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  • il y a 6 semaines
Retrouvez le replay du débat de l'Équipe du Soir du 21/10/2025.

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Sport
Transcription
00:00Score final de ce Bayer Leverkusen Paris Saint-Germain, premier de cordée, Ludovic Aubranier.
00:21Je vois un 2-6 dans un bleu pique.
00:24Et alors ? Vous pouvez copier sur votre voisin ou le professeur ?
00:28Euh, 6-1. Merci, David Appadou.
00:31Grégory Schneider ? 7-2.
00:35Ah oui, mais enfin, il y a déjà 4 ans.
00:36Hugo, guillemets.
00:37Eh bien, je vois comme Greg un 7-2. Ça rappellera des souvenirs à jour.
00:41Ah, ok.
00:42Oh, salut, pio.
00:44Werner Ouell.
00:45Jour ?
00:46Euh, 3-5.
00:51Bonsoir, 16, 12 à 2, c'est-à-dire du Paris Saint-Germain.
00:55Ah oui, peut-être moi aussi.
00:59Ah, alors attends.
00:59Oh non.
01:01L'émission, comme d'habitude.
01:02Oh, du riz !
01:03C'est l'équipe du soir. Bonsoir.
01:06Le micro était éteint. Je vous présente toutes mes excuses.
01:097-2, donc c'est un triomphe pour le Paris Saint-Germain.
01:12Greg me fait des petits cils. Oui, j'ai le bon prono avec le copain Hugo Guilet.
01:15Bravo, les gars.
01:17Vous allez vous partager les bonus qui, à la fin du quiz, va éliminer un chroniqueur
01:21et qui va se sauver.
01:23On avait une question. Est-ce que ce score évoque quelque chose à Joanne Miku ?
01:26Oh non, moi j'ai rien dit.
01:28Sale, sale.
01:30Attaque frontale comme ça.
01:31C'est pas la première fois qu'un club français gagne 7-2 contre un cavalier ?
01:33Ouelles, Werner, Ouelles, Werner avec dans les rangs du Werner, Joanne Miku.
01:37Voilà, on a crevé l'abcès. C'est bon, on va commencer l'émission.
01:40Bon, qui a les bonus alors ?
01:42Tu prends le... Tu ressuscites ?
01:45Moi j'ai l'émission.
01:45Ok, d'accord, très bien. Merci beaucoup.
01:47Et t'as pas trop l'été le choix en même temps.
01:48J'ai l'impression qu'à la droite du plateau, il y a un plateau.
01:51On dirait que le jeter d'heure, c'est un suiveur.
01:52Oui, ah bah là c'est...
01:53Il y a rien.
01:53Une raclée sans forcer.
01:55Le premier débat, c'est la marque du champion.
01:58Qui est le MVP du soir ? Deuxième question.
01:59Paris trop généreux. 5 buts encaissés en deux matchs.
02:023 à Strasbourg, 2 ce soir. Est-ce anecdotique ou préoccupant ?
02:05Dembélé Buteur, 3 minutes 10 après son entrée en jeu, le ballon d'or France Football, Marc.
02:09Est-ce que ça fait plaisir ?
02:11On n'est pas allé trop trop loin dans cette question.
02:14Je crois qu'il y a quelqu'un qui va dire non ?
02:16Non, est-ce que ça fait plaisir ?
02:17Il paraît qu'il a fait une école de questions.
02:19Moi, je suis un peu sûr.
02:20Mais là, franchement, voilà.
02:21L'énergie du soir et voilà.
02:237 buts à 2, donc c'est 9 buts à résumer en 30 secondes chrono.
02:28Elle fait de l'apnée.
02:29C'est aussi son autre passion, Léna Mounier.
02:31Bonsoir.
02:32Bonsoir, mémé. Bonsoir à tous.
02:34On y va.
02:34Allez, c'est parti.
02:35Sixième minute, centre de Nuno Mendes.
02:37Pacho inscrit son premier but avec le PSG.
02:411 par tour, réaction parisienne.
02:42Une de Désiré Douai-Gvara.
02:43Le français pour le 2-1.
02:45Trois minutes plus tard, Gvara buteur à son tour.
02:48Derrière, doublé de Désiré Douai.
02:50Trois buts en quatre minutes côté PSG.
02:52Retour des vestiaires, récital Vitinha.
02:55Passe parfaite, but de Mendes.
02:57Et la belle histoire continue.
02:59Rentrer à la 63ème, Dembélé.
03:01Le ballon d'or, buteur pour son retour.
03:03Et Vitinha pour finir.
03:05Score finale, 7-2.
03:06On m'applaudisse.
03:08Oui, oui, voilà.
03:08Merci beaucoup.
03:09Elle demande des acclamations.
03:10Elle a fait son métier.
03:11C'est bon, la jeunesse.
03:12Mes amis, c'est bien parce qu'en 30 secondes chrono,
03:14on voit un bon résumé de maths, une bonne raclée.
03:16En 30 secondes chrono, ça fait 7 buts marqués.
03:18Est-ce une raclée ?
03:19Une raclée sans forcer.
03:20Est-ce que c'est la marque du champion ce soir ?
03:23Est-ce que vous associez cette raclée à ce titre de champion ?
03:25On y va, habillage à l'américaine, musique.
03:28Ludovic ?
03:29Oui.
03:30Monsieur Daïve ?
03:31Même plus que ça.
03:33Plus que ça, c'est là.
03:34Greg Schneider ?
03:35Pas nécessairement.
03:37Pas nécessairement ?
03:38Ça ne vaut pas un duel, ça.
03:40Non, je ne pense pas que ce soit la marque du champion.
03:42Non.
