- il y a 10 heures
Retrouvez le replay de l'Équipe de choc du 13/11/2025.
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SportTranscription
00:00:00Bonjour, bonjour, il est 16h46, un tout petit peu en retard, c'est de ma faute.
00:00:08On est en direct sur la chaîne Équipe, comme tous les jours, pour l'équipe de Choc, votre moment préféré.
00:00:12Oui, j'ai une minute de retard.
00:00:13Merci Française.
00:00:14Tu as vu Pierre, vous allez faire quoi ?
00:00:15Rien du tout.
00:00:16Vous allez me boycotter ?
00:00:17Non.
00:00:17On va se taire comme d'habitude.
00:00:18Pas la parole.
00:00:18On va se faire gueuler sinon.
00:00:19On ne va rien faire.
00:00:20Bon, comme tous les jours en direct, votre petit rendez-vous de sport de l'après-midi.
00:00:23On a plein de sujets croustillants aujourd'hui du rugby, du foot, de l'athlétisme aussi,
00:00:26de quoi vous faire jacasser comme il le faut.
00:00:28On vous appelle des renforts peut-être ?
00:00:31Absolument.
00:00:31Ça peut être sympa.
00:00:32J'ai du lourd aujourd'hui, ça faisait longtemps qu'on ne l'avait pas vu.
00:00:34On est très contents de retrouver Eric Rabessandratana.
00:00:37Il est invité vite au basket, il médite pendant le match et il soigne son look aussi.
00:00:41Tu peux nous rejoindre Eric ?
00:00:42Et là forcément, vous avez envie de savoir de quoi on parle.
00:00:45Oui, surtout oui.
00:00:46Déjà comment ça va Eric ?
00:00:47Ça va bien.
00:00:47Je ne te savais pas quand...
00:00:48Déjà tu dis qu'il y a du lourd, ce n'est pas encourageant quand même.
00:00:51Si, c'est au niveau de la qualité de jeu, de ce que tu apportes à l'émission.
00:00:55Vas-y.
00:00:55Je ne te savais pas aussi fan de la petite balle orange, dis donc.
00:00:57Eh bien écoute, non, mais c'est l'opportunité qui fait que j'aime bien et j'ai pris beaucoup
00:01:01de plaisir à regarder.
00:01:01T'as été invité, on va voir.
00:01:02Bien sûr, j'ai toujours invité.
00:01:04Et quand la célébritique s'attarde sur l'entrée, il y a comme une absence.
00:01:08Regardez bien le regard.
00:01:09Où suis-je ?
00:01:10On sent que tu es là, mais tu n'es pas là.
00:01:11Ça dure longtemps en plus.
00:01:13Tu sais à quoi j'ai pensé quand j'ai vu l'image ?
00:01:15Joli gilet à faire.
00:01:16Au petit singe avec ses seins d'âme.
00:01:18Tu vois, je suis attentif et je suis concentré sur le jeu.
00:01:25Alors vous avez vu le joli gilet à fleurs.
00:01:27Autre exemple, un autre match du Paris Basket.
00:01:29Regardez-moi ce petit gilet.
00:01:32Et toujours c'était Rahuri.
00:01:33Qu'est-ce que je fais là ?
00:01:34Bienvenue au Rabé.
00:01:36Prochain match du Paris Basket, du coup ?
00:01:40Je ne sais pas encore.
00:01:41Ce soir ?
00:01:42Non, mais je sais qui est ce soir.
00:01:43Tu n'es pas invité ?
00:01:44Non, il y a l'équipe de France qui joue quand même.
00:01:45Ah, ça va.
00:01:46C'est le respect.
00:01:47Prochain invité, il s'agit de Camille Macalli.
00:01:49C'est la fouine du 15 de France.
00:01:50Elle était à Marcoussis ce matin.
00:01:52Elle a chatouillé, galtier.
00:01:53Tu peux nous rejoindre, Cam Cam ?
00:01:54Vous étiez gentils avec toi du côté du 15 ?
00:01:56Oh oui, oui, oui, ça va.
00:01:58Ils préparent tout avant.
00:02:00De toute façon, ils ont leur langage de com.
00:02:02Tu peux peser n'importe quelle question.
00:02:03Ils répondront à ce qu'ils veulent.
00:02:04On apprend des trucs quand même ou pas quand on va voir les bleus ?
00:02:06Oui, oui, on apprend des trucs.
00:02:07Mais c'est très, très bérouillé quand même.
00:02:09Il y a de la langue du bois.
00:02:10Oui, un peu.
00:02:11On en saura plus tout à l'heure.
00:02:12D'ailleurs, le sommaire est dans le décor.
00:02:14Double dose de bleus aujourd'hui.
00:02:15Les bleus du rugby.
00:02:16D'abord, on a la compo pour samedi.
00:02:17Alors, on n'y comprend rien.
00:02:19Retour des caves, changement de capitaine, rappel des réservistes pour les Fidji.
00:02:22Alors que le gros match était quand même samedi dernier face au Sudaf.
00:02:24Vous me direz si vous arrivez à suivre Fabien Galtier dans ses choix.
00:02:27Un peu d'athlète, changement important dans la programmation des JO de 2028.
00:02:31Le 100 mètres féminin dès le premier jour de compète.
00:02:34Bonne ou mauvaise idée ?
00:02:35Est-ce que ça valorise les athlètes ?
00:02:36On sera avec une ancienne spriteuse en direct pour en savoir un petit peu plus.
00:02:39Et puis, jour de match pour les bleus du foot ce soir.
00:02:41France-Ukraine avec un gros enjeu.
00:02:43La Calife en Coupe du Monde en cas de victoire.
00:02:45Mais un contexte très lourd également.
00:02:46Les attentats du 13 novembre.
00:02:47Alors, l'enjeu sportif est-il relégué au second plan ce soir ?
00:02:51Vous n'êtes pas d'accord en plateau.
00:02:52Ça nous promet de beaux débats.
00:02:54J'ai aussi du Wemby, du Neymar, du biathlon.
00:02:56Tiens, avec les premiers mots de Justine Brézins-Boucher.
00:02:59Toutes les petites infos à décortiquer, bien sûr, dans l'équipe de choc.
00:03:02Pour briller à la machine à café.
00:03:04Je ne sais pas si vous serez très brillants.
00:03:05Mais en tout cas, vous aurez les infos.
00:03:06Et vous aurez du café.
00:03:07Et vous aurez du café aussi.
00:03:0916h49.
00:03:09On commence avec le 15 de France.
00:03:11Qui, vous le savez, a rendez-vous avec les Fidji samedi.
00:03:13Deuxième match de la tournée d'automne.
00:03:15Et vu la défaite face au Sudaf, le sélectionneur a fait quelques changements.
00:03:18Six changements dans son 15 de départ pour affronter les Fidji samedi à Bordeaux.
00:03:23On retrouve au poste de pilier gauche.
00:03:25Donc Jean-Baptiste Gros qui remplace Baptiste Erdosio blessé.
00:03:28Charles Olivon fait son retour au poste de numéro 4 à la place de Thibaut Flamand également blessé.
00:03:33Pour la troisième ligne, Greg Aldrit.
00:03:35C'est le grand retour de Greg Aldrit.
00:03:36Lui qui n'était pas sur la feuille de match contre les box.
00:03:38Il prend le capitana au passage.
00:03:40Bye bye Gaël Ficou qui est remplacé au centre par Nicolas Deporter, le bordelais.
00:03:44Vous dire aussi qu'Oscar Gégou remplace Paul Boudon.
00:03:47Et puis en charnière, le bordelais Maxime Lucu jouera devant son public à la place de Nolan Le Garec.
00:03:53Blessé et forfait.
00:03:54Lucu sera associé à Roland Tamac.
00:03:56Alors on a besoin d'explications.
00:03:57Là le retour des cadres contre les Fidji.
00:03:59Est-ce que vous y comprenez quelque chose ?
00:04:01Est-ce que Fabien Galtier vous semble perdu, paumé ?
00:04:04Mon Pierre Moubi, c'est à toi de commencer.
00:04:06J'ai l'impression qu'il tente des choses.
00:04:08J'ai l'impression qu'il veut laisser concerner beaucoup, beaucoup de monde.
00:04:12Et en fait en essayant de faire des choix et de garder les gens concernés,
00:04:15j'ai l'impression qu'il les perd plus qu'autre chose.
00:04:17Donc il a de la chance pour moi de tomber sur un Grégory Aldride
00:04:20qui est quasiment irréprochable depuis le début de sa carrière
00:04:22en termes d'attitude et en termes de respect du maillot et de son club.
00:04:26Mais à jouer avec les émotions de chacun
00:04:30et à changer et à être un peu consommateur de joueurs.
00:04:34Ficou, titulaire, capitaine, qui sort du groupe.
00:04:37T'en prends un autre qui n'était pas dans le groupe,
00:04:38qui redevient capitaine et titulaire.
00:04:40Enfin, à faire ce genre de choses, je pense que sur du moyen terme,
00:04:44tu peux t'engager avec une vision à long terme
00:04:46avec la Coupe du Monde en ligne de mire.
00:04:49Mais pour moi, il se trompe.
00:04:51Et là, il est en train de tenter des choses
00:04:53où le joueur en tant que tel,
00:04:56t'as plus envie forcément de donner le meilleur de toi-même aussi
00:05:00pour des coachs qui te prennent un peu pour une marionnette.
00:05:02Alors, je le répète, mais Grégaldry, t'as un amour
00:05:04dans un vestiaire et dans un club
00:05:06et n'ira jamais à l'encontre du maillot bleu et du drapeau.
00:05:10Donc, c'est bien.
00:05:12Tant mieux qu'il le fasse avec lui.
00:05:13Mais s'il continue de jouer comme ça avec beaucoup de joueurs,
00:05:16je pense qu'il va en perdre pas mal.
00:05:17Camille Macalli, les gros, les cadres,
00:05:19c'était contre les Sudars qu'on voulait les voir.
00:05:21C'est bizarre de les voir aujourd'hui ?
00:05:22C'est un aveu d'échec ?
00:05:23C'est quoi ? Comment tu l'interprètes, toi ?
00:05:24Eh bien, c'est surtout un changement de cap pour Fabien Galtier.
00:05:28En fait, on a connu deux mandats avec lui.
00:05:31Il y a eu le 2020-2023 jusqu'à la Coupe du Monde
00:05:33où l'expérience collective primait sur tout,
00:05:37même sur la forme du moment.
00:05:38C'est-à-dire qu'on ne mettait pas sur le banc un Charles Olivon,
00:05:41on ne mettait pas sur le banc un Greg Aldritt,
00:05:44un Peato Movacar.
00:05:45Oui, tu avais des gars sûrs.
00:05:46Oui, voilà.
00:05:47Il y avait les gars premium, on appelle ça, en rugby.
00:05:50Et surtout, ceux-là, ils étaient indéboulonnables.
00:05:53Et en fait, il a changé de stratégie
00:05:55après le quart de finale à la Coupe du Monde perdue.
00:05:57Là, il a commencé un petit peu à remettre en cause
00:06:00justement cet instant T où la forme du moment prévaut
00:06:05sur la qualité, le collectif, le vécu du 15 de France.
00:06:09Donc, en fait, ce qui n'est pas étonnant,
00:06:11c'est de ne pas avoir vu, par exemple, un Lucu,
00:06:14qui fait partie des cadres.
00:06:15Bien sûr.
00:06:15Un Charles Olivon qui revient de huit mois de blessures
00:06:18et qui a joué trois matchs de top 14.
00:06:20Donc ça, on peut se dire que c'était un peu ric-rac pour les Sudaf.
00:06:24Greg Aldritt, c'était un petit peu plus particulier.
00:06:27Mais il y avait presque un peu une entourloupe dessous.
00:06:30On ne sait pas si c'était parce que son état de forme n'était pas au top
00:06:33ou pour le fait de ne pas avoir voulu aller cet été en Nouvelle-Zélande
00:06:37alors qu'il comptait sur lui.
00:06:38Mais Camille, juste par rapport à ce que tu dis,
00:06:40il y a un moment, il était bien content de l'avoir, Greg Aldritt, quand même.
00:06:43Non, mais il est toujours content de l'avoir.
00:06:45Mais sauf qu'il pense...
00:06:46Le message envoyé, quand tu ne le prends pas, ce n'est pas le meilleur, quand même.
00:06:48Là où tu as raison, c'est qu'à un moment donné,
00:06:50il ne peut pas jouer avec ces garçons-là à trois mois de la Coupe du Monde.
00:06:54Mais ce qu'il pense, lui, aujourd'hui, c'est qu'il se dit
00:06:58« Je veux les titiller, je veux créer l'émulation, je veux trois mecs par poste
00:07:04sur lesquels je m'amuse parfois et je les pique. »
00:07:07Et pour l'instant, quand il a piqué les garçons, ça a marché très souvent en fait.
00:07:13Et Greg Aldritt, moi je suis sûre, parce que c'est un gars...
00:07:16Sur qui tu peux compter.
00:07:17Sur qui tu peux compter, qui va faire une très grosse performance samedi soir.
00:07:21Oui, mais moi je n'ai pas d'autres non plus.
00:07:22Mais quand tu doutes, quand tu piques les mecs un petit peu à l'orgueil,
00:07:26ça veut dire que tu as l'impression qu'ils s'endorment un peu sur leurs acquis
00:07:29et qu'ils sont un peu suffisants.
00:07:30Ce n'est pas ce que j'ai vu du tout avec Greg Aldritt.
00:07:33Eric ?
00:07:33Non mais moi, ce n'est peut-être pas que ça.
00:07:35Après, lui, il n'a certainement pas de certitude aujourd'hui.
00:07:38Quand tu fais des changements et que tu vas chercher,
00:07:40et que tu alternes comme ça, alors évidemment que ça ne met pas forcément.
00:07:43Mais nous non plus, on n'en a pas.
00:07:44Non mais forcément, et puis c'est surtout par rapport aux résultats.
00:07:46C'est-à-dire qu'à partir du moment où tu n'as pas les résultats que tu veux,
00:07:48peut-être que tu te dis, je vais essayer autre chose.
00:07:50Là, il essaie de titiller les gars.
00:07:52Ce que je peux comprendre des fois,
00:07:53et puis quand tu as des gars comme Aldritt,
00:07:55qui sont capables de répondre à ça,
00:07:57alors peut-être pas trop longtemps,
00:07:58mais en tout cas qui sont capables de répondre à ça
00:07:59et qui vont toujours tout donner,
00:08:01je ne suis pas sûr que ce soit mauvais.
00:08:02Maintenant, évidemment, s'il n'y a pas de résultat derrière,
00:08:04il va perdre les gars au fur et à mesure, c'est sûr.
00:08:06En tout cas, dans son management, Fabien Galtier,
00:08:07ce n'est pas la première fois.
00:08:09J'ai envie de dire qu'il met ses cadres au frigo.
00:08:12Souvenez-vous, la saison dernière déjà,
00:08:13face au Japon en novembre 2024,
00:08:15Charles Olivon avait été laissé à la disposition de son club.
00:08:18Dans ce même match, Gaël Ficou, sur le banc.
00:08:21Face à l'Argentine, Greg Aldritt était déjà réserviste à l'époque,
00:08:24alors que c'était un joueur indéboulonnable,
00:08:26cadre à l'époque dans cette équipe de France.
00:08:28Face à la Nouvelle-Zélande,
00:08:30Jalibert avait quitté le groupe.
00:08:32Souvenez-vous, ça avait fait grand bruit chez nous, dans les médias.
00:08:35Au tournoi des 6 nations en février 2025,
00:08:38Damien Penaud, lui, avait été laissé à dispo du club.
00:08:41Et puis, on vous le rappelle encore une fois,
00:08:42Greg Aldritt, là, contre les box, était réserviste.
00:08:44Il redevient capitaine.
00:08:46Le sélectionneur a tenté d'expliquer ce changement de management.
00:08:51C'était au micro de Tony Molina, un peu plus tôt dans la journée.
00:08:54Numéro 8, c'est vrai que depuis 6 ans,
00:08:57c'est Greg qui tient la baraque.
00:08:59Il tient la baraque.
00:09:00Il est capitaine, il a été capitaine,
00:09:03il tient la baraque.
00:09:05C'est un joueur de grande qualité,
00:09:06un joueur de classe internationale,
00:09:07qui joue 30 matchs par an, depuis 4 ans, voire plus,
00:09:12avec un poste numéro 8,
00:09:15où vous avez un nombre de contacts très important à chaque match.
00:09:19Donc, c'est un joueur qui a besoin de se régénérer,
00:09:22c'est un joueur qui a besoin de récupérer,
00:09:25et c'est un joueur qui a besoin de jouer.
00:09:27Donc, dans cet équilibre-là,
00:09:29déjà, il est sur la feuille de match, il est capitaine,
00:09:31et ensuite, sur les rotations,
00:09:34moi, je trouve ça très cohérent
00:09:35que Greg Aldrit soit hors feuille de match,
00:09:39par exemple, le week-end dernier,
00:09:41avec nous, l'année 28,
00:09:42et reprenne le flambeau aujourd'hui.
00:09:44Parce que Mick Aguiar, lui,
00:09:45avait bénéficié de la dynamique de la tournée
00:09:48dont on parlait en Nouvelle-Zélande.
00:09:50Je ne comprends rien.
00:09:51C'est pas très clair.
00:09:51Merci, c'est ce que j'allais te dire,
00:09:52qu'en cas, on n'arrive plus à le suivre,
00:09:54on ne comprend plus rien.
00:09:55Non, c'est compliqué.
00:09:56C'était pas clair, là, en tout cas.
00:09:57C'est sûr.
00:09:58Traduis-nous, pas qu'il parle couramment.
00:09:59Non, je ne parle pas à Fabien Galtier couramment.
00:10:02Malheureusement, j'aimerais bien.
00:10:03Mais en fait, c'est compliqué.
00:10:05Il n'a pas envie de donner de justification claire
00:10:07sur pourquoi Guillaume a la place d'Aldrit,
00:10:09alors qu'Aldrit fait deux super matchs de top 14
00:10:11avant la tournée face au Loup et au Racing.
00:10:15Donc, il retrouve son niveau
00:10:16qu'on pouvait lui contester un petit peu
00:10:18fin août, début septembre.
00:10:20Après qu'il ait envie de conserver Mickaël Guillaume,
00:10:22il n'y a pas de problème.
00:10:23Ça a été la révélation du tournoi de l'année dernière.
00:10:25Ça a été la confirmation.
