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  • il y a 3 heures
Dans Punchline week-end, sur CNEWS, l'essayiste Naïma M'Faddel assure : «L'extrême gauche, ce sont eux les fachos, eux les totalitaires», en s'exprimant sur une réunion des étudiants de l'Uni, violemment interrompue par des antifas à Marseille.

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Transcription
00:00Monsieur Ciotti, tout à l'heure, parlait de terreur.
00:03On a aussi parlé de guerre.
00:06Moi, je crois qu'il y a aussi une guerre à mener aujourd'hui
00:08pour sauver la civilisation, la liberté d'expression
00:12et la liberté d'opinion.
00:13Parce qu'aujourd'hui, on voit bien que pour certains,
00:17une catégorie de personnes qui ne pensent pas comme eux
00:19n'ont pas le droit de s'exprimer.
00:21Vous avez fait remarquer comment ils ont su
00:23que vous avez le lieu où vous allez faire votre apéro.
00:26Mais j'ai envie de dire, ils ont même le droit de le communiquer,
00:28même publiquement.
00:30On n'a pas le droit de s'attaquer à eux.
00:32C'est ça qui est...
00:33Vous imaginez, sans communication déjà, ce qui se passe ?
00:36Aujourd'hui, dans notre pays, où tout le monde a peur aujourd'hui
00:39de pouvoir tout simplement exprimer son opinion,
00:43s'exprimer tout simplement sur notre pays
00:46et ne pas être d'accord avec justement cette extrême gauche.
00:50Et moi, quand on les appelle les antifas,
00:52vous voyez, on les auréole quelque part d'un certain romantisme,
00:56de rebelles.
00:57Pour moi, c'est des fachos.
00:58C'est eux les fachos.
00:59Il y a des âmes qui ont été sorties, qui ont été empruntées.
01:01C'est eux les sectaires.
01:01C'est eux les totalitaires.
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