03:43Alors là, c'est un duel, non.
03:45Hugo ?
03:45C'est un super duel royal.
03:46Ah, non aussi ?
03:48Non.
03:48Non aussi ?
03:50Alors franchement, j'ai fait une école de question.
03:52Là, je suis verné.
03:53Vous êtes surpris par votre propre question.
03:54Ah ben là, je suis surpris par mon talent.
03:57Voilà.
04:00Est-ce qu'on peut être surpris par le jingle ?
04:02Me demande Émile Gillet, qui se prend pour le producteur de l'émission.
04:05Ah ouais ?
04:05Jingle ?
04:07J'aurais pu le faire en allemand.
04:08Ouais.
04:09Jingle ?
04:09Vas-y, on parle.
04:11Allemand grande vadrouille.
04:13On a le même prof.
04:14Le patron va commencer, Hugo Guimet ?
04:17Il veut que j'y aille.
04:18Ça ne m'arrange pas, mais je...
04:20Le seul dire de l'info, Greg Schneider a répondu non, sera accompagné par Hugo Guimet.
04:27Dave ou Ludovic ?
04:29Je soulève, je découpe.
04:30Oh là là, le maître...
04:32Une raclée sans forcer, c'est la marque du champion.
04:35Oui, Ludovico Bragnac, on y va ?
04:37Ben oui, je ne vois pas ce qu'il vous faut de plus.
04:39La marque du champion, c'est de ne pas avoir de pitié pour l'adversaire.
04:43Certes, les Verkusen étaient un peu diminués.
04:45Paris aussi, imaginez ce que ça aurait pu être avec les absents.
04:48Jouer au Nivès, j'en passe et des meilleurs.
04:51Donc voilà, Paris a montré une marque de force sur ce match-là.
04:55Il n'y a pas photo.
04:56Voilà, c'est la marque du champion.
04:58Et je crois qu'ils ont encore marqué psychologiquement cette équipe de l'Everkusen,
05:01mais les autres équipes de la poule.
05:02OK, c'est plus que ça, nous dit David Appadou, la suite dans quelques minutes.
05:05Mais pour l'heure, on va vers les noms, Gregor Schneider.
05:08Parce que plutôt qu'une question de force et de niveau,
05:11j'ai plutôt envie de regarder le contenu et le plaisir qu'ils y ont pris,
05:14l'animation et la manière dont ils jouent.
05:17C'est-à-dire que c'est une équipe, quand elle enclenche,
05:19qui est très efficace, qui fait beaucoup de choses,
05:22qui développe beaucoup de jeux.
05:25Et je trouve que ça ne fait pas forcément d'elles une très forte équipe
05:30ou bien sûr qu'ils sont meilleurs que les Verkusen.
05:32Mais au-delà de ça, ils m'ont plus diffusé une impression de joie,
05:35de plaisir, que je déconnecte de la performance pure personnellement.
05:39David Appadou, à vous de jouer.
05:41Bon, alors là, vraiment tombe de ce que dit Greg Schneider,
05:45mais ses propos lui appartiennent.
05:47Non, moi, je vois même plus que ça.
05:49Je vois la démonstration non seulement du champion,
05:51mais d'une très très grande équipe.
05:54C'est-à-dire que là, des champions, on en a connu,
05:56mais qui derrière ont un parcours normal.
05:59Là, ils sont en train d'atteindre un niveau de domination,
06:01un niveau d'impact sur les équipes adverses.
06:05On a l'impression qu'une journée au boulot, ils vous en collent six.
06:07Et sans forcer, vous l'avez dit, sans forcer.
06:09Moi, pour moi, on est dans autre chose que le champion.
06:11Là, pour moi, on est dans une équipe d'une rare domination.
06:14Comme il n'y en a pas eu tant que ça ces dernières années,
06:16moi, je vois ça plus fort encore que le champion.
06:18Hugo Guimet, c'est un non. Pourquoi ?
06:20Quelle est votre lecture ?
06:21Parce que s'y battre une équipe ouverte au 4-20,
06:257-2 en poule de Ligue des Champions,
06:26c'est la marque du champion.
06:28Non, déjà, c'est déjà arrivé.
06:31Ensuite, Leverkusen a laissé des espaces vraiment béants,
06:36surtout à 10 contre 10.
06:38J'enlève vraiment rien à la performance du PSG,
06:40mais je décorrelle cette très bonne performance
06:42du fait qu'ils soient champions.
06:44Ce n'est pas parce qu'ils sont champions d'Europe
06:45qu'ils ont réussi à battre 7-2 le Bayer Leverkusen.
06:48L'an passé, ils n'étaient pas champions d'Europe
06:49et pourtant, ils avaient des manières féroces
06:51déjà sur la Ligue des Champions.
06:52Oui, on a un sentiment que le Président,
06:54qu'on assiste à un 3 contre 1.
06:56On ne vous a pas compris, Grégory, par rapport à ça.
06:58Mais ne vous énervez pas ?
06:59Moi, je l'ai compris.
07:00Heureusement qu'il y en a un qui ne fâche pas.
07:02C'est dur pour moi.
07:04Après, il ne faut pas oublier qu'il a trouvé le bon score.
07:06Une seconde et trois dixièmes.
07:08Bon, ben voilà, j'ai parlé.
07:09Je m'associe donc au duo.
07:11On a toute la soirée pour en parler de cette performance.
07:14Il avait une seconde, mais terrible.
07:16Oui, je...
07:16Président...
07:19Il peut faire beaucoup de choses en une fois.
07:20Ben oui, Président, à bout de jouer.