00:10:26Ça a été en Nouvelle-Zélande.
00:10:27C'est un des seuls garçons qui a tenu la baraque.
00:10:30Mais tu ne peux pas...
00:10:31En fait, là, moi, où j'ai du mal,
00:10:33c'est que comment quelqu'un qui est réserviste,
00:10:35qui n'est même pas remplaçant,
00:10:37ses finissaires, normalement,
00:10:38ils sont censés être aussi importants.
00:10:39Lui, il n'est même pas finissaire.
00:10:41Et d'un coup, il est capitaine.
00:10:42Il est surpromu.
00:10:43Non, mais c'est-à-dire qu'en fait,
00:10:45c'est là où il y a quand même un petit décalage.
00:10:47C'est-à-dire que ton vice-capitaine,
00:10:48en l'absence d'Antoine Dupont,
00:10:50ne peut pas être le dernier mec de la liste
00:10:52sur le plus gros match de la tournée.
00:10:54Donc, c'est là où il y a une incompréhension.
00:10:59Les garçons qui ont joué cet été,
00:11:01on voulait les récompenser.
00:11:02Oui, mais en fait, tu ne les récompenses pas
00:11:03sur le plus gros match de la tournée.
00:11:04Tu les récompenses face au Fiji.
00:11:06Ou, pourquoi pas, face à l'Australie,
00:11:07sur le troisième match.
00:11:08Là, tu avais besoin de tes premiums.
00:11:10Et surtout, j'ai envie de dire,
00:11:11ça manquait de tauliers et de méchants.
00:11:14Greg Aldry, qui fait partie de ces méchants.
00:11:16François Croce fait partie.
00:11:17Charles Olivon fait partie.
00:11:19On a besoin de caractère.
00:11:19On a besoin de caractère face au Sud-Afrique,
00:11:22comme quand tu défies la Nouvelle-Zélande,
00:11:24comme quand tu défies les Anglais, les Irlandais.
00:11:26C'est des matchs où il faut un peu de vie,
00:11:28c'est un peu d'expérience, etc.
00:11:29Et là, l'équipe de France,
00:11:30elle en manquait cruellement.
00:11:31Et un Greg Aldry te manquait.
00:11:33Tu peux le raconter comme tu veux.
00:11:34Tu joues les Sud-Africains,
00:11:35qui est la meilleure équipe du monde,
00:11:36tu mets la meilleure équipe possible.
00:11:37Ça veut dire qu'il a considéré
00:11:38que Greg Aldry ne faisait pas partie
00:11:41des meilleurs matchs.
00:11:41C'est ce que ça donne comme message.
00:11:42Si tu veux le faire souffler sur les deux matchs,
00:11:44tu le fais souffler contre les Fidji.
00:11:45Si tu le considères en fait comme capitaine
00:11:47et comme potentiellement un mec indéboulonnable.
00:11:50Maintenant, Galtier, il est marrant.
00:11:53Tu parlais de son changement de cap.
00:11:55Mais quand tu as un cap bien défini
00:11:57avec ton 15, ton 16, ton 17,
00:11:59que tu chouchoutes,
00:12:00en qui tu fais confiance et tout ça,
00:12:02et puis que d'un seul coup,
00:12:03tu changes complètement de cap
00:12:04en disant, bon, maintenant,
00:12:05il y a de la compétition
00:12:07et de la concurrence partout.
00:12:09Mais c'est comme si...
00:12:11Ça montre que tu ne fais rien du tout.
00:12:12Tu as 8 ans, tu as des parents en fait
00:12:14qui d'un seul coup te laissent faire
00:12:16tout et n'importe quoi
00:12:16et d'un seul coup, ils te disent,
00:12:17non, alors à partir de maintenant,
00:12:18ce sera de 7h à midi.
00:12:20Tu pètes un cap,
00:12:21tu ne comprends pas ce qu'il fait.
00:12:22Il n'y a aucun sens.
00:12:23Il n'y a aucune cohérence dans ses choix
00:12:25et Kam Kam l'explique.
00:12:27Comment tu veux suivre le train, là ?
00:12:29Mais surtout, là où on en revient souvent
00:12:31et on l'a fait plein de fois ce débat,
00:12:32notamment avant la tournée d'été,
00:12:34on l'a fait pendant le tournoi,
00:12:35on manque de temps par rapport
00:12:36aux nations du Sud.
00:12:38Non, mais on manque de temps
00:12:40pour travailler ensemble.
00:12:41Et pourtant, c'est le sélectionneur
00:12:42qui a eu le plus de temps
00:12:43par rapport aux autres.
00:12:43Non, je sais bien,
00:12:44mais le problème, c'est qu'en fait,
00:12:45à force de faire des compositions
00:12:46où chaque samedi,
00:12:48tu décides que tel gars,
00:12:49je le récompense pour ça,
00:12:51puis tel gars,
00:12:52il a fait deux mauvais matchs de temps,
00:12:53et en fait, tu ne fais pas travailler
00:12:54tout le monde ensemble.
00:12:56Et là, mine de rien,
00:12:57deux ans, c'est rien du tout pour préparer
00:12:59parce que si on compte que
00:13:00la prochaine échéance,
00:13:01c'est déjà le tournoi 2026,
00:13:03tu es à un an et des brouettes
00:13:05de la prochaine coupe du mois.
00:13:06Et un an, ce n'est pas assez.
00:13:07Non, et donc, tu ne sais pas,
00:13:08par exemple, tu n'as aucune certitude,
00:13:10première ligne,
00:13:11troisième ligne,
00:13:12paire de sens.
00:13:12Mais ça, c'est son problème,
00:13:13ce n'est pas le nôtre.
00:13:13Donc en fait, tes seules certitudes,
00:13:15c'est ta charnière
00:13:15parce que tu intègres Dupont
00:13:17à côté d'Antamac,
00:13:18tes deux ailiers
00:13:19parce que c'est deux feufolets
00:13:20et voilà,
00:13:21Ramos à l'arrière.
00:13:22Mais après, le reste,
00:13:23tout est mouvement
00:13:24et tu n'as pas de socle, en fait.
00:13:25Normalement, tu devrais déjà,
00:13:26et c'est comme ça
00:13:27que se construit l'équipe
00:13:29d'obt-championne du monde entier.
00:13:30Tu fais un socle par rapport à des hommes,
00:13:33pas par rapport à une philosophie de jeu,
00:13:34par rapport à un système,
00:13:35par rapport à quelque chose de défini.
00:13:36Tu comprends ce que je veux dire ?
00:13:37Oui.
00:13:37C'est-à-dire qu'évidemment,
00:13:39un Aldrit par rapport à un autre joueur
00:13:42ou un Ficou par rapport à un autre joueur,
00:13:43il y a des caractéristiques de joueurs
00:13:45qui sont différentes.
00:13:45Donc, n'empêche que ta façon de jouer
00:13:47ou ta philosophie,
00:13:48elle ne doit pas bouger du nord au sud.
00:13:50Tu comprends ce que je veux dire ?
00:13:50Si, parce que lui,
00:13:51il s'adapte à l'adversaire.
00:13:52Justement, c'est peut-être là
00:13:53le problème, finalement.
00:13:54Oui, oui.
00:13:55Je fais un petit pas de côté, peut-être,
00:13:56mais le brassard,
00:13:57j'ai l'impression que c'est un brassard
00:13:58tournant dans ce 15 de France.
00:14:00Alors, Dupont, évidemment,
00:14:01de côté en ce moment,
00:14:01mais il y a eu Ficou,
00:14:02il y a eu Olivon,
00:14:03il y a eu Aldrit.
00:14:04Est-ce que ça doit tourner autant,
00:14:05le brassard ?
00:14:05C'est un symbole fort, quand même.
00:14:07C'est parce que Dupont n'est pas là,
00:14:08parce que sinon, après,
00:14:09si Dupont est là, il ne change pas.
00:14:09Il n'y a pas un deuxième
00:14:10à qui c'est lui tout le temps le capitaine.
00:14:12Ça tourne.
00:14:12Tu vois, par exemple,
00:14:13l'histoire de remettre Aldrit,
00:14:15capitaine,
00:14:17moi, ça ne me surprend pas plus que ça.
00:14:19À partir du moment où il est capitaine,
00:14:20même si tu l'as enlevé une fois,
00:14:21tu le remets,
00:14:22capitaine, ça ne pose pas de problème.
00:14:23Par contre,
00:14:25je ne sais pas si lui,
00:14:26il le vit comme une récompense,
00:14:27en fait,
00:14:27par rapport à ça,
00:14:28par rapport à ce qui s'est passé avant.
00:14:29Il n'y a pas réellement de logique
00:14:31de t'enlever contre l'Afrique du Sud
00:14:32et après,
00:14:32de te remettre pour...
00:14:33Ça n'a pas de sens, en fait.
00:14:34Il a mal vécu,
00:14:35la mise à l'écart.
00:14:35C'est le staff des Bleus
00:14:36qui l'a...
00:14:37Oui, mais c'est un mec exemplaire
00:14:38qui va bosser,
00:14:39qui va avoir...
00:14:40Donc, tu sais,
00:14:40des fois aussi,
00:14:41les entraîneurs profitent un petit peu
00:14:43de la nature plutôt gentille du mec.
00:14:45Et ça,
00:14:47ce n'est pas toujours...
00:14:48Ça te dessert quelquefois
00:14:49par rapport à des gens
00:14:50qui l'ont fait à Grégatrice,
00:14:50parce qu'il savait justement
00:14:51qu'en fait,
00:14:52tu n'aurais pas l'étadamme derrière.
00:14:54Si tu le fais...
00:14:54Tu as vu comment ça s'est passé
00:14:55avec Jalibert ?
00:14:56Ça a été très compliqué
00:14:57parce que Jalibert,
00:14:58il a une personnalité,
00:15:00il ne voit pas le rapport au Bleu
00:15:01peut-être de la même manière
00:15:02qu'Agrégatrice.
00:15:03Damien Penneau aussi,
00:15:04ça a été très compliqué.
00:15:05Exactement.
00:15:05Je suis passé 4 heures avec lui.
00:15:07Et là,
00:15:07tu fais semblant de passer un message
00:15:08avec un mec
00:15:09à qui tu sais que tu n'auras pas de problème.
00:15:12Tu sais complètement qu'en fait,
00:15:13tu n'auras zéro problème dans le vestiaire
00:15:14et qui va être irréprochable
00:15:15en tant qu'attitude.
00:15:16Pour répondre à ta question
00:15:17par rapport au Capitana,
00:15:18moi,
00:15:18je considère que ce n'est pas quelqu'un
00:15:21qui a besoin de ça en fait
00:15:22pour être leader à l'intérieur
00:15:23d'un vestiaire et d'un effectif.
00:15:25C'est un mec qui est écouté,
00:15:26c'est un mec qui prend la parole
00:15:28quand il faut la prendre
00:15:28et quand il parle,
00:15:29tout le monde l'écoute.
00:15:30Maintenant,
00:15:32je ne sais pas comment c'est
00:15:33dans le rugby.
00:15:34En l'absence de Dupont,
00:15:34c'est qui l'homme fort ?
00:15:36C'est un cadre.
00:15:37Pour moi, c'est lui.
00:15:37Pour moi, c'est lui,
00:15:39le leader avec Charles Olivon.
00:15:42Charles Olivon,
00:15:43il a été destitué
00:15:44quand il s'est blessé
00:15:44la première fois
00:15:45lors du premier mandat galtier.
00:15:47C'est comme ça
00:15:47qu'Antoine a récupéré le brassard.
00:15:49Mais aujourd'hui,
00:15:50c'est ces trois gars-là
00:15:51qui...
00:15:51Et Ramos, non ?
00:15:52Ramos, c'est un leader
00:15:54mais il n'aime pas avoir le brassard.
00:15:55De toute façon,
00:15:56il n'a pas besoin de ça.
00:15:58Il va déjà parler
00:16:00un petit peu à l'arbitre.
00:16:01Ça fait partie des vice-capitaines
00:16:03mais entre guillemets,
00:16:04tu as besoin d'avoir
00:16:05un capitaine plutôt devant,
00:16:07etc.
00:16:08Encore du jeu.
00:16:08Pour moi,
00:16:09les deux hommes forts,
00:16:10c'est Aldrich et Olivon.
00:16:12En tout cas,
00:16:12demain,
00:16:13le captain run
00:16:13à l'entraînement du capitaine
00:16:14et samedi,
00:16:15France-Fidji à Bordeaux
00:16:16sur la pelouse de l'UBB
00:16:17avec certains joueurs
00:16:18qui évolueront à la maison.
00:16:20La petite musique,
00:16:20on part en pub
00:16:21et puis après,
00:16:21attention,
00:16:22on ira sur la planète sport
00:16:23prendre des nouvelles
00:16:23de l'équipe de France
00:16:24de Biathlon
00:16:25parce que Justine Brézard-Doucher
00:16:27a pris la parole
00:16:27après l'affaire de la fraude
00:16:28à la carte bleue
00:16:29dont elle a été victime.
00:16:30Ses premiers mots
00:16:31depuis la condamnation
00:16:32de sa coéquipière.
00:16:33On a aussi des nouvelles
00:16:34de Julia Simon.
00:16:35A tout de suite.
00:16:35aux prochains Jeux Olympiques
00:16:49de 2028,
00:16:49le 100 mètres féminin
00:16:50dès le premier jour
00:16:51de compétition.
00:16:52On bouscule la programmation
00:16:53habituelle à LA.
00:16:55Est-ce que c'est une bonne
00:16:55ou une mauvaise idée
00:16:56pour valoriser cette épreuve ?
00:16:57Pas forcément,
00:16:58selon nos experts.
00:16:59Et on sera avec une ancienne
00:17:00sprinteuse olympique
00:17:01qui est dans un instant
00:17:02dans l'équipe de choc.
00:17:0217h10,
00:17:04attention,
00:17:04je vais faire le jingle.
00:17:06On se connecte
00:17:07sur l'équipe live.
00:17:08Pourquoi ?
00:17:09Première demi-finale
00:17:10de barrage de la zone Afrique.
00:17:12Ça se joue au Maroc.
00:17:13Nigeria-Gabon.
00:17:14C'est un match hyper important.
00:17:15Suspense total
00:17:16entre ces deux-là.
00:17:17Le Nigeria est leader du groupe,
00:17:19les Super Eagles.
00:17:20Le Gabon est troisième
00:17:21et il y a un gros duel annoncé
00:17:22entre les deux buteurs en forme
00:17:24au Simen face à Aubameyang.
00:17:25Le match vient de commencer.
00:17:270-0.
00:17:27C'est un peu les...
00:17:28C'est pas un peu, d'ailleurs.
00:17:29C'est les demi-finales
00:17:29de la zone Afrique.
00:17:31Ce soir, il y aura
00:17:31Cameroun-Congo
00:17:32un peu plus tard
00:17:33mais il n'y en aura qu'un seul
00:17:34à la fin en Coupe du Monde.
00:17:35Donc, n'hésitez pas.
00:17:36Dirigez-vous tout de suite
00:17:37sur l'équipe live foot.
00:17:38Je ne propose pas un but en direct ?
00:17:39Non.
00:17:40En général, ça ne marche pas.
00:17:41C'est pas comme si on était au basket
00:17:42où il y avait à peu près
00:17:43600 paniers par match.
00:17:44Si vous voulez voir un but,
00:17:45ça se passe sur l'équipe live foot.
00:17:46On va sur la planète sport,
00:17:47moi, Juju ?
00:17:47Avec plaisir.
00:17:49Non, ce n'est pas le même.
00:17:50Ce n'est pas le même jeu.
00:17:52Et du biathlon pour démarrer
00:17:53cette planète sport
00:17:54avec Justine Bresas-Boucher
00:17:56actuellement en stage
00:17:56avec l'équipe de France
00:17:57en Savoie.
00:17:58La championne olympique
00:17:59de la Mastart
00:18:00qui avait porté plainte
00:18:01contre Julia Simon
00:18:02dans l'affaire de la fraude
00:18:03à la carte bancaire
00:18:03est revenue sur cette histoire.
00:18:06On rappelle que Julia Simon
00:18:07a été condamnée
00:18:07à trois mois de prison
00:18:08avec sursis
00:18:08et 15 000 euros d'amende
00:18:09par la justice.
00:18:10Elle a aussi été suspendue
00:18:12un mois
00:18:12par la commission de discipline
00:18:13de la Fédé française de ski.
00:18:15Elle ne participe donc pas
00:18:17à ce stage
00:18:17avec les autres biathlètes.
00:18:18La déclaration donc
00:18:19de Justine Bresas-Boucher.
00:18:20« Je fais de mon mieux
00:18:21pour faire la part des choses
00:18:22entre le terrain
00:18:23et ce qui peut être
00:18:24de l'ordre de l'extrasportif.
00:18:26C'est ce pourquoi je travaille
00:18:27et le reste,
00:18:28j'essaie d'en faire abstraction
00:18:30au maximum.
00:18:31Ce n'est pas toujours facile.
00:18:32Plus loin,
00:18:33elle déclare qu'elle
00:18:34respecte sincèrement
00:18:35l'athlète
00:18:35en parlant de Julia Simon
00:18:36à partir du moment
00:18:37où on me respecte aussi
00:18:38et que je peux faire ma mission
00:18:40qu'on n'entrave pas
00:18:41ma carrière sportive.
00:18:42Il n'y a pas de sujet.
00:18:43Franchement,
00:18:43Gamcam,
00:18:44moi je l'ai trouvé
00:18:44très très classe
00:18:45dans sa déclaration.
00:18:47Oui,
00:18:47grande classe
00:18:48je trouve.
00:18:49en tout cas,
00:18:51elle met de côté
00:18:52cette histoire
00:18:54qui traîne
00:18:54depuis deux ans quand même.
00:18:56Ça a été très compliqué.
00:18:57On le sent
00:18:57à travers l'interview
00:18:58qu'elle n'a pas du tout
00:19:00été épargnée.
00:19:00Elle est passée
00:19:01même un temps
00:19:02pour une espèce de victime
00:19:03jusqu'à ce qu'il y ait
00:19:04cette sanction
00:19:05infligée à Julia Simon.
00:19:09On l'a traité
00:19:09presque un peu
00:19:10de venteuse.
00:19:11C'est compliqué.
00:19:13Et malgré tout,
00:19:14ça montre aussi
00:19:14la force mentale
00:19:15qu'elle a eue.
00:19:15C'est que ça ne l'a pas
00:19:16empêché de performer,
00:19:17de rester dans sa bulle,
00:19:18de bien s'entraîner,
00:19:19d'être focalisée.
