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  • il y a 2 jours
Dans cette émission spéciale de Clique sur Canal+, diffusée le 8 décembre 2022, les invités rendent hommage à Johnny Hallyday, l’icône éternelle du rock français. À travers des témoignages sincères, des images rares et des souvenirs intimes, cette séquence célèbre la mémoire et l’héritage d’un artiste qui a profondément marqué plusieurs générations.

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Musique
Transcription
00:00Ce soir, on clique sur le documentaire Johnny par Johnny
00:02et on en parle avec Philippe Labreau et Yaro Le Poupeau.
00:05Merci beaucoup.
00:06En fait, Jean-Philippe Smet, je suis né à Paris.
00:09Vous me connaissez mieux sous le nom de Johnny.
00:11Silette qui incarnait elle seule le rock français
00:14et qu'on découvre ici sous un nouveau jour.
00:16Un artiste, ça n'a l'air de rien,
00:19mais c'est très seul.
00:22Moi, je sais, j'ai des crises de cafards immenses des fois
00:24parce que je me sens seul, terriblement seul.
00:26Johnny par Johnny, c'est cinq épisodes
00:27basées sur des archives souvent tirées de l'oubli
00:30et en off, sa voix pour se raconter.
00:32Le seul moment où je suis peut-être sincère avec moi-même,
00:36c'est qu'on fait sur scène et je le raconte un peu ma vie.
00:39On y voit Johnny Hallyday, celui qu'on connaît tous
00:41en bête de scène avec des shows insensés.
00:44Il y a 80 personnes qui sont en train d'hurler,
00:46là, il ne va pas leur dire.
00:48Mais c'est aussi un portrait entier de la star
00:50dans ses bons côtés comme dans ses excès.
00:52Je me considère comme un château de rock'n'roll.
00:56Pour moi et simplement, je vais sur scène
00:57pour faire un bon spectacle, si je peux,
00:59si je suis en état ce jour-là,
01:02sans la rine dilatée, si possible.
01:04En près de 60 ans de carrière,
01:06Johnny Hallyday a tout donné à son public
01:08qui le lui a bien rendu.
01:09Si je suis là aujourd'hui, c'est surtout,
01:11c'est grâce à vous.
01:12Derrière toutes ces images de lui
01:13se dessine la frontière de la star
01:15entre légendes et réalités.
01:17Mais moi, je m'en fous de la mort.
01:18Je n'ai pas peur de mourir.
01:22Je veux que je ne parle.
01:23La seule chose pour laquelle ça me ferait peur,
01:28c'est pour les gens qui m'aiment.
01:30De quoi se rappeler que 5 ans après sa disparition,
01:33Johnny reste toujours un mythe.
01:34Est-ce que vous considérez comme un phénomène ?
01:375 ans après la disparition de Johnny,
01:44on peut toujours dire que c'est un phénomène.
01:46Johnny est toujours actuel.
01:47Ce qu'il a chanté est toujours d'actualité.
01:49Philippe Labroux, vous étiez un proche de Johnny
01:51et un de ses paroliers.
01:52Vous avez été le premier auteur à écrire
01:53tout un album pour Johnny,
01:55l'album Flagrandelli.
01:57Et votre histoire d'amitié a commencé
01:59dans une boîte de nuit,
02:00Battle de Santiago.
02:02À l'époque, il y avait très peu de gens
02:06qui portaient des Santiago.
02:07On nous prenait pour des ploucs.
02:09Et donc, je suis dans une boîte de nuit
02:10rue Saint-Benoît.
02:11Casanova, il s'appelait le garçon
02:12qui dirigeait cette boîte.
02:14Et je vois ce garçon
02:15que je n'avais jamais vu de ma vie.
02:17Avec les bottes, il voit les miennes.
02:18Il me dit, d'où elles viennent les tiennes ?
02:21Je lui dis, c'en t'a fait.
02:23Et toi ?
02:24Mexico City.
