- il y a 2 semaines
L'administration américaine a révélé que l'équipe de Joe Biden avait expressément demandé aux banques de "débancariser" Donald Trump pour l'empêcher de se présenter aux élections.
En France, TVL et Marc Touati ont vu leur compte bancaire bloqué. En Israël, la mairie de Jérusalem a bloqué les comptes de l'église orthodoxe grecque et de son patriarche Theophilos III.
Et pendant ce temps, Larry Fink a été nommé co-président du Forum économique de Davos (avec le milliardaire suisse André Hoffman) en remplacement du PDG intérimaire de Nestlé Peter Brabeck (proche de Macron) embarqué dans le méga scandale des eaux polluées Perrier !
- La défaite de l'Europe face à Trump
Donald Trump a roulé l’Europe dans la farine avec son chantage sur les taxes. Dans une interview sur Fox-News, le Secrétaire au Trésor américain a enfin dit haut et fort : "les alliés des Etats-Unis ne sont ni plus ni moins que ses esclaves économiques, et qu’il fallait les voler en plein jour".
- La logique des bas salaires
En soutenant uniquement les bas salaires, la France charge depuis 30 ans la barque des managers. Un choix qu'elle paye aujourd'hui au prix fort.
Le taux que la France est obligée de payer sur ses obligations a grimpé et met le pays inévitablement en banqueroute, comme le démontre Jean-Pierre Chevallier par son discours alarmiste : Bayrou a fait perdre 20 milliards € aux trois principales banques françaises.
- La France est à l'arrête à cause de la pauvreté
Les Français boudent les restaurants et les hôtels sont vides en pleine période de vacances et Amélie de Montchalin veut massacrer les retraites.
Et pour conclure, l’inflation n’est pas derrière nous. La vraie inflation mesurée par l’augmentation du timbre-poste.
En France, TVL et Marc Touati ont vu leur compte bancaire bloqué. En Israël, la mairie de Jérusalem a bloqué les comptes de l'église orthodoxe grecque et de son patriarche Theophilos III.
Et pendant ce temps, Larry Fink a été nommé co-président du Forum économique de Davos (avec le milliardaire suisse André Hoffman) en remplacement du PDG intérimaire de Nestlé Peter Brabeck (proche de Macron) embarqué dans le méga scandale des eaux polluées Perrier !
- La défaite de l'Europe face à Trump
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Le taux que la France est obligée de payer sur ses obligations a grimpé et met le pays inévitablement en banqueroute, comme le démontre Jean-Pierre Chevallier par son discours alarmiste : Bayrou a fait perdre 20 milliards € aux trois principales banques françaises.
- La France est à l'arrête à cause de la pauvreté
Les Français boudent les restaurants et les hôtels sont vides en pleine période de vacances et Amélie de Montchalin veut massacrer les retraites.
Et pour conclure, l’inflation n’est pas derrière nous. La vraie inflation mesurée par l’augmentation du timbre-poste.
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NewsTranscription
00:00:00Générique
00:00:02Bonjour à tous, bienvenue sur le plateau de politique et économie.
00:00:23Et en ce jour de rentrée, nous allons recevoir notre ami Pierre Jovanoïc
00:00:30pour la revue de presse économique internationale, économique et financière.
00:00:35– Et bancaire.
00:00:36– Et bancaire et politique.
00:00:38– Et très politique surtout.
00:00:40– Tout ça, oui.
00:00:40– Bonjour Olivier, merci à vous.
00:00:42– Bonjour Pierre, merci d'être présent au micro de TV Liberté.
00:00:47Et nous allons commencer par donner, comme à l'accoutumée,
00:00:50mais sous une forme un peu différente des nouvelles de nos amis les banques
00:00:54parce que vous avez une rubrique que vous avez intitulée
00:00:59« Terrorisme bancaire ».
00:01:01– Exactement, ça s'appelle « Terrorisme bancaire »
00:01:04vu qu'en 2008, on a laissé les banques vivantes alors qu'elles étaient en faillite.
00:01:09Et bien depuis, elles ont pris le pouvoir
00:01:11et maintenant, elles travaillent main dans la main
00:01:14avec le pouvoir ou les pouvoirs en place.
00:01:18Donc, les spectateurs de TVL, que je salue à nouveau, le savent
00:01:23puisque TVL a vu son compte bancaire sauter,
00:01:27alors c'était au mois de juin ?
00:01:30– Oui, c'est ça, juste avant l'été là.
00:01:32– Exactement.
00:01:34Et bien figurez-vous que là, au cours de cette revue de presse de cet été
00:01:38que vous pouvez retrouver sur quotidien.com,
00:01:41voilà, et bien par exemple, le crédit coopératif.
00:01:45– Ah oui.
00:01:46– Alors, c'est un excellent exemple parce que là, on voit la politique,
00:01:51enfin la religion, tout se met.
00:01:53– Le s'immiscer dans ce…
00:01:54– Exactement.
00:01:55Le crédit coopératif qui est historiquement une bande de nase,
00:01:58bon, on va le dire comme ça,
00:02:00je ne parle pas des clients, bien sûr, je parle du crédit.
00:02:03Donc, il a maintes fois prouvé dans cette revue de presse,
00:02:08et bien cette fois, il a franchi le mur du son.
00:02:11Imaginez que la soi-disant gentille banque coopérative
00:02:15a fermé le compte d'une association d'étudiants juifs.
00:02:21– Alors attention, là, on est en terrain glissant, là, tout de suite.
00:02:25On va voir tous les trolls de Tel Aviv, là, qui vont arriver.
00:02:28– C'était des garçons, cette association d'étudiants,
00:02:32qui n'étaient pas très, très, très…
00:02:34– UJFP, voilà.
00:02:35Alors, je vous le montre, c'était à la une du monde,
00:02:38mais c'était cet été, pour que ça passe…
00:02:41Comme d'habitude, c'est toujours au mois d'août.
00:02:43– Au mois d'août.
00:02:43– Au mois d'août, voilà.
00:02:45Là, c'est du 26 au 31 août, du 26 août, voilà.
00:02:48Alors, leur seul tort à l'UJFP,
00:02:51l'association des étudiants juifs, machin,
00:02:54c'est qu'ils ne sont pas sionnistes,
00:02:56et qu'ils défendent les pauvres palestiniens.
00:02:59Et donc, manifestement,
00:03:02comment dire,
00:03:05eh bien, il y a des cartes, des téléphones
00:03:07qui ont été décrochées,
00:03:09et ils ont été virés de la banque,
00:03:13comme TVL.
00:03:14– Et comme, bien d'autres, comme Touati aussi.
00:03:16– Exactement.
00:03:17Mais je voulais regarder,
00:03:19parce que le monde nous dit,
00:03:20c'est une relation vieille de 20 ans.
00:03:24Donc, ça veut dire que l'étudiant,
00:03:26l'association des étudiants juifs…
00:03:28– Ils étaient depuis 20 ans.
00:03:28– Voilà, ils étaient là depuis 20 ans,
00:03:31qu'ils n'avaient pas de problème,
00:03:33fondé en 1994,
00:03:35mais ils ont un seul tort aux yeux du pouvoir,
00:03:39manifestement,
00:03:41je ne sais pas lequel,
00:03:42– D'accord, d'accord, d'accord.
00:03:44– Voilà.
00:03:45C'est qu'ils soutiennent les palestiniens.
00:03:48Ils ne sont passionnistes.
00:03:49Voilà.
00:03:49Donc, là, on voit qu'il y a des choses qui se…
00:03:52Ça commence à sentir très, très mauvais, je trouve.
00:03:56Et ça commence à devenir voyant.
00:03:58– Oui.
00:03:58– C'est surtout ça.
00:03:59– C'est très fâcheux que la banque se mêle
00:04:02de prendre des positions.
00:04:03– Oui, voilà.
00:04:04Alors, le PDG…
00:04:06Oui, pardon, allez-y.
00:04:07– Non, mais parce que, bon,
00:04:08ce qui est arrivé à TV Liberté,
00:04:10ça fait invraisemblable, enfin…
00:04:12– Mais c'était pour tuer TV Liberté.
00:04:14– Oui, et bien, c'est raté.
00:04:16– Voilà, c'est raté,
00:04:17parce que grâce aux téléspectateurs
00:04:18qui nous soutiennent,
00:04:20c'est vraiment important,
00:04:21mais je veux dire,
00:04:22le boulet de canon,
00:04:23il n'est pas passé loin, quand même.
00:04:25– Non, non.
00:04:26Non, non, mais c'est le cas aussi…
00:04:27– C'est du terrorisme bancaire.
00:04:29– Oui, absolument.
00:04:29– C'est du pur terrorisme.
00:04:30– Et c'est nouveau, hein.
00:04:31Moi, j'ai commencé à observer ça
00:04:33dans ma revue de presse,
00:04:34il y a à peu près 5-6 ans,
00:04:35c'est-à-dire que quand…
00:04:37Vous savez, après 2008, en fait.
00:04:40– Oui, c'est ça, après la crise.
00:04:41– Mais ça s'est accéléré.
00:04:42C'est-à-dire que les clients
00:04:43voulaient retirer leur argent,
00:04:44et là, d'un seul coup,
00:04:45comment vous retirez l'argent
00:04:46de votre compte ?
00:04:47On ferme votre compte.
00:04:48– Oui.
00:04:48– Non, mais comme si notre argent
00:04:50leur appartenait.
00:04:51– Oui, c'est ça.
00:04:52– Mais c'est surtout ça.
00:04:53Et là, on a vu…
00:04:56Alors, tiens, je termine
00:04:57sur le crédit coopératif.
00:04:58Le PDG, c'est M. Pascal Pouillet.
00:05:01– Pouillet.
00:05:02– Pouillet.
00:05:02– Voilà.
00:05:05– Non, mais c'est…
00:05:06– Franchement, de quel droit
00:05:07Pascal Pouillet peut-il demander
00:05:08à un client, vieux de 20 ans,
00:05:09de partir du jour au lendemain
00:05:10simplement pour ses idées,
00:05:12ou bien parce qu'il a reçu
00:05:13un coup de fil de Caroline Yadon,
00:05:14j'imagine, ou de M. Meyer ?
00:05:18– Vous savez comment on l'appelle,
00:05:19maintenant ?
00:05:19– Qui ça ?
00:05:20– Pascal Dépouillet.
00:05:22– Pascal Dépouillet, oui.
00:05:23C'est plutôt lui qui dépouille.
00:05:25– Alors, ceci…
00:05:26– Attends, attends, attends.
00:05:27– Non, juste parce que Caroline Yadon
00:05:30a même tenté d'interdire
00:05:32la prestation d'un groupe de rock
00:05:34qui a osé dire « fuck Israel »,
00:05:37je le dis, hein, bon, grave.
00:05:39– C'est grossier, mais…
00:05:39– C'est grossier, mais ça s'est passé.
00:05:42Qui, lui, a été viré de…
00:05:44– Donc, c'était le…
00:05:46– Pardon, c'était le festival rock en scène.
00:05:49– Ah oui, à Saint-Cloud.
00:05:50– Exactement.
00:05:51Et donc, ils ont fait sauter 500 000 euros
00:05:54de financement via Valérie Pécresse.
00:05:57Donc, vous voyez que le pouvoir,
00:05:58il y a un pouvoir.
00:05:59Alors, on nous parle des frères musulmans.
00:06:02Moi, je ne sais pas,
00:06:03mais je connais les frères sionistes.
00:06:05Nous, on les voit.
00:06:06Moi, dans ma revue de presse,
00:06:07je les vois.
00:06:08Ça, c'est clair.
00:06:09Alors, je veux faire des…
00:06:10Vous savez que sur Twitter,
00:06:12le nombre de trolls de Tel Aviv
00:06:15qui me prennent la tête,
00:06:16mais c'est hallucinant.
00:06:17D'ailleurs, j'invite nos téléspectateurs,
00:06:19abonnez-vous à mon fil Twitter.
00:06:20Venez, parce qu'en plus,
00:06:21si Betendai m'a mis en shadowban il y a longtemps,
00:06:24on va y revenir.
00:06:25– Alors, justement,
00:06:26vous avez été une victime
00:06:28de cette opération de politisation bancaire,
00:06:31de terrorisme bancaire,
00:06:33mais il y en a d'autres.
00:06:34J'ai cité tout à l'heure Twatty.
00:06:36– Oui, Marc Twatty, voilà.
00:06:38– Bon, il n'a pas vu la crise arriver,
00:06:42mais en même temps,
00:06:43manifestement, là,
00:06:44il a retourné sa veste.