00:19:21En plus,
00:19:21elle a son double projet.
00:19:23Maintenant,
00:19:23elle a sa vie de femme aussi.
00:19:25Non,
00:19:25non,
00:19:26moi,
00:19:26je trouve que
00:19:27pour le coup,
00:19:28son état d'esprit,
00:19:28il est super.
00:19:29Après,
00:19:29c'est dans quel état
00:19:30Julia Simon retrouvera
00:19:31elle les bleus
00:19:32sachant qu'elle s'entraîne
00:19:33à part.
00:19:33en espérant que les retrouvailles
00:19:37ne soient pas,
00:19:38une fois qu'il y a la sanction,
00:19:39que ça ne remette pas
00:19:40un petit grain de sel.
00:19:41Eric,
00:19:42tu veux dire ?
00:19:43Non,
00:19:43mais déjà,
00:19:44forcément,
00:19:45ça impacte ta carrière
00:19:47et ta façon
00:19:48de mentalement,
00:19:50dans ta préparation,
00:19:50dans ta façon
00:19:51de voir les choses,
00:19:52dans tes valeurs.
00:19:52Parce que tu as été trahi
00:19:54par une coéquipière
00:19:56qui,
00:19:56ce n'est pas rien,
00:19:58en fait,
00:19:58de tuiquer de l'argent,
00:19:59ce n'est pas rien non plus.
00:19:59Donc,
00:20:00déjà,
00:20:01chapeau pour sa réaction
00:20:02et son comportement.
00:20:04J'ai une question
00:20:06sur la sanction
00:20:06de la FED,
00:20:07un mois de sanction.
00:20:08Non,
00:20:08mais on a fait le débat
00:20:09la semaine dernière.
00:20:10Je ne sais pas
00:20:11la semaine dernière,
00:20:11mais je trouve ça hallucinant.
00:20:12Tu parles tout en vacances aussi.
00:20:14Je trouve ça hallucinant.
00:20:15C'est beau en vacances.
00:20:16Allez nous regarder,
00:20:17Eric.
00:20:17Allez nous regarder.
00:20:18En ce moment,
00:20:19Julia Simon,
00:20:19justement,
00:20:20s'entraîne seul
00:20:21et garde le lien
00:20:22avec ses entraîneurs
00:20:23de l'équipe de France,
00:20:24Cyril Burdet
00:20:24et Jean-Paul Giacchino.
00:20:26On apprend ça
00:20:27sur le site L'Equipe,
00:20:28que la biathlète
00:20:29est touchée aussi
00:20:30par toutes les résonances
00:20:31liées à son affaire
00:20:32et qu'elle ne semble pas
00:20:32pour le moment
00:20:33dans les meilleures
00:20:34dispositions sportives.
00:20:36Cyril Burdet avoue,
00:20:37on va attendre
00:20:38que les sanctions
00:20:39soient levées
00:20:39et on verra ensuite
00:20:40son niveau sportif.
00:20:42Il faudra trouver le moyen
00:20:43de juger son état de forme.
00:20:44Pierrot,
00:20:44mentalement,
00:20:45moi je me demande
00:20:46comment elle va réussir
00:20:47à surmonter tout ça,
00:20:48Julia Simon ?
00:20:49Moi aussi,
00:20:52honnêtement,
00:20:52mais on peut se poser
00:20:53cette question
00:20:54avec des personnes
00:20:55qui sont censées
00:20:56et des personnes
00:20:57qui sont raisonnables
00:20:58et qui comprennent
00:20:58comment elles fonctionnent.
00:21:00Le problème,
00:21:00c'est que là,
00:21:00Julia Simon,
00:21:01je pense qu'elle est
00:21:01un peu paumée,
00:21:02elle ne sait pas
00:21:02qui elle sait,
00:21:03elle ne se rappelle pas
00:21:03d'avoir fait ce geste-là
00:21:04et d'avoir fait ça.
00:21:05Donc,
00:21:06je ne suis pas sûr
00:21:06qu'elle soit super saine
00:21:07d'esprit tout de suite.
00:21:09Donc,
00:21:09moi je ne serais même
00:21:10pas impressionné en fait
00:21:11qu'elle revienne
00:21:12à son niveau qu'elle avait
00:21:13et qu'elle fasse
00:21:14comme si ça n'avait
00:21:15jamais existé.
00:21:16Je ne sais pas comment...
00:21:17Je pense qu'elle peut
00:21:17occulter ça ?
00:21:18Elle l'a occulté
00:21:19pendant deux ans
00:21:20et elle a menti
00:21:20à tout le monde,
00:21:21elle performait toujours
00:21:22avec tout le monde.
00:21:22Elle a dit la vérité,
00:21:22c'est sorti là maintenant.
00:21:23Mais justement,
00:21:24en fait,
00:21:24ça va être le plus dur,
00:21:25ça va être pour elle
00:21:26mais quand tu n'es pas
00:21:27consciente,
00:21:28elle n'était pas consciente
00:21:29de ce qu'elle a fait
00:21:30à ce moment-là,
00:21:30il faut quand même
00:21:31s'imaginer le truc.
00:21:31Moi,
00:21:32je pense qu'elle est malade.
00:21:33Je pense que c'est
00:21:33une maladie mentale.
00:21:35Kleptomanie,
00:21:36c'est une maladie,
00:21:36il faut la soigner.
00:21:37Maintenant,
00:21:38elle est complètement
00:21:38dans le déni
00:21:39et quand tu es dans le déni,
00:21:41tu crois que tu n'as rien fait
00:21:41donc tu vas continuer
00:21:42de faire ce que tu fais
00:21:43et performer comme elle l'a fait.
00:21:44Moi,
00:21:45je ne sais absolument pas
00:21:45comment elle va gérer la chose
00:21:46et gros coup de chapeau
00:21:47à Justine Brézasse-Boucher.
00:21:48Non mais c'est vrai,
00:21:49il y a deux choses,
00:21:50c'est ta raison,
00:21:50c'est de savoir
00:21:51si elle est dans le déni
00:21:52et du coup,
00:21:53ça va certainement l'aider
00:21:57à gérer la chose
00:21:58mais c'est surtout
00:21:58l'accueil des autres
00:22:00qui va faire que
00:22:00comment tu vas te retrouver
00:22:02et dans ton groupe
00:22:04et dans tes performances
00:22:05à toi aussi
00:22:06parce que c'est une chose
00:22:07le côté physique,
00:22:08le côté mental
00:22:08mais après derrière,
00:22:10comment tu fais
00:22:10pour réintégrer un groupe
00:22:11que tu as trahi quelque part ?
00:22:13Il faut que tu sois accepté,
00:22:14tu n'as qu'une solution en fait.
00:22:15Non mais surtout,
00:22:15attention,
00:22:16elle n'avait pas conscience
00:22:17et l'enquête a mis du temps,
00:22:19depuis deux ans,
00:22:20on a parlé de cette affaire,
00:22:21etc.
00:22:21Maintenant,
00:22:22il y a eu un verdict,
00:22:22il y a eu des sanctions.
00:22:24Donc ça rend la chose
00:22:24encore plus palpable.
00:22:25Pour elle,
00:22:26ça rend la chose concrète,
00:22:27elle a quand même expliqué déjà
00:22:28qu'elle travaillait mentalement
00:22:29pour se rendre compte
00:22:29de ce genre de choses
00:22:31qu'elle avait faites
00:22:31à ses coéquipières,
00:22:33etc.
00:22:33Donc là,
00:22:34aujourd'hui,
00:22:34c'est quand même
00:22:34un petit peu plus concret
00:22:35donc ça risque d'être
00:22:36plus dur à accepter
00:22:37et plus difficile à vivre
00:22:39son retour en équipe de France.
00:22:40Le biathlon fera son grand retour
00:22:42sur la chaîne de l'équipe
00:22:43samedi et dimanche
00:22:44à partir de 11h.
00:22:45Vous pourrez suivre
00:22:46les courses de pré-saison
00:22:47et puis la première étape
00:22:49de cette Coupe du Monde
00:22:50de biathlon,
00:22:51ce sera le 29 novembre,
00:22:52le samedi 29 novembre.
00:22:54Soyez au rendez-vous.
00:22:54Direction maintenant
00:22:55la NBA,
00:22:56les Spurs de Wemby
00:22:57ont livré un gros match,
00:22:58un très gros match
00:22:59contre les Warriors
00:23:00de Steph Curry
00:23:00et malheureusement,
00:23:01la franchise de San Antonio
00:23:02s'incline 125 à 120.
00:23:04Wemby a réalisé
00:23:05une prise à XXL
00:23:06encore une fois
00:23:07triple double
00:23:08pour l'intérieur français
00:23:09le premier de la saison.
00:23:1031 points,
00:23:1115 rebonds
00:23:12et 10 passes décisives
00:23:13pour le français.
00:23:15Mais Wemby a également
00:23:16perdu 8 ballons
00:23:17dans le match
00:23:17et il est tombé
00:23:18sur un immense
00:23:19Steph Curry
00:23:20qui a pris le feu
00:23:20en seconde période.
00:23:22Le meneur des Warriors
00:23:23termine la rencontre
00:23:24avec 46 points
00:23:25et des 3 points
00:23:26venus de l'espace
00:23:27comme souvent
00:23:28avec Steph Curry.
00:23:30Il a mis 31 points
00:23:31en seconde période.
00:23:32En fait,
00:23:33il a tenu
00:23:33à faire respecter
00:23:34la hiérarchie quelque part
00:23:35Steph Curry
00:23:36face à Wemby ?
00:23:38Non ?
00:23:39Mais c'est bien
00:23:39qu'il y a du répondant.
00:23:40On ne va pas dire
00:23:41que tous les jours
00:23:42Wemby est extraordinaire.
00:23:43C'est incroyable
00:23:44ce qu'il a mis.
00:23:45Même défensivement,
00:23:46il a pris tout le monde.
00:23:47Là, c'est cool
00:23:47d'avoir des gars
00:23:48de son niveau,
00:23:49de son calibre.
00:23:50avec qui il va pouvoir
00:23:52rivaliser,
00:23:54se mesurer,
00:23:55etc.
00:23:55Il est invité
00:23:56à la table
00:23:56de ces gars-là.
00:23:57Maintenant,
00:23:57il va falloir
00:23:58qu'il arrive
00:23:58à les battre
00:23:58sur la saison régulière.
00:24:00Il y a plus que ça.
00:24:01Lui,
00:24:01avec ses performances,
00:24:02il les pousse aussi
00:24:03à être encore plus performants.
00:24:06C'est ça
00:24:06qui est super intéressant
00:24:08et qui va donner
00:24:08encore plus d'intérêt
00:24:09au championnat.
00:24:11Mais je pense
00:24:12que Wemby,
00:24:12il est parti
00:24:12sur des stats
00:24:13et mentalement,
00:24:15il a vraiment envie
00:24:15d'exposer tout le monde
00:24:16et de se dire
00:24:17je suis impressionné
00:24:19par Curie encore
00:24:20qu'Wemby.
00:24:21C'est normal.
00:24:22On banalise
00:24:23le fait qu'il met
00:24:2338 points
00:24:24et combien en deuxième mi-temps ?
00:24:26Il en a mis 31.
00:24:2731 en deuxième mi-temps.
00:24:28Ça veut dire
00:24:28que le gars joue
00:24:29à peu près 17 minutes
00:24:30et il met 31 points.
00:24:31C'est pas normal.
00:24:32Il shoot en fermant les yeux,
00:24:34il shoot d'une main,
00:24:35il shoot à l'envers.
00:24:36Il shoot de derrière le palier.
00:24:37Il est infernal.
00:24:40T'as l'impression
00:24:40que t'es dans un jeu vidéo
00:24:41où l'autre,
00:24:42il a 99 partout
00:24:43en shoot.
00:24:44C'est impressionnant.
00:24:45Autre perf folle
00:24:46cette nuit,
00:24:47celle du Joker.
00:24:48Nicolas Jokic
00:24:48a inscrit,
00:24:49écoutez bien,
00:24:5055 points.
00:24:52Ça fait beaucoup
00:24:52la nuit.
00:24:53Lors de la victoire
00:24:54de sa franchise,
00:24:55les Denver Nuggets.
00:24:57130 à 116
00:24:58contre les Clippers
00:24:59de Los Angeles.
00:25:0055 points.
00:25:01Donc oui,
00:25:01je le redis encore une fois
00:25:02parce que le chiffre
00:25:03peut paraître tellement insensé.
00:25:05Avec un 18 sur 23
00:25:06au tir,
00:25:07il a ajouté 12 rebonds
00:25:08et 6 passes
00:25:09à son match.
00:25:09Le tout en 34 minutes.
00:25:11Il avait mis 55 points.
00:25:14Non, il est égal.
00:25:14Le meilleur total de la saison.
00:25:16de 55 points
00:25:17établi par
00:25:17Sheik Gildjus
00:25:18Alexander.
00:25:19Tout ça pour vous dire
00:25:20que la course au MVP
00:25:21va être sympa
00:25:21cette saison.
00:25:22Avec Jokic,
00:25:23Donzic,
00:25:24Wemby bien sûr.
00:25:25Steph Curry,
00:25:25qu'il ne faut pas oublier.
00:25:26Oui Eric ?
00:25:26Non mais lui,
00:25:27ce qui est super intéressant,
00:25:29il est incroyable,
00:25:29c'est qu'il est tellement
00:25:30dans la maîtrise
00:25:31et tranquille en fait.
00:25:32Tu as l'impression
00:25:32que tout est facile pour lui
00:25:33et qu'il n'a même pas besoin
00:25:35de forcer ou quoi que ce soit.
00:25:36C'est assez impressionnant
00:25:37cette pétrise de son côté.
00:25:38Mais il n'est pas un cran
00:25:39en dessous Wemby ?
00:25:40Tu dis par rapport
00:25:41à tous ces mecs-là quand même ?
00:25:42Pour l'instant,
00:25:43il est encore en dessous.
00:25:44Il y a Sheik Gildjus
00:25:44Alexander bien sûr
00:25:45qui peut être double MVP
00:25:46s'il fait encore
00:25:47une saison de dingue.
00:25:48Il y a effectivement
00:25:49les Donzic,
00:25:50les Jokic
00:25:50qui sont peut-être
00:25:51devant Wemby.
00:25:52Mais Wemby,
00:25:52il a démarré cette saison
00:25:54comme un avion déjà.
00:25:56Mais quand il y a
00:25:56des stats comme ça,
00:25:57il faut constater
00:25:58qu'il n'y est pas encore.
00:25:59Oui mais il sera invité.
00:26:00Il va être invité
00:26:01toute la saison.
00:26:01T'inquiète pas Française.
00:26:02Toujours dans l'actu basket,
00:26:04en Euroleague maintenant,
00:26:05Lasvel a perdu
00:26:06pour la quatrième fois
00:26:07de suite à l'extérieur
00:26:08dans la compétition européenne.
00:26:10On revient en mode normal.
00:26:11Oui, oui,
00:26:11défaite contre l'Olympien Milan
00:26:1380 à 72.
00:26:15Lasvel en maillot blanc
00:26:16n'a jamais mené dans le match
00:26:17mais n'a pas démérité
00:26:18en revenant souvent
00:26:19à 4 points de son adversaire
00:26:20dans le match
00:26:20grâce aux prestations
00:26:21de Glyn Watson,
00:26:2225 points,
00:26:22et Armel Traoré.
00:26:23L'Eliéfort a inscrit
00:26:2419 points lui.
00:26:25En face,
00:26:26du côté du Milan,
00:26:27l'arrière,
00:26:28Harmony Brooks
00:26:28a lui été le meilleur marqueur
00:26:30milanais avec 23 points.
00:26:31Paf !
00:26:32Au classement Lasvel
00:26:33est toujours dernière
00:26:35avec seulement deux victoires
00:26:36vendredi prochain.
00:26:38Elle jouera à domicile
00:26:38contre le partisan Belgrade.
00:26:41Cam Cam,
00:26:41ça ressemble encore
00:26:42à un long chemin de croix
00:26:43ce parcours en Euroleague
00:26:44pour Lasvel.
00:26:45En réalité,
00:26:46je pense qu'ils
00:26:47prennent ça
00:26:48pour s'aguerrir.
00:26:49Je pense qu'ils n'ont pas
00:26:49de réelles ambitions
00:26:50comme peut l'avoir Monaco
00:26:52qui est invité
00:26:53à la table des très grands
00:26:54et puis le Paris Basketball
00:26:55qui est peut-être
00:26:56un ton en dessous.
00:26:56Un ton en dessous
00:26:59mais qui veut vraiment
00:27:00continuer à progresser,
00:27:01etc.
00:27:02Lasvel est porté
00:27:03par un projet
00:27:04la NBA Europe 2027
00:27:06avec Tipeee.
00:27:07Donc là,
00:27:08je ne vais pas dire
00:27:08qu'ils prennent ça
00:27:09à la légère.
00:27:10Mais entre guillemets,
00:27:11ce n'est pas dramatique
00:27:13ces défaites.
00:27:13C'est vraiment
00:27:14une équipe jeune
00:27:15qui est en construction.
00:27:17Je crois qu'ils sont là.
00:27:18Tu ne t'en fous pas.
00:27:18Tu joues quand même pour...
00:27:19Tu joues,
00:27:20mais c'est de la prépa.
00:27:20Ils savent très bien
00:27:21qu'ils ne vont pas rester
00:27:22en Euroleague.
00:27:22Ils ont déjà leurs idées
00:27:23sur les années prochaines.
00:27:23Ah carrément !
00:27:24On a basculé dans ce monde.
00:27:25Il est déjà en NBA Europe
00:27:26par cœur.
00:27:27Ça y est,
00:27:27c'est fini l'Euroleague.
00:27:28En plus,
00:27:28je crois qu'ils ont reçu
00:27:29une sanction
00:27:30de la part de l'Euroleague.
00:27:30Ah oui,
00:27:31mais interdit
00:27:31sur le côté financier.
00:27:32Il n'en a plus rien à foutre
00:27:33de l'Euroleague.
00:27:34C'est comme ça que je le pense.
00:27:35Ton langage quand même ?
00:27:36Oui,
00:27:36c'est pas un gros mot ça.
00:27:37Non.
00:27:38C'est un peu familier.
00:27:39C'est un peu familier.
00:27:40De la boxe.
00:27:41Oui,
00:27:41bah oui.
00:27:41Super.
