- il y a 2 semaines
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00:00Salut à toutes et à tous et bienvenue dans votre magazine entièrement dédié au Squash.
00:28Au sommaire de cet épisode, portrait de Cara Lincou.
00:31A 22 ans, la nièce de Thierry Lincou, ancien numéro 1 mondial, est déjà au plus haut niveau.
00:37En deuxième partie, un inside exceptionnel sur le numéro 1 français Victor Croin.
00:42Son objectif, remporter à domicile son troisième titre de champion d'Europe consécutif.
00:48Pour terminer, direction la Roche-sur-Yon en Vendée à la découverte du Squash Yonet, un club convivial en plein développement.
00:57Cara Lincou, un nom qui, dans le monde du Squash, résonne déjà comme un héritage.
01:13Nièce de Thierry Lincou, ancien numéro 1 mondial et champion du monde,
01:16elle trace à 22 ans sa propre route entre ambition et sérénité.
01:21Ça a toujours été une fierté et un boost plutôt que de la pression.
01:27Je suis fière d'avoir ce lien avec lui et ça rend mon rêve plus réaliste.
01:32En fait, je me dis que c'est possible si quelqu'un de ma famille l'a fait,
01:36je peux aussi peut-être accomplir de grandes choses dans ce sport.
01:39Son père, Pascal, l'entraîne depuis ses débuts dans la discipline, à 7 ans.
01:46Une ascension vers le haut niveau, loin d'être linéaire.
01:50Tous les championnats de France que j'ai faits avant mes 17 ans,
01:53ça a été, bon, quelquefois des médailles de bronze quand même.
01:56Ce n'était pas des mauvais résultats.
01:58Mais à chaque fois, je perdais en demi-finale et il y avait un cap à passer.
02:03J'ai eu le moment du Covid où je me suis beaucoup entraînée.
02:07J'ai vraiment forgé un mental d'acier.
02:10Je fais beaucoup de prépa physique.
02:12Et là, quand je suis revenue, ça a été un tournant.
02:16Dans une période de confinement liée à la pandémie, difficile pour grand nombre,
02:21elle s'est révélée à son meilleur niveau.
02:23Le résultat, trois titres consécutifs de championnes de France chez les jeunes
02:27entre 2020 et 2022.
02:30Les championnats d'Europe, moins de 19 ans.
02:32J'étais sélectionnée en individuel.
02:35Et il y avait des coachs des universités américaines.
02:38Et donc, ils sont venus me parler.
02:39Et ça m'a vraiment pu.
02:40C'était un rêve que j'avais depuis mes 16 ans.
02:43Mais j'avais un peu laissé tomber l'affaire venant de la petite île de la Réunion et tout ça.
02:48Et au final, quand ils sont revenus vers moi, je me suis dit, bon, il faut y aller là.
02:51C'est que vraiment, c'est le destin.
02:53Pleine d'ambition, Cara pose ses valises à Trinity College,
02:56une université reconnue du Connecticut, loin de la tranquillité de sa tendre-île.
03:03C'est vraiment intense.
03:04On étudie, on s'entraîne, on mange, on se réentraîne, on fait les devoirs et on mange.
03:11Et on dort.
03:12Voilà, c'est le résumé de ma vie là-bas.
03:14Mais je suis ravie d'avoir cette opportunité.
03:18À côté de ses études de psychologie, Cara remporte le championnat national universitaire par équipe en 2024 et 2025.
03:26Une consécration après avoir quitté ses proches pour toucher son rêve.
03:30D'aller jouer dans une équipe aux Etats-Unis, ce n'est pas facile.
03:35En tant que réunionnaise, encore une fois, mais en plus de gagner les deux championnats nationaux
03:39contre les universités les plus prestigieuses du monde, donc Harvard, UPenn, Princeton, c'est une grande fierté.
03:47J'ai toujours eu des bonnes qualités mentales.
03:51Je suis combative, je suis patiente et calme sur le cours.
03:54Je m'énerve très rarement.
03:55Tous les matchs où c'était serré, je les ai remportés aux Etats-Unis.
03:58Et du coup, ça m'a donné une grosse confiance.
04:01Et à chaque fois, je me visualise ces moments.
04:04Quand ça devient dur, je me dis que c'est là que je kiffe la tension, que je sens les frissons,
04:09que je vois mon équipe derrière la vitre.
