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«Personne ne peut s'imaginer ce qu'est la douleur d'une famille» d'un otage, explique avec émotion Caroline Yadan
Europe 1
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il y a 2 mois
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00:00
Europe 1 Soir, 19h-21h, Pierre de Villeneuve.
00:04
Autour de la table Raphaël Steinville, bonsoir.
00:06
Bonsoir Pierre.
00:07
Directeur adjoint de la rédaction du JDD.
00:09
Bonsoir Jean-Michel Salvatore, chroniqueur politique et communicant.
00:12
Bonsoir Caroline Yadam.
00:13
Bonsoir.
00:14
Et merci de nous faire l'amitié de venir dans le studio d'Europe 1.
00:17
Ce soir vous êtes député apparenté Renaissance des Français de l'étranger
00:20
et plus précisément des Français d'Israël.
00:23
Israël où vous vous rendez demain matin pour être auprès des familles d'otages
00:29
avec cette, comme l'a dit le président Trump,
00:32
il espère que les otages retrouveront leur famille lundi.
00:36
Écoutez, c'est un moment absolument historique.
00:39
Oui, bien sûr, j'ai pris la décision dès que j'ai su que le plan Trump avait été,
00:44
enfin la première partie avait été signée et que les otages allaient être libérés.
00:48
J'ai pris cette décision de partir dès demain matin en Israël
00:51
pour être aux côtés des familles des otages.
00:53
Vous savez, depuis deux ans, on a reçu énormément de familles des otages à l'Assemblée nationale
00:58
et on a touché du doigt cette douleur indicible.
01:02
On ne peut pas s'imaginer un instant.
01:05
Personne ne peut s'imaginer un instant ce qu'est la douleur d'une famille
01:09
qui a son père, sa mère, ses enfants, son frère, sa sœur, peu importe.
01:15
Et l'imaginer chaque jour, chaque heure qui passe dans les tunnels du Hamas
01:22
avec cette idée, avec cet espoir qui est toujours présent
01:28
et en même temps cette désespérance du moment présent.
01:32
Et c'est ce mélange-là.
01:34
Et donc je n'imagine même pas ce que peuvent aujourd'hui ressentir les familles
01:40
face à d'abord ce qu'elles vont découvrir.
01:43
Est-ce que les listes dont elles ont eu connaissance
01:48
sont des listes qui correspondent à la réalité ?
01:51
Est-ce que leurs proches vont être retrouvés ?
01:54
47 otages.
01:55
On m'a raconté...
01:56
On ne sait pas combien.
01:57
On parle de 20 à peu près vivants.
02:00
Oui, 20, 25.
02:01
Enfin, on ne sait pas.
02:02
Ce matin, j'avais quelqu'un au téléphone en Israël
02:06
et elle me racontait qu'il y avait une dame
02:08
qui était assise sur les marches du...
02:17
Excusez-moi.
02:19
On respecte votre émotion, Caroline Yadam.
02:22
Qui était sur les marches du forum des otages
02:25
et qui disait à Tel Aviv
02:28
et qui disait est-ce qu'il y a un manuel pour une mère
02:33
qui va retrouver son fils après deux ans de captivité ?
02:39
Je ne sais pas.
02:40
Je ne sais pas s'il y a un manuel.
02:43
Il y a sans doute des gens pour aider.
02:44
Sans doute.
02:46
Et donc, moi je pense que c'est la cérémonie
02:49
qui va être organisée pour le retour des otages
02:52
qui va être une cérémonie terriblement émouvante, bien sûr.
02:55
Mais ça va être une cérémonie de libération.
02:58
Une vraie libération parce que depuis deux ans,
03:01
on vit aussi à l'heure des otages
03:04
et on vit aussi en s'imaginant ce qu'ils peuvent subir.
