44l'énergie
01:01:44s'épuise
01:01:45ça me fatigue
01:01:47c'est sûr
01:01:47c'est sûr
01:01:48vous épuisez
01:01:49enfin voilà
01:01:51il y a des gens
01:01:52il ne se passe rien
01:01:53ni perso
01:01:54ni pro
01:01:54moi c'est trop
01:01:55écoutez
01:01:56écoutez vous
01:01:58écoutez
01:01:58le petit garçon
01:01:59en vous
01:01:59qui a eu
01:02:00toutes ces injonctions
01:02:01qui vous ont donné
01:02:03cette idée
01:02:03qu'il faut être
01:02:04le petit soldat
01:02:05parfait
01:02:06écoutez
01:02:07écrivez peut-être
01:02:08ce qui va vous venir
01:02:10faites déjà
01:02:12ce petit travail
01:02:13vous
01:02:13face à vous-même
01:02:14parce que là
01:02:15vous ne vous sentirez pas
01:02:17agressé
01:02:18par quelqu'un
01:02:19qui veut
01:02:20vous aider
01:02:21et puis merci
01:02:23en tout cas
01:02:23de votre confiance
01:02:24Fabrice
01:02:24merci beaucoup
01:02:25on fait une petite pause
01:02:27et puis on va
01:02:27parler du féminin sacré
01:02:29on va parler
01:02:29de
01:02:30plein d'autres choses
01:02:33et puis
01:02:33c'est le dernier moment
01:02:34où vous pouvez peut-être
01:02:35jouer pour gagner
01:02:36ce calendrier
01:02:36de l'avant
01:02:37Brigitte Laa
01:02:39et Sud Radio
01:02:40le sexe au conseil
01:02:42et bien
01:02:43Simon Bruxelles
01:02:44je propose
01:02:44une petite masturbation
01:02:46encore par téléphone
01:02:47vous savez que ça a été
01:02:49un des
01:02:49je pensais que c'était
01:02:50dans le studio
01:02:50j'ai eu peur
01:02:51si je ne vois pas
01:02:55ce que vous faites
01:02:55ça ne me dérange pas
01:02:56bref
01:02:58en tout cas
01:02:58ça a été
01:02:59un des grands
01:03:00succès
01:03:00des téléphones roses
01:03:02c'était des filles
01:03:04qui racontaient
01:03:05des trucs
01:03:06et les hommes
01:03:08écoutaient
01:03:08au téléphone
01:03:09et ils entendaient
01:03:10des soupirs
01:03:11de plaisir
01:03:12et ça montait
01:03:13ça faisait monter
01:03:13leur excitation
01:03:14etc
01:03:14donc c'est
01:03:15en fait
01:03:16assez simple
01:03:17de faire ce jeu
01:03:18dans le couple
01:03:19si on est
01:03:21et alors
01:03:22c'est pas forcément
01:03:23nécessaire
01:03:23d'être séparé
01:03:24quelque temps
01:03:25pour le pratiquer
01:03:25et c'est tout l'intérêt
01:03:26de ce sexe au conseil
01:03:27vous pouvez décider
01:03:29de le faire
01:03:29à un moment particulier
01:03:31vous n'êtes pas
01:03:32dans la même pièce
01:03:33et vous commencez
01:03:35par ça
01:03:35par vous parler
01:03:36au téléphone
01:03:37vous exciter
01:03:38au téléphone
01:03:38et puis après
01:03:39vous pouvez vous retrouver
01:03:40sous la couette
01:03:41voilà
01:03:42et c'est ça que je trouve
01:03:44alors on peut le faire
01:03:45évidemment
01:03:45si on est dans
01:03:46à l'autre bout du monde
01:03:47pourquoi pas
01:03:48mais je trouve que
01:03:49c'est intéressant aussi
01:03:50de l'imaginer
01:03:51d'une manière
01:03:52de préliminaire
01:03:54par exemple
01:03:56ce week-end
01:03:56il y en a un
01:03:57qui va dans la chambre
01:03:58l'autre dans la salle de bain
01:04:00ou je ne sais pas
01:04:01c'est souvent
01:04:01l'espace
01:04:02dont vous disposez
01:04:04et l'avantage
01:04:05de la masturbation
01:04:07par téléphone
01:04:08donc
01:04:08d'abord
01:04:09c'est que ça laisse
01:04:10une grande place
01:04:11à l'imaginaire
01:04:11mais on peut aussi
01:04:13dire des choses
01:04:14qu'on ne dirait pas
01:04:15si on était face à l'autre
01:04:16quoi
01:04:16voilà
01:04:17donc c'est une petite
01:04:18un petit sexe au conseil
01:04:20qui peut être
01:04:21amusant
01:04:22voilà
01:04:23et puis vous avez le droit
01:04:24si vous avez envie
01:04:25d'utiliser
01:04:26un vibromasseur
01:04:28et pourquoi pas
01:04:30pourquoi pas
01:04:30Hector
01:04:31ce fameux Hector
01:04:32qui est donc
01:04:33le cadeau
01:04:33que je vous offre
01:04:34aujourd'hui
01:04:34grâce à
01:04:36Passage du Désir
01:04:37ce fameux
01:04:38vibromasseur
01:04:39gonflable
01:04:39Hector
01:04:40dont on a parlé
01:04:41toute la semaine
01:04:41et puis ce que je précise encore
01:04:43c'est qu'il vous reste
01:04:44quelques minutes
01:04:45pour vous inscrire
01:04:46et peut-être pour remporter
01:04:47ce calaudrier
01:04:48de l'avant
01:04:49Passage du Désir
01:04:50qui est rempli
01:04:50de plus de 660 euros
01:04:53de cadeaux
01:04:53le tirage au sort
01:04:55va avoir lieu
01:04:56dans quelques minutes
01:04:57puisque c'est
01:04:59à 16h
01:05:00qu'on aura
01:05:01notre gagnant
01:05:02donc vous pouvez
01:05:04pour ça
01:05:04si vous voulez
01:05:05envoyer par SMS
01:05:07Brigitte
01:05:07au 7-20-18