04:11C'est là que je prends plus de plaisir.
04:14Ses résultats lui ouvrent les portes de l'équipe de France Senior,
04:17cet été, car Alain Kou est sélectionné pour les Jeux Mondiaux en Chine.
04:21Une défaite en huitième de finale, mais une expérience fondatrice pour la suite de sa carrière.
04:27C'était ma plus belle sélection, je pense.
04:30Une fierté de représenter la France en général.
04:34On avait un petit groupe, mais on était tout le temps ensemble soudés.
04:38On s'encourageait sur les matchs des uns des autres,
04:42avec mon père derrière le cours, ce qui n'arrive plus souvent maintenant.
04:46Donc, ouais, que des bons soldats.
04:50Quelques jours plus tard, Cara est de nouveau sélectionnée par les Bleus lors des championnats d'Europe à Chartres.
04:56Une sixième place pleine d'espoir après deux victoires,
04:59et un quart de finale perdu contre la future vainqueur, Thune Guilis.
05:04Je me suis juste dit, bon, prends du plaisir, kiffe sur le terrain,
05:07essaye de rester le plus longtemps possible.
05:09C'était compliqué, mais je suis contente.
05:13J'avais vraiment envie de montrer que je méritais cette place,
05:18que je n'étais pas là pour rien, surtout devant le public français,
05:21devant l'équipe de France, les coéquipiers, les coachs.
05:25Je suis contente de ce que j'ai montré cette semaine.
05:30Moi, je ne me considère pas encore comme quelqu'un dans le squash.
05:34Et là, de voir qu'il y a des enfants, des petits joueurs français et tout,
05:38qui veulent des photos, des autographes, ça me remplit de joie.
05:41Parce que ça ne nous arrive pas souvent en tant que coacheur,
05:43surtout sur les... Je fais quelques tournois pro,
05:46et il n'y a pas grand monde parfois, et c'est compliqué.
05:50C'est-à-dire que tu es souvent face à toi-même.
05:52Et là, juste après la défaite, je n'ai que des zones positives,
05:54donc ça m'a remonté le moral rapidement.
05:58La parenthèse tricolore estivale refermée, un nouveau rôle,
06:02attend la réunionnaise pour sa rentrée américaine,
06:04élue co-capitaine de l'équipe par ses pairs,
06:07une reconnaissance pour son travail et son talent.
06:11Je vais gagner en 2023, je vais gagner en 2024.
06:24L'objectif, c'est de gagner en 2025.
06:28C'est toi le patron sur le terrain.
06:32Je suis le prend à la gorge, tout de suite.
06:37Allez, Victor, allez, on pousse là, allez.
06:41Je crois que tu peux le classer comme le numéro un.
06:51Avec Mathieu, ça chauffe en deux secondes.
06:59C'est cool d'avoir Mathieu sur le terrain
07:01pour mettre un peu plus de répondants
07:03que ce que mon vieux papa peut faire.
07:09Être coach, c'est ce qui me fait
07:11ne pas agir comme des parents un peu stupides.
07:15Tu es toujours obligé de penser à des performances.
07:18C'est là où tu es le plus dangereux, c'est quand tu prends un volet.
07:32Non, mais je me souviens, ce qu'il faut, c'est être à un volet
07:36pour ne pas qu'il le soit lui.
07:38Et au pire, lui relancer une au fond.
07:39Ils ont fait un super practice.
07:42On a essayé de reproduire le schéma de jeu
07:45que Nico fait
07:47pour être prêt ce soir.
07:50Je vais prendre des légumes,
07:52une quiche, saucisse
07:53et un peu de lentilles aussi, s'il vous plaît.
07:57Merci beaucoup.
07:58Parce qu'il faut que je tienne jusqu'à 20 heures.
08:01C'est gentil, merci.
08:02Un petit dodo
08:09et puis après,
08:11je me préparerai doucement,
08:13sûrement pour le match.
08:22On rentre sur de l'argent.
08:26Vachement,
08:27il est explosif.
08:28Tu le prends à la gorge,
08:39tout de suite.
08:40Très bien.
08:41Tout de suite.
08:42Et tu sais que dans la longueur,
08:45c'est toi qui gagnes.