00:06:45– Oui, oui.
00:06:46Ses analyses sont intéressantes.
00:06:48Il est assez bien suivi.
00:06:49– Ses analyses sont intéressantes,
00:06:51mais je suis désolé,
00:06:52mais il est arrivé un peu trop tard
00:06:53sur la scène.
00:06:55– Bon, bref,
00:06:55il a été exclu de sa banque.
00:06:58– Oui, même votre stylo,
00:06:59il n'est pas d'accord.
00:07:00– Mais attention,
00:07:02c'est une mésaventure
00:07:03qui peut arriver
00:07:04à des très grands personnages,
00:07:06puisque aux États-Unis,
00:07:07s'est arrivés à Donald Trump.
00:07:08– Exactement.
00:07:10Alors là, on a le…
00:07:11Tiens, regardez bien.
00:07:13Alors ça, c'est du 18 août.
00:07:17Voilà, je le montre
00:07:18à la caméra pour le montage.
00:07:20Alors, figurez-vous que…
00:07:22– L'administration américaine.
00:07:23– L'administration de Trump
00:07:24a révélé que le président Joe Biden
00:07:26avait expressément demandé
00:07:28aux banques,
00:07:29comme la JP Morgan
00:07:30et Bank of America,
00:07:31de débancariser Donald Trump
00:07:34pour l'empêcher
00:07:35de se présenter aux élections.
00:07:38Du moins, pour lui,
00:07:39et surtout pour lui compliquer la tâche.
00:07:41– Oui, je sens ça.
00:07:41– Voilà.
00:07:42Et donc, ça a été…
00:07:45Et donc, l'administration Biden
00:07:48a mis la pression
00:07:50sur le ministère des Finances
00:07:53pour qu'eux-mêmes
00:07:53appuient sur le bouton
00:07:55et que donc la pression redescende.
00:07:57Non, mais c'est complètement…
00:08:01Et donc, Trump a expliqué
00:08:03« Mais j'avais des centaines de millions,
00:08:05j'avais de très, très nombreux comptes
00:08:06remplis de liquidités,
00:08:08mais ils m'ont dit
00:08:08« Je suis désolé, monsieur,
00:08:10nous ne pouvons pas vous garder,
00:08:11vous avez 20 jours pour partir. »
00:08:13J'ai répondu,
00:08:14Trump qui parle,
00:08:15« Vous plaisantez, j'espère,
00:08:16je suis client chez vous
00:08:17depuis 35 ou 40 ans. »
00:08:19Voilà.
00:08:20Et avance rapide,
00:08:21en 2025,
00:08:23la chaîne TV Liberté,
00:08:24qui pourtant n'aimait que sur YouTube,
00:08:26a été débancarisée,
00:08:27elle aussi,
00:08:28du jour au lendemain,
00:08:29afin de la couler économiquement.
00:08:31Voilà.
00:08:32Et je tiens à préciser
00:08:33que Epstein,
00:08:35qui avait ses comptes,
00:08:36le proxénète Epstein
00:08:38qui prostituait des gamines
00:08:39de 10-12 ans,
00:08:41proxénète pédophile,
00:08:42lui, il avait ses comptes
00:08:43à la JP Morgan,
00:08:44je n'ai pas le souvenir
00:08:45que Joe Biden
00:08:46ou l'administration démocrate
00:08:48ait appuyé sur le bouton
00:08:49pour débancariser
00:08:50monsieur Epstein.
00:08:53Et Dieu se le sait,
00:08:53si dans la revue de presse
00:08:54ou dans le livre qu'on a publié,
00:08:56on montre clairement
00:08:58que les gens à la JP Morgan
00:09:00qui tenaient les comptes,
00:09:01c'est-à-dire le personnel de base,
00:09:04a fait remonter les informations
00:09:05comme quoi c'était tout à fait
00:09:06des opérations anormales
00:09:07et s'est remonté
00:09:09jusqu'à Jamie Dimon.
00:09:10Jamie Dimon a reçu des appels
00:09:12de la CIA et du FBI
00:09:13en disant
00:09:14« C'est un homme à nous,
00:09:15vous foutez-lui la paix. »
00:09:16et donc du coup,
00:09:17malgré 400 signalements
00:09:20du personnel de la banque.
00:09:22– Oui.
00:09:23– Je ne sais pas si vous imaginez.
00:09:23– Oui, c'est énorme.
00:09:24– C'est considérable.
00:09:25– Et alors, Keyne West,
00:09:26dans le même genre,
00:09:27parce que là,
00:09:28on rejoint les étudiants juifs,
00:09:31la seuss des étudiants,
00:09:32Keyne West, le chanteur.
00:09:34– Oui.
00:09:34– Ben, figurez-vous,
00:09:36figurez-vous que lui,
00:09:38donc il avait émis des critiques
00:09:39sur Israël,
00:09:41il a été débancarisé
00:09:42dans la semaine qui a suivi.
00:09:45Non mais, là,
00:09:47il y a comme un dénominateur commun,
00:09:49on va dire ça.
00:09:50– Ce qui me gêne quand même,
00:09:52– Oui, allez-y.
00:09:53– C'est vraiment
00:09:54que les banques
00:09:56se politisent à ce point.
00:09:59Par-delà
00:10:00l'événement actuel,
00:10:04il faudrait qu'elles restent
00:10:05dans leur rôle de neutralité.
00:10:07– Mon sentiment,
00:10:09vous le savez bien,
00:10:09et je pense que vous partagez,
00:10:11c'est que,
00:10:12d'ailleurs,
00:10:12on le voit avec Trump.
00:10:14On le voit avec Trump.
00:10:15– C'est le président
00:10:16des États-Unis,
00:10:18en personne qui appelle
00:10:19le gouverneur de la Fed,
00:10:22enfin, le secrétaire au Trésor,
00:10:23pour que la pression,
00:10:25pour qu'il appuie sur les boutons
00:10:26et que Trump
00:10:27se fasse virer de ses banques.
00:10:29Et alors,
00:10:30puisqu'on est sur Israël,
00:10:31il y a quand même,
00:10:32alors je ne sais pas
00:10:33où je l'ai mis celui-là.
00:10:34– Oui, alors le patriarche
00:10:35Théophilos III.
00:10:37– Exact, voilà,
00:10:38ben allez-y, donnez-le.
00:10:39– Le patriarche de Jérusalem,
00:10:41de l'église orthodoxe crêque.
00:10:42– Exactement, voilà.
00:10:43– C'est-à-dire ?
00:10:44– Oui, c'est un dangereux,
00:10:46c'est un dangereux terroriste,
00:10:47le patriarche de l'église crêque.
00:10:49– Eh bien,
00:10:50les comptes bancaires ont été bloqués aussi.
00:10:53– Oui,
00:10:53à la demande de la mairie de Jérusalem.
00:10:56– Jérusalem, oui.
00:10:57– Voilà,
00:10:57donc regardez,
00:10:58donc là,
00:10:58c'est les titres.
00:11:00Là,
00:11:01ça date du 18 août.
00:11:03Tout ça,
00:11:03ça se passe au mois d'août,
00:11:04comme d'habitude.
00:11:05Voilà,
00:11:06« Israeli official arrested in Nevada,
00:11:08child sex operation is released
00:11:10and back in Israël ».
00:11:12Ça a fait un scandale
00:11:13sur les réseaux sociaux.
00:11:15– Oui.
00:11:15– Rien dans la presse normale.
00:11:17– Non, bien sûr.
00:11:18– Rien dans la presse.
00:11:19Donc,
00:11:19ça vous montre qui contrôle quoi ?
00:11:21– Oui, bien sûr.
00:11:22– Bien sûr.
00:11:22– Alors,
00:11:22la presse française,
00:11:23n'en parlons pas.
00:11:25Pardon,
00:11:25j'ai rien dit.
00:11:26– Non,
00:11:26la presse française…
00:11:27– La presse…
00:11:28– Quoi ?
00:11:28– Les journalistes français
00:11:29sont occupés,
00:11:31à préparer,
00:11:32à savonner la planche
00:11:33à Mme Dati
00:11:34pour l'élection.
00:11:35– Oui, oui,
00:11:35Patrick Cohen.
00:11:36– Oui, Patrick Cohen.
00:11:38– Le même qui…
00:11:39– Thomas Le Grand.
00:11:39– Alors,
00:11:39quel truand celui-là ?
00:11:41– Thomas Le Grand.
00:11:41– Oui,
00:11:42non mais c'est des truands.
00:11:44Soutien à Rachida Dati.
00:11:46– Non mais,
00:11:46Rachida je t'aime.
00:11:48– Non mais l'affaire Thomas Le Grand.
00:11:51Patrick Cohen révèle quand même
00:11:53la collusion…
00:11:54– Ah mais la collusion totale !
00:11:56– Des médias…
00:11:57– Mais en plus,
00:11:58les socials ont 1,7%.
00:11:59– Payés par nos impôts.
00:12:00– Exactement.
00:12:01– Est-ce que ce ne serait pas
00:12:02le moment, Pierre ?
00:12:03Vous me permettrez de citer
00:12:05un extrait…
00:12:07– Mais je…
00:12:07– …du général de Gaulle.
00:12:09– Je vous en prie.
00:12:09– Non, c'était…
00:12:11– Dans les mémoires de Pierre Fitte.
00:12:14– Pierre Fitte, c'était de Gaulle.
00:12:15Voilà ce qu'il dit sur les journalistes.
00:12:17C'est quand même très intéressant
00:12:18parce que c'est d'une actualité brûlante.
00:12:21Je me permets de le citer.
00:12:22– Permettez.
00:12:23– Pierre Fitte.
00:12:25Je vous supplie de ne pas traiter
00:12:26les journalistes
00:12:27avec trop de considérations.
00:12:28– Quand une difficulté surgit,
00:12:31il faut absolument que cette faune
00:12:33prenne le parti de l'étranger
00:12:34contre le parti de la nation
00:12:37dont ils se prétendent pourtant
00:12:39les porte-parole.
00:12:40Impossible d'imaginer une pareille bassesse
00:12:42et en même temps,
00:12:44une pareille inconscience de la bassesse.
00:12:47Vos journalistes ont en commun
00:12:48avec la bourgeoisie française
00:12:50d'avoir perdu tout sentiment
00:12:52de fierté nationale.
00:12:53– Absolument.
00:12:54Mais vous savez que dans mon livre
00:12:56« Le moustachu et la vengeance
00:12:59de la planche à billets »,
00:12:59on en a parlé ensemble.
00:13:00– Oui, la vengeance à la planche à billets.
00:13:01– Voilà, j'ai été amené à étudier
00:13:03la position de toute la presse quotidienne
00:13:05dans les années 38, 37, 38, 39, 40.
00:13:09Voilà, voilà.
00:13:09Et ce que j'ai vu,
00:13:11c'est la… comment dire…
00:13:13comment les journalistes français,
00:13:15dont pas tous,
00:13:17mais la majorité s'est votée
00:13:19dans une espèce d'idolâtrie
00:13:21de l'Allemagne
00:13:22et de cette…
00:13:24la promulgation de l'Europe,
00:13:26déjà.
00:13:27C'est-à-dire que
00:13:28ils ont essayé de nous vendre l'Europe
00:13:30et finalement,
00:13:31cette Europe,
00:13:31ils nous l'ont revendue
00:13:32alors que les Français ont voté contre,
00:13:34je vous signale,
00:13:34mais on est quand même dedans.
00:13:36– Mais vous savez,
00:13:36dans ces années-là,
00:13:37Walter Einstein,
00:13:38qui a été un des piliers
00:13:41du régime nazi,
00:13:41puisque c'était lui
00:13:42qui formait les SS.
00:13:45– Oui.
00:13:45– Walter Einstein
00:13:46s'est retrouvé président
00:13:48de la Commission européenne
00:13:49après 1945.
00:13:51– Oui, je ne le dis pas du tout.
00:13:52– Et c'est lui
00:13:52qui avait rédigé le rapport
00:13:54qu'il avait remis à Hitler
00:13:55qui s'appelait
00:13:56Das Neue Europa.
00:13:58– C'est un genre…
00:14:00et c'est Calergi,
00:14:01notamment,
00:14:01qui nous a parlé
00:14:03de Das Neue Europa.
00:14:04C'était même un livre,
00:14:05d'ailleurs,
00:14:05de mémoire,
00:14:06que j'ai lu il y a longtemps.