01:05:09bonne chance
01:05:10à tous
01:05:10et on va
01:05:12on va accueillir
01:05:13Flore Chéri
01:05:13Flore Chéri
01:05:14que vous connaissez bien
01:05:15dans cette émission
01:05:16bonjour Flore
01:05:16bonjour Brigitte
01:05:17merci d'être avec nous
01:05:19vous nous revenez
01:05:20avec
01:05:21vous êtes journaliste
01:05:22vous êtes spécialiste
01:05:24des questions de sexualité
01:05:25et de relations amoureuses
01:05:26et vous nous revenez
01:05:27avec ce livre
01:05:29aux nouvelles observatoires
01:05:31aux éditions
01:05:31de l'Observatoire
01:05:32au coeur du féminin sacré
01:05:35et vous abordez
01:05:36beaucoup de choses
01:05:37sur les femmes
01:05:39aujourd'hui
01:05:39avec
01:05:41cette
01:05:42cette
01:05:43cette grande
01:05:44avancée
01:05:45des femmes
01:05:47qui ont envie
01:05:47de se réapproprier
01:05:49leur propre vision
01:05:50de leur corps
01:05:51je trouve
01:05:51c'est ce qui m'a paru
01:05:52le plus intéressant
01:05:54dans ce livre
01:05:55vous avez raison
01:05:56c'est à dire que
01:05:57l'idée de ce livre
01:05:59et l'idée de cette enquête
01:06:00parce que
01:06:01ce livre
01:06:02je l'ai écrit
01:06:02à partir d'une immersion
01:06:03qui a duré
01:06:04presque un an
01:06:05où j'ai interviewé
01:06:06et rencontré
01:06:07une centaine
01:06:08entre 100 et 150 personnes
01:06:09que ce soit
01:06:09des participants
01:06:11ou des praticiens
01:06:12ou alors même
01:06:13des personnes
01:06:13qui avaient des discours
01:06:14dans des livres
01:06:15ou sur les réseaux sociaux
01:06:16autour du féminin sacré
01:06:17moi ce que je constatais
01:06:19déjà comme tendance de fond
01:06:21c'était des femmes
01:06:22qui étaient dans le milieu médical
01:06:23parce que si vous vous souvenez bien
01:06:24j'avais écrit un livre
01:06:25sur le sexe et la science
01:06:26juste avant
01:06:27que j'avais rencontré
01:06:28le microscope dans sa culotte
01:06:30le microscope dans la culotte
01:06:31exactement
01:06:31et donc j'avais rencontré
01:06:33beaucoup de femmes médecins
01:06:35ou de doctorantes
01:06:36en immunité de la femme
01:06:37qui prenaient la tangente
01:06:39et prenaient un parcours
01:06:40beaucoup plus ésotérique
01:06:41ou holistique
01:06:42et qui changeaient de vocabulaire
01:06:44et qui voyaient tout de suite
01:06:45les limites de la médecine
01:06:46et qui trouvaient que
01:06:49déjà il n'y avait pas
01:06:50assez de vocabulaire médical
01:06:51pour comprendre
01:06:52le corps des femmes
01:06:53et qui trouvaient
01:06:55des réponses
01:06:56dans des thérapies alternatives
01:06:57qui se développent
01:06:59dans des communautés
01:07:00donc de féminins sacrés
01:07:01qui ont moins rapport
01:07:02avec la spiritualité
01:07:03qu'avec
01:07:04vous avez raison
01:07:04des espaces de soins
01:07:05voire des espaces
01:07:06de compréhension
01:07:07alternatifs du corps
01:07:08oui parce que
01:07:09alors d'abord
01:07:10je rappelle
01:07:11vous le donnez une date
01:07:12c'est à partir des années 70
01:07:141970
01:07:15que le concept
01:07:16de féminin sacré
01:07:17émerge
01:07:18donc ça fait
01:07:19c'est quand même très récent
01:07:20quand on y réfléchit
01:07:21au stade de l'humanité
01:07:23même si
01:07:23il y a évidemment
01:07:24dans le tantra
01:07:25tout ça
01:07:25depuis fort longtemps
01:07:28cette notion là
01:07:29mais ce qui est important
01:07:30c'est ce que vous essayez
01:07:32de démontrer aussi
01:07:32dans votre livre
01:07:33on sait que vous êtes journaliste
01:07:35mais vous travaillez beaucoup
01:07:35aussi sur la médecine
01:07:37la médecine
01:07:39elle a été toujours
01:07:40assez
01:07:41en vision
01:07:42d'une médecine
01:07:44de l'être humain
01:07:46mais vue
01:07:47par des hommes
01:07:48par des hommes
01:07:49et
01:07:49on le sait par exemple
01:07:51sur le plan
01:07:51de la crise cardiaque
01:07:53les manifestations
01:07:54d'une crise cardiaque
01:07:55ne sont pas les mêmes
01:07:56chez les femmes
01:07:56et c'est pour ça
01:07:57qu'on passe souvent à côté
01:07:58que chez les hommes
01:07:59par exemple
01:08:00vous avez tout à fait raison
01:08:01c'est vrai que cet exemple
01:08:02on le cite souvent
01:08:03les experts partent souvent
01:08:05d'une médecine
01:08:06androcentrée
01:08:07c'est à dire
01:08:07comprise en premier lieu
01:08:08à partir du corps de l'homme
01:08:10vous avez raison
01:08:11sur les symptômes cliniques
01:08:12de l'AVC
01:08:13plus dangereux encore
01:08:15les tests cliniques
01:08:16de médicaments
01:08:17qui sont majoritairement
01:08:18faits sur les corps
01:08:20masculins
01:08:20pourquoi ?