07:23Moi, j'irais plutôt sur le oui,
07:25vraiment sur le oui,
07:27par rapport à la maîtrise du PSG ce soir,
07:31par rapport à la facilité et à la faculté
07:33à gérer ce match-là à 11 contre 11
07:36et puis après à 10 contre 10.
07:38Et puis, je crois que c'est Ludo qui en a parlé.
07:40C'est une équipe qui...
07:42Moi, je trouve que c'est la marque du champion
07:43parce que même avec les absents,
07:45ça joue toujours de la même manière.
07:46C'est-à-dire que même les joueurs
07:48qui ne sont pas dans le 11 titulaire,
07:50ils arrivent à mettre en place
07:52le jeu proposé par l'entraîneur.
07:54Et voilà, c'est un rouleau compresseur
07:56aujourd'hui qu'il faut saluer.
07:59Moi, aujourd'hui, je n'ai pas envie
08:00de voir l'adversaire.
08:01J'ai envie de voir ce PSG-là
08:02qui confirme, après son titre de l'an dernier,
08:05de continuer sur la même lancée
08:07pour cette saison.
08:07Devenu Castaldi est dans la place.
08:10Ce soir, vous êtes cité à la conférence de presse
08:12des deux coachs.
08:13Casper Hulmande,
08:14Julmande, pardonnez-moi,
08:15donc coach danois du Bayer avec Hussein
08:18et puis Louis Sénriquet,
08:19côté Paris Saint-Germain.
08:22Je vais partir directement,
08:23voilà, du côté,
08:25la côte hors catégorie.
08:28Ce qu'on n'a pas vu à la télé,
08:31il y a peut-être des choses
08:32qui vous ont impressionnées,
08:34des choses qu'on découvre au stade
08:36sur cette équipe du Paris Saint-Germain.
08:38Vous retenez quoi
08:39qui a été sur place ?
08:41Giovanni, bonsoir, pardonnez-moi.
08:42Je ne vous ai pas dit bonsoir.
08:45Bonsoir, Mémé, bonsoir à tous.
08:47Deux choses.
08:48Sur les premières minutes de la rencontre,
08:50on se dit que ça va être un carnage
08:51parce que Paris commençait très fort,
08:54le match va être facile,
08:55il y a le but de Pacho.
08:56Et après, je trouve qu'ils ont un petit défaut
08:58qu'ils avaient l'an passé.
09:00Ils se grisent un petit peu.
09:01C'était le cas sur le match retour
09:02à Birmingham face à Aston Villa.
09:06Et là, Luis Enrique n'était vraiment pas content.
09:07Il ne les a pas lâchés.
09:09J'enlève rien au talent des joueurs
09:10du Paris Saint-Germain
09:11et sans doute que ça finit à 7-2
09:12parce que c'est une équipe exceptionnelle.
09:15Mais en tout cas,
09:17Luis Enrique ne les a pas lâchés.
09:18Il a été très exigeant.
09:19Il s'est parfois énervé contre eux.
09:21Et on sent qu'il a envie
09:22que cette équipe soit intraitable
09:23en Ligue des Champions.
09:25Merci beaucoup, Giovanni.
09:27Non, je vous ai dit,
09:27je ne vous ai pas compris,
09:28mais je ne vous tombe pas dessus.
09:29Je ne me moque pas de vous, Bégory.
09:30C'est l'autre discours du général de Gaulle.
09:34Ce que j'ai compris,
09:35c'est qu'ils prennent du plaisir.
09:37C'est le plaisir à qui les portent.
09:38Moi, j'avais l'impression
09:39que c'était quelque chose.
09:40J'aurais pu associer ou comment on fasse ?
09:42On débat ou pas ?
09:44On débat ?
09:45Oui, tout à fait.
09:46Non, ça vous agace
09:46qu'on ne soit pas d'accord ?
09:47Ce n'est pas que ce n'est pas d'accord.
09:49Non, parce qu'on peut vous le dire.
09:50Si on n'est pas d'accord,
09:51on n'est pas débat.
09:51C'est frustrant.
09:52Merci beaucoup.
09:52C'est frustrant de ne pas être compris.
09:54Ce que je voulais dire,
09:55c'est qu'ils ont fait de belles choses
09:58parfois au détriment de l'efficacité,
09:59y compris défensive.
10:01Donc, j'ai plus vu quelque chose d'agréable à voir,
10:04de plaisant, de l'allant
10:05que vraiment de la force pure
10:06ou du niveau pur.
10:07C'est ce que je voulais dire.
10:08Après, si tu tartines l'Everkusen,
10:10ce n'est pas non plus forcément
10:11extrêmement représentatif.
10:12Moi, je trouve ça...
10:13Mais là, on est dans la philo.
10:14Tu ne gagnes pas 2-0,
10:15tu gagnes 7 à 2.
10:16Oui, oui.
10:16Ce n'est pas juste match
10:17où tu as mis 2-0.
10:19Attendez, je refais votre argument
10:20pour moi, pour vous,
10:23vous réfutez la question,
10:24la marque du champion,
10:25parce que ce n'est pas un match
10:26où on peut avoir ce genre de référence.
10:28C'était le propos.
10:30J'aimerais que la partie adverse
10:31s'en discute.
10:32Attendez, on discute de votre argument
10:33et vous revenez après.
10:34On va y aller.
10:35Moi, je pense que
10:36Jo dit quelque chose
10:37de très important par rapport...
10:38Non, mais Hugo !
10:39Oui, mais c'est la réponse.
10:41C'est la réponse à Hugo.
10:42S'il l'avait entendu,
10:42on va lui redire.