00:27:42De la boxe maintenant
00:27:43avec un combat pour le fric,
00:27:45le flouze,
00:27:45le pèse,
00:27:46les dollars,
00:27:46l'ancien champion du monde
00:27:48des poils lour.
00:27:49Anthony Joshua,
00:27:5036 ans,
00:27:51devrait affronter
00:27:52le youtubeur devenu boxeur
00:27:53Jack Paul,
00:27:5428 ans.
00:27:55Le combat pourrait avoir lieu
00:27:56en décembre à Miami
00:27:57et devrait être diffusé
00:27:59sur Netflix.
00:28:00Anthony Joshua n'a plus combattu
00:28:01depuis sa défaite
00:28:02en septembre 2024
00:28:03contre Daniel Dubois.
00:28:04Jack Paul,
00:28:05lui,
00:28:05avait combattu
00:28:06déjà sur Netflix
00:28:07la légende Mike Tyson,
00:28:0858 ans.
00:28:09Il l'avait battu au point
00:28:11il y a tout juste un an.
00:28:12Mais moi,
00:28:13j'en ai marre.
00:28:13J'en ai marre
00:28:14de ces combats montés
00:28:15de toutes pièces.
00:28:16C'est un combat pour l'argent,
00:28:17pas pour la boxe.
00:28:18Jack Paul avait ramassé
00:28:2040 millions de dollars
00:28:21face à Tyson.
00:28:22Là,
00:28:22contre Anthony Joshua,
00:28:23je m'attends à une bourse
00:28:24encore plus lucrative.
00:28:25Il ne faut pas se mentir.
00:28:26En vrai,
00:28:26même,
00:28:27je trouve ça dangereux
00:28:28parce qu'on parle de Joshua
00:28:29un poids lourd
00:28:30qui est une référence
00:28:31dans sa catégorie
00:28:32qui a salement envoyé au tapis.
00:28:33Souvenez-vous,
00:28:34Francis Hengen,
00:28:35combattant MMA,
00:28:36une armoire à glace.
00:28:38Là,
00:28:38il va faire face
00:28:38à Jack Paul.
00:28:40La santé de Jack Paul,
00:28:41moi,
00:28:41j'ai peur pour lui.
00:28:42Ça peut être dangereux
00:28:43pour lui.
00:28:44Et inversement,
00:28:45si Joshua ne bat pas Jack Paul,
00:28:47ça va décrédibiliser la boxe.
00:28:49On peut avoir son vrai...
00:28:50Vas-y !
00:28:52C'est ton domaine,
00:28:53la boxe.
00:28:53Non,
00:28:53mais pourquoi j'argume...
00:28:54C'est plutôt clair
00:28:55ce que je viens de te raconter.
00:28:56Anthony Joshua,
00:28:56c'est un vrai boxeur.
00:28:57Il va rencontrer un youtubeur
00:28:58qui est devenu boxeur professionnel.
00:29:00Et ça ne remet pas
00:29:00qu'il le mette à l'amende
00:29:02et qu'il le remette à sa place.
00:29:03Justement,
00:29:04c'est ça.
00:29:05Moi,
00:29:05le coup-balle est pour ça.
00:29:06Il fait plus de 2 mètres,
00:29:07il fait plus de 100 kilos.
00:29:09S'il éteint la lumière
00:29:10à Jack Paul,
00:29:10il peut avoir des conséquences
00:29:12irréversibles sur sa santé.
00:29:14Mais ça,
00:29:16c'est son problème.
00:29:19Je trouve que c'est une mauvaise image
00:29:21pour la boxe.
00:29:21C'est une mauvaise image,
00:29:22mais surtout,
00:29:23ça fait très combat truqué.
00:29:24On n'a même pas envie de regarder.
00:29:25C'est que de l'argent.
00:29:26Tu l'as très bien expliqué.
00:29:27Est-ce qu'il va durer,
00:29:28le combat, surtout, déjà ?
00:29:29Je ne pense pas.
00:29:30J'espère pas.
00:29:31Oui,
00:29:31tu n'esperes pas.
00:29:32Mais moi,
00:29:33je trouve que c'est catastrophique
00:29:34pour les matchs de Joshua.
00:29:35Ça veut dire qu'en fait,
00:29:36ce n'est plus un boxeur.
00:29:37Il n'est plus invité
00:29:37à faire des vrais combats.
00:29:39Ça veut dire que maintenant,
00:29:40tu es passé dans le côté business.
00:29:42C'est quand, ce combat ?
00:29:43C'est en décembre.
00:29:43Il n'y a pas de date précise.
00:29:44Tu vas regarder, toi ?
00:29:45Non.
00:29:45Voilà, c'est vrai.
00:29:46Tu vas regarder d'un oeil.
00:29:48Tu vas regarder d'un oeil, quand même.
00:29:50Allez, 17h,
00:29:50va-t-on.
00:29:50Un petit peu d'athlétisme à présent.
00:29:52On va se projeter loin,
00:29:53encore plus loin que décembre.
00:29:54On va se projeter
00:29:54vers les Jeux olympiques de 2028.
00:29:57Mais c'est une petite révolution
00:29:59que nous prépare LA
00:30:00avec du changement
00:30:01dans la programmation des épreuves.
00:30:02Et quel changement, Juju ?
00:30:03Oui, en français,
00:30:04le 100 m féminin
00:30:05va connaître une petite révolution.
00:30:07Il aura lieu
00:30:07dès le premier jour
00:30:09des Jeux olympiques
00:30:09de Los Angeles.
00:30:10Une première dans l'histoire
00:30:11de l'athlétisme.
00:30:12C'est la directrice
00:30:13de l'organisation
00:30:14des Jeux de 2028,
00:30:15Shana Ferguson,
00:30:17qui nous l'a annoncé hier.
00:30:18Nous voulons commencer
00:30:19en beauté.
00:30:20Le 100 m est l'une
00:30:21des courses les plus regardées
00:30:22des Jeux.
00:30:23Nous souhaitions commencer
00:30:24par une démonstration
00:30:25des femmes
00:30:25les plus rapides du monde.
00:30:28Pour rendre ça possible,
00:30:29vous dire que les trois tours
00:30:30séries demi et finales
00:30:31auront lieu sur une seule journée
00:30:33contre deux, normalement.
00:30:35Donc, on va en discuter,
00:30:36je crois, avec une athlète.
00:30:38Dans un instant,
00:30:38on sera avec quelqu'un
00:30:40qui a disputé
00:30:40les Jeux olympiques,
00:30:41une ancienne sprinteuse
00:30:42qui nous donnera son avis.
00:30:43Mais d'abord,
00:30:43je vais vous entendre
00:30:43en plateau.
00:30:44Est-ce que c'est une bonne
00:30:44ou une mauvaise idée ?
00:30:46Est-ce que ça va vraiment
00:30:46valoriser cette épreuve-là ?
00:30:48Pierre Bouby.
00:30:50Valoriser cette épreuve-là,
00:30:51je ne sais pas.
00:30:52Je pense qu'en tant qu'athlète,
00:30:53c'est bien
00:30:54quand tu cours le 100 m,
00:30:55parce que généralement,
00:30:56tu es là justement
00:30:57pendant tout le temps
00:30:58et c'est toi qui cours à la fin.
00:30:59Donc, tu es dans l'émulation,
00:31:00mais je trouve que le temps
00:31:02de latence est super long.
00:31:03Là, commencer direct,
00:31:04que tu es directement
00:31:05profité derrière,
00:31:05je pense que pour l'athlète,
00:31:06c'est bien.
00:31:07Après, pour l'organisateur
00:31:09et l'événement,
00:31:12je n'en sais rien quand même.
00:31:14Je me dis que si j'ai vu
00:31:16ce que je voulais voir
00:31:17dès le début,
00:31:18en fait, après,
00:31:18tu prends ton billet
00:31:19pour deux jours
00:31:19et puis tu rentres chez toi.
00:31:20Donc, je ne suis pas sûr
00:31:21que tu fasses les autres disciplines.
00:31:25Je ne sais pas
00:31:26si ça a déjà été fait,
00:31:28mais en vrai,
00:31:29c'est un vrai test.
00:31:30À voir, je ne sais pas
00:31:31si ça va changer
00:31:31la façon d'aller voir les Jeux
00:31:33ou d'aller voir cet événement-là,
00:31:35je n'ai aucune idée,
00:31:36je n'ai pas de recul.
00:31:37Ne se prononce pas.
00:31:37Je pense que pour l'athlète,
00:31:39c'est plutôt bien
00:31:40quand tu fais le 100 mètres
00:31:40et qu'après,
00:31:41tu puisses profiter justement
00:31:42des Jeux.
00:31:42Il y a du relais,
00:31:43après, éventuellement.
00:31:44Oui, mais ce n'est pas pareil.
00:31:45Tu sais, quand tu cours à la fin,
00:31:46tu as toute la phase de préparation
00:31:48où tu es dans le village olympique,
00:31:50mais il faut que tu te prépares,
00:31:51il faut que tu fasses attention,
00:31:51tu as la presse,
00:31:52mais tu te prépares
00:31:53donc ton truc.
00:31:54Donc, tu as la pression qui monte.
00:31:56Là, le fait de courir au début,
00:32:03et j'aime bien attendre ça,
00:32:05en fait,
00:32:05jusqu'au dernier moment.
00:32:06Je trouve qu'on a des petits...
00:32:07On ne manque que tu n'es pas venu
00:32:07hier après-midi à l'émission
00:32:09parce qu'avec l'aviron...
00:32:10Non, mais je trouve
00:32:11qu'on a des petits bonbons avant
00:32:12et t'attends le Graal.
00:32:14C'est la fameuse finale
00:32:16du 100 mètres homme,
00:32:17du 100 mètres femme
00:32:18sur les deux, trois derniers jours
00:32:20avant les relais.
00:32:21Surtout que je trouve que,
00:32:23globalement,
00:32:23mettre l'athlète au tout début,
00:32:24c'est une très mauvaise idée
00:32:25et on parle du 100 mètres,
00:32:27mais toute la programmation
00:32:28est nulle
00:32:29parce qu'on a la star,
00:32:30Sydney McLaughlin,
00:32:31qui est la star de l'athlète
00:32:33en ce moment,
00:32:34qui ne pourra même pas
00:32:34faire son doublé historique,
00:32:36qui ne pourra pas s'aligner.
00:32:38Je suis très déçue.
00:32:40Pour moi,
00:32:41l'athlète,
00:32:41c'est ce que j'attends le plus au JO
00:32:43et j'aime bien l'avoir à la fin
00:32:44pour terminer en beauté.
00:32:45Eric, bonne mauvaise idée.
00:32:46Moi, je ne suis pas fan non plus
00:32:47et en plus,
00:32:48je ne suis pas fan
00:32:48parce que tout est sur
00:32:49la première journée.
00:32:50Quand tu étales sur deux jours,
00:32:52ce n'est pas pareil.
00:32:52Physiquement,
00:32:53ce n'est pas pareil.
00:32:54Physiquement et mentalement,
00:32:56la préparation n'est pas du tout la même.
00:32:58On ne sait pas.
00:32:58Peut-être que tu peux avoir
00:32:59une fatigue qui s'installe
00:33:01plus facilement
00:33:02quand tu fais tout le même jour
00:33:04que quand tu as
00:33:05un jour de récupération,
00:33:06enfin, pas un jour,
00:33:06une nuit de récupération.
00:33:07Je te propose qu'on demande
00:33:08à quelqu'un
00:33:09qui a disputé
00:33:10quatre Jeux Olympiques
00:33:10dans sa carrière
00:33:11et un podium à Athènes.
00:33:12C'est la sprinteuse Muriel Ortiz
00:33:14qui est avec nous en direct
00:33:14depuis son salon
00:33:16et le petit palmier.
00:33:17Merci, Mumu,
00:33:18d'être avec nous.
00:33:19Muriel,
00:33:19quelle a été ta réaction
00:33:20quand tu as appris cette info,
00:33:23cette nouveauté
00:33:23dans le programme olympique ?
00:33:24Toi, l'ancienne sprinteuse ?
00:33:25Alors, une réaction
00:33:27très métigée
00:33:28parce que dans le sens
00:33:30où je peux comprendre
00:33:31le fait qu'ils veulent mettre
00:33:32en avant
00:33:32les femmes,
00:33:35l'athlète,
00:33:35les sprinteuses
00:33:36en général.
00:33:39Mais d'un autre côté,
00:33:40je pense que c'est au détriment
00:33:41au moment de la performance sportive
00:33:43des athlètes
00:33:44puisque derrière,
00:33:46ces athlètes vont faire
00:33:47toute une journée
00:33:48pour courir les séries
00:33:49demi-finales et la finale.
00:33:51Donc, de la fatigue,
00:33:54on ne se rend peut-être
00:33:55pas forcément compte,
00:33:56mais courir 300,
00:33:573 fois 100 mètres
00:33:58à une telle intensité
00:34:00avec l'influenoré
00:34:01que ça demande,
00:34:01c'est beaucoup de fatigue.
00:34:03Donc, derrière,
00:34:03des athlètes qui peuvent
00:34:04être fatigués,
00:34:05des athlètes qui ont peut-être
00:34:06du mal à récupérer.
00:34:07Certaines athlètes vont aussi
00:34:08enchaîner sur le 200 mètres.
00:34:10Donc, je trouve
00:34:11que ce n'est pas
00:34:13la meilleure façon
00:34:14de mettre
00:34:15l'athlète femme,
00:34:17la sprinteuse femme
00:34:18en avant.
00:34:19Salut, Muriel.
00:34:20Moi, j'aimerais savoir
00:34:21justement,
00:34:22en tant qu'athlète
00:34:22qui a l'habitude
00:34:23de faire ces épreuves-là
00:34:24et ces événements,
00:34:26la plupart aiment
00:34:27cette routine,
00:34:28d'avoir cette habitude
00:34:29de finir les Jeux olympiques
00:34:31justement,
00:34:31de performer à la fin.
00:34:33C'est une routine
00:34:34que vous aimez bien,
00:34:35vous, en tant qu'athlète ?
00:34:38Oui, oui, bien sûr.
00:34:38Alors, on a l'habitude
00:34:39d'être en deuxième semaine.
00:34:42C'est vrai que là,
00:34:42c'est un programme
00:34:43qui est complètement chamboulé.
00:34:44On change complètement
00:34:45les habitudes.
00:34:46Les athlètes qui se retrouvent
00:34:47dès la première semaine,
00:34:49alors que l'athlète,
00:34:50c'est quand même
00:34:50une discipline
00:34:52des Jeux olympiques.
00:34:54Alors, je ne dis pas ça
00:34:55parce que je suis athlète,
00:34:55mais c'est vrai
00:34:56qu'on attend beaucoup
00:34:57de l'athlétisme.
00:34:58On attend cette deuxième semaine,
00:34:59c'est une petite montée
00:35:00en puissance
00:35:00avec toutes les disciplines
00:35:01qui se font en amont
00:35:04sans forcément mettre les autres disciplines
00:35:13de manière plus basse
00:35:16que l'athlétisme.
00:35:18Mais c'est vrai que l'athlétisme,
00:35:20c'est la deuxième semaine.
00:35:22Elle est très attendue.
00:35:23C'est une discipline
00:35:23qui est très attendue.
00:35:24et je trouve
00:35:26cette nouvelle formule
00:35:28un peu dommage.
00:35:30Eric Rabessand-Antana.
00:35:31Salut Muriel.
00:35:32Juste,
00:35:32tu dis qu'il y a une différence
00:35:34peut-être d'une semaine,
00:35:36mais est-ce que dans la préparation,
00:35:37ça change quelque chose ?
00:35:38Physique, je parle.
00:35:39Est-ce que ça change quelque chose
00:35:40ou pas du tout ?
00:35:42Dans la préparation en elle-même,
00:35:44qu'on soit en première
00:35:44ou en deuxième semaine,
00:35:45ça ne change pas grand-chose,
00:35:46mais ça change effectivement
00:35:48sur une préparation
00:35:49le fait qu'on va courir
00:35:52trois courses
00:35:52dans la même journée.
00:35:53Ce n'est pas pareil
00:35:54d'avoir deux courses
00:35:56sur une journée
00:35:59et puis deux courses
00:36:00la deuxième journée.
00:36:01Ça n'a rien à voir
00:36:02en termes d'intensité.
00:36:04Donc oui, là, pour le coup,
00:36:05c'est un autre entraînement,
00:36:06c'est une autre préparation
00:36:08pour que ces athlètes
00:36:09puissent tenir
00:36:10et enchaîner
00:36:11trois tours
00:36:12du 100 m à ce niveau-là.
00:36:15C'est faisable,
00:36:16les séries,
00:36:17les demi,
00:36:17la finale le même jour,
00:36:18mais pour toi,
00:36:19ce sera forcément
00:36:20d'un moins bon niveau
00:36:22que ce qui pourrait être fait
00:36:22dans ces sur deux jours.
00:36:23C'est ça ?
00:36:23Il n'y aura pas de record ?
00:36:24C'est ça, voilà.
00:36:25C'est sûr que du coup,
00:36:27la finale,
00:36:28je pense qu'il n'y aura
00:36:29pas des chronos
00:36:31parce que derrière,
00:36:32ça engendre de la fatigue,
00:36:34ce n'est pas la même récupération.
00:36:38On parle d'un flux nerveux
00:36:39aussi également,
00:36:40donc ce n'est pas la même chose.
00:36:42c'est parce qu'il n'y aura pas de résultats.
00:36:44Pour une finale on l'appuie
00:36:45qu'on veut quand même,
00:36:46on veut des chronos,
00:36:49on veut des résultats
00:36:50et là, pour le coup,
00:36:51ce format-là risque
00:36:52de ne pas permettre
00:36:57de belles performances.
00:36:59Est-ce que ça peut permettre
00:37:00par contre des surprises
00:37:01ou des choses
00:37:02à lesquelles on ne s'attend pas ?
00:37:04Des surprises ?
00:37:08Peut-être que des athlètes
00:37:10qui...
00:37:12Comme ça, je ne vois pas.
00:37:14Je ne vois pas
00:37:14quelles surprises
00:37:15à part peut-être des blessures.
00:37:18Oui, c'est ça.
00:37:19Parce que...
00:37:19Des mauvaises surprises.
00:37:20Et puis, il ne faut pas
00:37:22le négliger.
00:37:23Et ce côté-là.
00:37:24Et puis, attends,
00:37:24ça veut aussi dire
00:37:25pas de cérémonie d'ouverture
00:37:27pour les sprinteuses
00:37:28parce que la cérémonie,
00:37:28c'est le 14,
00:37:29le sprint, c'est le 15.