02:25Donc, vous étiez pote de bottes.
02:27Pote de bottes.
02:28Ça, c'est...
02:28Pas mal, pas mal, pas mal.
02:31On est resté là.
02:33Plus tard...
02:34Vous sortez un film.
02:34Je fais un film
02:35dont la musique est faite par Edi Vartan,
02:38qui était son beau-frère à l'époque.
02:40Et je dis, Edi, écoute,
02:40on va montrer le film.
02:42On fait une projection privée.
02:43Si ton beau-frère peut venir,
02:45il vient.
02:46Il vient.
02:47Il voit le film.
02:48Je sers des louches à la sortie.
02:51Et puis, je sors dans la rue
02:53des Dames Augustines,
02:54je m'en souviens encore,
02:55à Neuilly.
02:56Et là, il est là,
02:57debout, contre un réveur vert.
02:58Et il m'attend.
02:59Il me dit, voilà,
03:00j'adore le cinéma,
03:02j'adore l'Amérique,
03:03est-ce qu'on peut parler ?
03:04Et on est resté debout,
03:05tous les deux,
03:06pendant 50 minutes,
03:09à parler d'Elia Cazan,
03:10James Dean,
03:11Marlon Brando,
03:13tous les films
03:13qui, à l'époque,
03:14le passionnaient,
03:15et le cinéma le passionnait.
03:16D'ailleurs,
03:16d'une certaine manière,
03:17même s'il est devenu
03:18le rocker que tu sais,
03:20je crois qu'il aurait aimé
03:22avoir une carrière
03:23scénatographique
03:24encore plus large
03:25et plus importante.
03:26Et surtout, je tiens à dire
03:27que Johnny,
03:27c'était un cinéphile actuel.
03:29C'est-à-dire que moi,
03:30j'ai eu la chance
03:30de le côtoyer.
03:31Il me parlait de films
03:32de Hong Kong
03:33extrêmement pointus.
03:34Il faut savoir
03:35qu'il a tourné
03:35avec Johnny To,
03:37qui est une des stars
03:38du cinéma de Hong Kong.
03:39Il l'a fait venir ici.
03:40Il avait une admiration
03:41pour les nouveaux cinéastes,
03:43pour John Woo,
03:43pour tous les gens comme ça.
03:44Et c'était les mêmes conversations.
03:45Moi, il me parlait de films
03:46qu'on appelait de sous-culture,
03:49mais qui sont en fait
03:50des films majeurs,
03:51de réalisateurs majeurs.
03:52Et lui,
03:52il était à la pointe du cinéma.
03:54Mais comme Johnny,
03:55était également très aimé
03:56par les intellectuels, Pauline.
03:58Alors, c'est à double tranchant.
03:59Il y avait toute une partie
04:00de la population
04:01des intellectuels
04:02qui, au contraire,
04:02en faisaient un individu
04:04plutôt très mésestimé,
04:06pas très intelligent,
04:06assez imbécile.
04:07Je pense notamment
04:07à Marguerite Duras,
04:09qui avait fait une interview
04:10catastrophique de lui
04:11en 1964,
04:13où vraiment,
04:13elle le faisait passer
04:14pour un demeuré,
04:15pour ainsi dire.
04:16Mais ça,
04:16comme ça avait l'être Duras,
04:17parfois très méchante.
04:19Et il y avait aussi,
04:19évidemment,
04:21ceux qui l'adoraient.
04:21Et je pense en tête
04:22à François Sagan,
04:23qui lui a même écrit
04:24des chansons,
04:25dont une qui s'appelle
04:26Quelques cris,
04:27qui était dans l'album
04:29100%,
04:30produit ensuite
04:31par David Hallyday,
04:32qui l'avait arrangé,
04:33et qui a été
04:34un de ses plus grands
04:34succès commerciales.
04:35Et je vous propose
04:35qu'on écoute
04:36François Sagan
04:36parler de cette chanson.