08:47Allez, c'est parti pour cette dernière demi-finale
08:50qui rejoindra Baptiste Mazotti.
08:51On va voir la réponse après ce match.
08:52On va voir comment Victor va répondre.
09:03On sait aussi à ce niveau-là
09:04toute l'importance du premier jeu.
09:10Et voilà,
09:11on va s'arrêter là.
09:12Donc, Victor Croin,
09:14qualifié pour la finale.
09:15On aura donc une finale 100% française.
09:17On aura aimé un autre scénario.
09:19Dans quel état d'esprit tué
09:22après cette partie,
09:23je suppose il y a un peu de frustration.
09:25On n'a jamais envie
09:25de voir un joueur se blesser
09:27en compétition ou à l'entraînement.
09:29C'est le premier tournoi de sa saison à Nico.
09:33Donc, ça fait mal
09:34de le voir sortir comme ça.
09:41Ça va, Aless.
09:42Je ne t'ai pas besoin.
09:44Ça va.
09:45Non, mais en vrai,
09:47c'est pas parce que tu as fait qu'un jeu
09:49tu aurais pu avoir besoin.
09:51Écoute, c'est toi qui me dis.
09:52Moi, si tu me fais pas besoin,
09:54ça te s'inquiète.
09:55Après, tu vas faire tard.
09:57Ok.
09:58J'ai le dîner qui est déjà préparé à la maison.
10:00Donc, je vais rentrer manger
10:01et puis me relaxer.
10:04Essayer de faire en sorte
10:05de pouvoir aller dormir
10:07le plus rapidement possible.
10:09À demain.
10:15J'ai repris la racket un peu plus lourd.
10:18Je me dis que ça me permettra
10:20d'avoir plus de...
10:21Tu as du chance ?
10:22Non, surtout plus de régularité.
10:29Le but, c'était un peu
10:30de répéter les coups d'attaque
10:32pour pouvoir les utiliser
10:34au bon moment
10:35une fois que je serai sur le match.
10:45Je vais voir ce qu'il y a.
10:54Il va faire moins de fautes, c'est sûr.
10:56En début de match,
10:57il avait fait plus de douleur.
11:03Il va rester sur les tapis.
11:05Je n'ai pas pris l'écouteur.
11:06Je joue la finale à 16h
11:23contre Baptiste Mazotti,
11:25qui est numéro 2 français
11:26et numéro 2 du tournoi aussi.
11:29La dernière fois que je m'avais battu,
11:30c'était en 2022
11:31sur un tournoi national.
11:33Et depuis, je crois que j'ai gagné
11:34les trois dernières confrontations.
11:39J'ai hâte de jouer.
11:41J'espère que je n'aurai pas
11:42laissé trop d'énergie hier
11:43pour rester bien lucide
11:45dans tous mes choix.
11:47Mais je me dis que j'ai eu plus de temps
11:49pour m'adapter au cours
11:50et que je connais un peu plus
11:52le cours que lui.
11:53Croiser, croiser, croiser.
11:55Faire faire des rotations.
11:58Faire faire des...
12:00C'est toi le patron sur le cours.
12:04Victor Zan !
12:08Allez, c'est parti pour cette grande finale
12:18entre Victor Croin et Baptiste Mazotti.
12:20C'est là, c'est là où il peut lui parler.
12:45Celle-là, elle est passée.
12:49Celle-là, elle est passée.
12:50T'as vu ?
12:50Intense, c'est plus change.
12:55Intense.
12:57Ça va laisser des traces.
12:58La balle bien collée
12:59de Victor Croin.
13:01Ça, c'est le bon chemin.
13:03Non, il ne faut pas prendre de risques.
13:04Il ne faut pas prendre de risques.
13:06Il faut juste le faire travailler
13:07et mettre la balle le plus loin de lui.
13:11Le contre amorti.
13:12Ah oui, Baptiste Mazotti
13:15qui va prendre le premier jour
13:17de cette finale.
13:20En coup droit,
13:20il faut que tu arrives
13:21à faire plus de volets.
13:24C'est ce qu'on dit avant, c'est.
13:26On ne peut pas lui donner trois.
13:27Non.
13:29Il y a des points
13:30que tu ne pourras pas aller chercher.
13:31Le jeu remporté
13:44par Victor Croin.