00:14:07– Alors justement,
00:14:08est-ce qu'on ne pourrait pas parler
00:14:09de…
00:14:10– Tiens, justement,
00:14:11puisqu'on est sur Israël,
00:14:13eh bien figurez-vous
00:14:14que la Norvège,
00:14:15la Norvège…
00:14:16– Oui, vient de…
00:14:17– Et l'Espagne aussi,
00:14:18mais la Banque centrale de Norvège,
00:14:20la Norges Bank,
00:14:21donc qui gère également
00:14:22un fonds d'État
00:14:23de 2 trilliards de dollars,
00:14:25quand même.
00:14:25– Oui, oui.
00:14:26– C'est énorme.
00:14:27A décidé de,
00:14:28progressivement,
00:14:29se séparer
00:14:29de tous ses investissements
00:14:30dans des actions
00:14:31de compagnies israéliennes
00:14:32et de sanctionner
00:14:33le gouvernement de Netanyahou.
00:14:35Et elle a commencé…
00:14:37Donc, elle a commencé…
00:14:38Elle a vendu
00:14:38d'un seul coup
00:14:3911 titres.
00:14:40Il en reste 61.
00:14:41Mais je pense que là,
00:14:42en fin septembre,
00:14:43ils auront tout vendu.
00:14:44Et ça,
00:14:44ça a été un gros coup dur
00:14:45pour Netanyahou.
00:14:48Et en fait,
00:14:48en ce moment,
00:14:48même l'Espagne,
00:14:49il y a plein de pays
00:14:50qui se soulèvent
00:14:50contre les crimes
00:14:52de Netanyahou.
00:14:53– Oui, mais Pierre,
00:14:54vous voyez que
00:14:55c'est la même chose.
00:14:57C'est-à-dire que
00:14:58les banques
00:14:59politisent
00:15:00leurs actions.
00:15:01– Oui.
00:15:02– Est-ce qu'on ne pourrait
00:15:02pas imaginer
00:15:03qu'elles restassent
00:15:05complètement neutres
00:15:06dans cette affaire ?
00:15:07Je vous pose la question.
00:15:08Vous voyez ce que je veux dire ?
00:15:09– De même qu'elles ne doivent
00:15:12pas sanctionner
00:15:12les clients ordinaires.
00:15:15Fussent-ils candidats
00:15:16à la présidence
00:15:16de la République
00:15:17des États-Unis ?
00:15:17– Non, mais pardonnez-moi.
00:15:18On ne peut pas mélanger.
00:15:20Je veux dire,
00:15:20aujourd'hui,
00:15:21pour la première fois
00:15:22dans l'histoire
00:15:22de l'humanité,
00:15:24on est 7 milliards
00:15:26sur cette planète.
00:15:26Donc, on peut diviser
00:15:27par deux.
00:15:28On peut dire
00:15:28qu'il y a 3 milliards
00:15:29de portables
00:15:31qui sont tous aujourd'hui
00:15:32des portables,
00:15:34des smartphones
00:15:34qui se sont transformés
00:15:37en télévision.
00:15:38Vous avez 3 milliards…
00:15:39Vous avez un génocide
00:15:41qui apparaît chaque jour
00:15:43sur 3 milliards
00:15:43de portables.
00:15:45Donc, effectivement,
00:15:46des mômes massacrés.
00:15:48Moi, je vois des images
00:15:49tous les jours,
00:15:49mais je…
00:15:50Attendez,
00:15:50je ne veux même pas en parler.
00:15:51Je suis tellement remonté
00:15:55et révolté
00:15:55contre ce gouvernement
00:15:56fasciste
00:15:57né de Netanyahou
00:15:58et contre tous les sionistes
00:16:00d'ailleurs qui le soutiennent.
00:16:01Marine Le Pen,
00:16:02entre autres.
00:16:02C'est tout à fait extraordinaire.
00:16:04Mais en même temps,
00:16:05je ne suis pas surpris
00:16:05que l'extrême droite
00:16:06soutient l'extrême droite.
00:16:07Ça va avec.
00:16:08Donc, on ne peut pas mélanger,
00:16:09si vous voulez,
00:16:10quand vous voyez des enfants
00:16:11se faire massacrer,
00:16:12décapiter, etc.
00:16:14Donc, à un moment donné,
00:16:16il y a une action politique.
00:16:17Là, c'est la Banque Centrale,
00:16:18c'est le gouvernement norvégien.
00:16:18Attention.
00:16:19Oui.
00:16:19Ce n'est pas une banque privée.
00:16:20Ah oui, la Banque Centrale.
00:16:21D'accord.
00:16:22D'accord.
00:16:25OK.
00:16:25Pareil.
00:16:25Non, non.
00:16:27Banque Centrale,
00:16:29absolument politique…
00:16:31Voilà.
00:16:31Mais puisque vous parlez de ça,
00:16:33regardez.
00:16:34Boston Consulting,
00:16:35rappelez-vous,
00:16:36Boston Bain,
00:16:37Bain,
00:16:37vous savez,
00:16:38Boston,
00:16:38Bain, McKinsey,
00:16:39etc.
00:16:40Ces boîtes de consulting
00:16:42qui sont en fait CIA et Mossad,
00:16:45c'est le cas de Bain,
00:16:47et qui ont géré les pandémies.
00:16:48Oui.
00:16:49C'est eux qui avaient géré
00:16:50les masques, etc.
00:16:51– Le BCG,
00:16:52le Boston Consulting Group,
00:16:54il est en train de faire un plan
00:16:57pour transférer les palestiniens
00:17:01de la bande de Gaza en Somalie.
00:17:03– En Somalie où ?
00:17:03Non, je ne sais plus.
00:17:04Mais attends, attendez, pardon.
00:17:06c'est que le Boston Consulting,
00:17:08c'est que le Boston Consulting,
00:17:08là, c'est du 18,
00:17:09et c'est le Financial Times
00:17:10qui le révèle.
00:17:11Donc, on est bien dans notre…
00:17:12Boston Consulting,
00:17:13dans le Financial Times,
00:17:15révèle qu'ils ont élaboré
00:17:18un modèle de nettoyage ethnique
00:17:19des Palestiniens
00:17:20sous couvert de déplacer
00:17:22la population de la bande de Gaza
00:17:23vers la Somalie
00:17:24et le Somaliland.
00:17:26– Oui, voilà.
00:17:28Donc, moi, je rappelle,
00:17:31Ben et compagnie,
00:17:32Orish Gadet,
00:17:34Orish Godièche, pardon,
00:17:36c'est la patronne de Ben,
00:17:37c'est la fille d'un général israélien
00:17:39et elle-même,
00:17:40agente du Mossad,
00:17:40une opérative du Mossad.
00:17:42Et tout ce qui touche
00:17:43de près ou de loin à Ben,
00:17:45c'est Mossad.
00:17:46Alors, donc c'est Israël.
00:17:47– Ben, B-I-N.
00:17:48– B-I-N, comme un bain.
00:17:50– Oui.
00:17:50– Voilà, sauf que là,
00:17:51c'est un bain de sang, pardon.
00:17:53– Voilà, vous l'avez fait.
00:17:54– Je ne l'ai pas fait exprès,
00:17:55mais c'est tombé.
00:17:57Et pendant ce temps-là,
00:17:58tiens, je vous montre ça
00:17:59puisqu'on a parlé de censure
00:18:00de Twitter tout à l'heure.
00:18:01– Oui.
00:18:01– À l'époque, Twitter,
00:18:02je ne parle pas de X.
00:18:03Regardez, TikTok a embauché
00:18:06une Américaine juive
00:18:09fière d'être sioniste.
00:18:10Voilà.
00:18:11La stratégie du Mossad
00:18:12est toujours en place,
00:18:13nommée dans tous les médias
00:18:14des agents
00:18:15afin qu'ils puissent contrôler
00:18:16le message global.
00:18:17Et c'est dans le Jerusalem Post.
00:18:19– Excusez-moi, mais…
00:18:19– C'est dans le Jerusalem Post.
00:18:21– Oui, oui.
00:18:22Mais TikTok, c'est pas…
00:18:23C'est la Chine
00:18:25qui contrôle TikTok.
00:18:26– C'est la Chine,
00:18:27mais aujourd'hui,
00:18:30TikTok ne fonctionne
00:18:31que par l'autorisation
00:18:31de Trump.
00:18:32Proplez-vous.
00:18:33Il était question
00:18:34d'interdire TikTok
00:18:35aux États-Unis.
00:18:37Donc, ils ont dit,
00:18:38on vous laisse,
00:18:39mais vous embauchez
00:18:40des Israéliens
00:18:41pour contrôler
00:18:42l'antisémitisme,
00:18:43les messages antisémites.
00:18:45Voilà.
00:18:45TikTok a désormais engagé
00:18:47un agent du Mossad,
00:18:47une ancienne membre
00:18:48de l'armée israélienne
00:18:49et une fière sioniste,
00:18:51Erika Mindel,
00:18:52pour diriger la censure.
00:18:55La censure,
00:18:56c'est-à-dire que
00:18:56vous avez arranqué
00:18:57toutes les censures
00:18:58comme le crédit coopératif
00:19:01qui vire l'union
00:19:04de l'association
00:19:05des étudiants juifs
00:19:06non-sionistes.
00:19:08Voilà, regardez.
00:19:09– Oui.
00:19:10– C'est dans le Financial Times.
00:19:12– Voilà.
00:19:13– Je veux dire,
00:19:13pour les gens qui disent
00:19:14oui, vous parlez,
00:19:15non, c'est dans le Financial Times.
00:19:16Donc, c'est quand même
00:19:17de la finance
00:19:17parce que c'est des milliards
00:19:18qui sont en jeu.
00:19:21C'est absolument ce qu'on a...
00:19:22Moi, je rappelle simplement
00:19:23qu'Israël a tué
00:19:26273, 14 journalistes
00:19:29depuis le début de la guerre.
00:19:33274 journalistes.
00:19:34– Dans les bombardements.
00:19:35– Non, des snipers, etc.
00:19:37– Ah oui, des snipers.
00:19:38– Oui, des snipers.
00:19:39Voilà, j'avais fait un papier là-dessus,
00:19:41ça date du 18 août.
00:19:42Voilà, recordman.
00:19:43Tiens, Israël,
00:19:44recordman mondial d'assassinat,
00:19:46de journalistes.
00:19:47– Voilà, je crois qu'en fait,
00:19:49ils ont,
00:19:50en guerre du Vietnam,
00:19:52qui a duré 20 ans.
00:19:53– Oui.
00:19:54– 63 journalistes morts.
00:19:56Deuxième guerre mondiale.
00:19:59– Bah oui,
00:20:00j'ai pas de chiffres.
00:20:02– Vous étiez au front, vous.
00:20:04– Oh !
00:20:05– Vous étiez avec le général Patton.
00:20:0969, 69 journalistes
00:20:11tués pendant toute la durée
00:20:13de la Deuxième Guerre mondiale.
00:20:14Et figurez-vous que, donc,
00:20:16le génocide de Gaza,
00:20:18262,
00:20:20alors là, c'est pas jour,
00:20:21c'est 274,
00:20:24en une année et dix mois.
00:20:27– Oui, c'est ça, deux ans.
00:20:28– Non mais, vous vous rendez compte ?
00:20:29Voilà, là, je montre le graphique
00:20:31pour un jour.
00:20:33– Oui, c'est partout.
00:20:37C'est Al Jazeera,
00:20:38entre autres.
00:20:40Mais c'est également la presse anglaise.
00:20:43Tiens, maintenant, regardez,
00:20:44Netanyahou,
00:20:45toujours, puisqu'on parle de censure,
00:20:47Netanyahou a menacé
00:20:48le New York Times de procès.
00:20:51Parce que,
00:20:52c'est de la défamation
00:20:54de dire que c'est un génocide.
00:20:56– Oui.
00:20:57– Diffamation.
00:20:59– Diffamation, oui.
00:21:00– Non mais, c'est des criminels,
00:21:02je sais pas quoi.
00:21:03– Alors, Pierre, nous allons…
00:21:05– Non, non, je suis énervé.
00:21:06– Oui, je vois.
00:21:08Alors, justement,
00:21:08vous risquez
00:21:09de pousser une sainte colère.
00:21:11nous allons continuer
00:21:13sur les États-Unis,
00:21:15mais d'une autre façon.
00:21:18Nous avons aussi
00:21:20des opérations
00:21:22de blanchiment
00:21:23dans lesquelles
00:21:24un certain nombre
00:21:25de personnalités américaines
00:21:26sont impliquées,
00:21:27dont M. Bill Gates,
00:21:31qui a fait
00:21:32un délit d'initié caractérisé.