10:44Le truc, c'est qu'est-ce que Paris,
10:47quelles que soient les conditions,
10:49quelles que soient les conditions
10:50de son effectif,
10:52quelles que soient les conditions
10:53de l'adversaire,
10:54qu'est-ce qu'il impose
10:54de manière systématique ?
10:56C'est pour ça que j'ai dit, moi,
10:57que même ça allait plus loin
10:58que le champion des champions.
10:59On en a connu.
11:00Mais il le faisait déjà
11:01l'année dernière ?
11:01L'année dernière dans la phase de Pôle.
11:03Mais moi, tout mon propos,
11:05c'est de dire...
11:05Non.
11:05Tout mon propos, c'est de dire
11:07qu'en fait, ce qui se passe
11:08ce soir,
11:10ce n'est pas parce qu'ils sont
11:10champions d'Europe.
11:12Non !
11:13Parce qu'ils n'ont pas besoin
11:14d'être champions d'Europe
11:14pour...
11:15Regarde la phase de Pôle.
11:18Mais ils ont gagné 5-0 la finale.
11:19Ils n'étaient pas encore champions.
11:21Non, mais c'est autre chose.
11:22C'est le moment où ils sont champions.
11:23Là, sur une phase de Pôle
11:24où ils peuvent être en gestion.
11:27Ils peuvent se dire
11:27bon, la phase de Pôle
11:28étant ce qu'elle est,
11:29on peut gagner chichement.
11:30Une fois que le break est fait,
11:31moi, ce que je pensais,
11:32c'est qu'ils allaient
11:33un petit peu s'arrêter,
11:35ils te broient jusqu'au bout.
11:37Ils ont plié la Talenta.
11:39Ils ont quasiment,
11:40je ne dis pas la News League,
11:41mais pas loin,
11:41ils sont allés désosser
11:43le Barça chez lui.
11:44Là, cette fois,
11:45ils se déplacent à l'Everkusen.
11:47Ils te les plient
11:47alors que le match est plié.
11:48Ils continuent de leur enfoncer
11:50la tête.
11:50C'est pour ça que je disais,
11:51et j'en arrive à ça,
11:52c'est pour ça que je disais,
11:53moi, ça m'a même un peu
11:54plus loin que le champion.
11:55Des champions, on en a connu.
11:56Par exemple, des équipes
11:56comme Chelsea, tout ça,
11:57qui avaient gagné
11:58avec des champions.
11:59Mais l'année d'après,
12:00il n'y avait pas ce côté
12:00rouleau-compresseur.
12:02Après, tu prends un exemple
12:02où c'est presque une surprise
12:03qu'il a gagné.
12:04L'année où il l'a gagné.
12:05Oui, mais regarde,
12:05même le Real.
12:06Le Real, par exemple,
12:07quand il la gagne,
12:07ils sont un très beau champion.
12:09Moi, ça m'appelle le Barça
12:10de l'époque.
12:11Alors voilà, exactement.
12:13Moi, c'est pour ça que je dis
12:14que ça va un peu plus loin
12:14que le champion
12:15si on va dans une équipe dominante.
12:16Est-ce qu'on peut dire
12:17qu'ils impriment finalement
12:17une exigence de champion ?
12:19Oui.
12:19Parce que 4 à la Talenta,
12:21ils vont au Barça
12:22avec une équipe
12:23complètement romaniée
12:24avec des gamins.
12:25Ils battent le Barça au Barça.
12:26Ça fait 2-1
12:26et ils peuvent leur plier.
12:28Et ils viennent là,
12:29ils en mettent 7 à l'Everkusen.
12:31Donc si ça,
12:31ce n'est pas une marque
12:32imprimée du champion
12:34qui a l'exigence du champion.
12:35Du champion.
12:36Ok.
12:37J'ai l'impression
12:38que vous avez un peu gagné.
12:39Mais attendez, attendez Giovanni.
12:40Je discute avec les copains.
12:41Giovanni.
12:42Bon, Giovanni, à vous.
12:43À vous.
12:43Vous êtes sur place.
12:44Votre priorité.
12:45Oui, Giovanni.
12:47Non, c'était juste
12:49par rapport à ce que Greg évoquait
12:51et qui va un peu dans le sens
12:52de ce que viennent d'évoquer
12:55Jo, Dave et Ludo.
12:58Désolé, Greg,
12:58je ne veux pas que tu te revexes
12:59si je n'ai pas tout compris.
13:00Excuse-moi,
13:01mais quand tu dis
13:01qu'ils ont parfois
13:02profité du plaisir
13:04sans que ce soit
13:04une démonstration de force
13:06et tout,
13:06justement,
13:07leur structure,
13:08elle est hyper forte.
13:09Ils sont hyper disciplinés.
13:10Ils ont lâché hyper vite.
13:11Il n'y a jamais quelqu'un
13:12qui a été égoïste.
13:13Ils ont du bonheur
13:14à être ensemble
13:14parce qu'ils impriment
13:15cette démonstration de force.
13:17Donc en fait,
13:18et c'est là où je suis
13:18totalement d'accord
13:19sur l'intitulé
13:21Non, mais sur le côté champion,
13:23c'est que déjà
13:24que c'était une équipe
13:25qui était très forte,
13:25qui était capable
13:26d'en mettre sept,
13:26notamment face à Brest,
13:28qui était capable
13:28d'avoir fait mal à Liverpool.
13:30En plus, maintenant,
13:30ils ont un relâchement
13:31et une confiance en eux.
13:33Il y a une aura
13:33qui pleine sur cette équipe
13:35quand ils ont envie
13:35de faire mal
13:36et qu'ils te tiennent.
13:37C'est comme un chien
13:38avec un os.
13:38Ils ne te lâchent pas,
13:39ils te rognent,
13:40ils te désossent,
13:40ils te font mal.