01:08:21parce qu'un corps de femme
01:08:22quand il est testé
01:08:23il est beaucoup plus complexe
01:08:25parce qu'une femme
01:08:25ça peut tomber enceinte
01:08:26et quand vous testez
01:08:27un médicament sur 20 ans
01:08:28si la femme
01:08:29elle a une grossesse
01:08:29entre temps
01:08:30vous arrêtez
01:08:30les tests de médicaments
01:08:32pareil
01:08:32entre une femme
01:08:33qui n'est pas
01:08:33ménopausée
01:08:34et une femme ménopausée
01:08:35la réaction au traitement
01:08:36ne va pas être la même
01:08:37donc pour des raisons
01:08:38de simplicité
01:08:39pas forcément
01:08:40parce qu'on vit dans le patriarcat
01:08:41les tests de médicaments
01:08:44ont été faits
01:08:44principalement
01:08:45sur des corps
01:08:46d'hommes
01:08:46qui sont beaucoup plus simples
01:08:48à analyser
01:08:49ce qui fait que les femmes
01:08:50ne réagissent pas du tout
01:08:51de la même façon
01:08:52au traitement
01:08:52il y a un chiffre
01:08:53assez alarmant
01:08:54que je cite
01:08:55dans mon livre
01:08:56qui date de 2025
01:08:57de McKinsey Institute
01:08:59c'est 25% des femmes
01:09:01sont en plus mauvaise santé
01:09:03que les hommes
01:09:04de façon générale
01:09:05c'est à dire
01:09:06que la médecine traditionnelle
01:09:08n'arrive pas
01:09:08assez bien
01:09:09à soigner
01:09:10le corps des femmes
01:09:11et le corps des femmes
01:09:13il a non seulement
01:09:13besoin de soi
01:09:14quand il est malade
01:09:15mais il a aussi besoin
01:09:16d'accompagnement
01:09:16au cours de sa vie
01:09:17quand vous avez
01:09:18des grossesses
01:09:19quand vous avez une ménopause
01:09:20vous n'êtes pas malade
01:09:21par contre
01:09:22vous avez peut-être
01:09:22besoin d'un accompagnement
01:09:24et c'est pour ça
01:09:26que les femmes
01:09:26ne trouvent pas
01:09:27de réponse
01:09:28en tout cas
01:09:28dans une médecine
01:09:29qui est là
01:09:30pour traiter des pathologies
01:09:31mais que
01:09:32dans des espaces
01:09:33de féminins sacrés
01:09:34bon
01:09:35elles peuvent se dire
01:09:36j'ai des femmes
01:09:37en tout cas
01:09:38qui comprennent
01:09:38mes problématiques
01:09:39des thérapies alternatives
01:09:40qui leur semblent
01:09:42parfois plus pertinentes
01:09:44pour régler leurs problèmes
01:09:45elles ont aussi
01:09:46une forme de sororité
01:09:49une forme de communauté
01:09:50qui va se créer
01:09:51autour de leur vulnérabilité
01:09:53qu'elles ne retrouvent pas
01:09:53avec leur médecin de ville
01:09:55même si elles partagent
01:09:56leurs petits problèmes
01:09:56bon il n'y a pas
01:09:57cet effet communautaire
01:09:59et c'est ça
01:10:00qu'elles m'ont retrouvé
01:10:01moi le danger aussi
01:10:03que j'ai vu
01:10:04dans ces espaces-là
01:10:04c'est qu'on parle
01:10:05d'espaces de soins
01:10:06mais on parle d'espaces
01:10:07de soins non réglementés
01:10:08c'est-à-dire que
01:10:09n'importe qui
01:10:09demain
01:10:10peut-être coach
01:10:12en féminin sacré
01:10:14et on parle de soins
01:10:16qui touchent
01:10:16à la vie intime
01:10:17à la sexualité
01:10:19et on parle surtout
01:10:20à des femmes
01:10:20qui sont parfois
01:10:21dans des états
01:10:22de désespoir
01:10:22assez avancés
01:10:23donc moi je médite
01:10:24assez activement
01:10:25pour que ces espaces-là
01:10:27soient mieux compris
01:10:28mieux encadrés
01:10:28parce que féminin sacré
01:10:29c'est un mot fourre-tout
01:10:30et en fait
01:10:30vous m'étiez dans le tantra
01:10:32n'importe quel gourou
01:10:33peut s'y introduire
01:10:35très facilement
01:10:36et surtout
01:10:39il y a une vraie porosité
01:10:39c'est-à-dire que
01:10:40même parfois
01:10:40la médecine traditionnelle
01:10:41ne peut pas
01:10:42par exemple faire
01:10:43on parlait beaucoup
01:10:43de thérapie
01:10:44de psychocorporelle
01:10:45c'est-à-dire
01:10:46on arrête de parler
01:10:47blabla
01:10:47on fait beaucoup
01:10:48des trucs avec le corps
01:10:48ça c'est très féminin sacré
01:10:49par exemple le breastwork
01:10:51les exercices de respiration
01:10:52bon ça je l'ai fait
01:10:54beaucoup dans le féminin sacré
01:10:55pourquoi pas
01:10:56peut-être que des femmes
01:10:57ont trouvé des réponses
01:10:59en médecine traditionnelle
01:11:00on va jamais vous demander
01:11:01de bien respirer
01:11:02pour faire évacuer
01:11:03les émotions
01:11:03on ne demande pas aux hommes
01:11:04non plus
01:11:04oui je dis aux femmes
01:11:06aux hommes
01:11:07parce que
01:11:07excusez-moi
01:11:08dans ma patientèle
01:11:10j'ai 80% de femmes
01:11:12il y a aussi le phénomène
01:11:13que l'homme
01:11:14il n'est pas malade
01:11:15même pas mal
01:11:16bah tiens
01:11:16c'est la personne