00:21:34– Caractérisé.
00:21:35– Oui.
00:21:35– Il a acheté
00:21:36totalement caractéristique.
00:21:37– Juste avant les…
00:21:38– Mais un niveau,
00:21:39alors, c'est du délire.
00:21:40Attends, je le vois.
00:21:41– Juste avant le…
00:21:42– C'est du 1er septembre.
00:21:43– Voilà.
00:21:44Juste avant l'éclosion
00:21:45du Covid,
00:21:47il a acheté
00:21:48un million d'actions
00:21:50de BioNTech.
00:21:51– Voilà.
00:21:51Juste avant.
00:21:52– BioNTech, bon…
00:21:54– En fait,
00:21:54il a acheté
00:21:55dans la semaine
00:21:55où il y a eu
00:21:56la répétition
00:21:57d'une soi-disant pandémie
00:21:59qui était
00:22:00d'octobre
00:22:01ou novembre
00:22:022019.
00:22:04– Il faut voir
00:22:04le livre
00:22:05de Philippe Hémard
00:22:06qui en parle beaucoup,
00:22:09qui a rappelé
00:22:09cette affaire, justement.
00:22:10– Et c'est Robert Kennedy
00:22:12qui a révélé l'affaire.
00:22:13– Exactement.
00:22:14Robert Kennedy,
00:22:14ministre de la Santé.
00:22:15– Oui.
00:22:16– Deux ans plus tard,
00:22:17il a revendu
00:22:18presque toutes ses actions
00:22:19avec un bénéfice
00:22:20de 242 millions de dollars.
00:22:21Voilà.
00:22:22C'est un truant.
00:22:23– Alors ça,
00:22:24on continue aussi dans le…
00:22:26C'est la…
00:22:28J.P. Morgan Chase
00:22:29qui a été condamnée aussi.
00:22:32– Elle n'a pas été condamnée.
00:22:35Elle a fait une transaction.
00:22:36– Mais comme d'hab.
00:22:37Mais comme d'habitude,
00:22:38c'est la 3 000ème transaction
00:22:40que j'observe depuis 15 ans.
00:22:42– À 330 millions.
00:22:43– Oui, à 3 000.
00:22:44– Pourquoi ?
00:22:45Elle aurait facilité
00:22:47le détournement de milliards.
00:22:49– Toujours dans l'affaire malaisienne.
00:22:50Là, j'invite effectivement
00:22:52à voir ma revue de presse
00:22:53précédente de l'été.
00:22:56C'est colossal.
00:22:57– C'était un fonds malaisien
00:22:58ou malais,
00:23:00je ne sais pas si on dit malais,
00:23:01ou malaisien,
00:23:02donc un fonds d'investissement public
00:23:04qui, bon…
00:23:08– C'était le premier ministre malaisien
00:23:09qui a carrément détourné,
00:23:11je crois, de mémoire,
00:23:127 milliards, je ne sais plus,
00:23:13qui les a mis sur son compte perso.
00:23:15Et puis après,
00:23:15il a ouvert des comptes
00:23:17Edmond Rothschild.
00:23:19– À J.P. Morgan.
00:23:20– J.P. Morgan,
00:23:21Edmond Rothschild,
00:23:22la banque suisse,
00:23:22UBS,
00:23:23Crédit Suisse,
00:23:24Julius Baer,
00:23:25de mémoire,
00:23:26enfin bon,
00:23:26tout dans la revue de presse
00:23:28précédente.
00:23:28Et moi,
00:23:29je voudrais revenir sur Bérou,
00:23:31parce qu'on est vraiment
00:23:33dans l'actualité.
00:23:34– Oui.
00:23:34– Et notre ami
00:23:35Jean-Pierre Chevalier
00:23:36a noté que
00:23:37le discours de la semaine passée
00:23:40a fait perdre
00:23:4120 milliards
00:23:42d'explications
00:23:42aux trois grandes banques,
00:23:46aux cadres agricoles,
00:23:47Société Générale
00:23:47et BNP.
00:23:48– Oui, alors,
00:23:49voulez-vous expliquer
00:23:50à nos téléspectateurs
00:23:51comment ça s'est fait ?
00:23:52Parce que,
00:23:53que s'est-il passé ?
00:23:55Pourquoi ces banques
00:23:56ont perdu 20 millions
00:23:57à cause du discours…
00:23:57– 20 milliards.
00:23:58– 20 milliards, pardon.
00:23:59– De capitalisation,
00:24:00capitalisation.
00:24:01– À cause du discours de Bérou.
00:24:03Expliquez-nous cela.
00:24:04– Tout simplement
00:24:05parce que
00:24:06tous les,
00:24:07comment dire,
00:24:08les grands investisseurs,
00:24:09entre guillemets,
00:24:10les assureurs
00:24:11et surtout Goldman Sachs,
00:24:12Cerberus,
00:24:13compagnie,
00:24:13les japonais,
00:24:14qui achètent la dette française,
00:24:17en fait,
00:24:18ont perdu confiance
00:24:19dans les finances
00:24:23de la France.
00:24:25Entre-temps,
00:24:26déjà,
00:24:26le gouvernement,
00:24:27après cette info,
00:24:28le gouvernement est tombé.
00:24:30Au moment où on enregistre,
00:24:31là,
00:24:31il vient de tomber.
00:24:32Et donc,
00:24:33comment dire,
00:24:37le monde financier international
00:24:39n'a plus confiance
00:24:40dans la France ?
00:24:41Voilà,
00:24:42tout simplement.
00:24:42– Ce qui se traduit
00:24:43par la hausse des taux.
00:24:44– C'est l'homme malade,
00:24:44on va dire,
00:24:45c'est l'homme malade
00:24:46ou la femme malade
00:24:47de l'Europe.
00:24:48– La conséquence
00:24:49fait la hausse des taux.
00:24:49– C'est ça.
00:24:50Et donc,
00:24:51du coup,
00:24:52suite à le discours
00:24:54de Bérou le 26 août,
00:24:55parce qu'il a annoncé
00:24:58l'engagement
00:24:58de l'article 49.1 quand même.
00:25:00– Oui, absolument.
00:25:00– Voilà.
00:25:01Il dit
00:25:01« Je n'ai pas pris en considération
00:25:02les pertes du crédit agricole
00:25:04car cette banque
00:25:04est une usine à gaz
00:25:05abominable
00:25:06constituée de différentes entités.
00:25:10ou le crédit agricole. »
00:25:11Bref,
00:25:13alors je vous donne
00:25:13un exemple.
00:25:15Le cours du crédit agricole
00:25:16est passé de 17 euros
00:25:17à 16h30
00:25:18à 15,38 euros.
00:25:20– Oui.
00:25:21– Bon.
00:25:21Et à l'avenant,
00:25:22je n'ai pas regardé
00:25:22le cours des trois banques,
00:25:24mais c'est…
00:25:26Et du coup,
00:25:26vous avez vu
00:25:27qu'il y a eu
00:25:28une panne géante
00:25:29qui a affecté
00:25:30majoritairement CIC,
00:25:31crédit mutuel,
00:25:32etc.
00:25:33Tous les porteurs de…
00:25:34Ils n'ont pas pu payer
00:25:45les restaurants,
00:25:46etc.
00:25:47dans les…
00:25:48C'était
00:25:50il y a quelques jours.
00:25:52Voilà.
00:25:52Tous les clients
00:25:53n'ont pas pu payer
00:25:53avec le crâne.
00:25:54– D'accord.
00:25:55– S'ils n'avaient pas
00:25:55d'argent liquide,
00:25:56ils étaient très,
00:25:57très embêtés.
00:25:57– Quand les clients
00:25:58peuvent payer
00:25:58et quand ils vont au Resson ?
00:25:59– Au Carrefour de Montesson,
00:26:01au Carrefour,
00:26:02qui est l'un des plus grands
00:26:03supermarchés de Montesson,
00:26:04il y a eu des centaines
00:26:05de personnes
00:26:06qui, dans la journée,
00:26:08qui ont abandonné
00:26:09des caddies pleins
00:26:10parce que leur carte
00:26:11ne passait plus.
00:26:12– Ah oui.
00:26:12Et ils n'avaient pas
00:26:13de liquide, bien sûr.
00:26:14– Non, non,
00:26:14c'était une panne générale.
00:26:16– Et puis on trouve
00:26:16ce point de vue moins de table.
00:26:17– Voilà.
00:26:18Moi, je soupçonne
00:26:19des attaques régulières,
00:26:20si vous voulez,
00:26:20non pas spécialement
00:26:21de la Russie,
00:26:21mais d'Israël.
00:26:22Les trolls israéliens
00:26:24sont…
00:26:25De ce genre,
00:26:26Netanyahou nous a menacés.
00:26:28Mais hier,
00:26:29l'ancien député,
00:26:31Meyer Habib,
00:26:32nous a clairement menacés
00:26:35d'attentats, etc.
00:26:36On ne se laissera pas faire
00:26:37si Emmanuel Macron
00:26:39reconnaît la Palestine
00:26:40lors de son prochain voyage.
00:26:42– Alors, il va aller,
00:26:43en effet, à New York
00:26:44pour faire reconnaître…
00:26:45– Non, mais est-ce que
00:26:46vous imaginez
00:26:46la trahison de Trump ?
00:26:48L'administration Trump
00:26:50a interdit aux Palestiniens,
00:26:51donc à l'ambassadeur palestinien,
00:26:53il ne lui donne pas le visa
00:26:54pour venir aux États-Unis
00:26:55pour le truc de l'ONU.
00:26:57– Oui.
00:26:59– C'est monstrueux.
00:27:00– Oui.
00:27:00– C'est monstrueux.
00:27:01– Alors, toujours aux États-Unis,
00:27:04que va faire Donald Trump
00:27:06avec le gouverneur de la Fed ?
00:27:08Vous croyez qu'il va arriver ?
00:27:09– Justement, vous faites bien
00:27:11d'en parler parce qu'il s'est passé
00:27:12des choses extraordinaires
00:27:13pendant cet été.
00:27:15Alors, figurez-vous
00:27:16qu'une membre de la Fed…
00:27:20– Oui.
00:27:21– Alors, attends, je ne sais plus…
00:27:22– Alors, la Banque centrale.
00:27:24– Vous l'avez ?
00:27:25– Je ne l'ai plus, moi, je ne la vois pas.
00:27:28– Je ne la retrouve plus, madame.
00:27:29– Je ne la retrouve plus.
00:27:30– En question.
00:27:32Bon, elle a frondé.
00:27:34Elle a frondé, cette dame.
00:27:36– Alors, en plus,
00:27:37c'est une gouverneuse de la Fed.
00:27:38Attends, c'est pas très bien.
00:27:39– Oui, oui, absolument.
00:27:40– C'est énorme.
00:27:41– Une gouverneuse ou une gouvernante ?
00:27:42– Non, une gouverneuse.
00:27:43– Oui, ou moi, je l'appelle gouverneuse,
00:27:45moi, pourquoi pas.
00:27:47Ah, si, je l'ai.
00:27:48Voilà.
00:27:48Comment obtenir un prêt d'une banque
00:27:52quand tu es gouverneur de la Fed ?
00:27:55– Eh bien, voilà.
00:27:57Racontez-nous comment on fait.
00:27:58– En fait, non, mais c'est deux affaires Cahuzac.
00:28:00– Oui, c'est ça.
00:28:01– Non, mais c'est énorme.
00:28:02C'est énorme.
00:28:02C'est deux affaires Cahuzac.
00:28:04Les yeux dans les yeux, Olivier.
00:28:05Je n'ai pas de compte à Singapour
00:28:07et je n'ai pas de compte à Genève.
00:28:09C'est-ce qu'il dit.
00:28:09– Non, voilà.
00:28:10Eh bien là, les yeux dans les yeux.
00:28:12Alors, d'abord, la gouverneuse Lisa Cook.
00:28:15– Voilà.
00:28:16– Donc ça, c'est drôle parce qu'en anglais,
00:28:18on dit, pour bidonner les comptes,
00:28:20on dit cuisiner les comptes.
00:28:21– Cooking.
00:28:22– Cooking de...
00:28:23– Donc Lisa...
00:28:25Non, mais c'est drôle.
00:28:26Lisa Cook qui, elle a fait...
00:28:27Elle a été nommée en janvier 2022 par Joe Biden
00:28:31pour fraude dans une demande de prêt bancaire.
00:28:35– Oui.
00:28:35– C'est-à-dire qu'elle a fait trois dépôts de...
00:28:38de mémoire, de prêt bancaire en disant
00:28:41qu'à chaque fois, c'est sa résidence principale.