00:37:30Donc ça aussi,
00:37:31ça ne les met pas en valeur
00:37:32si elles ne font pas partie
00:37:33de la grande fête.
00:37:33Là, il faut penser
00:37:34à tout le monde aussi.
00:37:35Non.
00:37:37Effectivement,
00:37:39là,
00:37:40couère le 15
00:37:40avec une cérémonie
00:37:41la veille,
00:37:42le 14,
00:37:43c'est bien sûr
00:37:44pas envisageable
00:37:45d'aller sur une cérémonie
00:37:46d'ouverture.
00:37:48Ça veut dire,
00:37:49français,
00:37:50que au JO,
00:37:51le programme qui est établi
00:37:52comme ça tous les 4 ans,
00:37:53ça veut dire
00:37:53que c'est tout le temps
00:37:54les mêmes qui ratent
00:37:54la cérémonie ?
00:37:55Non, non.
00:37:55C'est souvent les ça.
00:37:57Là, par exemple,
00:37:57nous, on avait
00:37:58le rugby à 7
00:37:59qui était hors compétition.
00:38:00Ça fait partie
00:38:00des jeunes sports
00:38:01qui ont intégré les JO.
00:38:03Rugby à 7,
00:38:04ça avait commencé le mercredi
00:38:05avant même la cérémonie
00:38:06du vendredi soir.
00:38:07Donc forcément,
00:38:07ils étaient dans leur routine.
00:38:08Tu te dis,
00:38:09c'est pas très grave
00:38:10s'ils participent pas
00:38:11à cette belle fête.
00:38:11Ça veut dire
00:38:12que tu participes jamais.
00:38:12Oui, mais par contre,
00:38:14tu te dis que les athlètes
00:38:15qui sont l'essence même
00:38:17des JO,
00:38:17l'athlétisme,
00:38:18c'est le sport
00:38:19le plus attendu aux JO.
00:38:20Oui, tu hiérarchies en fait.
00:38:21Tu te dis qu'en fait,
00:38:22tous les...
00:38:22Oui, parce qu'on dit ça,
00:38:24les filles,
00:38:24c'est le premier jour
00:38:25et les hommes,
00:38:26c'est le lendemain.
00:38:26Donc ça veut dire
00:38:27qu'en fait,
00:38:28les garçons,
00:38:28pour performer,
00:38:29ça va être très compliqué aussi.
00:38:30Noah Liles,
00:38:31je ne sais pas
00:38:31s'il les porte-drapeau ou quoi,
00:38:32mais si ça se trouve,
00:38:32il ne sera même pas sur le...
00:38:33Non, mais là,
00:38:33parce qu'on parle de ça,
00:38:42même mentalement,
00:38:43je suis certain
00:38:43que ça joue quelque part
00:38:45sur ta motivation,
00:38:46sur une déception en tout cas.
00:38:48Peut-être pas la meilleure idée
00:38:49de l'année en tout cas.
00:38:50Merci beaucoup Muriel Hurtis
00:38:51d'avoir été avec nous.
00:38:52Avec plaisir !
00:38:53On te fait des bisous
00:38:54et on suivra évidemment
00:38:55ces futures échéances.
00:38:57C'est quoi pour vous
00:38:58les plus gros moments
00:38:59des JO ?
00:39:00Il n'y a que 100 mètres
00:39:01et il y a 2-3 petits autres trucs
00:39:02comme ça ?
00:39:02On sait qu'il y a
00:39:02Mando Duplantis du coup.
00:39:03Ah oui, c'est la perche,
00:39:04ça va.
00:39:04Non, mais c'est vrai ça.
00:39:06Non, moi...
00:39:06Natation ?
00:39:07Il y a la natation,
00:39:08t'as une année de basket.
00:39:10Le judo.
00:39:10Le judo avec Tiziriner.
00:39:13La natation
00:39:13parce qu'on a quand même
00:39:14énormément de chances
00:39:15de faire des choses.
00:39:16C'est un vrai chamboulement
00:39:17en tout cas qui va arriver.
00:39:18Lancement de poids.
00:39:19100 mètres.
00:39:20Tu rigoles ?
00:39:21Le javelot.
00:39:22Non, mais c'est un vrai changement.
00:39:23On ne vous a pas donné
00:39:24tous les détails
00:39:24mais ça va impliquer
00:39:25plein de choses.
00:39:26Les nageurs,
00:39:26ce sera la deuxième semaine.
00:39:28Ah oui, c'est enterriné.
00:39:29Madame du CIO,
00:39:29elle a voté.
00:39:30On aura plein de petites nouveautés
00:39:31comme ça tout au long
00:39:33d'ici LA 2028.
00:39:34Après la pub,
00:39:35on revient au foot.
00:39:36On parle du match des Bleus
00:39:37de ce soir.
00:39:38France-Ukraine au Parc des Princes
00:39:39avec en mémoire évidemment
00:39:40les attentats du 13 novembre
00:39:42il y a 10 ans
00:39:42au Stade de France.
00:39:43Vous me direz
00:39:44si l'enjeu sportif
00:39:45est relégué au second plan
00:39:46ce soir.
00:39:46Vous verrez,
00:39:47le plateau est divisé.
00:39:48On revient dans 5 minutes.
00:39:48A tout de suite.
00:39:59Une nouvelle défaite
00:40:00pour les Parisiennes
00:40:01en Ligue des Champions.
00:40:01Vous l'avez suivi hier soir
00:40:02en direct sur notre antenne.
00:40:03C'est Manchester United
00:40:04qui s'est imposé à domicile.
00:40:06Outra Ford,
00:40:070 pointé pour le PSG
00:40:08qui voit s'éloigner
00:40:10la phase finale
00:40:10même si mathématiquement
00:40:11ce n'est pas encore fini.
00:40:12On va tout vous expliquer.
00:40:14Mais d'abord,
00:40:1417h40,
00:40:15on va se pencher sur le match
00:40:15de ce soir bien sûr
00:40:17pour les Bleus.
00:40:17France-Ukraine au Parc des Princes.
00:40:19Un match à enjeu certes
00:40:20avec la calife
00:40:21en Coupe du Monde à valider
00:40:22mais aussi un contexte
00:40:24très lourd
00:40:24avec les commémorations
00:40:26des 10 ans
00:40:26des attentats du 13 novembre.
00:40:28On y reviendra un peu plus tard.
00:40:28On va aller retrouver
00:40:29Giovanni Castaldi,
00:40:30notre envoyée spéciale au Stade.
00:40:32Déjà,
00:40:32on va prendre de ses nouvelles
00:40:33parce que ça fait longtemps
00:40:33qu'on ne l'a pas vu.
00:40:34Gio,
00:40:34est-ce que tu vas bien ?
00:40:35Est-ce que tu es en bonne forme,
00:40:36en bonne santé ?
00:40:38Merci France de s'inquiéter.
00:40:42Pour moi,
00:40:42tout va bien.
00:40:42Ne vous inquiétez pas,
00:40:43je suis en pleine forme.
00:40:44Tout va bien.
00:40:44Bon,
00:40:45alors on est au Parc des Princes.
00:40:45On n'est pas au Stade de France
00:40:47ce soir
00:40:47mais le sujet est forcément
00:40:48dans toutes les têtes,
00:40:48Giovanni.
00:40:51Oui,
00:40:52forcément,
00:40:52c'est un contexte particulier
00:40:54pour toutes les personnes
00:40:55en France,
00:40:55toutes les personnes
00:40:56qui aiment ce pays.
00:40:57Forcément,
00:40:58cette date
00:40:59d'un anniversaire tragique
00:41:00des attentats,
00:41:01on pense tous qu'à ça
00:41:03pour tout vous dire.
00:41:03Là,
00:41:04on est au Stade
00:41:04avec Jérémy Janengro
00:41:05et Charlie Courant
00:41:06qui m'accompagnent.
00:41:07Le dispositif de sécurité
00:41:08pour l'instant
00:41:09n'est pas du tout
00:41:10disproportionné.
00:41:11C'est un dispositif classique
00:41:13qu'on peut retrouver
00:41:13pour les matchs
00:41:15du Paris Saint-Germain
00:41:16en Ligue des Champions
00:41:16qui se déroulent ici
00:41:18et pour les matchs
00:41:18habituels de l'équipe de France
00:41:19puisqu'on le sait,
00:41:20ça fait désormais un certain temps
00:41:21que les Bleus
00:41:21sont au Parc des Princes.
00:41:24Voilà,
00:41:24donc en termes de sécurité,
00:41:26il n'y a pas
00:41:26une lourdeur particulière.
00:41:29Merci beaucoup Giovanni.
00:41:30tu restes avec nous,
00:41:30tu interviens quand tu veux
00:41:31bien sûr.
00:41:33Il y a quand même
00:41:33un gros enjeu ce soir,
00:41:35la qualif en Coupe du Monde
00:41:36en cas de victoire.
00:41:37Est-ce que cet enjeu
00:41:37est relégué au second plan ?
00:41:39Pierre Bouby.
00:41:40Non,
00:41:40absolument pas.
00:41:41Je pense que,
00:41:43moi en tout cas,
00:41:44je trouve que c'est un peu
00:41:45personnel comme question.
00:41:47Bien sûr.
00:41:47Je vais expliquer
00:41:48comment moi,
00:41:50je fonctionne.
00:41:52Je pense qu'il y a un avant
00:41:53où justement,
00:41:54ça ne prend pas le pas
00:41:55mais tu l'as un petit peu
00:41:56dans la tête
00:41:56et tu as la petite musique
00:41:57un petit peu de l'événement
00:41:58et aussi les souvenirs
00:41:59où est-ce que tu étais.
00:42:00Il y a tout ça qui vient.
00:42:02Après,
00:42:03une fois que le coup de sifflet
00:42:04est lancé,
00:42:04en fait,
00:42:05tu ne penses plus à rien
00:42:05et tu es dans ton match
00:42:06et tu es complètement
00:42:07concentré sur ce que tu fais
00:42:08et moi,
00:42:09ça m'arrivait énormément
00:42:10d'avoir des problèmes
00:42:12dans ma vie personnelle
00:42:13où quand le coup de sifflet
00:42:14commençait,
00:42:15en fait,
00:42:15j'ai passé complètement
00:42:16à autre chose
00:42:16et j'occultais quasiment
00:42:18l'intégralité de ma vie
00:42:19pendant ce match-là.
00:42:20Donc,
00:42:22je pense que
00:42:23l'enjeu
00:42:24est largement
00:42:26suffisant
00:42:27pour pouvoir être concentré.
00:42:28C'est quand même
00:42:28une calife à la Coupe du Monde.
00:42:29Ce n'est pas un match amical
00:42:30de Ligue des Nations,
00:42:32je ne sais pas quoi.
00:42:32C'est quand même
00:42:33le match qui peut te déterminer
00:42:34qui plus est contre l'Ukraine
00:42:35où il y a une vraie histoire
00:42:36justement entre ces deux nations.
00:42:38Moi,
00:42:39je suis convaincu que,
00:42:40je parle d'un point de vue sportif
00:42:41encore une fois,
00:42:42je pense que dans l'attitude
00:42:43et les spectateurs,
00:42:44téléspectateurs,
00:42:44ça va être différent.
00:42:45Je pense qu'en termes de sportif,
00:42:47tu es obligé
00:42:47et tu te mettras
00:42:48complètement dans ta bulle
00:42:49et dans la compétition
00:42:50dès que le coup de siffler
00:42:51retentira.
00:42:52À votre avis,
00:42:52qui n'est pas d'accord
00:42:53avec Pierre Bouby en plateau ?
00:42:54J'ai une idée.
00:42:55Camille !
00:42:56Oui,
00:42:56mais moi,
00:42:57en fait,
00:42:58on s'en fiche
00:42:59du match de ce soir.
00:43:00Quand tu vois même
00:43:01ce qui règne
00:43:02comme état d'esprit
00:43:03sur cette équipe de France,
00:43:05Didier Deschamps
00:43:05était très embarrassé
00:43:07que ce match
00:43:09soit programmé
00:43:10à cette date-là.
00:43:10Alors évidemment,
00:43:11ce n'est pas lui,
00:43:12ce n'est pas la Fédération française.
00:43:13C'est un calendrier
00:43:14qui est très verrouillé
00:43:15parce que tous les matchs
00:43:16de ce groupe doivent se jouer
00:43:17ce jour-là.
00:43:18Mais les 10 ans,
00:43:19en fait,
00:43:19c'est symbolique.
00:43:20Je ne dis pas
00:43:20que le 13 novembre
00:43:21a toujours la même saveur
00:43:22chaque année.
00:43:23Mais là,
00:43:23pour le coup,
00:43:24on le sent.
00:43:25Nous,
00:43:25on ne peut pas...
00:43:26On travaille dans les médias.
00:43:27Quand tu allumes la radio
00:43:28depuis une semaine,
00:43:30il n'y a que ça.
00:43:30Tu n'entends que ces discours-là.
00:43:32Tu te replonges
00:43:33beaucoup,
00:43:34je trouve,
00:43:35dans où étais-tu
00:43:36il y a 10 ans,
00:43:36que s'est-il passé,
00:43:38l'impact que ça a eu.
00:43:41Enfin voilà,
00:43:42on a vu...
00:43:42Ce n'est pas bien justement
00:43:43ce devoir de mémoire ?
00:43:44Non,
00:43:44mais tu vois que
00:43:46la Fédération française
00:43:47en appelle à ne pas
00:43:48trop célébrer
00:43:49si il y a calif
00:43:49justement pour ne pas
00:43:51heurter la sensibilité
00:43:53des gens
00:43:53parce qu'il y en a...
00:43:54Leur vie s'est arrêtée
00:43:55ce jour-là.
00:43:56Leur entourage
00:43:57regrette encore
00:43:59leur disparu.
00:44:01En fait,
00:44:01c'est très compliqué
00:44:02qu'Il y en a m'appé
00:44:03qui a été évidemment
00:44:04et il a très bien fait
00:44:05mais obligé
00:44:06de rendre un hommage
00:44:07aux victimes et tout.
00:44:08En fait,
00:44:09tu sens que le contexte
00:44:10autour de ce match,
00:44:11cette émotion-là,
00:44:12elle ne peut pas disparaître
00:44:13et ce n'est pas un but
00:44:14ou la joie de la calife
00:44:16qui va le faire disparaître.
00:44:17Giovanni,
00:44:17ensuite on écoutera
00:44:18Éric Rabessant-Ratana
00:44:19au plateau.
00:44:19Joe,
00:44:19tu voulais intervenir
00:44:20sur ce que tu as entendu.
00:44:20C'était plus en fait
00:44:24pour vous poser la question
00:44:25à vous,
00:44:26à France,
00:44:27sur le thème.
00:44:28Quand vous dites
00:44:29est-ce que l'enjeu sportif
00:44:30prendra le pas
00:44:31sur les joueurs
00:44:32de l'équipe de France
00:44:33et le staff des Bleus
00:44:34ou sur les Français
00:44:36de manière générale
00:44:36ou nous,
00:44:37ce qu'on peut ressentir ?
00:44:38C'est un peu des deux.
00:44:39Est-ce que l'enjeu ce soir,
00:44:40est-ce qu'on s'en fiche ou pas
00:44:40de la calife
00:44:41vu le contexte finalement
00:44:42et pour les joueurs
00:44:43et pour les spectateurs ?
00:44:45Ce qui est sûr,
00:44:47c'est que le staff
00:44:48de l'équipe de France
00:44:49forcément a quelque chose
00:44:52de particulier
00:44:53avec ce qui s'est passé
00:44:55au Stade de France.
00:44:56L'émotion,
00:44:58l'empathie
00:44:59pour toutes les personnes
00:45:00qui ont été touchées
00:45:01de près ou de loin
00:45:02à ces attentats.
00:45:03Il y a une vraie émotion
00:45:05et un vrai soutien
00:45:06de la part du staff
00:45:07de l'équipe de France.
00:45:08De l'équipe de France,
00:45:09Camille en a parlé.
00:45:10Le capitaine qui a n'aimbappé
00:45:12dit des champs,
00:45:13on le voit,
00:45:13à sa conférence de presse
00:45:15d'annonce de liste.
00:45:16Il était très ému
00:45:17au moment de parler
00:45:18de ces attentats.
00:45:19Donc là,
00:45:19il y a un respect profond.
00:45:20Maintenant,
00:45:21les joueurs,
00:45:21la pierre,
00:45:22je pense qu'a parfaitement
00:45:23résumé ce que peuvent
00:45:24ressentir les joueurs.
00:45:25Ce sont des professionnels
00:45:26et quand le coup de sifflet
00:45:27est donné,
00:45:28ils ne pensent plus qu'à ça.
00:45:29Maintenant,
00:45:30si vous me posez la question
00:45:31en tant qu'être humain
00:45:32personnel,
00:45:33je n'en ai rien à secouer
00:45:34du match de foot ce soir
00:45:35et quand je repense
00:45:36à ce qui s'est passé
00:45:37ce soir-là,
00:45:38je suis totalement
00:45:39sur la ligne de Camille.
00:45:41Je veux dire,
00:45:41il y a des gens
00:45:42qui ne pourront jamais avancer.
00:45:43Ce qui s'est passé là,
00:45:44ça a été une soirée dramatique
00:45:47dans des proportions
00:45:48incommensurables.
00:45:50Donc rien ni personne
00:45:51ne pourra faire oublier
00:45:53ou effacer
00:45:53ce qui s'est passé
00:45:54il y a dix ans.
00:45:55C'est bien de le préciser,
00:45:55Giovanni.
00:45:56Tu parlais du staff
00:45:56parce que du côté
00:45:57de l'équipe de France,
00:45:58ce ne sont plus les mêmes.
00:45:59Ah oui, c'est sûr.
00:46:00Dix ans en arrière,
00:46:01la composition
00:46:02de l'équipe de France
00:46:03ne ressemble en rien
00:46:04à ce que Dizé Chant
00:46:05pourrait proposer ce soir.
00:46:07Les joueurs actuels
00:46:07de l'équipe de France
00:46:08étaient soit trop jeunes,
00:46:09soit pas encore
00:46:10dans les radars
00:46:10de l'équipe de France.
00:46:11Je pense à N'Golo Kanté.
00:46:12Il n'était pas encore invité
00:46:13au niveau international.
00:46:15Donc aucun de ces onze-là
00:46:16n'a connu ce soir
00:46:18de novembre 2015
00:46:19au Stade de France
00:46:20avec le maillot des Bleus.