04:38La difficulté
04:39avec Hallyday,
04:40c'est que,
04:41moi,
04:41quelques fois,
04:42j'ai fait des chansons,
04:42par conséquent,
04:43c'était sur des musiques
04:44qu'on m'avait données
04:45et que je n'avais plus
04:46qu'à remplir.
04:47Parce que faire
04:48des paroles de chansons
04:50comme ça,
04:50sans rien,
04:51c'est difficile,
04:52puisque un poème,
04:54c'est une chansons.
04:55Et entre-temps,
04:56pourquoi écrire
04:57si ce n'est pas un problème ?
04:59C'est difficile
04:59quand on l'écrit.
05:01Il y en a une
05:01qui s'appelle
05:02Quelques cris,
05:03qui l'a beaucoup plus,
05:05je crois,
05:05qui va chanter.
05:08C'est l'histoire
05:08des cris
05:08que peut jeter un homme
05:09au cours de sa vie,
05:10quand il naît,
05:12quand il découvre l'amour,
05:13quand il découvre le succès,
05:14quand il découvre la solitude.
05:18Applaudissements
05:18François Sagan
05:19François Sagan
05:20Est-ce que vous,
05:22il vous a déjà fait part
05:22de ce mépris ?
05:24Est-ce que ça le blessait ?
05:25Certains intellectuels
05:26disent de lui
05:26qu'il était bête,
05:27en fait.
05:27Non, mais d'abord,
05:28moi, je sais,
05:29et on le savait,
05:29que c'est un homme
05:30très intelligent.
05:32Il y a toute forme
05:32d'intelligence.
05:33La sienne ne repose pas
05:34forcément sur la culture,
05:35puisqu'il a quitté
05:36l'école très, très tôt.
05:38Il m'a d'ailleurs
05:38raconté un jour
05:39comment son père
05:40l'enfermait dans un placard
05:41pour l'empêcher
05:42d'aller à l'école.
05:43Moi, j'ai tout su
05:44avec lui.
05:44On a une amitié formidable.
05:46Mais je pense
05:48qu'il en souffrait,
05:49mais il n'en parlait
05:50jamais.
05:52En revanche,
05:52moi, j'ai toujours dit
05:53à tout le monde,
05:55vous êtes des cons.
05:56Le type est très intelligent.
05:58Arrêtez.
05:59Et peu à peu,
06:00et vous le savez bien,
06:00vous venez de le dire,
06:01les intellectuels,
06:03comme on dit,
06:03les intelligents,
06:04comme disait
06:05Michel Piccoli,
06:07ont compris
06:07en voyant son parcours
06:09et en lisant en particulier
06:10un très grand entretien
06:12qu'il a eu un jour
06:12pour Le Monde.
06:14Alors, d'un seul coup,
06:14quand il est dans Le Monde,
06:15ça va,
06:16signé Daniel Rondeau.
06:17Et d'un seul coup,
06:18ah, quand même,
06:19ah oui,
06:20et puis ils ont découvert
06:21non seulement son répertoire,
06:24mais sa puissance,
06:25son énergie,
06:27sa voix,
06:28son talent inouï.
06:29Et d'un seul coup,
06:31dans les années 70 à peu près,
06:3370-80,
06:35Johnny Hallyday est devenu
06:36l'idole de tout le monde,
06:38pas seulement du grand public,
06:40ce qu'il aimait,
06:41parce que pour lui,
06:42la seule chose qui comptait,
06:43on l'a vu dans les images,
06:44c'était le plus grand public,
06:46mais aussi de ce qu'on peut appeler
06:48bêtement l'élite.
06:50– Yarol,
06:51quand on se retrouve
06:51dans le tourbillon
06:52de Johnny Hallyday,
06:55comment on arrive là-dedans ?
06:56Comment on survit ?
06:57Comment est-ce qu'on résiste ?
06:59Parce que finalement,
07:00t'es resté très longtemps avec lui.