00:28:43– Oui.
00:28:44– Parce que le taux est très bas
00:28:45pour ceux qui achètent pour leur maison principale.
00:28:49– Pour leur maison principale.
00:28:50– Et donc, là, ils l'ont vu, évidemment.
00:28:54Et donc, Trump lui a dit,
00:28:55bon, vous prenez vos affaires
00:28:56et vous quittez la Fed du jour au lendemain.
00:28:59– Voilà.
00:29:00– C'est-à-dire, première chose.
00:29:01Donc, mort.
00:29:02Et donc, ça permet à Trump, effectivement,
00:29:04de prendre le contrôle de la Fed
00:29:05et, justement, peut-être, de virer Jérôme Powell.
00:29:09– De dégueulner Jérôme Powell.
00:29:10– Alors, deuxième scandale, c'est chez les Anglais.
00:29:13– Ah oui.
00:29:14Alors ça, même chose.
00:29:15– Oh, c'est énorme.
00:29:15– Même chose.
00:29:16– Non, mais c'était énorme.
00:29:17– Mais c'était énorme.
00:29:18– Le ministre, oui.
00:29:19– Énorme.
00:29:20– Alors, allez-y, allez-y.
00:29:22– Non, non, allez-y, je vous laisse.
00:29:24Cette dame, bon, elle a été exclue.
00:29:27– Le gouvernement anglais est tombé à cause d'elle ?
00:29:30– Oui, oui.
00:29:31– C'est pas rien.
00:29:32Alors, donc, c'est la deuxième affaire qu'il y a eu, Zach.
00:29:34Voilà.
00:29:35Voilà.
00:29:36Donc, après l'éviction de Lisa Cook,
00:29:39voici qu'en l'espace de deux semaines,
00:29:40deux gouvernements sont tombés.
00:29:42Hier, le français.
00:29:42Donc, là, c'est le nôtre.
00:29:46Et jeudi, donc, c'était le gouvernement anglais.
00:29:48– Connué, oui.
00:29:49– Mme Angela Rayner a été forcée à la démission
00:29:52suite à ces arnaques similaires à celles de Lisa Cook.
00:29:56Elles ont toutes deux triché sur leur déclaration immobilière.
00:30:00Mme Cook pour obtenir des taux bas pour une résidence principale,
00:30:04enfin, trois résidences principales.
00:30:05Et Mme Rayner pour avoir triché sur ces déclarations d'achat immobilier
00:30:10afin de ne pas payer 40 000 livres d'impôt à l'État anglais.
00:30:16Parce qu'elle avait dissimulé 800 000 livres de patrimoine.
00:30:20– C'est énorme.
00:30:21Attends, c'était la même qui disait aux Anglais
00:30:24qu'il va falloir se serrer la ceinture
00:30:26et qui voulait imposer des taxes supplémentaires
00:30:30sur les résidences secondaires.
00:30:32– Oui.
00:30:32– Des Anglais.
00:30:34– Exactement.
00:30:35– C'est énorme.
00:30:36– C'est Cahuzac.
00:30:36– Comme en France.
00:30:37– C'est Cahuzac.
00:30:38– Oui.
00:30:39Mais c'est madame, cette ministre qui déclare…
00:30:45– Voilà, je montre ça pour le montage.
00:30:47Donc ça, c'était du…
00:30:48– Bah, c'est le 9 septembre.
00:30:50Voilà, c'est l'article du…
00:30:51– Oui, mais…
00:30:52– Et donc du coup, effectivement, d'un seul coup, d'un seul,
00:30:57les déclarations…
00:30:57Voilà, le dénumel écrit,
00:30:58les déclarations précédentes de Mme Renner
00:31:00l'avaient exposées à des accusations d'hypocrisie,
00:31:02en particulier de la part du député conservateur
00:31:05Kémy Banenrock,
00:31:06qui a affirmé que la position d'Angela Renner
00:31:08était intenable depuis des jours.
00:31:10La vérité est simple, elle a esquivé l'impôt.
00:31:12Alors que c'est la chef des impôts.
00:31:14– Voilà.
00:31:14– Cahuzac, c'est madame Cahuzac.
00:31:19– Non, on n'est jamais mieux.
00:31:20– Et donc, on n'est jamais mieux,
00:31:21c'est comme la gouverneuse de la Fed.
00:31:24Elle demande un prêt.
00:31:25La gouverneuse de la Fed,
00:31:26elle gagne quand même des millions.
00:31:28– Oui, bien sûr, bien sûr.
00:31:29– C'est incroyable.
00:31:30Mais ces anglo-saxons, c'est quand même…
00:31:32Bon, en même temps, on n'a pas de leçons avec Cahuzac,
00:31:34on n'a pas de leçons à leur donner.
00:31:35– Alors, les anglo-saxons en question,
00:31:37c'est les anglais,
00:31:37ils envisagent de pousser l'âge de la retraite à 80 ans.
00:31:40– Oui, vous avez raison de le souligner.
00:31:43– Et alors, quelle est l'espérance de vie moyenne
00:31:45en Grande-Bretagne ?
00:31:47– Non mais…
00:31:48– 78,8.
00:31:49– Autrement dit, les gens vont cotiser.
00:31:54Bon, je ne pense pas que ça…
00:31:55– Ce n'est pas une cotisation, c'est un impôt.
00:31:56– Ils vont payer.
00:31:57– En fait, c'est un impôt.
00:31:58– Pour ne pas avoir de retraite.
00:31:59– Exactement.
00:32:00En fait, c'est un impôt.
00:32:01C'est-à-dire que les cotisations retraites
00:32:03se transforment en impôts.
00:32:06– Oui.
00:32:06– Bismarck avait fait la même chose.
00:32:08– Oui.
00:32:08– Bismarck, de mémoire, avait…
00:32:10– Oui, oui.
00:32:11– Rappelez-nous…
00:32:13– C'est ce qu'on appelle le bismarquisme,
00:32:16il l'a inventé,
00:32:17mais dans le programme de Bismarck,
00:32:19il avait mis le programme à la retraite
00:32:22à 60 ans ou 58 ?
00:32:24Parce que c'était la moyenne d'âge.
00:32:25– L'espérance de vie était…
00:32:26– L'espoir était à 60 ans, je crois.
00:32:28– Le programme bismarquien n'avait pas
00:32:30que des inconvénients.
00:32:31Il était…
00:32:32– Ah non, mais je n'ai pas dit que c'était…
00:32:33– D'ailleurs, nous sommes plutôt, nous,
00:32:34en France, sur un système plus bismarquien
00:32:37que beveridgien, c'est-à-dire à l'anglaise,
00:32:40où c'est l'État qui paye.
00:32:41– Oui.
00:32:41– Vous voyez ?
00:32:42C'est assez différent.
00:32:42– Non, mais on ne va pas rentrer dans le détail,
00:32:45simplement pour revenir à l'Angleterre.
00:32:49– Oui, alors justement,
00:32:50moi ce que j'ai observé,
00:32:51là, c'était entre juin et septembre.
00:32:55C'est-à-dire qu'à un moment donné,
00:32:56le gouvernement anglais,
00:32:57donc Mme Renner, justement,
00:32:58on va repousser l'âge de la retraite à 63,
00:33:01puis 64, puis 65, puis 67.
00:33:03– Oui.
00:33:04– Et je crois que j'en ai même parlé avec vous.
00:33:05– Oui, oui, oui.
00:33:06– Et puis là, c'était 69, puis 72.
00:33:10– Oui.
00:33:12– Et là, regardez,
00:33:13– 80 ans.
00:33:15– Là, c'est le 28 juillet,
00:33:16toujours, toujours pendant les vacances,
00:33:18là où les gens ne le voient pas.
00:33:20Et alors, Aldosterone,
00:33:22il nous a fait un message assez drôle.
00:33:24Il dit, je me suis trompé dans mon premier poste,
00:33:26signalant que le gouvernement anglais
00:33:27envisageait de repousser l'âge de la retraite
00:33:29au-delà des 70 ans.
00:33:32Hier, j'avais posté que l'âge de la retraite
00:33:34pourrait être porté à 74 ans.
00:33:36C'était basé sur des informations relayées
00:33:38par les médias, des fake news.
00:33:41– Oui.
00:33:41– Ce matin, on nous dit qu'en fait,
00:33:43on pourrait atteindre 80 ans.
00:33:45Toutes mes excuses.
00:33:46– Oui.
00:33:47– 80 ans.
00:33:48Non mais attends, ça nous arrive, là ?
00:33:50– Oui.
00:33:50– Moi, je vous rappelle que les débats
00:33:52sur la retraite en France,
00:33:54c'est dû au vol des caisses de retraite
00:33:57par les banques américaines
00:34:00entre 2002 et 2009.
00:34:03– Oui, c'est ça.
00:34:04– 2008, 2009.
00:34:05– Oui, c'est la dernière fois que j'ai invité
00:34:07sur votre livre de 2008.
00:34:08– Évidemment.
00:34:09– Mais nous avons en France…
00:34:10– Et là, on le voit.
00:34:11Les Anglais ont été dépouillés de la même façon.
00:34:13– Oui, exactement.
00:34:14Et nous avons une dame en France
00:34:16qui veut notre bien,
00:34:18c'est madame de Montchalin,
00:34:21qui fait la même chose
00:34:22et qui veut massacrer les retraites.
00:34:26– Bon.
00:34:27– Oui, ça vous laissez voir.
00:34:28– Non mais moi,
00:34:29c'est le plus cynique des calculs capitalistes, quoi.
00:34:32– C'est horrible.
00:34:34À ne pas payer de retraite
00:34:35à des gens qui ont pourtant cotisé toute leur vie.
00:34:37Autre traduction,
00:34:38c'est du vol pur et simple
00:34:39des cotisations retraite.
00:34:40– Voilà.
00:34:41– Clairement.
00:34:42Autant repousser l'âge légal à 90 ans.
00:34:44– Voilà.
00:34:45– Pardon, je trouve ça drôle,
00:34:46mais c'est si magique.
00:34:47– C'est très difficile.
00:34:48– Pour être certain que seuls 1 ou 2%
00:34:50des cotisants la toucheront.
00:34:52Et encore.
00:34:53Et encore.
00:34:53Juste pour quelques semaines.
00:34:55Au mieux, pour quelques mois.
00:34:56En tout cas, c'est sûr
00:34:57qu'ils ne vont pas aller en vacances,
00:34:58qu'ils ne vont pas aller suivre des…
00:35:00– Voilà, parce que 90 balais,
00:35:02bon, en général, pour marcher,
00:35:04ça devient un peu difficile.
00:35:05– C'est un peu difficile.
00:35:05– C'est un peu difficile.
00:35:06Voilà.
00:35:07Et à ce sujet,
00:35:08donc, je salue le député
00:35:10du Grand Conseil de Canton de Genève
00:35:12qui nous suit,
00:35:13qui suit l'envite presse,
00:35:14M. François Baertschi.
00:35:17Je ne sais pas si je prononce bien.
00:35:18Baertschi, peut-être.
00:35:20Donc, du Grand Conseil de Canton de Genève.
00:35:22Il m'a écrit, donc,
00:35:23il me dit, M. Giovanna,
00:35:24je viens de constater,
00:35:25après avoir lu 2008,
00:35:26les effets très directs de cette crise.
00:35:30Les contribuables…
00:35:31Écoutez bien.
00:35:32Les contribuables genévois
00:35:33ont dû recapitaliser
00:35:35leur caisse de retraite
00:35:37des fonctionnaires en 2013.
00:35:38– Oui, oui.
00:35:39– Puis, une nouvelle fois,
00:35:42aux alentours en 2020.
00:35:43– Oui.
00:35:44– Et voilà.
00:35:45Et le refinancement n'est pas terminé.
00:35:48Ce sont les fonctionnaires
00:35:49par les baisses de retraite
00:35:50et les contribuables
00:35:51qui en subissent les conséquences.
00:35:52Dans le plus grand silence,
00:35:54parce que personne ne fait votre analyse.
00:35:57Alors, je remercie M. le député.
00:35:59Je suis même…
00:36:01C'est intéressant de voir
00:36:02que des députés suisses nous suivent.
00:36:05Parce que moi, j'aimerais bien
00:36:06que des députés français
00:36:07se bougent un peu les fesses.
00:36:10Notamment pour interdire aux banques
00:36:11de dire à un client
00:36:13qui n'est pas à découvert,
00:36:14qui n'a jamais eu un problème,
00:36:15de les virer du jour au lendemain.
