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  • il y a 11 heures
Interrogé sur le plateau de CNEWS, l'avocat Gilles-William Goldnadel s'est exprimé sur l'accord de 1968 dénoncé par les politiques.

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Transcription
00:00C'est le prémice de l'Union des droites.
00:01Non, il n'y a pas de prémice de l'Union des droites.
00:03Madame Le Pen elle-même ne le souhaite pas.
00:05Oui, mais c'est l'acte.
00:07Quand on écoute, c'est l'acte fondateur.
00:10Ah oui !
00:10Il y a un peu de provocation dans ce que dit notre ami.
00:14Mais oui, c'est excessif.
00:15Mais je pense que vous êtes le premier à le dire et à l'analyser comme ça et c'est intéressant.
00:19Vraiment, c'est intéressant.
00:20Je pense Geoffroy.
00:21En fait, William est contre.
00:23William, ne prenez pas cette merde.
00:24Mais je vais répondre après.
00:25Le chien battu.
00:28Ne me demandez pas d'être un chien battu.
00:30Hier, je pestais contre une partie de la droite qui ne proposait pas,
00:34qui acceptait tous les oucazes socialistes et qui ne proposait pas quelque chose.
00:39Et je proposais justement cette histoire-là.
00:4172% des Français sont pauvres.
00:43Et pourtant, ils ne le faisaient pas.
00:45Donc, je ne vais pas me plaindre.
00:47Mais donc, c'est un symbole fort parce que ça n'est que symbolique.
00:50Non, mais l'autre symbole qui est très puissant, c'est non pas l'union des droites,
00:55mais c'est certainement la fin du cordon sanitaire contre le Rassemblement national
01:03qui maintenant va sans doute étrangler la France insoumise.
01:07C'est quand même un beau symbole.
01:09Deuxième passage.
01:10Si la fin du cordon, ça veut dire par définition qu'il y a l'union des droites.
01:12Il y a même des gens du centre qui le votent.
01:13Et alors, pourquoi Gabrielle ?
01:14Sous-titrage Société Radio-Canada
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