13:41Et ça, c'est la confiance
13:42en plus du champion.
13:44Donc tout compte,
13:44à mon avis,
13:45dans une soirée comme ça.
13:46Pardon,
13:46Non, mais il l'avait quand ?
13:48Depuis quand ?
13:49La finale, non ?
13:50Oui, finale.
13:52Il y a une vraie démonstration,
13:53la finale.
13:53Oui, mais depuis la finale.
13:55Non, avant, avant.
13:57Il y a eu des parties
13:58de match contre Aston Villa,
13:59ça a été maîtrise.
14:00Après, il y a eu
14:00cette folie d'Aston Villa
14:02qui est revenue dans le match.
14:03Il y a eu ce trou.
14:05Il y avait même City,
14:06ils mettent 4-0 à City.
14:07Oui, oui.
14:07Moi, je trouve
14:08qu'ils ont une capacité
14:09à...
14:09Ah, ils y ont dit,
14:10on en vient.
14:10Comme disait, le plaisir,
14:12parce que tout ce qu'a dit Giovanni,
14:13c'est-à-dire
14:14ils ont un plaisir à jouer.
14:16Il n'y a pas un joueur
14:17qui surjoue,
14:18il n'y a pas un joueur
14:18qui joue pour lui.
14:20À chaque fois,
14:20c'est fait pour le coéquipier,
14:23le partenaire.
14:25Et n'importe qui rentre,
14:26c'est la même chose.
14:26Alors voilà,
14:27il y a une différence
14:27avec ce que tu dis
14:28sur le fait qu'effectivement
14:29au printemps dernier,
14:31à un moment,
14:31quand ils enclenchent,
14:32ils enclenchent.
14:32Mais ils enclenchent
14:33avec 12 joueurs.
14:35Ils ne changent plus son 11.
14:37Avec Barcola,
14:37la variable d'investissement.
14:39Non, tu vois ce que je veux dire ?
14:40C'est qu'en fait,
14:40après, on est sur une équipe
14:44on est en phase 2.
14:45Là, je reprends l'argument
14:47d'Hugo.
14:48Pour l'instant,
14:49on est en préchauffe.
14:50On est en phase 2.
14:51Mais alors attendez,
14:51ça ne veut pas dire
14:52que vous gagnez avec l'église
14:53un peu comme l'année dernière.
14:54Avant Barcelone,
14:54on nous promettait
14:55quasiment une finale avant l'heure.
14:56C'est vrai.
14:56Qu'est-ce qui s'est passé ?
14:57C'est vrai.
14:58Un massacre.
14:58C'est vrai.
14:59Alors attendez,
14:59j'ai un argument.
15:00Un massacre.
15:00Parce que ce soir,
15:02Paris met une sacrée volée
15:03au Bayern 7-2.
15:05Mais on va survoler
15:06la soirée ce soir.
15:08En 9 matchs,
15:09il y a eu 43 buts.
15:11Dont un pas faux Salmati
15:13à 0-0.
15:14Donc j'en retire un.
15:15Donc ça fait 43 buts
15:16en 8 matchs.
15:17Donc la marque du champion,
15:19le fait finalement
15:19que Paris empile les buts.
15:21Et bien aujourd'hui,
15:22dans cette troisième journée,
15:23ce qui marque,
15:25c'est qu'il y a
15:26des grosses différences
15:27entre les grosses cimales.
15:29Mais ce soir,
15:30on ne fait pas l'analyse
15:30de Paris que ce soir.
15:31On est sur un...
15:32C'est pas si vrai.
15:33Attention, moi,
15:33rien ne me dit que...
15:34C'est pas si vrai.
15:34Il y a eu 6-2.
15:35Endoven, Naples.
15:38Donc Endoven,
15:39c'est la marque du champion.
15:39Non, mais Endoven
15:40n'est pas forcément
15:41au-dessus de Naples
15:42à ce niveau-là.
15:42Et Naples a joué à 10.
15:44Bon, ok, mais...
15:44Sur le Paris Saint-Germain,
15:45le 43 buts,
15:46sur le PSG,
15:48déjà, c'est vrai
15:49qu'on a ce match où nez,
15:50mais il y a le match
15:50contre la Talenta
15:51qui, pour moi,
15:51était un peu le même.
15:52Il faut un énorme match
15:53contre la Talenta.
15:54Et la Talenta,
15:55je pense que c'est
15:57une équipe compétitive.
15:57C'est pas une équipe
15:58qui est là pour prendre
15:58des rousses.
15:59Donc à un moment,
16:00tu peux que te dire...
16:01Greg, c'est impressionnant,
16:03mais moi,
16:03j'ai l'impression
16:04de les voir,
16:05ils ont comme un cycliste,
16:07les mains en bas du guidon,
16:08en bas du sable.
16:09En fait, non,
16:09mais je crois...
16:09Il y a une sorte de facilité.
16:11Oui, mais je pense
16:12que c'est trompeur.
16:13Ah oui, non, non.
16:13Et ça revient peut-être
16:14à ce qu'on avait dit
16:15tout à l'heure, justement.
16:16C'est-à-dire qu'en fait,
16:17ça a l'air facile.
16:19Ça a l'air de plus en plus facile.
16:20Mais c'est ce qu'a dit Giovanni
16:22qui m'interroge.
16:23C'est-à-dire que derrière,
16:24il y a un énorme travail
16:25répété de structure.
16:27Non, mais c'est pas
16:27parce que ça a l'air facile
16:28que c'est facile.
16:29Mais c'est le curseur
16:29qui est élevé.
