Quand Bong Joon‑ho prend la caméra, on ne sait jamais si l’on va rire, trembler ou être confronté à l’injustice — souvent les trois en même temps. Ce réalisateur jongle avec les genres comme peu savent le faire : satire sociale, horreur, science‑fiction, tout s’entremêle sans jamais perdre de vue l’humain et le réel. Avec Parasite, il a redéfini ce que le cinéma hors‑USA pouvait conquérir, et ses films restent autant des divertissements que des réveils. Respect total
Commentaires
33