01:11:18qu'on a eu au téléphone
01:11:19tout à l'heure
01:11:20donc il y a ce phénomène là aussi
01:11:21et les femmes font
01:11:22beaucoup plus attention
01:11:23à leur corps
01:11:24à elles
01:11:24et viennent nous voir
01:11:26et je pense que
01:11:27par rapport à Fabrice
01:11:27les femmes acceptent
01:11:28d'être aidées
01:11:29là où les hommes
01:11:30savent qu'ils vont mal
01:11:31mais refusent l'aide
01:11:32oui c'est ça
01:11:33c'est vrai que
01:11:33chez les femmes
01:11:34et pourquoi ça se développe
01:11:35plus le féminin sacré
01:11:36les femmes acceptent
01:11:37l'aide
01:11:37elles acceptent
01:11:38et elles ont besoin
01:11:39même de soutien
01:11:40c'est un élan
01:11:41qui est peut-être
01:11:42beaucoup plus naturel
01:11:43chez les femmes
01:11:43que chez les hommes
01:11:45tout à fait
01:11:45moi je pense
01:11:46je parlais beaucoup
01:11:48aussi sur la naissance
01:11:48la grossesse
01:11:49etc
01:11:49moi ce qui m'a choqué
01:11:51c'est à partir du moment
01:11:52où les hommes ont décidé
01:11:53de contrôler
01:11:55l'accouchement
01:11:56et qu'ils ont allongé
01:11:58la femme
01:11:58ça a été un drame
01:11:59c'est à dire que
01:12:00la poussée
01:12:01elle est verticale
01:12:01on le sait
01:12:02elle n'est pas horizontale
01:12:03et ça continue aujourd'hui
01:12:04voilà
01:12:04donc vous avez la tendance
01:12:05par exemple
01:12:06des accouchements à la maison
01:12:07et des accouchements naturels
01:12:08qui revient en force
01:12:09tout comme la contraception
01:12:10avec les dangers
01:12:11que ça comporte aussi
01:12:12avec les dangers
01:12:13évidemment
01:12:13c'est à dire qu'on devrait pouvoir
01:12:15permettre aux femmes
01:12:16d'accoucher
01:12:17d'une manière plus naturelle
01:12:18tout en étant
01:12:19dans des lieux sécurisés
01:12:21si jamais il y a le moindre problème
01:12:23que ce soit pour elle
01:12:24ou pour l'enfant
01:12:26on est tout à fait d'accord
01:12:27mais dans notre pays
01:12:28il existe très peu
01:12:29ou pas du tout
01:12:30de maisons de naissance
01:12:30dans d'autres pays
01:12:31il y a des maisons de naissance
01:12:32partout
01:12:32c'est à dire qu'ils rejoignent
01:12:33ce que vous dites
01:12:34Brigitte
01:12:35mais en France
01:12:36c'est une catastrophe
01:12:37ça n'avance pas
01:12:37ça bouge
01:12:39ça bouge
01:12:39il y a des choses
01:12:40qui bougent
01:12:41par exemple aussi
01:12:42je parle
01:12:42déjà de la contraception naturelle
01:12:45parce que l'hormone
01:12:45de plus en plus
01:12:46comme technique
01:12:47de contraception
01:12:48elle a du recul
01:12:49elle a du recul
01:12:50dans beaucoup de pays
01:12:51mais elle a du recul
01:12:51aussi en France
01:12:52il y a d'autres méthodes
01:12:53de contraception naturelle
01:12:54je sais qu'on en avait parlé
01:12:56chez vous Brigitte
01:12:57c'est pareil
01:12:57ça mériterait
01:12:58d'avoir un suivi
01:12:59beaucoup plus précis
01:13:00si on décide
01:13:01d'avoir
01:13:01de suivre
01:13:02par exemple
01:13:02je parle de la symptothermie
01:13:04qui est une méthode
01:13:04de méthodologie
01:13:05avec deux facteurs
01:13:07chez les hommes
01:13:08il y a de plus en plus
01:13:09la technique peut-être
01:13:10de la thermorégulation
01:13:12pour les testicules
01:13:13qui va peut-être arriver
01:13:15ça mériterait
01:13:16ces méthodes naturelles
01:13:17qu'elles soient mieux encadrées
01:13:18qu'elles soient comprises
01:13:18qu'elles aient peut-être
01:13:20un suivi
01:13:20chez un gynéco
01:13:22c'est intéressant
01:13:26je ne suis évidemment
01:13:27pas contre
01:13:27que chacun puisse
01:13:29être en meilleur accord
01:13:30avec son corps
01:13:31je crois qu'on ne va pas
01:13:32pouvoir
01:13:32mais pour ça
01:13:34faut-il être vraiment
01:13:35capable
01:13:36d'être dans son corps
01:13:38et pas de suivre
01:13:39les premières
01:13:40parce qu'on entend
01:13:41notamment aujourd'hui
01:13:42avec certains blogueurs
01:13:44blogueuses
01:13:44plus exactement
01:13:45on entend aussi
01:13:46des grosses conneries
01:13:48il faut faire attention
01:13:49donc c'est compliqué
01:13:50mais votre travail
01:13:52en tout cas
01:13:52dans ce livre
01:13:53est intéressant
01:13:54parce que vous évoquez
01:13:55tout ce qu'on peut
01:13:57entendre
01:13:57sur le féminin sacré
01:13:58et moi ce que je trouve
01:13:59vraiment intéressant
01:14:00c'est qu'on voit bien
01:14:02qu'un corps de femme
01:14:03et un corps d'homme
01:14:04c'est pas tout à fait
01:14:05la même chose
01:14:05et ça va aussi
01:14:07à l'encontre
01:14:07de ces certaines féministes
01:14:09qui ne supportent plus
01:14:11qu'on dise
01:14:12qu'une femme