03:09
Et malheureusement, les images qu'on a vues,
03:11
les images de famine absolue,
03:13
c'est-à-dire de la volonté d'un groupe terroriste monstrueux
03:17
qui est le Hamas,
03:18
d'affamer ces otages
03:22
et cette tension et pression psychologique
03:27
dont joue le Hamas,
03:30
ça, ça peut enfin cesser
03:31
et c'est la raison pour laquelle ce sera une véritable libération.
03:34
Évidemment, c'est une ouverture,
03:36
une fenêtre absolument inédite
03:38
et plus on attend longtemps,
03:41
plus on se dit que ça n'arrivera jamais
03:42
et finalement ça arrive.
03:43
Et donc, c'est évidemment une nouvelle.
03:45
Cela dit, c'est au prix de la libération
03:48
de 2200 prisonniers palestiniens
03:51
dont, Caroline Haddon,
03:52
250 condamnés pour terrorisme.
03:54
Et oui, vous vous rendez compte,
03:56
on m'a posé la question,
03:57
quelqu'un qui n'est pas forcément très au fait du sujet.
04:01
Je ne le remets absolument pas en cause.
04:02
Non, non, bien sûr, bien sûr.
04:04
Mais quelqu'un m'a posé la question,
04:06
pas plus tard qu'il y a quelques heures,
04:09
mais il m'a dit, mais enfin, pourquoi en fait ?
04:11
Qu'est-ce qui justifie ?
04:15
Que l'on échange 20 ou 22 otages vivants
04:19
contre 2000 prisonniers palestiniens,
04:22
dont 250 prisonniers qui ont du sang sur les mains.
04:27
Qu'est-ce qui le justifie ?
04:28
Pourquoi la valeur de la vie
04:30
n'est pas la même à ce moment-là ?
04:32
Et j'ai été incapable de lui répondre.
04:34
Ce que je peux simplement répondre,
04:36
c'est que la vie pour le peuple juif
04:40
et le peuple israélien
04:43
a une valeur absolue
04:51
et que, peu importe en réalité,
04:54
ce qui compte, c'est d'abord de libérer les otages.
04:58
Et vous savez, il y a aussi un espoir,
05:00
parce que j'aimerais juste aller au-delà
05:04
de la libération des otages.
05:06
J'ai lu tout à l'heure une interview
05:09
d'Al Nathour, qui est avocat à Gaza
05:12
et président de l'organisation palestinienne
05:14
Yos for Development.
05:16
Et je trouve très intéressant,
05:18
parce que c'est une parole
05:20
qu'on n'a pas l'habitude d'entendre du tout.
05:23
Et qu'est-ce qu'il dit, en fait ?
05:24
Il dit, le Hamas règne par la peur.
05:27
Il habite Gaza.
05:30
Il exécute journalistes,
05:31
militants et simples citoyens.
05:33
Ses miliciens jettent des corps dans les rues
05:35
pour intimider la population.
05:37
Dans les zones qu'il contrôle encore,
05:39
les habitants vivent dans la misère et le silence.
05:41
Mais là où il recule,
05:43
la vie renaît.
05:45
École réouverte,
05:47
ouvertes, marché actifs,
05:48
soins accessibles.
05:50
L'espoir vient aujourd'hui
05:51
du plan de paix de Donald Trump.
05:54
Je rêve d'un Gaza ouvert sur le monde
05:57
où l'on accueille des visiteurs en amis
05:59
et non en témoin de tragédie.
06:01
Ce rêve ne deviendra réalité
06:03
que lorsque les Palestiniens
06:05
seront enfin libérés du Hamas.
06:07
Et l'espoir est là.
06:09
On espère tous une autre autorité.
06:12
Bien sûr, bien sûr.
06:13
Mais c'est la raison pour laquelle
06:15
il est prévu dans le plan Trump
06:19
une force de stabilisation internationale.
06:24
Il y a Trump qui ce soir a promis un désarmement
06:27
dans une autre phase rapide
06:29
du plan de paix.
06:30
Jean-Michel Salvatore.
