Julien Odoul : «On assiste à ce qu'on avait annoncé depuis très longtemps avec l'UMPS.»

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Julien Odoul : «On assiste à ce qu'on avait annoncé depuis très longtemps avec l'UMPS. Aujourd'hui, on assiste à la désagrégation d'un parti LR qui n'a plus de président. Tous les marqueurs ont été bafoués, ce parti n'existe plus.»

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00:00C'est vrai que quand on a un siège de sénateur ou quand on est député européen,

00:03on ne risque pas de retourner devant les électeurs pour les élections législatives.

00:06Donc ça change un petit peu la donne.

00:08Mais là, on assiste quand même à ce qu'on avait prévu et ce qu'on avait annoncé depuis très longtemps avec l'UMPS.

00:14Rappelez-vous ce slogan de fusion entre l'UMP, donc l'ancêtre des Républicains, et le PS,

00:20qui partageait la même politique, dont les alternances n'étaient qu'un théâtre d'ombre,

00:25qui partageait exactement la même orientation sur plus d'immigration, plus d'impôts, plus de mondialisme.

00:31Et là, aujourd'hui, on assiste à la désagrégation d'un parti LR qui n'a plus de président, qui n'a plus de cadre,

00:38les cadres sont soumis, qui a exclu ses ministres parce qu'ils sont entrés au gouvernement.

00:43Alors, ils ne soutiennent pas le gouvernement, ils n'ont jamais eu autant de ministres au gouvernement,

00:46et ils n'ont jamais rien demandé, que ce soit sur l'orientation politique et sur la ligne pour les Français.

00:51Donc tous leurs marqueurs, tous les marqueurs ont été bafoués, il n'y a rien, ce parti aujourd'hui n'existe plus.

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