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  • il y a 1 semaine
Venue, un dimanche, rendre visite à sa petite fille Françoise, en pension à Deauville, Anne Gauthier fait la connaissance de Jean-Louis Duroc, dont le fils, Antoine, est interne dans le même établissement. Ils se revoient le dimanche suivant. Anne, scripte de cinéma, est hantée par le souvenir de son défunt mari, un cascadeur mort dans un accident, tandis que Jean-Louis pense à son épouse, qui s'est suicidée. Sont-ils disponibles pour un nouvel amour ? Une tendre amitié naît entre eux, bientôt relayée par un sentiment plus fort, que chacun devra s'autoriser. Les plages de Deauville vont peu à peu devenir le théâtre d'un amour qu'ils n'osent pas encore dire son nom...
Transcription
00:00Dans la vie, quand une chose n'est pas sérieuse, on dit que c'est du cinéma.
00:05Pourquoi vous pensez qu'on ne prend pas le cinéma au sérieux ?
00:09Je ne sais pas, moi.
00:13Peut-être parce qu'on y va que quand tout va bien.
00:16Alors vous pensez qu'on devrait y aller quand tout va mal ?
00:20Pourquoi pas ?
00:30C'est bon quand même d'envoyer un télégramme comme ça, il faut avoir du culot.
00:37C'est vrai, non ? C'est extraordinaire qu'une femme belle vous envoie un télégramme comme ça, c'est merveilleux.
00:44Quel courage.
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