06:31
Justement, c'est sur ce désarmement progressif
06:34
du Hamas que je voudrais vous interroger
06:36
parce que c'est l'étape évidemment suivante.
06:38
C'est une étape qui va être
06:39
tout aussi difficile que la précédente.
06:42
Comment vous voyez les choses ?
06:43
Et est-ce que vous pensez
06:44
que le peuple israélien est capable
06:46
de faire la paix
06:47
après une blessure aussi terrible
06:51
que celle des otages ?
06:53
Est-ce que là,
06:54
il n'y a pas quelque chose d'irrémédiable ?
06:56
En fait, je pense que la question
06:58
ne se pose pas encore.
07:02
La question ne se pose pas encore.
07:04
Il est trop tôt.
07:05
Il est beaucoup trop tôt.
07:06
Les otages d'abord ?
07:07
D'abord les otages.
07:08
D'abord la réalisation réelle du plan Trump.
07:13
Et puis ça ne peut venir
07:14
qu'après plusieurs années.
07:16
C'est-à-dire que, en fait,
07:17
pourquoi ce plan Trump est intéressant ?
07:19
C'est parce qu'il a pour but en définitive
07:22
et au final a pour objectif
07:24
de changer les mentalités,
07:27
de changer les esprits
07:28
et de faire en sorte
07:30
que cette éducation à la haine,
07:32
que cette haine qui est chevillée au corps
07:35
d'aujourd'hui malheureusement
07:37
de beaucoup, beaucoup de Palestiniens
07:40
parce qu'ils ont été élevés,
07:41
que 50% du peuple palestinien
07:43
ont aujourd'hui moins de 20 ans,
07:45
que ça déjà, ça puisse évoluer.
07:47
Et que le désir de destruction du voisin,
07:51
le fait de ne pas reconnaître son existence,
07:53
le fait d'appeler,
07:55
de ne pas même arriver à dire Israël,
07:57
mais d'appeler Israël antité sioniste,
08:00
ça, il faut que ça disparaisse.
08:03
Et c'est seulement après
08:04
qu'on pourra évidemment parler de paix.
08:07
Mais ce qui est vraiment,
08:09
moi je pense,
08:10
essentiel dans ce plan,
08:13
c'est qu'il est inédit
08:15
dans la mise en œuvre
08:17
de comment on fait pour démilitariser,
08:20
comment on fait pour ramener
08:21
une paix réelle dans la région,
08:23
comment on fait pour que cette paix
08:25
ne soit pas une construction de tunnel
08:30
pour mieux pouvoir détruire Israël
08:32
dans quelques années
08:33
et recommencer le 7 octobre.
08:35
Il y a une chose qui compte en Israël.
08:37
Vous savez que la société israélienne
08:38
elle se déchire politiquement
08:40
et vraiment,
08:42
pour ça,
08:44
c'est une vraie démocratie.
08:45
Il y a un point commun
08:47
à toute la population israélienne.
08:51
C'est le plus jamais le 7 octobre.
08:54
Comme on a dit le plus jamais ça,
08:56
plus jamais le 7 octobre.
08:59
Parce que ce traumatisme-là
09:03
qui a été suivi d'ondes de choc
09:05
et notamment à cause des otages
09:09
et de l'inversion accusatoire aussi
09:11
à laquelle il a fallu faire face,
09:12
ce plus jamais ça,
09:13
il faut qu'il prenne un sens.
09:15
Et c'est tout l'espoir aujourd'hui
09:17
de ce qui est présenté.
09:18
Caroline Yadant,
09:19
justement,
09:19
puisque vous parlez de ça,
09:21
vous dites,
09:21
à juste titre,
09:22
il me semble,
09:23
d'abord les otages
09:24
et ensuite on verra.
09:25
Parce que c'est quand même ça la priorité.
09:27
Comment est-ce que vous interprétez
09:29
ou comment vous recevez
09:30
plutôt la parole présidentielle ?