00:36:17Ça devrait être formellement interdit.
00:36:19Vu qu'aujourd'hui,
00:36:20vous ne pouvez pas vivre sans banque.
00:36:21– Oui.
00:36:22– Oui, bien sûr.
00:36:23– C'était possible dans les années 70.
00:36:24Donc, on n'a pas besoin des banques.
00:36:27Aujourd'hui, vous êtes marqués par une banque.
00:36:28C'est l'objet de mon livre,
00:36:29c'est de cette tête, je vous rappelle.
00:36:30– La bancarisation de ménage
00:36:32remonte à la fin des années 60.
00:36:34Au début des années 70.
00:36:35– 76.
00:36:36Obligation…
00:36:36Enfin, il n'y a jamais eu de loi là-dessus.
00:36:39– Non, non, non.
00:36:39– Mais petit à petit…
00:36:40Mais rappelez-vous,
00:36:58c'est tous les films noirs des années 60,
00:37:01avec Bernard Blier,
00:37:02avec Lino Ventura.
00:37:03Les malfaiteurs attaquaient la camionnette
00:37:06qui avaient les billets pour aller chez Simca,
00:37:10pour payer les ouvriers de Simca à Poissy.
00:37:12Vous vous souvenez de ça ?
00:37:13– Bien sûr.
00:37:15– Vous étiez à Poissy.
00:37:18– J'ai même un souvenir personnel.
00:37:20– Oui, allez-y.
00:37:21– Mon père était chargé, justement,
00:37:24de la paie des ouvriers,
00:37:26dans l'usine où il travaillait,
00:37:27dans la banlieue du Havre.
00:37:29Et il payait toutes les semaines, les ouvriers.
00:37:32– C'est ça.
00:37:33– En liquide.
00:37:34– Oui, en liquide, absolument.
00:37:35– Et les gars qui apportaient l'argent
00:37:38avaient une molette de lumière.
00:37:40– Exactement, une molette,
00:37:41avec des menottes.
00:37:42– Avec des menottes.
00:37:42– Avec des menottes.
00:37:44– Et il a finalement pris la décision
00:37:45de payer les femmes,
00:37:47parce que le samedi soir…
00:37:48– Oui, oui, parce que le mec
00:37:49qui dépensait l'argent en alcool.
00:37:51Oui, oui, c'est vieux, ça.
00:37:53Alors, tiens, justement,
00:37:54puisqu'on parle des retraites,
00:37:56regardez, ça, c'est…
00:37:58– Ah oui, intéressant.
00:37:59– Non, mais ça confirme,
00:38:00si vous voulez ce que dit le député,
00:38:01ça confirme à nouveau le principe de 2008.
00:38:05Alors, ça, c'est la preuve supplémentaire
00:38:07du vol des pensions.
00:38:09John Arnold a vu que les fonds de retraite
00:38:10de la police et des pompiers de Chicago…
00:38:13– Ah oui, c'est impressionnant.
00:38:15– …sont les moins bien financés du pays.
00:38:17– C'est pas financé ?
00:38:17– Voilà, ça, c'est du 5 août.
00:38:18Ça sort toujours au mois d'août, vous avez vu.
00:38:20– Oui, oui, c'est du 15-20%, quoi.
00:38:21– Regardez.
00:38:22– Voilà, c'est le bas.
00:38:25– Et alors, regardez, par exemple,
00:38:26tout ce qui est, par exemple,
00:38:28les employés de l'eau,
00:38:29ceux qui, ils sont à 52%,
00:38:34les instituteurs, leur retraite,
00:38:39il n'y a que 43%,
00:38:40donc, en fait, techniquement,
00:38:41ils ne payent que 43% de retraite
00:38:44de ce qu'ils doivent.
00:38:45Ils ne les ont pas.
00:38:47– Oui, oui, bien sûr, bien sûr.
00:38:48– Les firefighters, 21%,
00:38:52worst, voilà, ça, c'est les pires.
00:38:54– Worst Funded Financial Municipal Retirement System in the Nation,
00:39:00c'est les chiffres de 2023, hein.
00:39:02– Et il y a plus de 20 ans, il y a 25 ans,
00:39:05j'avais été en Californie,
00:39:06et le gouverneur nous avait fait une conférence,
00:39:10le gouverneur de Californie,
00:39:12sur le financement des retraites,
00:39:15qu'ils avaient confié à un organisme privé
00:39:19qui s'appelle CalPERS.
00:39:21– CalPERS, oui, bien sûr.
00:39:23– Ils se sont fait rétamés en 2008.
00:39:25– Voilà, Californier, personnel,
00:39:27Californier, personnel.
00:39:28Et, alors, un siège social absolument magnifique,
00:39:32et, en effet, il y a eu l'affaire
00:39:35où ils n'ont pas pu payer parce que…
00:39:37– Mais parce qu'ils ont été volés par Goldman Sachs,
00:39:39par tous les autres, en 2008, regardez.
00:39:41Ça, c'est le journal de Montréal.
00:39:43On salue nos téléspectateurs électeurs canadiens,
00:39:47québécois, québécois.
00:39:49Journal de Montréal,
00:39:51UBS paiera 300 millions de dollars,
00:39:53canadiens pour…
00:39:55non, milliard américain,
00:39:56pour régler un dossier de crédit suisse
00:39:58lié à la crise des suprêmes.
00:40:00Autrement dit,
00:40:01ils ont dépouillé une caisse de retraite encore.
00:40:03– Ben oui.
00:40:05– Et aujourd'hui,
00:40:06vous avez le gouvernement français
00:40:08qui ose nous faire croire
00:40:09que ce sont les boomers qui sont responsables.
00:40:11– Bien sûr, bien sûr.
00:40:12– Bérou a dit que la crise des suprêmes
00:40:15a joué un rôle colossal.
00:40:17– Il l'a dit deux fois.
00:40:17– Il n'a pas cité les suprêmes, mais dans…
00:40:19– Si, si, il a dit la crise des suprêmes.
00:40:22– Ah si, si, j'ai entendu.
00:40:23– Oui, il n'a pas…
00:40:23– Mais il avait recherché des événements
00:40:26qui avaient affecté…
00:40:27– Hier, il a parlé de la crise des suprêmes.
00:40:29– Il faut lui envoyer son livre,
00:40:32votre livre, puis maintenant il va.
00:40:33– Même Rotaillot.
00:40:35Madame Rotaillot est venue chercher au livre 2008
00:40:38au jardin des livres.
00:40:39– Ah, intéressant.
00:40:40– Donc c'était intéressant.
00:40:41– Intéressant.
00:40:41– Oui, parce qu'au moment de payer,
00:40:45on s'est rendu compte qu'elle s'appelait Madame Rotaillot.
00:40:47– Ah oui.
00:40:47– Avec sa carte.
00:40:49Regardez, ça c'est le vol des Français en plein jour.
00:40:53Alors, je me dis tout…
00:40:55– C'est la crise des pannes.
00:40:56– Tous ceux qui ont de l'assurance-vie,
00:40:58oubliez, dégagez-vous, sortez de là.
00:41:02Regardez.
00:41:02– Ils ont amené pendant l'été, le 5 août,
00:41:05désormais, le livret A va passer de 2,4 à 1,7% de rémunération.
00:41:12C'est une honte !
00:41:13C'est un vol global des citoyens.
00:41:16– Surtout avec l'inflation.
00:41:17– Il ne faut pas se m'énerver.
00:41:18– Calmez-vous mon cher, mais avec l'inflation, c'est pire.
00:41:21– Mais l'inflation, elle est de 8 à 10 minimum.
00:41:23– Alors, vous savez ce qu'a dit…
00:41:24– Elle est de 8 à 10 minimum.
00:41:26– Vous avez vu ce qu'a dit le ministre des Finances ?
00:41:28– Vous vous rendez compte ? C'est un vol de…
00:41:30– Vous avez vu ce qu'il a dit ?
00:41:32– Allez-y.
00:41:32– Il a dit, l'inflation est derrière nous définitivement.
00:41:34– Je n'ose même pas vous dire l'image que j'ai eue dans la tête.
00:41:39– Vous voulez dire qu'il l'a quelque part ?
00:41:41C'est ça que vous voulez dire ?
00:41:42Oui.
00:41:43– Pardon.
00:41:44– Sérieusement, sérieusement.
00:41:46– Regardez.
00:41:46– Affirmer une pareille chose alors qu'on…
00:41:49– Non, mais c'est n'importe quoi.
00:41:50– D'ailleurs, l'INSEE a donné un chiffre.
00:41:53Entre 21 et 25, les prises alimentaires ont augmenté de 24%.
00:42:00C'est un chiffre de l'INSEE.
00:42:05– Regardez.
00:42:06– Vous montrez sur votre presse des articles très ordinaires.
00:42:11– C'est trois photos de nos lecteurs que je remercie.
00:42:16– Qui sont sécurisées.
00:42:17– Voilà, regardez, un morceau de poulet.
00:42:19– Sécurisé.
00:42:20– Une cuisse de poulet qui est sécurisée.
00:42:22– Avec un antivol.
00:42:22– Avec un antivol.
00:42:23Avant, c'était vraiment le whisky, les bouteilles d'alcool.
00:42:25– Oui, c'est ça, oui.
00:42:25– Voilà, on est arrivé, mais ça fait longtemps que j'en parle.
00:42:28– C'est curieux de mettre un antivol sur un poulet.
00:42:30– Voilà.
00:42:31Là, vous avez un antivol sur des bouteilles de lait.
00:42:33– Oui, oui.
00:42:33– Des bouteilles de lait ?
00:42:35– Allô ?
00:42:36– Euh, de lait, pardon.
00:42:38– Et là, c'est quoi ?
00:42:40– Alors là, c'est carrément…
00:42:41Avant, c'était le jeu vidéo à 80 euros
00:42:43qui était mis dans un truc transparent,
00:42:44dans un petit coffret plastique transparent.
00:42:47Et maintenant, c'est quoi ?
00:42:48C'est une tablette de chocolat.
00:42:50– Eh oui, parce que…
00:42:50– Une tablette de chocolat.
00:42:51– Oui.
00:42:52– Alors bon, c'est le chocolat de Dubaï.
00:42:54Alors, il paraît que…
00:42:55Moi, j'ai goûté.
00:42:55Bon, franchement, il n'y a rien de transcendant.
00:42:58Mais je veux dire, ils sont obligés de le mettre.
00:43:01Alors que Dieu nous est témoins.
00:43:05Chers téléspectateurs, mon cher Olivier,
00:43:07cela fait plus de 10 ans qu'on explique à nos spectateurs
00:43:11acheter de l'or.
00:43:12– Oui.
00:43:13– Et l'or a battu leur nouveau record,
00:43:153650 dollars l'once.
00:43:18C'était hier.
00:43:19– Voilà.
00:43:20– 3650.
00:43:21C'est-à-dire que ça a pris 1000 dollars en un an.
00:43:24– Oui.
00:43:24– 1000 dollars en un an.
00:43:25– Oui, oui.
00:43:26– Et à nouveau, ce n'est pas l'or qui monte,
00:43:28c'est votre capacité d'achat de votre billet de banque qui descend.
00:43:31– Et vous publiez d'ailleurs une statistique donnée par…
00:43:34– Notre ami Jean-Pierre Chevalier,
00:43:38les hausses de prix par rapport à l'euro.
00:43:40– Oui, c'est dans le parisien ça.
00:43:41– Depuis le passage à l'euro.
00:43:42– Oui.
00:43:43– La baguette de pain, 34%.
00:43:46– Oui.
00:43:46– Est-ce que votre salaire a augmenté de 34% ?
00:43:49Non.
00:43:50– Les pommes, 55%.
00:43:52D'ailleurs, je crois…
00:43:53– Est-ce que votre salaire a augmenté de 55% ?
00:43:55Non.
00:43:56– Vous savez, tout ce que je vois.
00:43:57– Oui.
00:43:58– Parce que j'ai posé la question à mes lecteurs,
00:43:59ils m'ont tous répondu.
00:44:01Ils m'ont dit non.
00:44:02– Oui.
00:44:02– Ils m'ont dit si mon salaire a progressé peut-être de 15-20%,
00:44:05– Vous savez, alors…
00:44:05– C'est tout.
00:44:06– Je renvoie à nos téléspectateurs.
00:44:08– On en a parlé ?
00:44:09– Aux témoignages aussi.
00:44:10Dans votre vue de presse, il y a des témoignages.
00:44:12– Oui.
00:44:12– Des gens qui parlent de leurs parents,
00:44:15qui ont pu payer des études à leurs enfants.