07:02Qu'est-ce qu'on vit
07:02que tu n'aurais jamais imaginé
07:04vivre dans la musique ?
07:05– Alors,
07:06je ne suis pas assez si longtemps
07:07que ça avec lui,
07:08en fait.
07:08– Six ans.
07:08– Ça a duré six ans,
07:09oui,
07:09mais avec le nombre,
07:10je pense au nombre de concerts
07:12qu'on a fait,
07:12le nombre de trucs qu'on a vécu,
07:13j'ai l'impression
07:14que ça a duré 15 ans.
07:16Donc,
07:16franchement,
07:19moi,
07:19ce que j'ai vécu
07:20grâce à lui sur scène,
07:21c'était hallucinant.
07:22C'est-à-dire que moi,
07:23ce qui m'a donné envie
07:23de faire de la musique
07:24quand j'étais enfant,
07:26c'est Elvis Presley,
07:27c'est Chuck Berry,
07:28c'est Jimi Hendrix,
07:29c'est Led Zeppelin,
07:29et grâce à lui,
07:30je me suis retrouvé
07:31à jouer des chansons
07:32de Jimi Hendrix,
07:34de Chuck Berry,
07:35dans des stades.
07:37Ça n'existe pas.
07:38– Non.
07:39– Il y a quoi ?
07:39Il y a les Stones,
07:40peut-être,
07:40qui font encore
07:41des Chuck Berry
07:41dans des stades.
07:42C'est-à-dire que moi,
07:43tout d'un coup...
07:43– Rappelons que Jimi Hendrix
07:44a fait la première partie
07:45de Johnny.
07:46– Voilà, exactement.
07:46Oui, oui, grave.
07:48Elle a l'impié,
07:48puis même toute une tournée
07:49en France,
07:50au tout début de la carrière
07:51de Jimi Hendrix.
07:53Donc, franchement,
07:53jouer des chansons
07:54comme Hey Joe,
07:55des standards,
07:57des adaptations en français,
07:58en plus,
07:58qui sont toujours très malines,
08:00réussir grâce à lui
08:01à jouer ça
08:02devant 80 000 personnes
08:03au stade de France
08:04ou dans d'autres stades,
08:05moi, j'étais là,
08:05mais je me réveillais,
08:06je me pinçais,
08:06quand j'étais là,
08:07c'est-à-dire que ce truc
08:09que j'ai appris à jouer
08:09avec la guitare
08:10quand j'avais 12 ans,
08:11tu vois, par exemple,
08:12une chanson
08:12qui s'appelle Ocarole,
08:13tu vois,
08:13que c'est le premier riff
08:14de guitare
08:14que j'ai appris à jouer,
08:15donc, quand j'ai joué ça
08:16dans la stade,
08:16j'étais à la maison.
08:17– Ça va pas,
08:17il y a un truc,
08:18un bug.
08:19Donc, moi,
08:20effectivement,
08:20moi, il y a eu un bug.
08:21Il y a un truc,
08:22grâce à lui,
08:22que j'ai vécu,
08:23que c'était là.
08:24– En tout cas,
08:25Johnny Hallyday,
08:25c'est un bug
08:26dans la matrice
08:26qui a marqué
08:27et qui marquera
08:27l'histoire de France
08:28et c'est une légende,
08:29Agnès.
08:29– Tout à fait.
08:30C'est une légende.
08:32Très bon magazine
08:34d'Éric Fautorino.
08:35Je vous le montre.
08:37On a eu un hors-série
08:38avec Elisabeth II,
08:39on a eu Bardot,
08:40Zidane,
08:40et là,
08:41évidemment,
08:41il est consacré à Johnny.
08:43On y retrouve
08:43les mots de Sagan,
08:45on y retrouve
08:46les mots de Duras.
08:47Je crois que c'est
08:47le poireau,
08:48la Ferrari et l'autobus.
08:50– La Ferrari et l'autobus.
08:50– La Ferrari,
08:51le nom de l'interview.