00:46:22Eric, on ne t'a pas entendu.
00:46:23Est-ce que l'enjeu
00:46:24est relégué au second plan
00:46:25ce soir pour toi ?
00:46:25Oui, l'enjeu sportif
00:46:27évidemment que c'est relégué
00:46:28au second plan.
00:46:29C'est une évidence.
00:46:30Après, ça fait dix ans.
00:46:34C'est important
00:46:34de marquer le coup en fait.
00:46:35C'est surtout ça
00:46:36que c'est important
00:46:37de marquer le coup.
00:46:38L'enjeu évidemment
00:46:39sportif,
00:46:40n'est pas important
00:46:41sur la journée.
00:46:43Maintenant,
00:46:45comme tout le reste,
00:46:46ça ne s'arrête pas.
00:46:47On n'arrête pas de vivre
00:46:47et aujourd'hui,
00:46:49tombe un match de foot.
00:46:51Les joueurs vont le prendre
00:46:52professionnellement
00:46:53et ça n'enlève rien
00:46:54au fait qu'ils sont concernés
00:46:56par ce qui s'est passé
00:46:58et peut-être,
00:46:59je ne sais pas du tout
00:47:00s'ils ont des proches.
00:47:01Parce qu'en fait,
00:47:01c'est ça qui fait que
00:47:02ça prend aussi peut-être
00:47:03une tournure différente
00:47:04dans ta préparation
00:47:05de joueurs.
00:47:06Si tu as été touché personnellement.
00:47:07Si tu as eu quelqu'un
00:47:08qui dans ton entourage
00:47:09a été touché de près
00:47:11ou pas par ça,
00:47:12c'est ça qui peut peut-être
00:47:13changer quelque chose
00:47:14dans la préparation,
00:47:15j'ai envie de dire,
00:47:15sportive pour les joueurs.
00:47:17Mais je suis certain
00:47:19à 200%
00:47:19que tous les joueurs
00:47:20savent très bien
00:47:21que cet enjeu-là
00:47:22sportif passe
00:47:23après le reste.
00:47:24Ça reste quand même
00:47:25un levier pour essayer
00:47:25de donner du bonheur aux gens.
00:47:26C'est ce qu'a expliqué
00:47:27Je suis d'accord avec toi.
00:47:28C'est pour ça que je te dis
00:47:29que ça ne s'arrête pas.
00:47:29Oui, bien sûr.
00:47:30Mais je comprends.
00:47:31Honnêtement,
00:47:32je comprends totalement
00:47:32ce que dit Giovanni
00:47:33et même les victimes,
00:47:34la famille,
00:47:35les familles des victimes,
00:47:36les proches et tout ça.
00:47:38Je comprends que ça doit
00:47:39être ultra difficile
00:47:40parce que tu remets
00:47:40un peu le dossier
00:47:41sur la table.
00:47:42C'est un anniversaire malheureux
00:47:43mais malgré tout,
00:47:44je pense que ça reste
00:47:45quand même une opportunité
00:47:46d'essayer de montrer
00:47:46qu'on est une nation forte
00:47:47et qui plus est,
00:47:49redonner un peu de sourire
00:47:49aussi aux gens.
00:47:50Enfin, on ne peut pas
00:47:52s'arrêter comme ça.
00:47:54Ce n'est pas de manquer
00:47:55de respect à l'anniversaire
00:47:56malheureux.
00:47:57C'est symbolique,
00:47:58je suis d'accord,
00:47:58mais tu qualifies la France
00:48:01aussi pour une Coupe du Monde
00:48:02pour les 10 ans.
00:48:02Je trouve que c'est
00:48:03un beau symbole aussi.
00:48:04Ça fait aussi...
00:48:05Tu passes la seconde,
00:48:06tu continues d'avancer
00:48:07mais tu n'oublies pas.
00:48:08Jérémie en direct
00:48:09du Parc des Princes.
00:48:12Oui, par rapport
00:48:12à ce que Julien évoquait
00:48:14sur le fait qu'il y a
00:48:15évidemment très peu de joueurs
00:48:16qui étaient présents.
00:48:18Ce soir-là,
00:48:19il ne faut pas rappeler
00:48:19que de manière directe
00:48:21ou indirecte,
00:48:21l'équipe de France
00:48:22avait été touchée,
00:48:24que ce soit
00:48:24Lassana Diara,
00:48:25Antoine Griezmann.
00:48:26Je peux vous dire
00:48:26que pour le staff
00:48:27de l'équipe de France,
00:48:28c'est une soirée
00:48:29qui évidemment
00:48:30a été un drame national.
00:48:32Ça a été quelque chose
00:48:34de très lourd
00:48:35mais voilà,
00:48:36le staff des Bleus
00:48:37et honnêtement,
00:48:38l'émotion qu'a pu avoir
00:48:40Didier Deschamps
00:48:41quand il en a parlé
00:48:42lors de sa liste
00:48:43pour le côtoyer,
00:48:45l'écouter souvent,
00:48:46le faire en interview,
00:48:47il est vraiment touché.
00:48:48L'équipe de France,
00:48:49la Fédé,
00:48:50aurait préféré
00:48:50ne pas jouer
00:48:51aujourd'hui.
00:48:52Ça c'est sûr,
00:48:53si on avait pu faire
00:48:53autrement,
00:48:55c'est sûr que ça aurait
00:48:56été fait.
00:48:56Donc je pense que
00:48:57le devoir de mémoire
00:48:58et Pierre a raison aussi
00:49:00de dire que parfois
00:49:01apporter de la légèreté,
00:49:03essayer de distraire
00:49:04les gens qui ont été touchés,
00:49:05ça peut passer
00:49:06par le biais du sport.
00:49:08Ça c'est sûr
00:49:08que le devoir de mémoire
00:49:09il sera très bien fait
00:49:10de la part de l'équipe
00:49:11de France,
00:49:12notamment porté
00:49:12par son sélectionneur.
00:49:14Qu'est-ce qu'on a prévu ce soir
00:49:15en termes de commémoration ?
00:49:16Alors une minute de silence
00:49:18bien évidemment
00:49:19avant le début
00:49:19de cette rencontre.
00:49:20Il y aura une bâche aussi
00:49:21football for peace,
00:49:23le foot pour la paix,
00:49:25un insigne porté
00:49:26bleuet de France.
00:49:27Alors c'est un symbole
00:49:27de soutien aux victimes
00:49:28du terrorisme
00:49:29et aux militaires blessés.
00:49:31Et puis il y aura aussi
00:49:31une collecte de dons
00:49:33et des courts hommages
00:49:34autour du Stade de France
00:49:35et aussi près
00:49:36de la place de la République.
00:49:37Et en parlant du Stade de France,
00:49:38il y a un joueur
00:49:39qui est passé pas très loin
00:49:40et à qui ça a fait remonter
00:49:41des mauvais souvenirs.
00:49:42Oui, c'est Manuel Neuer,
00:49:43le gardien du Bayern
00:49:44qui était présent lui
00:49:45en novembre 2015
00:49:46avec la sélection allemande.
00:49:48Il gardait les buts allemands
00:49:49lors de ce match amical
00:49:50au Stade de France.
00:49:51Quand il est repassé
00:49:52devant le Stade de France
00:49:53en allant affronter le PSG
00:49:54la semaine dernière
00:49:55en Ligue des champions,
00:49:57eh bien ça a fait remonter
00:49:58quelques émotions chez lui.
00:50:00Écoutez-le au micro
00:50:00de Jérémy Jalingro.
00:50:03Dès que nous avons aperçu
00:50:04le Stade de France,
00:50:05c'était le sujet
00:50:06de conversation principale
00:50:07d'un autre bus.
00:50:08Ça restera gravé
00:50:09dans ma mémoire bien sûr.
00:50:10Je ne l'oublierai jamais.
00:50:12L'équipe était piégée
00:50:13à l'intérieur du Stade
00:50:14tandis que le chaos
00:50:15régnait à l'extérieur.
00:50:18C'était fondamentalement
00:50:19terrifiant.
00:50:19Ce souvenir ne s'efface pas.
00:50:21Il reste toujours très présent.
00:50:24C'était des moments terrifiants.
00:50:26Il est carrément traumatisé
00:50:27Manuel Neuer.
00:50:29Mais c'est peut-être
00:50:29notre chance, entre guillemets,
00:50:30de ne pas avoir de joueurs
00:50:31qui ont vécu
00:50:32qui seront sur le terrain ce soir.
00:50:33Ça pourrait faire remonter.
00:50:35Quand on voit Olivier Giroud
00:50:36ou Blaise Mathudy
00:50:37dans le papier
00:50:37de Sébastien Tarrago aujourd'hui,
00:50:39ça donne la chair de poule.
00:50:41en réalité.
00:50:42Et c'est pour ça,
00:50:42moi je regrette même
00:50:43pour les Bleus
00:50:44qu'on n'ait pas peut-être
00:50:46réfléchi avant
00:50:47ou que la fédé internationale
00:50:49n'ait pas pu décaler
00:50:50peut-être juste ce match-là
00:50:52spécifiquement
00:50:53pour rendre hommage,
00:50:54pour que les Bleus
00:50:54puissent rendre hommage
00:50:55à leur manière.
00:50:56Parce que là,
00:50:57on entend,
00:50:57on voit les symboles
00:50:58qui vont être mis,
00:50:59etc.
00:50:59mais Didier Deschamps
00:51:01est la personne
00:51:02la plus impactée.
00:51:03C'est-à-dire qu'en fait,
00:51:04on lui a demandé
00:51:04de se faire comme si
00:51:05de rien n'était
00:51:05alors qu'à la mi-temps,
00:51:06il savait qu'il y avait
00:51:08quelque chose
00:51:08qui était en train
00:51:09de se dérouler
00:51:09quand on lit les mots
00:51:10de François Hollande,
00:51:11quand on voit ce qui s'est passé
00:51:12pour Didier Deschamps.
00:51:13Et donc en fait,
00:51:13c'était peut-être
00:51:14la plus belle manière pour moi
00:51:15de décaler ce match-là,
00:51:17de dire,
00:51:17c'est une date symbolique
00:51:18en France,
00:51:19on était dans un état de guerre
00:51:21à ce moment-là.
00:51:21Comment ?
00:51:22Il n'y a pas de bonnes idées.
00:51:24Non, mais moi,
00:51:24je le regrette pour les bleus
00:51:25en fait, en réalité,
00:51:27parce que vraiment,
00:51:28comme je dis,
00:51:28cette date d'anniversaire,
00:51:2910 ans,
00:51:29elle marque quelque chose
00:51:30de très fort
00:51:31et je trouve que les bleus
00:51:33ne peuvent pas rendre hommage
00:51:34à la France
00:51:35et aux Français disparus.
00:51:36Comment ils vont célébrer
00:51:37si jamais ça marque,
00:51:38si jamais ça gagne,
00:51:39si jamais on est qualifié
00:51:40pour la Coupe du Monde ?
00:51:40C'est un événement,
00:51:41c'est un soir de fête ?
00:51:42Comment on célèbre ça ?
00:51:43Tu t'y prépares un peu.
00:51:47Mais de rien,
00:51:48c'est pas un match
00:51:48qui est décisif.
00:51:49T'es déjà premier,
00:51:50tu fais un beau parcours
00:51:51pour l'instant en qualif,
00:51:52donc tu t'attends aussi
00:51:53à te qualifier ce soir.
00:51:55Maintenant,
00:51:56je pense que la minute de silence
00:51:57va être incroyablement lourde.
00:51:59Je pense que ça va être
00:51:59vraiment particulier
00:52:00et qu'on va vivre
00:52:02un moment ce soir
00:52:02qui va être très spécial.
00:52:05Honnêtement,
00:52:05je n'ai aucune idée
00:52:06sur comment même moi
00:52:08je vais le vivre.
00:52:09Je ne sais pas.
00:52:09Je ne sais pas.
00:52:11Giovanni,
00:52:11peut-être sur Didier Deschamps,
00:52:12toi,
00:52:12qui peut impacter
00:52:13la gestion de son match ?
00:52:15Ça n'impactera pas
00:52:18parce qu'ils ont l'habitude
00:52:21de gérer.
00:52:21Ce qui est sûr,
00:52:22c'est qu'ils seront touchés,
00:52:23émus.
00:52:24Je peux vous dire
00:52:24que les joueurs,
00:52:25parce que je pense
00:52:26que la minute de silence
00:52:27au Parc des Princes
00:52:28va être tout à fait vibrante,
00:52:31forcément que les joueurs
00:52:33vont y penser,
00:52:34forcément que les joueurs
00:52:34vont avoir un moment
00:52:35de recollement très particulier.
00:52:37Jérémy Jalingro
00:52:38qui m'accompagne,
00:52:39il y avait lui été
00:52:40à Wembley,
00:52:41le match d'après
00:52:42qui se déroulait
00:52:43face aux Anglais.
00:52:44Là aussi,
00:52:44l'émotion était forte.
00:52:46Donc quoi qu'il se passe
00:52:47quand on se replonge
00:52:48dans des souvenirs
00:52:49tragiques de cette nuit-là,
00:52:51on est emprunt
00:52:52d'une émotion
00:52:52qui est immense.
00:52:54Donc peut-être
00:52:54que ça jouera
00:52:56un petit peu
00:52:56sur les joueurs,
00:52:58un petit peu plus
00:52:58sur le staff,
00:52:59mais très vite,
00:53:00à mon sens,
00:53:00parce que c'est
00:53:01les professionnels,
00:53:02ils se replongeront
00:53:03dans l'enjeu
00:53:03de la rencontre
00:53:04qui est très important.
00:53:05Si je peux juste
00:53:05me permettre
00:53:06d'ajouter quelque chose,
00:53:08France,
00:53:08les instances
00:53:10du football mondial,
00:53:12placer aujourd'hui
00:53:14commémoration
00:53:16des 10 ans
00:53:16des attentats de Paris,
00:53:17un match face à l'Ukraine,
00:53:19quand on sait
00:53:19le contexte dramatique
00:53:20qu'il y a autour de l'Ukraine,
00:53:22qui est un pays en guerre,
00:53:22qui est attaqué
00:53:23au plus profond
00:53:24de son âme,
00:53:25je pense franchement
00:53:26que ce n'était pas
00:53:27un bon soir
00:53:27pour faire un match
00:53:28de football
00:53:28par rapport à tout
00:53:30ce qui se passe
00:53:30et que ça aurait été
00:53:32bien de le jouer
00:53:32un autre jour.
00:53:33Visiblement,
00:53:33c'est les calendriers,
00:53:34une histoire de calendrier
00:53:35trop serrée
00:53:35et qu'on ne peut plus
00:53:36faire autrement,
00:53:37c'est leur réaction en tout cas.
00:53:38Merci beaucoup Joe,
00:53:39on remercie Jérémy
00:53:42dans l'équipe de Greg,
00:53:43dans l'équipe du soir,
00:53:44ce soir,
00:53:44les notes,
00:53:44le débrief
00:53:45et toutes les réactions
00:53:45à votre micro,
00:53:47bien sûr.
00:53:47Ça ne t'intéresse pas
00:53:48quand tu dis blablabla ?
00:53:49C'est bon dire.
00:53:50Ça s'appelle de la promotion
00:53:51pour encourager les gens
00:53:53à nous regarder.
00:53:53Je fais mon métier,
00:53:54c'était pas négatif,
00:53:54c'était pas péjoratif.
00:53:56Blablabla,
00:53:5617h54,
00:53:57blablabla,
00:53:58planète foot.
00:54:03Et le Paris Saint-Germain,
00:54:04il n'y arrive toujours pas
00:54:04en Ligue des Champions féminine.
00:54:06Troisième défaite
00:54:07en trois matchs
00:54:08pour les joueuses
00:54:08de Paulo César.
00:54:10Cette fois-ci,
00:54:12deux buts à un,
00:54:13avec, dès la demi-heure de jeu,
00:54:15l'ouverture du score
00:54:16d'une Française,
00:54:17Melvin Mallard,
00:54:19l'ancienne lyonnaise,
00:54:19lancée en profondeur,
00:54:21gagne son duel
00:54:21avec Gredien Boc
00:54:22et ensuite va ajuster
00:54:23la gardienne.
00:54:24Eric, là,
00:54:24c'est mal défendu
00:54:25par la capitaine
00:54:26de l'équipe de France
00:54:27qui l'a reconnue
00:54:28après le match.
00:54:29Non, mais c'est...
00:54:29En fait, son problème,
00:54:31c'est qu'elle veut absolument
00:54:31prendre le ballon
00:54:32et du coup,
00:54:33elle passe au travers
00:54:34et Mallard joue super bien le coup.
00:54:36Elle la laisse passer
00:54:36et la pousse un peu aussi,
00:54:38mais c'est bien joué,
00:54:38c'est dans l'esprit.
00:54:39Juste avant la pause,
00:54:41Olga Carmona,
00:54:42la latérale gauche parisienne,
00:54:44Espagnol,
00:54:45va envoyer une frappe
00:54:47pied gauche sublime,
00:54:48là, mon Pierrot.
00:54:49Hop !
00:54:50L'équilibre, il est parfait.
00:54:51La frappe, elle est bien placée.
00:54:52Mais tu trouves pas
00:54:53que la gardienne
00:54:53est un peu trop avancée, là ?
00:54:54T'écoutes ce qui sort
00:54:55comme un riz ?
00:54:55Quoi ?
00:54:56Mais quoi ?
00:54:56Réponds !
00:54:57Non, non, non !
00:54:58C'est un magnifique but.
00:54:59Continue.
00:55:00Très bien.
00:55:00Le deuxième but
00:55:01de Manchester United.
00:55:03Moi, j'ai adoré la construction
00:55:04avec Parc,
00:55:05le relais avec l'attaquante
00:55:06Moncunied,
00:55:07elle va décaler côté gauche
00:55:08pour Sandberg.
00:55:09Et puis là, le centre,
00:55:10parfait, bien déposé.
00:55:11T'as pas aimé
00:55:12cette construction, Alex ?
00:55:13Non, mais si, justement.
00:55:14Elle est un peu trop facile
00:55:15pour les Anglaises
00:55:16et on se laisse éliminer
00:55:17un peu trop facilement
00:55:18du côté parisien.
00:55:19Mbok, elle n'a pas été au top
00:55:20sur ce match-là
00:55:21et les Parisiens
00:55:22sont dans les difficultés.
00:55:23C'était Mbof.
00:55:24Pourquoi ?
00:55:24Super.