00:44:17– Exactement.
00:44:17– Qui ont pu les sortir.
00:44:18– Madame ne travaillait pas.
00:44:19– Une condition ouvrière difficile.
00:44:21– Exactement, trois enfants.
00:44:22– Eh bien, aujourd'hui, ce n'est plus possible.
00:44:24– Non, c'est impossible.
00:44:25– Alors, dans la liste des hausses des prix
00:44:26depuis le passage à l'euro,
00:44:28il faut quand même signaler
00:44:29contravention, stationnement, 206%.
00:44:32– Non, mais c'est une honte.
00:44:33Le timbre rouge, moins de 20 grammes,
00:44:35il a fait 178%.
00:44:36Voilà.
00:44:37Et moi, je dis simplement,
00:44:38je demande aux députés,
00:44:40voilà, il faut voter une loi
00:44:41de manière à ce que la hausse des salaires
00:44:43soit, comment dire,
00:44:46renouée à l'augmentation des prix.
00:44:50Comme c'était avant.
00:44:51– Bien sûr, bien sûr.
00:44:52– Aujourd'hui, si, depuis…
00:44:54Je parle simplement depuis 2001.
00:44:56Et je le répète, c'est dans le livre 2008.
00:44:58Si votre salaire, le SMIC, pardon,
00:45:00le SMIC, aujourd'hui, devrait être
00:45:02à 4500 euros bruts.
00:45:05– Comme en Suisse.
00:45:07– Exactement, comme en Suisse.
00:45:08Bon, en même temps, je ne suis pas certain
00:45:10que les Suisses également…
00:45:12Mais ils ont quand même plus suivi.
00:45:14Ça, c'est incontestable.
00:45:16– Et surtout, les prix sont très élevés.
00:45:18– Oui, oui, oui.
00:45:19Mais la différence pour les Suisses,
00:45:21je veux dire, un SMICAR suisse
00:45:23vit nettement mieux qu'un SMICAR français.
00:45:25Pardon, c'est l'idée.
00:45:27– Alors, attends, à propos du SMIC
00:45:30et du timbre,
00:45:35là, par exemple, le prix du…
00:45:39Ah, voilà.
00:45:39Le prix du timbre de base de la poste
00:45:41va augmenter de 7,4 en janvier 2026.
00:45:44– C'est ce que j'ai vu, oui.
00:45:44– Voilà.
00:45:45Mais l'INSEE ne le verra pas
00:45:46de cet œil, évidemment.
00:45:48Et donc, Rudy Avenstein,
00:45:52il nous a expliqué qu'il y a 50 ans,
00:45:53le salaire minimum aux États-Unis
00:45:55était de 1,25 dollars,
00:45:58soit 5 pièces quarter d'argent.
00:46:01– Vous savez, c'est la pièce 25 cents
00:46:03qui était en argent.
00:46:04– Oui.
00:46:04– C'est les pièces Kennedy,
00:46:05qu'on appelle, voilà.
00:46:07En 2025, ces 5 pièces en argent
00:46:09valent 34, allez, 35 dollars.
00:46:11Alors que le salaire minimum horaire
00:46:13en Californie n'est que de 16 dollars.
00:46:16Donc, vous imaginez comment
00:46:17le système capitaliste a volé
00:46:19les pauvres gens ?
00:46:21C'est du vol organisé.
00:46:24Là, on le voit, je veux dire.
00:46:24– Oui, bien sûr.
00:46:25– C'est du 18…
00:46:27C'est fou, cette revue presse du mois d'août,
00:46:31elle est extrêmement puissante.
00:46:33Je me raconte avec vous.
00:46:35– Mais parce que tout passe au mois d'août.
00:46:36– Oui, oui, c'est ça.
00:46:37– Alors, il comprend, d'ailleurs.
00:46:38– Voilà, regardez cette image,
00:46:40c'est quand même incroyable.
00:46:41– Oui, et dans les prix,
00:46:43alors, timbre rouge, vous dites,
00:46:44178% d'augmentation.
00:46:46– Et il dit, pardon, je termine là-dessus,
00:46:48il dit, en 2024,
00:46:515 de ces pièces en argent
00:46:54ont une value de 35 dollars.
00:46:57Nous n'avons pas besoin de salaire minimum,
00:47:01nous avons besoin d'une monnaie solide.
00:47:03Et ça, c'est votre credo
00:47:05depuis toutes ces années.
00:47:07– Bien sûr, bien sûr.
00:47:07– Et c'est le credo du chevalier, d'ailleurs.
00:47:09– J'ai fait un…
00:47:10– C'est le credo de vous deux.
00:47:11– Un petit texte là-dessus, bien sûr.
00:47:13– Je pense quand même que c'est le credo de Charles Guève.
00:47:14– Ah oui, mais avec l'illusion
00:47:18que la monnaie, l'augmentation de la monnaie
00:47:21créerait la croissance,
00:47:22alors que c'est exactement le contraire.
00:47:23– C'est faux, voilà.
00:47:24– C'est le contraire,
00:47:25c'est la croissance qui crée la monnaie,
00:47:28sauf, sauf si cette monnaie est confisquée
00:47:31par les pouvoirs centraux,
00:47:33comme elle est confisquée aujourd'hui
00:47:34par la Banque centrale.
00:47:36– Tiens, je vous donne, regardez,
00:47:40moi je dis simplement
00:47:41que les Français sont pénalisés deux fois.
00:47:42leur monnaie ne vaut plus rien,
00:47:44donc l'euro,
00:47:45donc dépréciation.
00:47:47L'or, j'en parlais il y a deux secondes.
00:47:49– 3500 euros.
00:47:50– 3006.
00:47:51– 3006.
00:47:52– 3006.
00:47:53Leur monnaie, donc l'euro ne vaut plus rien,
00:47:55donc dépréciation.
00:47:56– L'once.
00:47:56– L'once.
00:47:57– Et le livre A ne rapporte,
00:48:00on vient d'en parler, 1,7.
00:48:01– Oui.
00:48:02– Alors qu'en Angleterre,
00:48:04ils donnent 5% aux gens.
00:48:06Les banques donnent 4,8, 4,9.
00:48:09Ils donnent du 5%.
00:48:10Et nous, vous avez le gouvernement Bercy
00:48:13qui vole le français en plein jour, maintenant.
00:48:17– Oui.
00:48:18– C'est…
00:48:19– Non mais, c'est un vol en plein jour,
00:48:23ce sont des trilliards qui sont volés aux Français.
00:48:25– Oui, oui.
00:48:26– Olivier.
00:48:27– Oui, bien sûr.
00:48:27Bien sûr.
00:48:28Et d'ailleurs, si les Français pouvaient consommer plus,
00:48:31il y aurait plus de rentrées d'impôts,
00:48:33il y aurait plus de demandes à l'industrie
00:48:36qui ne seraient pas en peine comme elle l'est aujourd'hui.
00:48:38– Tiens, regardez, on a un de nos lecteurs,
00:48:41il nous dit, M. Meurisse,
00:48:44alors c'est Meurisse comme l'hôtel,
00:48:45l'hôtel Meurisse.
00:48:46– Oui, oui, oui.
00:48:47– Voilà.
00:48:47Il nous écrit, j'ai aujourd'hui 56 ans,
00:48:49le prix actuel d'une bière pression
00:48:50m'a soudainement ramené à mes 15 ans,
00:48:52soit en 1995.
00:48:53Je me souviens qu'on y servait à la pression,
00:48:55une bière de Lorraine de la marque Vézelise,
00:48:58au tarif tout rond de 2 francs,
00:49:00pour 25 centilités.
00:49:00– Oui, c'est ça.
00:49:01– D'accord ?
00:49:02Que l'on payait avec la fameuse semeuse des années 40.
00:49:05Aujourd'hui, j'ai pu voir durant mes vacances,
00:49:08dans les Landes,
00:49:09un troquet qui proposait une bière locale,
00:49:11donc 25 centilitres,
00:49:12au prix de 5,20 euros.
00:49:14J'ai machinalement et approximativement
00:49:16fait la conversion en francs,
00:49:18dans ma tête,
00:49:19soit aujourd'hui 34 francs.
00:49:21– Oui.
00:49:21– Voilà.
00:49:22Aujourd'hui, une bière pression coûte 17 fois,
00:49:24plus chère qu'il y a 40 ans.
00:49:26J'ai passé mon chemin.
00:49:27– Voilà.
00:49:28– Alors, pour…
00:49:30– Non mais attendez, c'est énorme.
00:49:32– Pour en rien.
00:49:33– Oui ?
00:49:35– Augmentation de la coiffure.
00:49:38– Augmentation de la coiffure.
00:49:39Oui, allez-y.
00:49:40Oui, enfin, non, on n'est pas concerné.
00:49:41– Voilà.
00:49:42– Mais les dames, nos femmes, si.
00:49:45– Oui.
00:49:45– Nos femmes sont concernées.
00:49:46– 50 centilitres de l'augmentation
00:49:47depuis l'entrée dans l'euro.
00:49:49– Oui.
00:49:50– Aujourd'hui, tu vois, l'Express,
00:49:51c'était sur l'Express.
00:49:52Aujourd'hui, un cadre gagne la même chose qu'en 1996,
00:49:57la rémunération, angle mort de nos politiques publiques.
00:50:00Non, ce n'est pas un angle mort.
00:50:02C'est un vol global de la population.
00:50:04C'est aussi simple que ça.
00:50:06Voilà.
00:50:06Et…
00:50:07Alors, j'avais titré ça, c'était le 28 juillet.
00:50:10Il n'avait rien compris en 2008,
00:50:11mais il découvre l'eau chaude en 2025.
00:50:13– Ah oui.
00:50:14– Il s'agit, bien entendu…
00:50:14– Nicolas Boujou.
00:50:15– Nicolas Boujou.
00:50:16– Ah, ben, c'est vraiment un Boujou.
00:50:20Donc, régulièrement affiché sur BFM mensonge
00:50:22et autres C mensonge,
00:50:24qui s'est vendu d'une découverte
00:50:26dans le torchon nommé l'Express.
00:50:28En soutenant uniquement les bas salaires,
00:50:30la France charge depuis 30 ans la barque des managers, blablabla.
00:50:33Un choix qu'elle paye aujourd'hui, tatata, blaireau.
00:50:36C'est maintenant que tu le découvres.
00:50:37– Il découvre…
00:50:38– Il découvre l'eau chaude.
00:50:39– Oui, oui.
00:50:39– Il découvre que les Français sont volés depuis 30 ans.
00:50:42– Et sous-payés.
00:50:44– Mais complètement.
00:50:45– Sous-payés.
00:50:45– Mais ce n'est pas qu'ils sont sous-payés,
00:50:46c'est qu'en fait, ça n'a pas suivi.
00:50:47– Voilà.
00:50:48– Le rôle les a tués.
00:50:50Déjà, avant, ce n'était pas terrible,
00:50:52mais le rôle les a assassinés.
00:50:53Nous, ils ont assassinés.
00:50:54– Je reviens à l'Europe et aux États-Unis,
00:50:59parce que vous faites un paragraphe consacré
00:51:01au coup de génie des Américains aux dépens de l'Europe.
00:51:04Je pense que c'est pas mal.
00:51:07Première étape.
00:51:08Forcer la Russie à déclarer la guerre à l'Ukraine
00:51:10immédiatement dans la foulée.
00:51:11Interdire tous les pays européens
00:51:12et tous les autres de commercer avec Moscou.
00:51:15– Ça, c'est la première lame.
00:51:17Voilà, Gillette…
00:51:18– Étape 2.
00:51:18– Voilà.
00:51:20Donc, vous n'avez plus le droit.
00:51:22Et la Russie est sortie de Swift,
00:51:23donc plus personne ne peut faire un paiement.
00:51:25– Voilà, ça, c'est l'étape 2.
00:51:26C'est-à-dire tout virement bancaire avec les banques russes.
00:51:28– Exactement.
00:51:28– Interdisant l'accès au réseau de télécom bancaire Swift.
00:51:33Swift, nous avions consacré une émission
00:51:35à l'affaire Swift avec Héloïse Benhamon.
00:51:39– Oui, d'ailleurs, heureusement qu'elle avait mes archives.
00:51:44Heureusement qu'elle avait toutes mes archives.
00:51:46– Et elle a fait un bon travail avec vos archives.
00:51:48– Oui, oui, c'est surtout moi qui a fait le travail.
00:51:50– Troisième étape.