08:52Le nom de l'interview
08:53auquel je faisais référence.
08:55On y trouve les mots
08:56de Yarol également
08:57qui nous explique
08:59que Johnny a passé
08:59toute sa vie sur scène.
09:02C'est 70% de photos,
09:04toujours des sociologues,
09:05des écrivains,
09:06des historiens,
09:07des photos absolument magnifiques.
09:09C'est vraiment 20 euros.
09:11Écoutez,
09:11c'est le numéro 10.
09:13Je vous le conseille vraiment
09:14parce que je vous l'offre.
09:15Tenez.
09:15– Je l'ai.
09:16– Ah, vous l'avez déjà ?
09:18Bon, ben je le garde alors.
09:19– Moi, je vous propose
09:20qu'on se fasse un kiff
09:21parce que Johnny,
09:22c'était avant tout
09:22de la musique.
09:23Il vivait pour la musique.
09:25– Oui.
09:26– Vraiment,
09:26c'est quelqu'un,
09:27moi j'ai eu la chance
09:28de passer quelques moments
09:30avec lui,
09:30d'ailleurs j'embrasse Laetitia,
09:32et parler de musique,
09:33tout le temps curieux,
09:34tout le temps aux fêtes.
09:35Donc là,
09:35je vais vous demander à tous
09:36votre chanson préférée
09:37de Johnny Hallyday.
09:39On commence avec toi, Agnès.
09:40– Ah, alors,
09:41écoutez,
09:41comme je savais
09:42que Philippe Labreau était là,
09:43j'ai fait une référence
09:44Marité et Gilbert Carpentier.
09:46C'est pas que Johnny,
09:48c'est Sylvie et Johnny.
09:50J'ai un problème ?
09:51– Allez,
09:52on écoute ça.
09:53– Si tu n'es pas vraiment
09:56l'amour,
09:57tu lui ressembles.
09:59Quand je m'éloigne,
10:01toi,
10:01tu te reproches un peu.
10:04Si ça n'est pas vraiment
10:06l'amour,
10:07tu lui ressembles.
10:09Ça lui ressemble
10:11tant que c'est peut-être plus.
10:13– Philippe Labreau
10:16et Yacine Bellouz,
10:18vous avez fait le même choix.
10:19– Ah, ouais !
10:20– Et ouais.
10:20– Je suis content.
10:21– Et c'est Diego.
10:22– Oui, parce que Diego...
10:25– Ah là là,
10:27il a...
10:27– Incroyable.
10:27– J'ai pas assez créé de mixer, en fait.
10:37– Et pour toi,
10:52Pauline,
10:52tu as choisi
10:53l'envie.
10:54– Ah ben la légende.
10:55– Allez, regardez-moi ça.
10:56– Frédéric,
11:16qu'est-ce que tu as choisi ?
11:18– J'ai répondu tard
11:22à la production qui m'a demandé
11:23quelle musique je pouvais choisir.
11:25je me suis dit,
11:26tout le monde a choisi.
11:27– Et donc ?
11:27– Et je regrette.
11:29Voilà, clairement.
11:30Est-ce qu'on peut l'entendre ?
11:31– Oui, on peut l'entendre.
11:32– Oh, petit demi !
11:32– J'y pense depuis tout à l'heure.
11:34Très honnêtement,
11:35ça parle tellement sérieusement
11:36de l'heure,
11:37je me dis,
11:37mais faut pas qu'il le mette.
11:39– Ne mettez pas ça.
11:40– Ça, ça, ça, ça, ça, ça.
11:43– J'y pense depuis dix minutes
11:44en me disant,
11:45faut pas qu'il le mette.
11:46– Alors moi,
11:47je vais vous donner
11:47ma chanson préférée
11:49de Johnny,
11:50et c'est ça.
11:50– L'aventure,
11:54c'est l'aventure.
11:56Ça, il faut absolument
11:58que tu regardes ce film.