01:14:12c'est pas la même chose
01:14:14qu'un homme
01:14:14alors là vous mettez
01:14:16le doigt sur un sujet
01:14:17qui est assez compliqué
01:14:18parce que
01:14:18c'est vrai qu'en sortant
01:14:20le livre
01:14:20il y a donc cette critique
01:14:22qui est faite souvent
01:14:23aux communautés
01:14:23de féminin sacré
01:14:24qui est celle
01:14:24de l'essentialisme
01:14:25c'est à dire
01:14:26partir du postulat
01:14:27qu'un corps de femme
01:14:28est différent
01:14:28d'un corps d'homme
01:14:29ça supposerait
01:14:30des conclusions
01:14:31absurdes
01:14:33qui justifieraient
01:14:33une domination sociale
01:14:34par exemple
01:14:35la femme doit aller
01:14:35à la cuisine
01:14:36parce que
01:14:37voilà c'est elle
01:14:38qui fait des enfants
01:14:38bon
01:14:39mais c'est dans la cuisine
01:14:41qu'on fait les enfants
01:14:42non mais c'est là
01:14:43on materne
01:14:44c'est là
01:14:44on produit du lait
01:14:46je sais pas
01:14:46bon c'est là
01:14:48elle fait la nourriture
01:14:49la maman
01:14:50produit du lait
01:14:52donc elle est à la cuisine
01:14:53je sais pas si ce lien
01:14:54se fait
01:14:54mais vous avez raison
01:14:55une des principales attaques
01:14:58qui revient sur les communautés
01:14:59de féminin sacré
01:15:00c'est
01:15:00que ces femmes
01:15:03s'essentialisent
01:15:05reviennent à une définition
01:15:06ancestrale
01:15:07de ce qu'est une femme
01:15:07et donc de son rôle
01:15:08d'être à la maison
01:15:09et d'être juste
01:15:10défini par son rôle
01:15:11de mère
01:15:11ce qui est totalement
01:15:12injuste
01:15:13par rapport aux communautés
01:15:14de féminin sacré
01:15:15et aussi
01:15:17moi je trouvais ça
01:15:18quand même intéressant
01:15:19de voir ces femmes
01:15:21qui portent ce discours
01:15:22de dire
01:15:22le corps
01:15:23a un impact
01:15:24sur la vie
01:15:25de tous les jours
01:15:25on peut pas le nier
01:15:26on peut pas faire comme si
01:15:27on avait pas de corps
01:15:28et de vivre
01:15:29dans un monde
01:15:30qui est un monde de mental
01:15:32je pense que
01:15:32refaire la paix
01:15:33avec son corps
01:15:34c'est ce qui m'a semblé
01:15:36être le message
01:15:37des communautés
01:15:37de féminins sacrés
01:15:38que moi j'ai trouvé intéressant
01:15:40pour beaucoup de femmes
01:15:40qui justement étaient
01:15:41trop dans le mental
01:15:42et qui se sont dit
01:15:42il faut que je fasse
01:15:43la paix avec mon corps
01:15:44on va continuer
01:15:45à évoquer ce féminin sacré
01:15:47au coeur du féminin sacré
01:15:49avec Sémur Bruxelles
01:15:49et Flore Chéry
01:15:50parce qu'on va revenir
01:15:52sur un sujet
01:15:53que vous abordez
01:15:54qui va plaire
01:15:55à Sémur Bruxelles
01:15:55on va parler
01:15:56des vibrations quantiques
01:15:5814h-16h
01:16:01Brigitte Laé
01:16:02Sud Radio
01:16:02on continue
01:16:04avec Sémur Bruxelles
01:16:05qui est avec nous
01:16:06ostéopathe
01:16:08bio-énergéticien
01:16:09et praticien
01:16:11avec aussi une compréhension
01:16:14de tout ce qui est énergie
01:16:15dans le corps
01:16:16les vibrations
01:16:18cosmiques
01:16:19quantiques
01:16:21etc
01:16:22et justement
01:16:23Flore Chéry
01:16:23qui est avec nous
01:16:24et qui nous présente
01:16:24ce livre
01:16:25au coeur du féminin sacré
01:16:27dont nous avons déjà
01:16:27un peu parlé
01:16:28et qui est sorti
01:16:29aux éditions de l'Observatoire
01:16:31à un moment donné
01:16:32vous abordez aussi
01:16:33cette question
01:16:35du quantique
01:16:36dans ce livre
01:16:37ça m'a un peu
01:16:39un peu surprise
01:16:40parce que
01:16:41parce que là
01:16:42on va
01:16:44encore
01:16:45plus loin
01:16:46si je puis dire
01:16:47que le sacré
01:16:47ou alors le sacré
01:16:49excusez-moi
01:16:50mais le sacré
01:16:51est quantique
01:16:51c'est quoi le sacré
01:16:52pour moi le sacré
01:16:54c'est justement
01:16:55l'instant présent
01:16:56on a commencé
01:16:56comme ça
01:16:57cette émission
01:16:58et tout ce qui est
01:16:59dans le présent
01:16:59c'est sacré
01:17:01et réintroduisons
01:17:02le sacré
01:17:02dans notre vie
01:17:03la société
01:17:04a complètement
01:17:04dégagé le sacré
01:17:06et la philosophie
01:17:08de toute activité
01:17:09j'exagère à peine
01:17:11et donc
01:17:12déjà redéfinir
01:17:13le sacré
01:17:13et le sacré
01:17:14c'est une vibration
01:17:14c'est tout à fait
01:17:16quantique
01:17:16alors il faudra
01:17:18définir tous les termes
01:17:19que vous venez de dire
01:17:20mais juste pour revenir
01:17:20sur le féminin sacré
01:17:22le mot sacré
01:17:23n'est pas tout à fait juste
01:17:23parce que la plupart
01:17:24des femmes
01:17:24et je le répète