00:55:25Nul, nul, nul.
00:55:26Pourquoi ?
00:55:27Bon, bref.
00:55:28Pourquoi le PSG
00:55:28n'y arrive pas
00:55:29en Ligue des Champions ?
00:55:29Si t'as la réponse, mon juge,
00:55:313 défaites en 3 matchs.
00:55:32Ben oui, ben écoute,
00:55:34non, mais c'est une équipe
00:55:35qui a perdu quand même
00:55:36pas mal de joueuses.
00:55:37Il y a Grèce qui est partie,
00:55:38Gaillero qui est partie
00:55:39du côté de l'Angleterre.
00:55:41Ça se dispatche un peu.
00:55:43Il y a des filles
00:55:43qui sont parties du côté
00:55:44de Lyon aussi
00:55:44parce que plus compétitives
00:55:45et tu commences à refaire
00:55:48un peu une équipe
00:55:48qui domine un petit peu
00:55:49tout le championnat français
00:55:50et même si t'as le Paris FC
00:55:51qui fait des choses intéressantes
00:55:52mais force est de constater
00:55:54que le projet, en fait,
00:55:55PSG féminine,
00:55:56pour l'instant,
00:55:57il a du plomb dans l'aile.
00:55:59C'est un peu compliqué.
00:56:00Après, je ne suis pas convaincu
00:56:01que ce soit géré
00:56:02vraiment pareil.
00:56:05J'aime beaucoup le coach.
00:56:06J'aime beaucoup sa vision.
00:56:07On l'a eu deux fois,
00:56:08je crois, avec nous.
00:56:10Il a envie de faire des choses.
00:56:11Il a envie de proposer des choses
00:56:12mais c'est vrai
00:56:13qu'il a un effectif
00:56:13qui est moins compétitif
00:56:15que ce qu'il y a,
00:56:16par exemple,
00:56:16à Manchester, c'est tout.
00:56:17Eric, tu n'es pas surpris
00:56:18par les galères
00:56:19des Parisiennes
00:56:19en Ligue des Champions ?
00:56:20Je ne suis pas sûr
00:56:21qu'elles aient le niveau
00:56:22aujourd'hui
00:56:22quand tu vois l'adversité.
00:56:25Je trouve qu'elles craquent
00:56:27un peu trop facilement
00:56:27mentalement dans les duels.
00:56:29Elles se font bouger
00:56:30quand même assez facilement.
00:56:31Tu es dans une période
00:56:34de reconstruction
00:56:35et tu essaies.
00:56:36Le problème,
00:56:36c'est que ça arrive
00:56:36un peu trop souvent
00:56:37parce que, je pense,
00:56:38tu l'as dit,
00:56:39le jour où Nasser
00:56:40va commencer à mettre
00:56:41un peu son nez
00:56:41dans les féminines,
00:56:43ça va commencer
00:56:43à changer d'ambition
00:56:46parce que là,
00:56:46aujourd'hui,
00:56:47je trouve qu'il y a
00:56:48trop de différences
00:56:48entre les mecs et les filles
00:56:49et du coup,
00:56:50il n'y a pas assez
00:56:51de soutien pour l'instant.
00:56:52En tout cas,
00:56:53c'est mal engagé
00:56:53pour se qualifier
00:56:54en quart de finale.
00:56:55La semaine prochaine,
00:56:56elles vont affronter
00:56:57le Bayern.
00:56:58Le Bayern qui a renversé
00:56:59Arsenal.
00:57:00Arsenal menait 2-0
00:57:02face aux Bavaroises.
00:57:03Le Bayern a fini
00:57:04par gagner 3-2.
00:57:05Arsenal tenant du titre
00:57:06de cette Ligue des Champions.
00:57:07Donc, ce n'est pas gagné
00:57:08pour le PSG.
00:57:09Le prochain match
00:57:10de Ligue des Champions
00:57:11à suivre sur notre antenne,
00:57:12ce sera le 19 novembre.
00:57:13La semaine prochaine,
00:57:14le PFC à 13.
00:57:15Ah, sympa !
00:57:15Benfica, voilà.
00:57:16Ce sera à suivre
00:57:17à 21h sur notre antenne.
00:57:19Maintenant,
00:57:19on va filer au Brésil
00:57:21et parler de Neymar
00:57:22qui fait couler
00:57:23encore beaucoup,
00:57:24beaucoup d'encre
00:57:25mais pas pour les bonnes raisons.
00:57:26Les sauts d'humeur
00:57:28du Brésilien
00:57:29pendant les matchs
00:57:29et son faible rendement
00:57:30sur le terrain
00:57:31auraient fini par
00:57:32irriter certains dirigeants
00:57:34et coéquipiers
00:57:35de Santos.
00:57:36Le club lutte
00:57:37pour sa survie
00:57:38en première division
00:57:39et Neymar
00:57:39ferait de plus en plus
00:57:40sentir à ses coéquipiers
00:57:41qu'ils n'ont pas le niveau
00:57:43pour maintenir Santos
00:57:44dans l'élite.
00:57:45Son agacement
00:57:46lors de son remplacement
00:57:48contre Flamengo
00:57:49a fait beaucoup,
00:57:51beaucoup parler.
00:57:52Là,
00:57:53il va jouer
00:57:53un 6 mètres,
00:57:54Neymar.
00:57:54Il a quitté le rond central
00:57:56pour aller jouer
00:57:56un 6 mètres
00:57:57parce qu'il ne voulait pas
00:57:57que sa défense
00:57:58dégage le ballon
00:57:59trop loin.
00:57:59Ça paraît lunaire
00:58:00mais oui,
00:58:00il a été joué
00:58:01un 6 mètres.
00:58:02Je vous ai dit,
00:58:03il est sorti
00:58:03et il a râlé
00:58:04lors de sa sortie.
00:58:05C'est très mal passé.
00:58:07Ça a été très mal perçu
00:58:08au Brésil.
00:58:09Hier,
00:58:10la presse brésilienne
00:58:10expliquait que l'ancien parisien
00:58:12avait fait son petit
00:58:13mea culpa
00:58:13en présentant ses excuses.
00:58:15Sauf que de son côté,
00:58:16Neymar a totalement
00:58:17démenti cette information
00:58:18en répondant sur Instagram.
00:58:20Encore un mensonge
00:58:21inventé par un journaliste
00:58:22de merde.
00:58:24Mais franchement,
00:58:25quand on le voit
00:58:26dans cet état-là
00:58:27nerveux
00:58:28et de football,
00:58:30j'ai envie de dire
00:58:30Cam Cam,
00:58:31ça fait de la peine
00:58:32qu'il arrête le foot.
00:58:34Je pense qu'il a besoin
00:58:35d'aller faire
00:58:36une petite session de fête
00:58:37comme il aimait bien faire.
00:58:38Non,
00:58:38mais en fait,
00:58:39on attendait tellement
00:58:40son retour.
00:58:41On se disait,
00:58:41bon,
00:58:41il va peut-être se relancer.
00:58:43On espérait le voir
00:58:43au prochain mondial.
00:58:44On n'y croyait pas vraiment.
00:58:45Si,
00:58:46on espérait qu'il se relance,
00:58:48qu'il puisse retrouver
00:58:49du temps de jeu.
00:58:50Lui a toujours clamé
00:58:51haut et fort
00:58:52qu'il espérait
00:58:52convaincre Carlo Ancelotti.
00:58:54Mais là,
00:58:54quand on voit
00:58:54les dernières déclats,
00:58:56on peut déjà
00:58:57l'éliminer
00:58:58de la Célessao.
00:58:59Il n'a pas du tout
00:59:01sa place.
00:59:02Et puis,
00:59:02à 33 ans,
00:59:03le problème,
00:59:04c'est qu'il va
00:59:05de plus en plus
00:59:06montrer une mauvaise image
00:59:07de lui.
00:59:07Et c'est que ça
00:59:08qu'on retiendra.
00:59:08Donc,
00:59:08en fait,
00:59:09il faut peut-être
00:59:10qu'il tourne la page.
00:59:11Franchement,
00:59:11Eric,
00:59:11sa fin de carrière,
00:59:12elle est pathétique.
00:59:13Elle ne ressemble plus à rien.
00:59:15Évidemment qu'elle est pathétique.
00:59:16Après,
00:59:17j'ai envie de te dire
00:59:18que ça ne fait que montrer
00:59:20un peu ce qu'il t'a montré
00:59:21au fur et à mesure
00:59:22par épisode,
00:59:23certainement dans sa carrière,
00:59:25qu'il lui manquait
00:59:26des choses mentalement
00:59:27pour être le vrai leader
00:59:28qu'on attendait.
00:59:29Je ne parle pas
00:59:30de leader technique
00:59:30parce que ça,
00:59:31évidemment,
00:59:31en termes de technique
00:59:32et de jeu,
00:59:33il avait des qualités
00:59:33pour enflammer
00:59:35et même pour être
00:59:36ballon d'or.
00:59:36Tu penses que c'est
00:59:38son entourage
00:59:38qui a pollué sa carrière ?
00:59:40Je pense que c'est
00:59:40son entourage et lui.
00:59:42C'est-à-dire qu'à un moment donné,
00:59:44tu dois être capable
00:59:45et prendre du recul.
00:59:47Mais râber.
00:59:48Non,
00:59:48mais bien sûr,
00:59:49c'est une évidence.
00:59:50des qualités qu'il a.
00:59:51Il est béni des dieux.
00:59:53Sauf que,
00:59:54après,
00:59:54c'est ce que tu en fais
00:59:55de tes qualités.
00:59:56Et aujourd'hui,
00:59:57c'est un vrai gâchis
00:59:57parce qu'il n'a pas été capable
00:59:59de...
00:59:59Alors,
00:59:59il y a des blessures,
01:00:00il y a tout ce que tu veux,
01:00:00mais les blessures,
01:00:01elles arrivent pour quelque chose,
01:00:02évidemment.
01:00:02Si tu n'es pas assez reposé,
01:00:04si tu n'as pas fait
01:00:05tout ce qu'il fallait
01:00:05pour être en pleine bourre.
01:00:06Vas-y, Perron.
01:00:06Moi,
01:00:07je ne suis pas du tout d'accord.
01:00:08Par rapport à sa fin de carrière
01:00:09qui est gâchée.
01:00:10Mais évidemment,
01:00:11moi,
01:00:11j'ai peur pour sa vie,
01:00:12vraiment.
01:00:12Je ne parle pas du foot,
01:00:14il va finir en dépression
01:00:15comme Adriano.
01:00:16Évidemment,
01:00:17il est déjà en dépression
01:00:18en étant comme ça.
01:00:18Mais là où je ne suis pas d'accord,
01:00:20c'est que tu peux avoir
01:00:22un talent dingue.
01:00:23En fait,
01:00:23il est élevé
01:00:24depuis qu'il a l'âge
01:00:25de 7 ans.
01:00:25En fait,
01:00:26le gars fait ce qu'il veut.
01:00:28C'est un enfant roi,
01:00:29c'est le meilleur.
01:00:30Partout où il est allé,
01:00:30c'est lui qui faisait la loi.
01:00:31En fait,
01:00:32il ne comprend pas à 33 ans
01:00:33ce qu'a été sa vie
01:00:34et son éducation.
01:00:36Il a eu un daron,
01:00:37il a été élevé
01:00:37par un père
01:00:39qui lui a dit
01:00:40« T'es un roi,
01:00:42t'es pas fait comme nous en fait.
01:00:43Sors,
01:00:43fais ce que tu veux,
01:00:44va jouer au poker,
01:00:45bois tant que tu veux,
01:00:46ramène des filles.
01:00:47Pas de souci,
01:00:48t'inquiète pas,
01:00:48tant que t'es bon sur le terrain,
01:00:49t'es bon sur le terrain. »
01:00:50Là,
01:00:50le problème,
01:00:50c'est que le corps,
01:00:51il ne suit plus
01:00:51et il n'est plus bon sur le terrain.
01:00:54Donc,
01:00:54il joue avec des joueurs moins bons.
01:00:55Il joue avec des joueurs
01:00:56qui ont ce niveau.
01:00:57Et là,
01:00:57le problème,
01:00:57c'est que tu ne comprends pas
01:00:58ce qui t'arrive
01:00:59et t'as beau avoir 33 ans
01:01:00et l'éducation
01:01:01et l'intelligence que tu veux
01:01:02quand depuis que t'as 7 ans…
01:01:02Mais là,
01:01:03il n'est pas intelligent.
01:01:04Clairement,
01:01:05il ne montre pas
01:01:05qu'il est intelligent.
01:01:06Il n'a aucun respect
01:01:07pour ses coéquipiers.
01:01:08Tu as des enfants.
01:01:09Si à ton gosse,
01:01:09en fait,
01:01:10tu lui apprends
01:01:10un schéma de vie
01:01:11depuis qu'il est tout petit
01:01:12et qu'en fait,
01:01:13il prend un coup de pelle
01:01:14derrière la nuque
01:01:15à l'âge de 33 pieds,
01:01:16en fait,
01:01:16tout ce que tu lui as appris,
01:01:17il ne comprend pas
01:01:18le nouveau monde.
01:01:18Mais il n'a jamais arrivé
01:01:18ce coup de pelle.
01:01:19Mais non,
01:01:19mais jamais de la vie,
01:01:20tu ne vois pas.
01:01:21Mais c'est un mec
01:01:31assez intelligent.
01:01:31Mais bien sûr,
01:01:32il y a de ça aussi.
01:01:33Mais crois-moi bien
01:01:33qu'en fait,
01:01:34quand tu t'éduques les gens
01:01:35dans un modèle,
01:01:36dans une case,
01:01:37lui,
01:01:38il ne sait pas ce que c'est.
01:01:39C'est un enfant.
01:01:40Il a un comportement d'enfant.
01:01:41Donc,
01:01:41on fait une croix
01:01:42sur Neymar
01:01:42à la Coupe du Monde 2016 ?
01:01:43Oh oui !
01:01:44Moi,
01:01:44j'ai peur pour sa vie.
01:01:45Aujourd'hui,
01:01:46oui.
01:01:46Non,
01:01:46mais vie,
01:01:47quand tu es mentale,
01:01:47tu ne peux pas être mentale.
01:01:49Il a dit un groupe
01:01:49au maximum
01:01:50de leur potentiel physique.
01:01:52Donc,
01:01:53lui,
01:01:53clairement,
01:01:53il n'y est pas du tout.
01:01:54Bon,
01:01:54des nouvelles maintenant
01:01:55de Matveï Safonov,
01:01:57le gardien russe
01:01:57du Pégé
01:01:58qui a joué
01:01:59avec sa sélection
01:02:00hier face au Pérou.
01:02:02Il a encaissé
01:02:03un but un peu casquette
01:02:04sur l'égalisation péruvienne.
01:02:06La Russie avait ouvert
01:02:06le score par Golovine.
01:02:08Regardez cette frappe
01:02:08un poil flottante
01:02:09d'Alex Valera.
01:02:11Bon,
01:02:11malheureusement,
01:02:11le gardien parisien
01:02:13va se trouer.
01:02:14Valéry Carpine,
01:02:14son sélectionneur,
01:02:15ne comprend pas
01:02:16cette boulette.
01:02:18Il a été renvoyé à Paris
01:02:19par sa sélection
01:02:19après ce match.
01:02:20Il ne participera pas
01:02:21au match
01:02:23contre le Chili
01:02:24samedi.
01:02:26Ça ressemble
01:02:26à une sanction.
01:02:27Lui qui est déjà
01:02:28en délicatesse
01:02:29avec le PSG
01:02:30cette saison,
01:02:30il n'a pas joué
01:02:31une seule minute
01:02:32cette saison.
01:02:33Eric,
01:02:34est-ce que Paris
01:02:34s'est trompé
01:02:35avec Safonov ?
01:02:36Déjà,
01:02:37je vais te parler
01:02:38déjà de l'action,
01:02:38de là où il dort,
01:02:40du comportement
01:02:41de Safonov.
01:02:44Du comportement
01:02:45de Safonov
01:02:45là où tu as l'impression
01:02:46que c'est un papy
01:02:47qui va faire...
01:02:49Je te jure,
01:02:49c'est vrai,
01:02:50quand j'ai regardé
01:02:51je me dis
01:02:52comment tu peux avoir
01:02:53un comportement
01:02:53comme ça.
01:02:54La frappe,
01:02:55elle est de 100 mètres
01:02:57et il dit
01:02:57ce n'est pas une question
01:02:58de jouer.
01:02:59Il n'a pas une minute
01:03:00jouée les gars.
01:03:01Le mec,
01:03:02il devient manchot
01:03:02parce qu'il ne joue pas.
01:03:03Donc déjà,
01:03:04c'est déjà
01:03:04la moitié de match.
01:03:05Non mais c'est vrai.
01:03:06Ça ne va pas la tête.
01:03:07Safonov,
01:03:07je rigolais.
01:03:08France,
01:03:09je vais t'expliquer
01:03:09pourquoi je rigolais
01:03:10quand j'ai vu
01:03:10l'histoire de Safonov.
01:03:12C'est que je l'ai vu
01:03:12au Paris Basket
01:03:13en train de regarder
01:03:14un match.
01:03:15Il était assis,
01:03:16il avait des lunettes
01:03:16de soleil transparentes
01:03:17et je me disais
01:03:18mais qu'est-ce qu'il envoie
01:03:19comme message
01:03:20et comme image
01:03:22par rapport à...
01:03:23Et derrière,
01:03:25je le vois faire ça
01:03:26sur le terrain
01:03:28et je me dis
01:03:28mais ça correspond
01:03:30exactement
01:03:31à ce que j'ai vu
01:03:32quand je l'ai vu
01:03:33arriver au Paris Basket.
01:03:34Je le vois sur le terrain
01:03:35et c'est la même chose.
01:03:35C'est peut-être
01:03:35parce qu'il avait passé
01:03:36les lunettes
01:03:36qu'il n'a pas arrêté.
01:03:37Peut-être qu'il n'a pas eu.
01:03:38Le mec s'est fait renvoyer
01:03:39de sa séance.
01:03:39C'est normal.
01:03:41C'est normal
01:03:41parce que ça veut dire
01:03:42qu'il y a un problème
01:03:43de comportement.
01:03:43Il n'a pas du tout
01:03:47le niveau qu'on voulait...
01:03:47La Russie,
01:03:48en termes de diplomatie,
01:03:49ce n'est pas les meilleurs
01:03:49non plus.
01:03:50Non mais d'accord.
01:03:51On parle quand même
01:03:52d'un garçon,
01:03:53le PSG l'a voulu.