16:30Le curseur est élevé
16:31à une capacité
16:33où nous, quand on regarde,
16:34on a l'impression
16:34que les mecs qui gèrent,
16:35ils sont tranquilles.
16:36Mais je pense
16:36qu'ils ont une telle facilité,
16:37une telle coordination,
16:40une organisation dans le jeu.
16:42Mendès qui se retrouve des fois,
16:43tu vois,
16:43il est avançant sur le cinquième,
16:45je ne sais plus.
16:46J'ai vu pas de show
16:46numéro 12.
16:47Par exemple.
16:48Mais les mecs,
16:48ça ne perture personne,
16:49en fait,
16:50parce que c'est une habitude
16:51à se déplacer comme ça.
16:52Donc, il faut se garder
16:53cette impression de facilité.
16:55Elle est trompeuse.
16:56Non, mais c'est quoi
16:57être un grand ?
16:59C'est être identifiable,
17:01en fait.
17:02Et par le style
17:03et par le résultat.
17:04Aujourd'hui, c'est le cas.
17:05Oui, oui.
17:05C'est le cas.
17:06Donc, c'est le victoire de grand.
17:08Donc, la prochaine victoire
17:101-0 du Paris Saint-Germain,
17:11ce soir,
17:11ce sera donc la crise
17:13sur le Paris Saint-Germain.
17:13Non, mais parce qu'ils ont peut-être
17:14envie de mettre en place
17:15à certains points.
17:16Là, on analyse l'après-match.
17:17Honnêtement,
17:18moi, j'ai vu quand même
17:19quelques...
17:19Même si l'hévercus saine
17:21est diminué.
17:22Moi, j'ai quand même vu
17:23quelques bons joueurs
17:23du côté de l'hévercus saine.
17:25Vous avez quand même
17:25des mecs qui sont
17:26les Grimaldo,
17:28celui qui met les deux buts.
17:30Alex Carciel.
17:31Le deuxième,
17:32il est quand même...
17:33C'est pas...
17:34Ils ne le fêtent pas, d'ailleurs.
17:35C'est pas un peintre
17:35qui met ce genre de buts-là.
17:38Donc, OK,
17:39on peut minimiser
17:40en fonction de l'adversaire.
17:42Moi, je valorise
17:43plutôt ce que fait
17:44ce que fait Paris.
17:45Après, ce qu'ils font
17:45contre cet adversaire-là,
17:48moi, je pense qu'il y a
17:48les grandes d'Europe.
17:50Ils vont voir
17:50ce qu'ils ont fait
17:51et ils vont voir
17:52aussi le match.
17:52T'imprègnes.
17:53Moi, je pense que tout le monde
17:54veut surtout éviter le PSG.
17:56Oui, mais c'était pas le cas
17:57l'an dernier pour vous ?
17:58À ce moment-là
17:59de la saison ?
17:59Il y a un moment...
18:01Non, non, on était
18:03en train de s'écharper sur le...
18:04Bien sûr, évidemment.
18:04On ne savait pas
18:05s'ils allaient passer.
18:06Mais à partir du moment...
18:07Tu n'es pas rentré
18:08dans ton émission, Hugo.
18:08À partir...
18:09Non, non, si, si.
18:10Non, mais je comprends
18:11ce qu'il veut dire.
18:11À partir du moment
18:12où la machine
18:13s'est mise en route,
18:13personne ne les voulait.
18:15Évidemment,
18:15ils sont tombés contre...
18:16Donnez le résultat du duel
18:17qu'on passe à autre chose.
18:19Non, non, mais Hugo !
18:20Non, mais écoutez,
18:21c'est intéressant.
18:21Enfin, vas-y, c'est à toi de le dire.
18:23Non, parce qu'en fait,
18:23on s'éloigne de la question.
18:24C'est un problème
18:24parce qu'on tourne autour du pot.
18:26Donc, Ludo...
18:27Je veux dire, il y a une difficulté.
18:27Non, non, non, mais attends.
18:28Ludo, il se croit intéressant
18:30à dire que Paris est un grand.
18:31Donc, oui, on sait tous
18:32que Paris est un grand.
18:33Mais là, la question, c'est
18:34est-ce qu'ils ont fait ce match-là
18:35parce qu'ils sont champions ?
18:36Je ne pense pas.
18:38Non, parce qu'ils sont capables
18:39de faire ce match-là,
18:40même sans être champion d'Europe.
18:41Depuis 10 mois.
18:42On est en face de poule
18:42de la Ligue des Champions.
18:43Il y a une équipe moyenne en face.
18:45On parle de la confiance
18:46avec laquelle ils jouent.
18:47Ils ne font même pas
18:48dans le début de saison.
18:49Comment tu crois
18:49que tu acquiers
18:49une telle confiance ?
18:50Oui, il y a la confiance.
18:52Une telle facilité de jeu.
18:53C'est qu'à un moment donné,
18:54tu as chopé,
18:55il y a eu un déclic
18:55par ce titre.
18:56Mais ce n'est pas parce que
18:57tu as battu l'Inter 5-0
18:58en finale de la Ligue des Champions
18:59que tu jouais avec confiance
19:00aujourd'hui.
19:01Ils jouaient déjà avec confiance
19:02Mais toute la deuxième partie
19:05de saison,
19:05ils ont mis des raclas
19:06tout le monde.
19:06Mais c'est ce que je viens
19:07de te dire.
19:07C'était avec leur équipe type
19:08qui était définie.
19:10Là, maintenant,
19:11tu as l'impression
19:11que n'importe quel gamin,
19:12tu joues un bail,
19:13tu joues un bail,
19:14ils te déboîtent
19:14la compétence.
19:15Est-ce que la vraie question,
19:16c'est la marque du champion d'Europe ?