01:17:25qui sont dedans
01:17:26sont avant tout
01:17:26pour du soin
01:17:28et je mettrai
01:17:29à la place du sacré
01:17:29je remettrai le mot
01:17:31nature
01:17:31un féminin
01:17:32proche de la nature
01:17:33proche du corps
01:17:34mais peut-être
01:17:35la nature est sacrée
01:17:36et peut-être
01:17:37la nature est sacrée
01:17:38et peut-être
01:17:39que moi
01:17:39le parallèle
01:17:40que je fais
01:17:40c'est plutôt
01:17:40Dieu est dans la nature
01:17:42ou la nature est Dieu
01:17:43entre guillemets
01:17:44et le sacré
01:17:45c'est tout ce qui est
01:17:46naturel
01:17:47grosso modo
01:17:47tout ce qui est
01:17:48la force de la nature
01:17:49je crois qu'on est
01:17:50tous les trois
01:17:50là on est d'accord
01:17:51donc voilà
01:17:52dans ce sens là
01:17:54pourquoi est-ce que
01:17:54je me suis intéressée
01:17:55déjà je m'intéresse
01:17:57beaucoup à la physique
01:17:58quantique
01:17:58parce que j'adore
01:17:58la science
01:17:59et que c'est comme ça
01:18:00que j'avais commencé
01:18:01à écrire ce livre
01:18:01et au-delà de ça
01:18:02j'essayais de trouver
01:18:03des explications scientifiques
01:18:05par exemple
01:18:05pourquoi est-ce que
01:18:06plus de femmes
01:18:06que les hommes
01:18:07cherchent à comprendre
01:18:08leur monde intérieur
01:18:09j'étais partie
01:18:10d'une chronique
01:18:10que j'avais écrite
01:18:11chez Science et Vie
01:18:11en expliquant
01:18:12que les hormones féminines
01:18:13sont internes
01:18:15c'est-à-dire
01:18:16l'oestrogène
01:18:17et la progestérone
01:18:17sont programmées
01:18:19cycliquement
01:18:20et l'environnement
01:18:21peut avoir un impact
01:18:22mais reste minime
01:18:23quand la testostérone
01:18:24masculine
01:18:24réagit énormément
01:18:26en fonction de l'environnement
01:18:27donc vous
01:18:28je vous cite
01:18:29parce que vous êtes un homme
01:18:30mais vous avez des réactions
01:18:31qui sont tout à fait
01:18:32en phase
01:18:33avec l'environnement
01:18:34là où chez les femmes
01:18:35il y a peut-être
01:18:35un besoin de compréhension
01:18:36de son
01:18:37entre guillemets
01:18:38monde intérieur
01:18:39plus important
01:18:40parce qu'il y a une programmation
01:18:41qui est lourde
01:18:42et qui ne dépend pas
01:18:43de l'environnement
01:18:43vous voulez dire
01:18:44que notre vagin est intérieur
01:18:45et que le pénis est extérieur
01:18:46je comprends
01:18:47c'est schématique
01:18:48c'est de l'architecture
01:18:49mais en effet
01:18:51j'essaie d'expliquer
01:18:52scientifiquement
01:18:53ou là
01:18:53de façon endocrinienne
01:18:54pourquoi est-ce que
01:18:55peut-être
01:18:56les femmes
01:18:56chercheraient à avoir
01:18:57plus de réponses
01:18:58sur la compréhension
01:18:59de leur monde intérieur
01:18:59que chez les hommes
01:19:00donc ça m'intéressait
01:19:01beaucoup
01:19:01les explications scientifiques
01:19:02il y a tout un passage là-dessus
01:19:03notamment
01:19:04et si on peut parler de
01:19:06donc vous ne parlez pas
01:19:07de physique quantique
01:19:08parce que vous parlez
01:19:09en fait le mot quantique
01:19:10quand vous l'utilisez
01:19:11il peut faire appel
01:19:13à une discipline
01:19:14qui s'appelle
01:19:15la physique quantique
01:19:16mais ce que j'ai vu
01:19:17moi
01:19:17dans les communautés
01:19:19de féminins sacrés
01:19:20c'est qu'on parlait
01:19:20du mot quantique
01:19:21comme d'un adjectif
01:19:23pour parler
01:19:24de plein de choses
01:19:25donc par exemple
01:19:26si vous parlez
01:19:26de vibration quantique
01:19:27et vous me dites
01:19:29si j'ai tort
01:19:29ou si j'ai raison
01:19:30c'est que vous parlez
01:19:30de la dualité
01:19:31de la vibration
01:19:32qui est à la fois
01:19:33une corpuscule
01:19:34une onde
01:19:35c'est ça
01:19:35bien sûr
01:19:36toute particule
01:19:38est à la fois
01:19:39corpuscule
01:19:39c'est-à-dire matière
01:19:40et onde
01:19:41mais ce qui m'intéresse
01:19:43c'est plus l'onde
01:19:44et moi je pratique
01:19:45la thérapie informationnelle
01:19:48la thérapie d'onde
01:19:49bioénergéticien
01:19:50c'est ça
01:19:50c'est ce que ça veut dire
01:19:51on travaille sur les ondes
01:19:52et si on part du principe
01:19:53que si le corps physique
01:19:54matière
01:19:54est malade
01:19:56c'est que le corps énergétique
01:19:58vibration
01:19:58est déséquilibré
01:19:59ça commence d'abord
01:20:00dans le déséquilibre
01:20:01d'une vibration
01:20:01et ça
01:20:02ça intègre la matière
01:20:03donc rétablissons
01:20:05les champs vibratoires
01:20:07du corps
01:20:07du corps énergétique
01:20:09pour rétablir
01:20:10la santé
01:20:11du corps physique
01:20:12est-ce que j'ai été clair ?