09:32
Aujourd'hui, Emmanuel Macron,
09:33
alors qu'il y avait des négociations
09:35
entre pays arabes et pays européens
09:37
à Paris,
09:37
justement sur le futur
09:39
de la paix à Gaza,
09:41
est arrivé,
09:42
il a fait une déclaration
09:43
et il a dit
09:44
l'accélération de la colonisation
09:46
en Cisjordanie
09:47
constitue une menace existentielle
09:48
pour un État de Palestine.
09:50
Pardonnez-moi,
09:50
est-ce que c'est le moment
09:51
d'avoir cette parole-là ?
09:53
Non, évidemment.
09:56
Évidemment,
09:57
mais il ne vous aura pas échappé
09:58
que je suis en général
10:00
sur cette question-là
10:01
tout le moins
10:01
plutôt en désaccord
10:04
avec le Président.
10:05
C'est-à-dire qu'on peut en parler
10:06
mais ce n'est peut-être pas le timing.
10:07
Non, mais c'est surtout
10:08
qu'il y a des choses
10:10
qui sont en cours.
10:11
Il y a un plan
10:11
qui est en train
10:12
d'être négocié.
10:15
La première partie du plan
10:16
est en train d'être signée.
10:18
Je pense que
10:18
ce n'est pas forcément
10:21
la meilleure des choses
10:22
qui soit
10:22
de remettre une pièce
10:24
dans la machine,
10:24
on va dire.
10:25
Oui, Karine Yadon,
10:26
vous rappeliez
10:27
il y a quelques instants
10:29
que la société israélienne
10:30
dans son ensemble
10:31
s'entendait
10:32
sur ce
10:33
plus jamais ça,
10:33
plus jamais un 7 octobre.
10:35
Face à cette
10:36
certitude
10:38
ou cette intime conviction
10:39
qu'il ne faut pas
10:40
que ça se reproduise,
10:41
il y a plusieurs alternatives.
10:42
Il peut y avoir
10:43
une fuite en avant
10:44
sécuritaire,
10:45
l'idée de toujours
10:46
devoir se protéger,
10:48
d'être au mieux
10:50
des technologies
10:51
pour pouvoir se défendre.
10:53
Et puis,
10:53
il y a aussi
10:54
la perspective
10:54
de cohabiter
10:56
avec un voisin
10:58
palestinien.
11:01
Est-ce qu'aujourd'hui,
11:02
ce qui semblait
11:03
impossible,
11:05
il y a encore
11:05
10-15 jours
11:06
avant que
11:06
Donald Trump
11:07
ne pose sur la table
11:09
ce plan,
11:10
vous semble réaliste
11:12
et à quelle échéance ?
11:14
Écoutez,
11:14
moi j'ai envie d'y croire,
11:15
vraiment.
11:15
J'ai envie d'y croire.
11:18
La grande différence,
11:19
c'est que,
11:20
vous voyez,
11:20
quand les Israéliens
11:21
sont partis de Gaza
11:22
en 2005,
11:23
ils sont partis
11:24
et puis le Hamas
11:25
a pris le pouvoir
11:26
en 2007.
11:27
En 2006.
11:28
En 2006.
11:30
Et à ce moment-là,
11:33
on a su très très vite
11:34
que leur but
11:35
serait un but de guerre
11:38
ou en tout cas
11:38
un but de destruction
11:39
parce qu'ils l'avaient annoncé,
11:41
parce qu'ils le répétaient
11:41
et parce que
11:42
l'objectif
11:44
de la charte du Hamas
11:45
c'est la destruction
11:46
du peuple juif.
11:48
Et on avait entendu
11:49
d'ailleurs,
11:49
quand moi j'avais été
11:50
en Israël
11:51
visiter les kiboutts
11:53
et entendre
11:54
les témoignages,
11:55
on avait entendu
11:56
des témoignages
11:57
de personnes
11:58
qui entendaient
11:59
la construction
11:59
des tunnels.