19:18C'est la marque du champion,
19:19d'une équipe championne.
19:20C'est-à-dire des champions.
19:21Ça ne veut pas dire
19:21juste champion d'Europe.
19:22C'est important.
19:24C'est la question.
19:24Oui, d'accord.
19:25C'est leur premier.
19:25Quand on dit un champion,
19:28c'est-à-dire que quand,
19:29je ne sais pas,
19:30on parle de tennis,
19:31par exemple,
19:31à un moment donné,
19:32tu as des fédéaires,
19:32ils ont gagné des trucs.
19:33Là, tu voyais que c'était
19:33une marque de champion.
19:34C'est pas parce qu'il ne va pas
19:37gagner l'autre Wimbledon
19:37parce qu'il a gagné
19:38ce Wimbledon d'avant.
19:39Je veux dire,
19:40c'est qu'à un moment donné,
19:40le mec,
19:41il pose le truc.
19:42Et là, ça devient des champions.
19:43Et là, pour moi,
19:44ils ont joué comme ça.
19:45C'était plus sur le côté champion
19:46du côté très grand équipe d'Europe.
19:46Là, ils restent bloqués
19:47sur le côté champion d'Europe.
19:48Hugo,
19:50cette phase de ligue,
19:51on est à la troisième journée,
19:51la quatrième journée,
19:52si ma mémoire ne me fait pas
19:53des défauts,
19:54c'est que Paris va recevoir
19:55à un moment le Bayern.
19:57Là, ça serait un vrai test.
20:01Là, ils battent le Bayern 3-0.
20:03Revenez, pose-nous la question.
20:03C'est la marque d'une...
20:05Allez, gagne au Barça pour toi
20:07avec une équipe...
20:08Bien sûr.
20:09On ne parle pas de ce match-là.
20:10On ne parle pas du match au Barça.
20:11On parle du Bayern
20:12et de RQC.
20:13Ça s'inclut avec l'ombre
20:16du Bayern et de RQC
20:17de Xabi Alonso.
20:19Tu vas gagner au Barça
20:20avec une équipe à moindre vie.
20:23Qu'est-ce qu'il te faut ?
20:24Il y a 2-1 au moment du pénalty
20:26qui est tiré sur le poteau.
20:27Ensuite, ça passe à 10 contre 10.
20:29Le match, il change complètement.
20:30Il y a des espaces de tous les côtés.
20:31Ça favorise le Premier League.
20:33C'est l'équipe de Vénard.
20:35Non, je n'ai pas dit
20:36que c'était une victoire de Vénard.
20:38Mais il faut être précis
20:39quand on analyse le match.
20:40Ce n'est pas parce qu'ils ont battu
20:41le Bayern et RQC en octobre
20:42que ça y est.
20:44Hugo, il dit un truc important.
20:46C'est que ce n'est pas d'hier.
20:47On a vu l'année dernière
20:48des matchs exceptionnels.
20:49Je me souviens,
20:49il y avait un truc
20:50qui m'avait marqué.
20:51C'est ce qu'avait dit Slott
20:51quand Liverpool était venu
20:53gagner au Parc.
20:54Ça, on vous rejoint là-dessus.
20:55Je vais juste dire un truc
20:57parce que ça m'avait marqué.
20:58On vous rejoint là-dessus.
20:58Ça m'avait marqué.
20:59Slott, il avait dit
21:00parce que Liverpool avait été dominé,
21:03il m'avait dit
21:03qu'on était obligé de jouer derrière
21:04sinon ils prenaient une branlée.
21:06Liverpool.
21:06Le Liverpool, c'est-à-dire
21:07que tout le monde sait
21:08depuis 10 mois
21:10que le PSG est capable
21:11de ces matchs.
21:11Pas 10 mois.
21:12Enfin, ou presque.
21:13Ouais, 10 février.
21:14Et ce qu'ils disent
21:16c'est que c'est pas d'hier.
21:17Ils ont fait des matchs
21:17stratosphériques
21:18effectivement par...
21:19Mais on vous rejoint là-dessus.
21:20Oui, donc c'est pas
21:21parce qu'ils sont champions d'Europe.
21:22Là où on peut vous rejoindre
21:23c'est que la mécanique
21:24du jeu de Louis-Saint-Riquet
21:25aujourd'hui
21:26elle est intégrée
21:26par tout le monde
21:27et la force
21:28du collectif du Paris Saint-Germain
21:30fait que n'importe quel joueur
21:31qui rentre dedans
21:32un peu isolé
21:33que ce soit M-Bike
21:34que ce soit Njantou
21:34etc.
21:35Je te pose la question
21:35Hugo.
21:36Non, non mais je te pose la question.
21:37On a tout de suite l'impression
21:38qu'il est de très haut niveau.
21:39Je te pose la question.
21:41Question neutre.
21:42Non mais question neutre.
21:43Regarde, tu me dis
21:44le titre n'a rien à voir
21:45dans ce qu'il dégage là.
21:47Tu penses que s'ils perdent
21:47la finale
21:49ou s'ils se font sortir
21:49en demi-finale par Arsenal
21:50alors qu'ils ont plus ou moins
21:52la même production
21:52depuis plusieurs mois
21:53plusieurs semaines
21:54à ce moment-là.
21:55Ça ne risquait pas quand même.
21:56Non mais admettons
21:57que ça se passe contre Arsenal
21:59si Donahouma
21:59il peut très bien
22:00ne pas faire des miracles
22:00et tu passes à la casserole.
22:02C'est possible.
22:03D'accord.
22:04Est-ce que tu crois
22:04que la confiance
22:05qu'ils ont là en ce moment
22:06l'impact qu'ils ont
22:08sur l'adversaire
22:08serait le même ?