01:20:14oui c'est-à-dire qu'un corps
01:20:15vous vous considérez
01:20:16il faudrait le prouver
01:20:18scientifiquement
01:20:19on a parlé tout à l'heure
01:20:20de l'effet Kirlian
01:20:21on a parlé de l'effet Kirlian
01:20:22et des photographies
01:20:23du corps énergétique
01:20:24donc là on a
01:20:25un témoin scientifique
01:20:27on a une photo
01:20:28des émissions vibratoires
01:20:30du corps physique
01:20:31et qui nous donne
01:20:32l'état de santé
01:20:33de la personne
01:20:33suivant les couleurs
01:20:34suivant...
01:20:35mais l'autre jour
01:20:36c'était incroyable
01:20:37je ne le citerai pas
01:20:37parce qu'il n'a peut-être
01:20:38pas envie que je le cite
01:20:39mais j'ai un de mes invités
01:20:40qui vient
01:20:40on déjeunait ensemble
01:20:42j'étais en avance
01:20:43j'étais au restaurant
01:20:43il arrive
01:20:44et il me dit
01:20:45ça a l'air d'aller très très bien
01:20:47et puis je ne sais pas pourquoi
01:20:48plus tard
01:20:49au moment du...
01:20:51il me dit
01:20:52oui j'ai vu dans ton aura
01:20:54que tout allait très très bien
01:20:56et donc il y a des gens
01:20:57qui ont une lecture de l'aura
01:20:58c'est-à-dire une lecture
01:21:00de notre...
01:21:01corps énergétique
01:21:01vibratoire
01:21:02vibratoire énergétique
01:21:03bon et c'est vrai
01:21:05qu'en ce moment
01:21:06ça va plutôt très très bien
01:21:07donc je peux comprendre
01:21:08dans la langue française
01:21:09ils ont dit
01:21:10t'es en forme ou t'es pas en forme
01:21:11c'est-à-dire qu'avant d'être
01:21:12ce qu'on appelle un corps physique
01:21:13je suis une forme
01:21:15une forme vibratoire
01:21:16bon si cette forme
01:21:17est en bonne santé
01:21:18c'est une bonne forme
01:21:19qui est ouverte
01:21:20et qui est large
01:21:20si je suis pas en forme
01:21:22ça se voit
01:21:22je suis rétréci
01:21:23je suis coincé
01:21:25et je pense que
01:21:26sans s'en rendre compte
01:21:26on sent
01:21:28on voit plus ou moins
01:21:30alors il y a des personnes
01:21:31qui sont plus cérébrales
01:21:33et peut-être plus
01:21:34dans l'intellect
01:21:35et qui le voient moins
01:21:36mais quand on croise quelqu'un
01:21:38on ressent
01:21:39s'il va bien
01:21:40ou s'il va pas
01:21:40parce qu'il dégage ça
01:21:41je pense que
01:21:42là où vous avez
01:21:43en partie raison
01:21:45bien sûr
01:21:45c'est qu'il y a quelque chose
01:21:46de l'ordre
01:21:47de l'invisible
01:21:48on ne sait pas tout
01:21:48donc bien sûr
01:21:49ça pourrait être
01:21:50on mettrait le mot
01:21:51aura, vibration
01:21:52là où moi
01:21:52je mets beaucoup plus de doutes
01:21:53c'est quand on commence
01:21:54à utiliser des terminologies
01:21:55qui sont extrêmement précises
01:21:57et utilisées par le monde scientifique
01:21:58comme par exemple
01:21:58la terminologie quantique
01:22:00quantique ça fait appel
01:22:01à un monde très spécifique
01:22:02et sur un ordre de grandeur
01:22:03qui est celui des électrons
01:22:04on parle de l'infiniment
01:22:07infiniment
01:22:07infiniment petit
01:22:08là où parfois
01:22:09on parle par exemple
01:22:10de métine quantique
01:22:11en parlant de cellules
01:22:12les cellules
01:22:12c'est pas dans l'ordre de grandeur
01:22:14de la physique quantique
01:22:16donc on utilise parfois
01:22:18un verbiage scientifique
01:22:19qui est extrêmement précis
01:22:20pour définir
01:22:22vous l'avez peut-être raison
01:22:23une impression
01:22:24en mettant plutôt des mots
01:22:27et un wording
01:22:27qui est de l'ordre
01:22:28de l'impression
01:22:28une aura
01:22:29une vibration
01:22:31parce que vous ne le mesurez pas
01:22:34vous n'avez pas d'outil
01:22:35de mesure spécifique
01:22:36scientifique
01:22:37au sujet de la cellule
01:22:37la cellule émet de la lumière
01:22:39elle émet des photons
01:22:41des particules de lumière
01:22:42quand elle est malade
01:22:43elle n'émet plus de lumière
01:22:44d'accord
01:22:45là on est dans la dimension quantique
01:22:47et ça se mesure
01:22:48mais là où il faut faire attention
01:22:50c'est vrai qu'aujourd'hui
01:22:51on a toute une catégorie de gens
01:22:53qui se prétendent
01:22:54thérapeutes quantiques
01:22:56donc là moi je parle
01:22:57des neutrinos notamment
01:22:58donc c'est aussi la lumière
01:22:59alors on est traversé
01:23:00des neutrinos
01:23:01mais ce n'est pas pour autant
01:23:01qu'on peut avoir un impact dessus