12:00
C'est-à-dire,
12:01
ça vibrait
12:01
en fait sous leur maison.
12:03
Ils se disaient
12:04
mais que se passe-t-il ?
12:05
Ils sont en train
12:05
de construire des tunnels
12:06
pour venir nous tuer.
12:08
Donc,
12:09
il y avait ce phénomène
12:10
de connaissance
12:11
de ce qui est en train
12:12
de se passer.
12:13
On a nos ennemis
12:14
à la porte.
12:15
La grande différence
12:16
aujourd'hui,
12:17
c'est que,
12:18
en tout cas,
12:20
c'est pour ça
12:20
que je vous parle
12:21
d'espoir,
12:21
c'est que le plan Trump
12:23
doit mettre fin
12:25
à la volonté
12:31
de destruction
12:32
des voisins d'Israël,
12:35
à la volonté
12:36
de destruction
12:37
des voisins d'Israël
12:38
parce que ça va passer
12:39
par une autre gouvernance,
12:41
ça va passer
12:42
par une autre éducation,
12:43
ça va passer
12:43
par une réforme
12:44
en profondeur
12:45
de ceux qui vont
12:46
gouverner Gaza
12:47
et il va y avoir
12:48
aussi une ligne,
12:49
ça vous l'avez vu
12:50
aussi dans le plan,
12:51
une ligne de défense
12:53
où il n'y aura pas
12:54
de palestiniens.
12:57
Donc,
12:58
c'est aussi un moyen
12:59
pour Israël
12:59
de se protéger
13:00
et j'espère,
13:01
j'espère,
13:02
j'espère
13:02
que l'avenir
13:03
apportera la paix.
13:04
En tous les cas,
13:05
c'est un espoir
13:06
qui n'a jamais été
13:07
aussi proche,
13:08
qui n'existait pas
13:09
comme vous l'avez dit
13:10
il y a dix jours
13:10
et qui existe enfin aujourd'hui.
13:11
Un dernier mot
13:12
avant de vous quitter
13:13
Caroline Adam
13:13
puisque demain
13:14
vous partez en Israël
13:15
pour être auprès
13:15
des familles d'otages.
13:16
un mot sur la profédation
13:18
de la tombe
13:19
de Robert Badinter
13:19
le jour de son entrée
13:22
au Panthéon.
13:22
Oui,
13:23
vous savez Robert Badinter
13:24
c'était mon prof de droit
13:25
à la fac.
13:27
C'est classe
13:28
comme dirait les jeunes.
13:28
Oui,
13:28
franchement oui,
13:30
c'était mon prof de droit
13:32
en licence de droit,
13:34
j'avais une admiration
13:35
déjà sans borne
13:36
et c'est grâce à lui
13:37
que je suis devenue avocate.
13:39
C'était un infatigable
13:42
combattant
13:43
de la justice
13:45
il incarnait cette justice
13:48
face à la vengeance
13:49
il avait une exigence morale
13:51
absolument incroyable
13:53
et d'ailleurs
13:54
sa panthéonisation
13:56
honore ce que le droit
14:00
peut apporter
14:01
de meilleur dans l'humain.
14:03
Donc cette profanation
14:05
en fait
14:05
elle vient dire quoi ?
14:06
Elle vient dire que
14:07
l'obscurantisme existe toujours
14:09
que la haine existe toujours
14:10
et qu'en fait
14:11
les combats
14:11
qui ont été
14:13
ceux de Robert Badinter
14:15
toute sa vie
14:16
ils sont encore présents
14:17
parmi nous
14:18
et que c'est à nous
14:19
aussi
14:20
de porter ce flambeau-là
14:21
pour continuer
14:23
à se battre
14:24
pour
14:25
que ces valeurs-là
14:29
qui sont des valeurs
14:30
universelles
14:31
de notre république
14:32
se poursuivent.
14:33
Merci beaucoup Caroline Yadant
14:34
d'avoir été avec nous
14:35
sur Europe 1
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