13:46Un jeu presque à sens unique,
13:48j'ai envie de dire, 11-3.
13:49Il faut que tu prennes le lead
13:50dès le début.
13:51Essaye de volayer
13:53quand la balle est près de toi
13:55au lieu de laisser passer.
13:56Mais là, c'est parfait.
13:57Continue comme ça.
13:58Ça, c'est bien.
14:03Ah si, il commence à volayer comme ça.
14:05Allez, Victor, allez.
14:21Et bien, la dernière sera la bonne
14:27avec le lancé de raquette
14:29de Baptiste Mazotti.
14:33Il ne va rien pacter.
14:36Il a des hauts débats dans le jeu en plus.
14:39Ce n'est pas parce qu'il va mener
14:40ou qu'il va le mal du mieux mener
14:41mais obligatoirement, il ne va pas revenir.
14:44Allez, tout de suite.
14:46Et ça va offrir 5 balles de match,
14:555 balles de sacre.
14:56Un Victor Croin peut-être
14:57au bout de la raquette
14:59un troisième titre de champion d'Europe consécutif.
15:07Le nob.
15:10C'est bon, Baptiste Leïtel.
15:11Et tout pour le tout.
15:12Et Victor Croin sur les trois de l'Europe.
15:14Je suppose que celui-ci,
15:19il est très spécial,
15:20gagné en France à Chartres.
15:21Ouais, gagné en France,
15:23gagné devant mon papa.
15:26Il y a tout mon staff qui est là aussi.
15:29Il y a beaucoup d'émotion là.
15:31Je crois que tu peux le classer
15:32comme le numéro un.
15:36Troisième médaille,
15:38championnat d'Europe.
15:40En cas de participation,
15:41c'est un sans faute.
15:44En Vendée, à La Roche-sur-Yon,
16:07plus de 300 licenciés
16:09foulent les cinq cours
16:10du club de squash.
16:11Le squash yonnais,
16:14c'est le squash pour tous, en fait.
16:16Donc, on ne vise pas
16:17à faire que de la compétition,
16:19que du sport d'élite, en fait.
16:22Notre mission,
16:23c'est de proposer du squash
16:24à tous les publics.
16:26On accueille les établissements scolaires
16:34de toute l'agglomération.
16:36Il y a un collège
16:36qui nous a sollicité en disant
16:38qu'on a des classes
16:39avec des jeunes en difficulté
16:42où on aimerait proposer
16:43de nouvelles activités.
16:45Et du coup,
16:46ils nous ont sollicité
16:47pour savoir
16:47si on pouvait essayer
16:49sur quelques créneaux.
16:51On essaie de prendre
16:52la raquette
16:52dans le creux de la paume.
16:55On glisse vers le milieu
16:56et là, on ferme
16:57avec l'index
16:57un bout de plus relevé.
16:58Comme si vous avez
16:59un petit pistolet.
16:59Vous voyez ?
17:00Comme on a fait
17:01la carabine,
17:03c'est pareil.
17:03Le petit index
17:04pour en plancher.
17:05Pas comme ça, droit.
17:07Et vous n'hésitez pas
17:08à ouvrir votre famille.
17:11S'il est vers le sol,
17:11la balle forcément
17:12fichera le sol.
17:13Leur comportement
17:20et leurs attitudes
17:21sont assez radicalement
17:22différents.
17:23Entre les moments
17:24où ils sont vraiment
17:24en situation scolaire,
17:26en classe,
17:26et le moment
17:27où on les emmène
17:28à l'après-midi
17:28en activité sportive,
17:29c'est vrai qu'on découvre
17:30d'autres facettes du jeune.
17:31Le sourire est présent,
17:33je m'autorise à plaisanter
17:34avec eux,
17:34à les taquiner.
17:35C'est des choses
17:35qu'on peut faire
17:36en pratique sportive
17:36que par exemple
17:37on ne peut pas faire
17:38dans l'ordinaire.
17:43Là, avec ces jeunes
17:49en réinsertion,
17:50on essaie vraiment
17:50de leur offrir
17:51une possibilité
17:52d'évacuer le stress
17:54qu'ils ont à l'école
17:54ou autre.
17:55Et chacun a ses problèmes.
17:56Du coup, le squash
17:57est vraiment sport pour tous.
