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  • il y a 2 mois
A Antony, le préfet des Hauts-de-Seine a obtenu du maire, pour des raisons de sécurité, l’arrêt des cours dans une école islamiste. L'institut Alfoulk prône, selon lui, des valeurs contraires aux principes de la République. Connu pour sa fermeté face à l’islamisme radical, Alexandre Brugère a pris, en moins d’un an, une dizaine de décisions pour freiner l’expansion de ces mouvances.

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Transcription
00:00Sur ces images, l'Institut Al-Foulk, une école coranique encore ouverte il y a quelques jours à Antony.
00:07Sur son site, l'Institut se présente comme une association culturelle.
00:11Elle dit enseigner la langue arabe et faire de la traduction de textes avec comme objectif propager un islam radical.
00:19On y trouve la présentation de différents modules d'enseignement.
00:22L'école affiche clairement ses positions.
00:25Les cours sont destinés aux musulmans et sont ouverts aux femmes qui prennent place derrière les hommes.
00:30Une tenue vestimentaire islamique est exigée, c'est-à-dire que seul le visage et les mains des femmes pourront apparaître.
00:37Pour assister aux cours, les femmes devaient aussi présenter une autorisation de leur mari ou de leur père.
00:43Pour la préfecture des Hauts-de-Seine, tous ces éléments relèvent le caractère islamiste de cette structure.
00:49La République, c'est l'égalité de l'homme et de la femme.
00:52Après un premier signalement en février 2025, Alexandre Brugère s'empare du sujet début octobre.
00:59Une cellule de lutte contre l'islamisme et le repli communautaire, enquête sur place.
01:04Les inspecteurs constatent plus d'une quinzaine d'infractions aux règles de sécurité.
01:08Ce sont bien ces manquements qui aboutiront à la fermeture de l'établissement le 20 octobre dernier,
01:14après un arrêté prononcé par Jean-Yves Sénan, le maire d'Antony.
01:17Merci.
01:18Merci.
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