11:59Il faut absolument
12:00que tu regardes ce film.
12:02C'est pour moi
12:02le meilleur film de Claude Lelouch,
12:03la musique de Johnny,
12:05Aldo Macion incroyable,
12:06Jacques Brel,
12:07enfin voilà,
12:07c'est un de mes films français
12:08préférés.
12:09– C'est mes films français
12:10préférés.
12:10– Lino Ventura.
12:11– Lino Ventura,
12:11évidemment.
12:12– Charles Denner.
12:13– Ah, c'est un casting.
12:14– Vous savez,
12:14la fin, la démarche ou pas ?
12:15– Bah…
12:16– Allez !
12:17Aldo Macion !
12:19C'est comme ça.
12:20– Et un bonus,
12:23je me fais un kiff,
12:24je présente cette émission,
12:25j'ai le droit,
12:26le morceau
12:26– Deux chansons ?
12:27– Pardon,
12:28écrit par vous,
12:28Philippe Labreau,
12:29sur l'album 100%
12:29produit par David Hallyday.
12:31Juste un petit extrait.
12:31– Pardon,
12:34au nom de tous les hommes
12:37qui ne savent pas aimer
12:41Oh pardon,
12:46au nom de tous les hommes
12:48– C'est un des plus beaux
12:50morceaux de Johnny Hallyday,
12:51vous le dites,
12:51un des textes qui a été
12:52le plus dur à écrire.
12:53– Oui.
12:54– Et en tout cas,
12:54on en a parlé ce soir
12:55dans Clique,
12:55cette émission s'appelle
12:56Clique et on vous laisse
12:57à chaque fois avec des
12:58recommandations,
12:59on parle d'Amérique
13:00aujourd'hui dans le CQFC,
13:01ce qu'il faut cliquer.
13:02Mieux qu'un algorithme,
13:08la rédacue de Clique
13:08vous dit sur quoi cliquer.
13:10Et aujourd'hui,
13:10on clique sur Atlanta,
13:11la série créée par le génial
13:13Donald Glover.
13:14Le créateur et interprète
13:15du personnage Dern dans Atlanta
13:17a pris son temps
13:18et revient pour nous offrir
13:19la suite et fin des aventures
13:20du rappeur Paperboy,
13:21un bijou télévisuel
13:23à cliquer sans modération.
13:24– Hey,
13:25je suis ici pour voir D'Angelo.
13:26– Ce que tu as fait là
13:27c'est très impressionnant.
13:29Alors comment tu as fait ça ?
13:30– Qu'est-ce que ?
13:31– Qu'est-ce que c'est ?
13:32– Qu'est-ce que c'est ?
13:35– On continue avec Atlanta
13:37et sa musique
13:38puisqu'on clique sur l'album
13:39Heroes and Villains
13:40de Metrobomine.
13:42Le producteur préféré
13:43des rappeurs d'Atlanta
13:44accueille les plus grands
13:44sur son album
13:45avec des sons plus sombres
13:46que jamais.
13:47– Yeah, drinking dope,
13:48turn me to a superhero.
13:51Yeah, yeah, hit that pill,
13:53turn me to a superhero.
13:55– Il n'est pas né à Atlanta,
13:56mais c'est le plus américain
13:57des chanteurs français.
13:58On termine avec le légendaire
14:00Johnny Hallyday
14:00et une chanson de son album
14:02« Vie ».
14:02– Un sort j'ai vu
14:04une fille
14:05qui avait des cheveux
14:10si clairs
14:11que j'ai cru
14:14un instant
14:16rien.
14:19– Et voilà, c'est tout
14:20pour l'ICQFC.
14:21On se dit à demain.
14:21– Sous-titrage Société Radio-Canada
14:22– Sous-titrage Société Radio-Canada
14:22– Sous-titrage Société Radio-Canada
14:24– Sous-titrage Société Radio-Canada
14:25– Sous-titrage Société Radio-Canada
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