17:59Et de peut-être
17:59découvrir une passion.
18:01On essaie de rigoler
18:01avec eux,
18:02de faire des petites blagues,
18:03etc.
18:03Bien sûr, la séance
18:04partie squash,
18:05on l'adapte.
18:05On commence avec des balles
18:06assez faciles
18:08pour qu'ils favorisent
18:09le rebond
18:09et du coup,
18:10l'échange avec nous.
18:12Si on voit que
18:12ça marche bien,
18:13on met des balles
18:14plus dures,
18:15des coups avancés
18:16ou autre.
18:17Mais sinon,
18:17c'est vraiment
18:17qu'ils prennent du plaisir
18:18avant tout.
18:21Le cœur
18:22de notre travail éducatif,
18:23c'est aussi
18:23de leur permettre
18:23d'accéder à ces émotions
18:24et de les verbaliser.
18:25Parfois,
18:26juste après,
18:27on se donne amusé.
18:28Mais souvent aussi
18:29dans la plainte
18:29le lendemain,
18:30« Ah, monsieur Boyer,
18:31c'était dur hier,
18:32j'ai des combattures
18:33ce matin. »
18:34C'est super
18:35parce que vraiment,
18:36c'est réussir
18:36à leur faire exprimer
18:37ce qu'ils ressentent
18:38et la pratique sportive
18:39est vraiment
18:39un bien intéressant
18:40pour ça.
18:44C'est pour eux aussi
18:45une façon d'approcher
18:46un autre adulte
18:47qui est différent
18:48d'un adulte
18:48qu'ils ont dans le champ scolaire.
18:50C'est aussi ça,
18:50être jeune et grandir
18:52et devenir un jeune citoyen.
18:53C'est aussi pouvoir
18:53s'adapter à toutes les situations.
18:54On n'a pas le même comportement
18:55avec un professeur
18:56qu'avec un éducateur sportif.
18:58Fort de son soutien
18:59aux établissements scolaires,
19:01la dynamique du squash yonnais
19:02s'explique en partie
19:03par la bonne humeur
19:05qui règne au sein du club.
19:06La plupart de nos adhérents,
19:08c'est du squash loisir.
19:10C'est en sortant du boulot,
19:12je réserve mon cours,
19:14je vais me libérer
19:15de tous mes tracas
19:16du quotidien
19:17et en sortant du squash,
19:19tout va mieux,
19:20ça repart.
19:21École de squash
19:22pour les plus jeunes,
19:23entraînement personnalisé
19:24selon les niveaux,
19:25organisation de tournois.
19:27Ici, la compétition
19:28trouve également sa place.
19:30On participe
19:31aux événements régionaux,
19:33nationaux,
19:34les championnats de France.
19:35C'est des gens
19:36qui souhaitent faire
19:37de la compétition
19:38pour améliorer
19:38leur classement
19:39et performer.
19:41Les filles
19:42ont le meilleur
19:43des cinq jeunes
19:44et jouent certains bons matchs.
19:46On a la chance
19:47au squash yonnais
19:48depuis de nombreuses années
19:49de toujours avoir
19:50des bénévoles
19:52qui vont venir participer
19:53à la vie du club.
19:55Si pour je ne sais
19:55quelle raison
19:56il y a un bénévole
19:57qui n'est pas là
19:58ou Léo part en formation,
20:00on va avoir
20:00une solution
20:01de substitution
20:02relativement simple
20:04sans faire des pieds
20:05des mains
20:05pour faire venir
20:06les gens.
20:08Nos adhérents,
20:09nos compétiteurs
20:09s'adaptent
20:10pour trouver
20:10une solution
20:11et ça fait
20:13effectivement une force
20:14au squash yonnais.
20:15Changement,
20:1610, 6,
20:16balle de jeu.
20:18Une force collective
20:19moteur
20:19d'un club qui avance.
20:21À la Roche-sur-Yon,
20:22le squash continue
20:23de tracer sa voie
20:24entre passion,
20:25transmission
20:26et ambition.
20:31Squash le mag,
20:32c'est déjà terminé.
20:33À bientôt
20:33pour un nouvel épisode.
20:45Ce programme
20:46vous a été présenté
20:48par la Fédération Française
20:49de Squash.
20:56Visit squash.tv
20:58to find out more.
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