01:23:03ou que ce qu'on fait
01:23:03a un impact sur les neutrinos
01:23:06donc c'est réutilisé
01:23:08donc moi je m'en garde quand même
01:23:09parce que le milieu scientifique
01:23:10est quand même un milieu
01:23:11de rigueur
01:23:12de doute
01:23:12de nuance
01:23:13auquel je suis attachée
01:23:16ce que j'ai moins vu
01:23:18dans les communautés
01:23:19de féminins sacrés
01:23:19qui s'appopriaient des mots
01:23:21comme
01:23:21vibration
01:23:22photon
01:23:24neutrinos
01:23:25pour justifier
01:23:26des pratiques derrière
01:23:27qui ne sont pas
01:23:28mesurables et quantifiables
01:23:30par des outils
01:23:31mathématiques
01:23:32qui sont eux utilisés
01:23:32en physique quantique
01:23:33donc
01:23:34avant d'utiliser
01:23:36moi j'entends parfaitement
01:23:37qu'on puisse
01:23:38travailler sur le somatique
01:23:40travailler sur des imaginaires
01:23:41en disant
01:23:42voilà vous avez peut-être
01:23:42un aura
01:23:43un corps énergétique
01:23:45différent de vous
01:23:46et faire des visualisations
01:23:47différentes
01:23:48pour que le patient
01:23:49comprenne mieux
01:23:51ce qu'il vit
01:23:51et pour moi
01:23:52ça reste de l'ordre
01:23:53du narratif
01:23:53quand on utilise
01:23:54des terminologies physiques
01:23:56je suis sensible
01:23:57au fait que
01:23:58oui
01:23:59n'utilisons pas
01:24:00des preuves scientifiques
01:24:02sur des choses
01:24:03qui ne sont pas
01:24:03prouvées scientifiquement
01:24:04on est bien d'accord
01:24:05en tout cas
01:24:06merci Flore Chérie
01:24:08ça s'appelle
01:24:08au coeur du féminin sacré
01:24:10c'est aux éditions
01:24:11de l'observatoire
01:24:12et en effet
01:24:13on n'a pas du tout
01:24:14abordé
01:24:15et pourtant c'est
01:24:16bien abordé
01:24:16dans ce livre
01:24:17toute la question
01:24:18de la sexualité sacrée
01:24:19et je pense que
01:24:21ça peut intéresser
01:24:22quand même
01:24:22un petit peu
01:24:23nos auditeurs
01:24:24nos auditrices
01:24:25et c'est vrai
01:24:26qu'il y a quand même
01:24:27quelque chose de formidable
01:24:28c'est que les femmes
01:24:29aussi s'approprient
01:24:31leur plaisir
01:24:31leur sexualité
01:24:32et ça c'est quand même
01:24:33on est sur cette tendance
01:24:34post-me too
01:24:36où les femmes
01:24:37n'ont plus peur
01:24:37de se dire
01:24:37bon maintenant
01:24:38c'est mes règles du jeu
01:24:39mes mots
01:24:40mon désir
01:24:41mes sensations qui comptent
01:24:43et c'est plus le monde
01:24:43qui va m'expliquer
01:24:44comment je dois vivre
01:24:45et ça c'est plutôt joli
01:24:45ça c'est plutôt formidable
01:24:47absolument
01:24:47et c'est à encourager
01:24:48donc vous pourrez
01:24:49découvrir tout ça
01:24:50dans ce livre
01:24:51au coeur du féminin sacré
01:24:53j'ai le gagnant
01:24:54non pas du calendrier de l'avant
01:24:58mais ça désolé
01:24:59parce que le tirage au sort
01:25:01n'a pas encore eu lieu
01:25:02mais en tout cas
01:25:02j'ai le gagnant
01:25:03de notre vibromasseur
01:25:05gonflable Hector
01:25:06c'est Frédéric
01:25:06qui habite dans la Sartre
01:25:08le 72
01:25:09merci beaucoup
01:25:11C'est mon Bruxelles
01:25:12merci Brigitte
01:25:12vous le rappelez
01:25:14notre corps
01:25:15on a quand même
01:25:17des capacités
01:25:18à aller mieux
01:25:19je finirai sur une phrase importante
01:25:21le corps a toujours raison
01:25:22écoutons-le
01:25:24de toute façon
01:25:24il aura raison
01:25:25quand il ne veut plus avancer
01:25:26il n'avancera pas
01:25:27donc ce n'est pas le mental
01:25:27qui va le faire avancer
01:25:28non
01:25:29c'est pas
01:25:30le corps a toujours raison
01:25:33écoutons ce corps
01:25:34c'est lui
01:25:35qui a les informations
01:25:36quantiques
01:25:37les informations
01:25:38de l'univers
01:25:39je ne me cesse
01:25:40de dire
01:25:40ressentez
01:25:41ressentez
01:25:42cessez de croire
01:25:44et ressentez
01:25:45et vous irez
01:25:45sur le chemin
01:25:46qui vous convient
01:25:47c'est peut-être
01:25:49la formule
01:25:50pour conclure
01:25:51cette émission
01:25:52et merci à tous
01:25:53en tout cas
01:25:54tout de suite
01:25:55vous retrouvez
01:25:55Alexandre Delevan
01:25:56et puis
01:25:58nous serons lundi
01:26:00justement
01:26:00quand le corps
01:26:01ne suit pas
01:26:03on parlera
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01:26:04avec Vincent Huppertan
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