22:09La confiance oui.
22:11Si tu parles de confiance oui.
22:13Tu vas sur des arguments
22:14psychologiques
22:15et sur la confiance etc.
22:16Et c'est pas lié toi.
22:17Évidemment que
22:17quand tu gagnes un titre
22:18ça t'emmène de la confiance.
22:19Oui et donc
22:20quand ils vont à Barcelone
22:22du coup
22:22ils y vont en tant que patron
22:24parce qu'à ce moment-là
22:25il y a un peu la question
22:26officieuse
22:27qui est la meilleure équipe
22:28d'Europe
22:29en ce moment
22:29les Barcelonais
22:30ont un peu introduit ça.
22:31Non mais ils ont un peu
22:32introduit ça en disant
22:33on a raté la finale de ça
22:34en finale ça aurait été
22:35une autre histoire etc.
22:36Il n'empêche que c'est
22:37une petite musique
22:37qu'on a entendue
22:38et qu'il fallait un petit peu
22:39la régler cette question.
22:40Est-ce que tu penses
22:41qu'ils sont dupes ?
22:42Je veux dire
22:42ils ont d'autres
22:43le PSG a des repères
22:44collectifs extraordinaires
22:45ils sont sortis de situations
22:46pas possibles
22:47c'est une toute autre équipe
22:48que Barcelone aujourd'hui.
22:49Non bien sûr.
22:50On se répète les amis.
22:50Aujourd'hui.
22:51Giovanni Castaldi dans la place.
22:52Giovanni vous vouliez
22:53il y a quelques minutes
22:54alors que nous avions dérivé
22:56de manière brillante
22:57comme d'habitude
22:57dans cette émission.
22:59Giovanni vous souvenez plus
23:01de ce que vous voulez dire
23:01c'est ça non ?
23:02On l'a perdu.
23:03Non si si.
23:06Non non c'était
23:06c'était pour reprendre Hugo
23:09à un moment où il se noyait
23:10mais vu qu'il se noie beaucoup
23:11en début d'émission
23:12je ne sais pas à quel moment
23:13je voulais intervenir
23:14pour sortir la tête de l'eau.
23:16Non non mais
23:16c'était juste
23:18sur le match du Bayern
23:20le révélateur
23:20je veux dire
23:21même s'il perd de 2-1
23:22au parc
23:22face au Bayern
23:24ça ne voudra rien dire.
23:25je trouve que
23:26Johan a eu l'argument parfait
23:28en fait qu'importe
23:29le résultat
23:30on sait que maintenant
23:31parce qu'ils sont champions d'Europe
23:32ils sont capables
23:33d'impacter
23:34les rencontres
23:35d'avoir leur identité
23:36d'imprégner quelque chose
23:38donc en fait
23:38tout le début de saison
23:40les blessures
23:41la défaite face à Marseille
23:43les calendriers
23:44pas de préparation
23:45tout est calme
23:45et tout est bien
23:46parce qu'il y a eu ce titre
23:47et en fait
23:48ça serait utopique
23:49de penser que ce début
23:50de saison
23:50du Paris Saint-Germain
23:52aurait été aussi calme
23:53et aurait été aussi bon
23:54sans avoir retiré
23:55la pression
23:56de cette victoire
23:57en Ligue des Champions
23:58donc tout ce qu'ils font
23:59maintenant
23:59porte le saut
24:00que c'est une équipe
24:01qui est championne d'Europe
24:02qui assume
24:03et qui veut le montrer
24:03à chaque fois
24:04qu'elle entend la petite musique
24:05ah Giovanni
24:06joue pas à Sugoro
24:07oui parce qu'avec son col roulé
24:08il est en train de nous expliquer
24:09que si Paris
24:10si Paris est fort
24:12non mais
24:13c'est parce qu'ils sont champions d'Europe
24:14Hugo parle pas de fringues
24:14ça te va pas
24:15je t'inquiète
24:16je t'inquiète
24:18non mais parce que pour Giovanni
24:19en fait
24:19si Dembele est un bon joueur
24:21c'est parce qu'il est ballon d'or
24:22c'est la même logique
24:22en fait
24:23on n'a pas attendu
24:24de voir le PSG champion d'Europe
24:25j'ai même pas parlé de Dembele
24:26non mais si
24:27mais c'est la même logique
24:27j'ai même pas parlé de Dembele
24:28non mais c'est les causes
24:29et les conséquences
24:30je te parlais
24:31je te parlais de ton exemple
24:32Calamito du Bayern
24:33tu dis depuis que
24:34non tu dis depuis
24:35tu dis depuis que le PSG
24:36a ce titre de champion d'Europe
24:37etc
24:38ben voilà c'est comme ça
24:39etc
24:39c'est vrai qu'avant ça jouait pas bien
24:40ok
24:41bon écoutez on va pas vouloir
24:43vous raconter
24:43la notion de confiance
24:44évidemment
24:45non mais c'est sur l'œuf ou la poule
24:46il a causé la conséquence
24:47c'était votre manière de penser
24:48il a cité Dembele
24:49que vous n'avez pas cité
24:50mais c'était
24:50votre manière de penser
24:52voilà
24:5292 à 18
24:55je le refuse même
24:57c'est trop sale
24:58c'est trop sale
24:59not in my house
25:01non mais je vais être battu
25:04comme des lions les gars
25:04ah là là
25:05c'est trop sale
25:06après t'étais avec Greg
25:07oh merde
25:09c'était un 3 contre 1
25:10donc Greg a gagné aussi
25:11je m'attendais pas
25:12on continue la remise des prix
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