01:03:54Ils ont payé 20 millions
01:03:55et il y a été 2024.
01:03:57Le garçon s'est même
01:03:58posé la question
01:03:58à un moment donné
01:03:59si Jujo Donnarumma
01:04:00s'en va,
01:04:01est-ce que j'ai un rôle
01:04:01à jouer ?
01:04:02Et là,
01:04:02il est au fond de la gamelle.
01:04:04Franchement,
01:04:04ce que fait le sélectionneur russe,
01:04:06il a enterré...
01:04:06Depuis qu'il est arrivé,
01:04:06c'est un sketch.
01:04:07Si personne ne le connaissait,
01:04:08il arrive et veut revendiquer
01:04:09du temps de jeu.
01:04:10Vas-y, je t'en prie.
01:04:11Merci.
01:04:12Ce soir,
01:04:12sur les antennes du groupe
01:04:13l'équipe,
01:04:14vous pourrez suivre
01:04:14plusieurs matchs
01:04:15un peu savoureux.
01:04:16La Moldavie face à l'Italie.
01:04:18On a peur.
01:04:19Oui,
01:04:19Cam Cam,
01:04:20originaire d'Italie,
01:04:21elle a un peu peur.
01:04:22Tanguy Lecénier
01:04:22et Yohan Rio
01:04:23seront aux commentaires.
01:04:24On rappelle que l'Italie
01:04:24est le deuxième de son groupe
01:04:25derrière la Norvège
01:04:26et se prépare l'Italie
01:04:27au barrage.
01:04:28Encore une fois,
01:04:29à 20h sur l'équipe live,
01:04:31deuxième demi-finale de barrage
01:04:32de la zone Afrique
01:04:33entre le Cameroun
01:04:33et la République démocratique
01:04:35du Congo.
01:04:36Les lions indomptables
01:04:37ne sont pas favoris
01:04:38et sont même en danger.
01:04:39Ce sera Hamza Rahmani
01:04:40au commentaire.
01:04:4220h45,
01:04:43le Portugal peut se qualifier
01:04:44en cas de victoire
01:04:45contre l'Irlande.
01:04:47Et puis à 20h45,
01:04:48aussi l'Angleterre
01:04:48de Thomas Toureul
01:04:49visera la passe de 7
01:04:51en recevant la Serbie
01:04:52à Wembley.
01:04:53Un match commenté
01:04:54par Fabien Michel.
01:04:55Et vous voulez voir du foot
01:04:55en direct ?
01:04:56Live,
01:04:56t'es vite là ?
01:04:57On va sur l'équipe
01:04:59live foot.
01:05:00Il y a deux matchs importants.
01:05:01Il y a Nigeria Gabon,
01:05:02c'est la mi-temps à gauche.
01:05:03Donc il y a toujours 0-0
01:05:04pour cette demi-finale
01:05:05de la zone Afrique.
01:05:07Et en dessous,
01:05:07c'est la Norvège
01:05:08face à l'Estonie
01:05:08avec Erling Haaland,
01:05:10buteur à l'allée.
01:05:11Alors la Norvège est leader
01:05:12avec 6 victoires en 6 matchs
01:05:13mais ils ne sont toujours
01:05:13pas qualifiés.
01:05:14Donc c'est important
01:05:15si vous voulez voir peut-être
01:05:16un nouveau petit but
01:05:17du prodigieux Erling Haaland.
01:05:19Ça ne vous intéresse pas
01:05:19ce que je raconte ?
01:05:19Si, si, on est en train
01:05:21de parler du match.
01:05:21Vous irez sur l'équipe live
01:05:23pour voir s'il y a des buts.
01:05:25Pour l'Estonie.
01:05:31Avant de jouer,
01:05:33on va rappeler le gage
01:05:34du mois de novembre
01:05:35pour l'équipe perdante.
01:05:36Une jolie petite moustache
01:05:37Movember
01:05:38pour commencer
01:05:40à laisser pousser les poils.
01:05:41Le mouvement Movember,
01:05:43Rabé-Sandratana,
01:05:43peux-tu me rappeler ?
01:05:44Je ne sais pas les choses.
01:05:45Donc c'est la lutte
01:05:46contre le cancer de la prostate
01:05:48et on a imaginé
01:05:49que ça tirait bien.
01:05:51Mais tu me rases le bouquin.
01:05:52Tu m'enlèves ça en dessous.
01:05:53Déjà, il faut que je perds.
01:05:54Avec des lignes de soleil transparentes.
01:05:56Et Camille,
01:05:57on t'enlèvera
01:05:57en train du maquillage.
01:05:59On trouvera un truc.
01:06:00Tu me rases ça
01:06:01avec des sourcils.
01:06:02Quatre partout.
01:06:02C'est très serré.
01:06:03C'est la team
01:06:03Reste du Monde
01:06:04qui va démarrer
01:06:04et qui va avoir
01:06:05le choix de l'enveloppe.
01:06:07Vas-y, Myrtille.
01:06:08Violette.
01:06:09Violette.
01:06:09Oh, c'est mignon.
01:06:11Première question.
01:06:12Quel âge a Stephen Curry,
01:06:13auteur de 46 points.
01:06:14Oh, excellent.
01:06:15Je l'ai.
01:06:15Je l'ai, 37 ans.
01:06:17Exactement.
01:06:17Ah oui, ça a des potes, là.
01:06:19Exactement.
01:06:20C'est une bonne réponse.
01:06:22Je sais pas.
01:06:22C'est comme au Paris
01:06:23de la Skate Bowl.
01:06:23C'est comme ça.
01:06:24Il a mis 46 points hier.
01:06:27Team Bobby.
01:06:27C'est qui ?
01:06:28Qu'ont fait les joueuses
01:06:29belges de Lohleven
01:06:31hier après leur match
01:06:32contre le Barça.
01:06:32J'ai trois propositions.
01:06:34Elles se sont lancées
01:06:35dans un cours de castagnette.
01:06:36Elles sont parties en vélo
01:06:37à l'aéroport de Barcelone.
01:06:37Comment tu sais pas ?
01:06:38Attends.
01:06:39Elles ont fait la queue
01:06:40devant le vestiaire du Barça
01:06:41pour récupérer les maillots
01:06:41des adversaires.
01:06:43Évidemment qu'on a la réponse
01:06:44en image.
01:06:45Évidemment.
01:06:46C'est ça, les maillots
01:06:46à Camereta.
01:06:48C'est pas du tout original.
01:06:49C'est facile.
01:06:50Il y a des propositions.
01:06:51Faire la queue devant le vestiaire,
01:06:53c'est bon, c'est ça.
01:06:54Vérifiez en image.
01:06:55Je crois que c'est ça.
01:06:56Ah oui.
01:06:57Ah oui, toutes les joueuses.
01:06:59Là, on dirait les enfants,
01:07:01les amateurs.
01:07:02C'est ça ?
01:07:03Oui, remarque.
01:07:04Tant mieux, quel kiff.
01:07:05Je sais pas si l'histoire
01:07:06nous dit qu'elles en ont récupéré,
01:07:08mais en tout cas,
01:07:08c'est une bonne réponse.
01:07:09Un partout.
01:07:10Tim, reste du monde.
01:07:11Qui est-il arrivé
01:07:11à Suria-Bronali à Las Vegas ?
01:07:13On lui a volé
01:07:14toutes ses médailles olympiques
01:07:15dans un cambriolage.
01:07:16Elle a brûlé
01:07:17accidentellement ses médailles
01:07:18avec de l'acide.
01:07:20Elle a simplement fait un don
01:07:21de ses médailles
01:07:21à une asso.
01:07:22Moi, je dirais la 3.
01:07:24On va espérer que c'est ça.
01:07:26Je sais pas ce que c'est,
01:07:27mais si c'est autre chose,
01:07:28allez.
01:07:28Elle a fait un don.
01:07:29On veut la faire passer
01:07:30pour quelqu'un
01:07:31d'extrêmement généreuse.
01:07:34On avait envie.
01:07:36On lui a volé
01:07:37toutes ses médailles olympiques.
01:07:39C'est horrible.
01:07:40Terrible.
01:07:41Ça m'a brisé.
01:07:42Écoute, je suis malheureux.
01:07:43On pense à elle, Suria.
01:07:44Un partout ?
01:07:45Oui, je savais.
01:07:46T'es où, ça ?
01:07:47Écoute les grands chants.
01:07:48Ami Rabé,
01:07:50vous pouvez éliminer
01:07:51un joueur sur cette question.
01:07:53Éliminer France.
01:07:54Juju.
01:07:54On élimine Juju ?
01:07:56Tu te retournes, Julien.
01:07:57On est d'accord.
01:07:58J'ai dit Juju.
01:08:00J'ai pas dit du mal de toi.
01:08:01J'ai dit Juju.
01:08:02Ça veut dire
01:08:03que tu élimines le meilleur.
01:08:04Qu'est-ce qu'il y a ?
01:08:04Pierre Boubi.
01:08:06Cette nuit,
01:08:06Jokic a inscrit 55 points
01:08:08contre les Clippers.
01:08:09Est-ce que c'est son record
01:08:10de points dans un match NBA ?
01:08:12J'ai bien fait.
01:08:13C'est une blague ou quoi ?
01:08:17Tourne-toi.
01:08:19Eh, regarde pas.
01:08:21Il faut une réponse.
01:08:22Quand tu veux.
01:08:23Non.
01:08:24Bonne réponse.
01:08:2561, c'était la saison dernière.
01:08:27Il faut pas donner la réponse.
01:08:28Oh là là.
01:08:28Il dit non, juste non,
01:08:30ça suffit.
01:08:30C'est une question facile,
01:08:32ça encore.
01:08:32Je l'avais, moi, ça.
01:08:33Merci, Pierre.
01:08:33On me demande les réponses.
01:08:35Ça fait 2, 1.
01:08:36Team Reste du Monde,
01:08:37regardez bien cette image.
01:08:39Julien Bourron
01:08:40est un collectionneur
01:08:41des maillots de Monaco.
01:08:42Il détient la plus grande
01:08:44collection de maillots
01:08:45d'un club.
01:08:46Il les a tous étalés
01:08:47sur le terrain.
01:08:47C'est magnifiant.
01:08:48C'est beau.
01:08:48Combien en a-t-il ?
01:08:50Est-ce que c'est moins de 1 000
01:08:51ou plus de 1 000 ?
01:08:52Moi, je sais.
01:08:52Une blague.
01:08:53Remets la dernière émande.
01:08:54T'auras pas le temps de compter.
01:08:55Il n'y a pas le chiffre exact.
01:08:56Moins de 1 000 ou plus de 1 000 ?
01:08:57T'as le chiffre exact.
01:08:59Là, le chiffre exact.
01:08:59Bien sûr, papa.
01:09:00Oui, on est au-dessus.
01:09:01Bien sûr, papa.
01:09:02Attention, vite.
01:09:03Moins de 1 000.
01:09:05980.
01:09:06Eh ben non !
01:09:07Combien ?
01:09:081 146 !
01:09:09Évidemment !
01:09:11T'as Guimou Négoa.
01:09:11Bravo, monsieur.
01:09:13Pierre Boubi ?
01:09:14Julien Allianne.
01:09:15La moustache, là.
01:09:16Tu veux jouer ?
01:09:17Julien Allianne a le droit de jouer.
01:09:18Quel pilote de Formule 1
01:09:19faites aujourd'hui ?
01:09:20C'est 26 ans.
01:09:20Bon, facile.
01:09:21Est-ce que c'est Georges Rossell
01:09:22ou est-ce que c'est Landon Norris ?
01:09:23Non, mais en plus,
01:09:23il a la proposition.
01:09:24Ils ont toujours une chanson de...
01:09:26S'arrêtez de râler !
01:09:27Ça, c'est toi, ça.
01:09:27Moi, je veux pas de moustache.
01:09:28Landon Norris ou qui ?
01:09:30Georges Rossell.
01:09:30J'irai, Rossell.
01:09:31C'est quoi ?
01:09:32Il y a un petit Rossell ?
01:09:33Ouais, je sais pas.
01:09:34Bon, allez, je te fais confiance.
01:09:35Ouais, Rossell.
01:09:36Georges Rossell ?
01:09:37C'est Landon Norris.
01:09:37Ah ouais, là !
01:09:38J'adore quand vous êtes sûr de vous comme ça.
01:09:41Non, j'ai pas sûr du tout.
01:09:43Team Brest du Monde.
01:09:44Oui.
01:09:45Kim Jong-un, le dictateur,
01:09:46a accepté de diffuser les matchs
01:09:48d'un des grands championnats européens en Corée.
01:09:50Lequel ?
01:09:51Est-ce que c'est la Première Ligue ?
01:09:53Est-ce que c'est la Ligue 1 ?
01:09:53Est-ce que c'est la Serie A ?
01:09:55Vous les trouvez où, ces questions ?
01:09:56La Première Ligue.
01:09:57S'il vous plaît.
01:09:58Franchement, on va les trouver où ?
01:09:59Là, on va où pour chercher les infos ?
01:10:02Match de paix.
01:10:03C'est quoi ces questions, là ?
01:10:04Sur l'équipe.
01:10:05Première Ligue ?
01:10:06Non, c'est faux.
01:10:07C'est faux.
01:10:07On dirait la Première Ligue.
01:10:08La Ligue, c'est faux.
01:10:09Première Ligue, c'est une bonne réponse.
01:10:11Écoutez bien, tous les matchs seront raccourcis à 60 minutes.
01:10:13Pas de signe LBGTQ et tout ça.
01:10:15Tous les Sud-Coréens seront supprimés à l'écran.
01:10:17Et tous les textes anglais bien visibles
01:10:19seront remplacés par des graphistes nord-coréens.
01:10:21Et le boulot de post-prod, là ?
01:10:23De partout.
01:10:24Timbubi, les Fidji sont-ils dans le top 10 du classement World Rugby ?
01:10:27Oui ou non ?
01:10:28Fidji, top 10 du classement World Rugby ou pas ?
01:10:31Oui.
01:10:31Comme ça, oui ou non ?
01:10:32Aïe, aïe, je dirais...
01:10:34Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe.
01:10:36Je dirais non.
01:10:38Moi, j'ai répondu tout seul une fois.
01:10:39Non.
01:10:40J'ai gagné.
01:10:40Évidemment, elles sont neuvièmes.
01:10:41Ça ne peut pas, là, Timbubi.
01:10:43Team, reste de mots ?
01:10:43Tout le monde dit que c'est un BG.
01:10:45Carbonus, écoutez le grand show.
01:10:51Camille, tu dois faire deviner la réponse à Rabé.
01:10:53Oh, très bien, ça.
01:10:54Je vais te poser une question.
01:10:56Et si tu ne l'as pas, je viens de te dire l'oreille.
01:10:58Bonne chance.
01:10:58Quel stade accueillera la finale de l'Euro 2028 ?
01:11:02Tu l'as ou pas ?
01:11:03Oui.
01:11:04Tu l'as ?
01:11:04Alors, tu lui fais deviner.
01:11:05Mais comment je fais ?
01:11:06Tu fais, c'est un stade.
01:11:07Tu mimes ma stade.
01:11:08La ville, le pays.
01:11:10Tu mimes ma stade.
01:11:11Mais tu peux parler.
01:11:12Ah, la ville, le pays.
01:11:14Vite, je peux dire le pays ?
01:11:16Non.
01:11:16Mais, l'Angleterre.
01:11:18Wemley.
01:11:18Oui.
01:11:18Oh là là.
01:11:20Je croyais que je n'avais pas le droit de parler.
01:11:22Oui, j'étais en train de faire la couronne.
01:11:24Moi aussi, je ne dis pas qu'il y avait de l'hiver.
01:11:25Je ne comprenais pas.
01:11:26C'est une victoire, je crois, non ?
01:11:28Ah non, pas du tout.
01:11:29Ils peuvent égaliser la team.
01:11:30Vite.
01:11:31Qui sont les deux joueurs en une de l'équipe ?
01:11:33Cherki et Mbappé.
01:11:34Oh, la bonne réponse.
01:11:35Oh, la ratée.
01:11:36Non, mais c'est quoi cette question-là ?
01:11:38À combien de jours sommes-nous de l'ouverture de la Coupe du Monde 2026 ?
01:11:43En tablette, la plus proche réponse l'emporte.
01:11:46Et attention, il y a une moustache à la clé.
01:11:49Indice, c'est dans six mois à peu près.
01:11:51Combien ça fait en jour ?
01:11:52De quoi ?
01:11:53L'ouverture de la Coupe du Monde 2026.
01:11:54Trois, deux, un.
01:11:56On retourne les tablettes, vite.
01:11:58Attends, elle écrit.
01:11:59Elle est en retard.
01:12:00202, 250, 210.
01:12:03C'est la team.
01:12:03Oh, c'est ça, c'est ça.
01:12:07On accueille Greg Hachers qui a 20 secondes pour vous parler de l'équipe.
01:12:12C'est quoi ces questions ?
01:12:13C'est quoi la une de l'équipe ?
01:12:155-4 pour la team Bobby en attendant.
01:12:17Bonsoir à vous.
01:12:19Bonsoir ce soir.
01:12:19On s'est barré de ce match pour la Coupe du Monde.
01:12:21Et pourquoi c'est jamais anecdotique de se qualifier pour la Coupe du Monde ?
01:12:24Pourquoi c'est toujours un événement ?
01:12:26Parce qu'évidemment, ça nous est arrivé d'en louper.
01:12:27Et on n'a pas le droit de dénigrer un match comme ça
01:12:30et de se dire qu'il est fou automatiquement.
01:12:31C'est un bon match.
01:12:32Et on vous a chauffé, Giovanni, en direct.
01:12:33Oui, j'ai vu.
01:12:34C'était très bien.
01:12:34On sera dans l'avant-match, évidemment.
01:12:36Demain, 16h45, c'est Anne-Sophie Balladi aux manettes.
01:12:39Juste après les Bleus en Coupe du Monde,
01:12:40il y aura France-Colombie à 14h20.
01:12:42Nous, on arrive juste après.
01:12:43La photo, elle est pour la team Bobby qui a préparé quelque chose.
01:12:45Vous n'avez pas honte ?
01:12:46Ah, c'est Jésus.
01:12:47C'est Zidane.
01:12:48C'est Ronaldo.
01:12:48Je ne l'ai pas.
01:12:50Vous allez ?
01:12:50C'est Zidane.
01:12:59C'est Zidane.
01:13:00C'est Zidane.
01:13:01C'est Zidane.
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