00:51:52– Une fois que l'Europe et le Canada ne peuvent plus commercer avec les Russes,
00:51:56leur imposer 15% de taxes sur leurs exportations vers les États-Unis.
00:52:00Voilà.
00:52:01– Voilà.
00:52:01– C'est exactement les conséquences…
00:52:02– Les conséquences directes.
00:52:04– Les conséquences de la guerre en Ukraine qu'on n'avait pas vues.
00:52:07On ne les a pas vues parce que finalement…
00:52:08– Mais c'est comme ça qu'il a imposé le contrat à von der Leyen.
00:52:11– Voilà.
00:52:12– C'est-à-dire que non seulement on est obligé d'acheter
00:52:13pour je ne sais plus combien de milliards, de trilliards aux Américains,
00:52:17des armes, du pétrole, des trucs.
00:52:18– Et du pétrole.
00:52:18– Mais surtout des armes.
00:52:20– Il y a un contrat de 690 milliards d'achats de pétrole américains.
00:52:27Le problème aujourd'hui, le problème, c'est que comme les pays de l'OPEP
00:52:32augmentent leur production et l'intention dissimulée,
00:52:37c'est évidemment de concurrencer le pétrole de schiste
00:52:39et le gaz de schiste américain.
00:52:41si le pétrole, Brian tout l'autre, tombe en dessous de 60 dollars,
00:52:49le pétrole de schiste n'est pas rentable, n'est plus rentable.
00:52:52Donc le pétrole américain peut ne pas être rentable en dessous de 60 dollars.
00:52:56– C'est ce qu'ils avaient fait déjà en 2010, pour tuer le pétrole russe.
00:53:01– Oui, je vous rappelle, c'est toujours en concurrence.
00:53:05Alors tiens, puisqu'on parle de milliards et de trilliards,
00:53:08à nos pauvres lecteurs, spectateurs qui ont des métiers difficiles
00:53:13comme serveurs de restaurants, etc.
00:53:15– Oui, l'imposition des pourboires.
00:53:18– Exactement, voilà.
00:53:20Bercy, c'est-à-dire qu'est-ce que j'en ai fait ?
00:53:21– Bercy veut imposer les pourboires.
00:53:23– Vous l'avez ? Ah oui, il est là.
00:53:26– Voilà. Imposer les pourboires.
00:53:28– Mais tu ne peux pas inventer un truc pareil.
00:53:29– Oui, mais en fait, j'avoue que je comprends mal parce que…
00:53:33– Ils sont hors sol à Bercy.
00:53:35Bercy, vous êtes hors sol.
00:53:36Vous êtes des énarques.
00:53:38Vous avez Bac plus 20.
00:53:39– Arrêtez de les injurier quand même.
00:53:40– Non, mais ils sont complètement hors sol.
00:53:44Imaginez que dans le budget 2026,
00:53:46les plus de 4 000 euros par mois veulent taxer les smicards,
00:53:50les serveurs, les coiffeurs, les chauffeurs de taxi, etc.
00:53:55– Des gens qui arrivent à gratter plus ou moins 200 euros
00:53:58ou 600 euros par mois suivant le secteur dans lequel ils travaillent.
00:54:02En pourboire, venant des citoyens qui ont encore quelques piécettes dans leur poche.
00:54:07– Si vous voulez aider ces gens-là, payez vos pourboires en liquide.
00:54:11– Mais la plupart du temps, c'est en liquide.
00:54:12– Oui, évidemment.
00:54:14Parce que si c'est au-dessus de la facturation en carte bleue,
00:54:18ça sera imposé.
00:54:18– Oui, c'est un projet.
00:54:19– C'est imposable.
00:54:20– Voilà, et donc Bercy veut déclencher une révolution.
00:54:26Voilà, ça c'était sur l'AFP.
00:54:28Voilà, même les échos, on en fait un pour le dossier explosif,
00:54:31des pourboires dans la restauration.
00:54:33Mais vous êtes dingue !
00:54:34Mais vous êtes complètement fou !
00:54:36Vous voulez gratter 3 francs, 6 sous, pauvre mec !
00:54:40Pendant ce temps-là, vous avez le crédit agricole
00:54:43qui a truandé les impôts, qui vous a truandé, Bercy,
00:54:48en faisant du coum-coum.
00:54:49– J'en ai parlé dans la revue de presse précédente,
00:54:53vidéo de cet été.
00:54:55Ils ont…
00:54:56Enfin bon, passons.
00:54:57– Dernière, dernière cerise sur le gâteau.
00:55:00– Je ne me suis jamais énervé autant de fois que…
00:55:01– Oui, c'est ce que je vois,
00:55:02ce n'est pas bon pour votre santé, mon cher.
00:55:04Alors, dernière cerise sur le gâteau, un bon cadeau.
00:55:06– Non, mais essaie de gratter le pourboire.
00:55:08– Il y a le Mercosur, mais il y a une nouveauté.
00:55:12– C'est petit…
00:55:13C'est comme…
00:55:14Vous savez, c'est comme le truc des inconnus,
00:55:17vous avez la télévision italienne,
00:55:19il y a un mec qui lui fait les poches
00:55:21pendant qu'il présente le journal.
00:55:22Vous vous souvenez de ce sketch ?
00:55:23– Oui, bien sûr.
00:55:24– Non, mais c'est ça, Bercy ?
00:55:27Vous en êtes là, à gratter,
00:55:30vous allez prendre 10% sur le pourboire des serveurs.
00:55:33– Oui.
00:55:34– Des maîtres d'hôtel,
00:55:35les mecs qui travaillent comme des dingues dans des restaurants.
00:55:37– Voilà, Pierre, pendant ce temps-là,
00:55:39nos agriculteurs vont subir le Mercosur
00:55:41et nous allons céder nos barrages.
00:55:45– Évidemment, on vend tout, mais Macron vend tout !
00:55:48Mais Macron vend tout !
00:55:50Qu'est-ce qu'il attend pour vendre Brigitte, tiens ?
00:55:52Je pense que…
00:55:53– C'est une question de prix.
00:55:55– Oui, à mon avis, il n'y aura pas beaucoup de demandeurs.
00:55:58On va se faire des amis, je ne sais pas pourquoi.
00:56:00– Vous savez, vous savez…
00:56:00– J'ai déjà une descente de police.
00:56:02– Nous avons eu l'électricité.
00:56:07– On a créé des fausses concurrences.
00:56:10– Bien sûr.
00:56:10– Avec des types qui ne produisaient rien.
00:56:13Et maintenant, on vend nos barrages
00:56:15pour qu'on nous fasse repayer l'électricité.
00:56:19– Mais qu'on a payé nous avec nos impôts,
00:56:21c'est comme les autoroutes.
00:56:22– Exactement.
00:56:22– C'est honteux, je veux dire,
00:56:24les barrages de ça doivent être national.
00:56:26L'énergie, c'est national.
00:56:28Je ne comprends même pas comment il apprécie.
00:56:31Macron est un traître.
00:56:32– Bien sûr.
00:56:34– Vous savez, Candace Owens est en train de mener une enquête,
00:56:36mais absolument phénomène.
00:56:37J'ai regardé hier soir, là, elle m'a bluffé.
00:56:40– Ah oui ?
00:56:40– Bon, c'est un autre sujet.
00:56:42– Ça, c'est Jean-Michel, ça.
00:56:43– Oui, non, mais parce qu'on a du Macron.
00:56:46– Alors, qu'est-ce que vous avez à nous vendre sur le…
00:56:48– Pendant que le gouvernement…
00:56:52– Démissionne ?
00:56:52– Voilà, démissionne, etc.
00:56:54En fait, et alors là, ça a failli m'échapper, je vous assure.
00:56:58– Il y a beaucoup de choses qui vous ont échappé aujourd'hui, vous savez.
00:57:00– Il y a encore tout ça, là.
00:57:03– Oui, mais…
00:57:04– Regardez, là, c'était…
00:57:07Et ça, je l'ai vu, c'était…
00:57:08Je l'ai vu le 4 septembre.
00:57:10Et heureusement, parce que j'ai acheté un journal anglais.
00:57:13– Oui.
00:57:13– Pendant que les médias français sont occupés par le nouveau gouvernement,
00:57:18en toute discrétion, Emmanuel Macron travaille dans l'ombre
00:57:21pour imposer la carte d'identité digitale…
00:57:23– Numérique, oui, enfin…
00:57:24– Voilà, et je serais passé à côté si je n'avais pas acheté.
00:57:27Voilà, et c'était dans le Daily Mail.
00:57:29« Chaque anglais devrait être obligé de prendre une carte d'identité digitale
00:57:33après qu'Emmanuel Macron ait demandé d'agir contre le travail au noir. »
00:57:40Écoutez bien.
00:57:40– Oui, oui, toujours.
00:57:41– « Afin que chaque personne qui postule, donc en Angleterre,
00:57:44pour un emploi ou en Europe,
00:57:46puisse prouver qu'ils ont le droit de vivre et travailler en Angleterre. »
00:57:50Alors là, vraiment, Emmanuel, c'est vraiment la belle excuse,
00:57:54parce que cette carte, elle existe déjà, ça s'appelle carte de séjour.
00:57:57– Bien sûr.
00:57:57– Non, mais vous voyez comment ils essayent, avec des mots,
00:58:01ils habillent leur projet puant, liberticide,
00:58:05dans des mots, toujours avec des faux prétextes.
00:58:09C'est comme les Israéliens, en fait.
00:58:10Tout est mélangé pour…
00:58:13C'est l'or des fous, vous voyez ?
00:58:15Ça brille, vous pensez que c'est de l'or, mais en fait, c'est rien.
00:58:18– C'est du toc.
00:58:19– C'est du toc, mais c'est pour faire croire aux gens que c'est de l'or.
00:58:21– Mais la monnaie numérique arrive, donc on aura la carte d'identité numérique.
00:58:26– Ah, mais ils veulent tout.
00:58:26– Et la monnaie numérique.
00:58:27– Attention, je suis là-dessus depuis longtemps, vous le savez.
00:58:29– Bien sûr.
00:58:29– Parce que Blind Masters était numéro 2 de ID2020.
00:58:33– Oui.
00:58:34– Et nous aurons… – On en a parlé.
00:58:35– La santé numérique aussi, le bulletin de santé numérique.
00:58:37– Les vaccins ?
00:58:38– Les vaccins, bien sûr.
00:58:39– Le passeport, permis de conduire, etc.
00:58:42C'est ce qu'ils veulent.
00:58:43C'est le fameux projet de Davos, de Clashwab.
00:58:46Ils nous vendent ça depuis 10 ans.
00:58:48– Et Davos, qui vient d'être remplacé, alors ça c'est le sommet,
00:58:52par Larry Fink, qui est le patron de BlackRock.
00:58:57– Que j'avais interviewé pour Blind Masters, justement.
00:58:59– Oui.
00:59:01Larry Fink prend…
00:59:02– Il a une admiration folle pour elle.
00:59:04– Ah oui ?
00:59:05– Oui.
00:59:06– Ah oui.
00:59:06– Et Larry Fink prend la place…
00:59:09– La présidence, la co-présidence.
00:59:10– Bon, c'est temporaire.
00:59:11Temporaire, c'est temporaire.
00:59:12– Mais de Davos…
00:59:13– De Davos.
00:59:14– Ce qui semble un sommet, quand même, dans…
00:59:16– Et Larry Fink, Larry Fink est vraiment très proche d'Emmanuel Macron.
00:59:22– Oui.
00:59:22– Parce qu'il lui avait demandé, justement, de confier la totalité de nos fonds de retraite
00:59:27à BlackRock.
00:59:29– Voilà.
00:59:30– Voilà.
00:59:31Donc, je veux dire, le monde de la finance, avec le monde de la finance,
00:59:34on a six mois, dix mois, douze mois, d'ailleurs, vous le savez, tous les spectateurs, depuis
00:59:39toutes ces années, vous avez vu qu'on a quand même… Depuis combien de temps, je vous
00:59:42dis, d'acheter de l'or ? – Et le patron de BlackRock France, qui s'appelle Jean-François
00:59:47Cirelli, a été décoré de la légende d'honneur par Macron.
00:59:50– Exactement.
00:59:51– Pour des gros faits d'armes.
00:59:53– Voilà.
00:59:55Donc, c'est… Et pendant ce temps-là, tiens, pendant ce temps-là, Macron a tout fait
01:00:00pour prendre le contrôle de Twitter.
01:00:03– Voilà.
01:00:03– Regardez ça, ça date du…
01:00:06– Moi, c'est toi, Jean.
01:00:07– Non, du 9, c'est la semaine du 9 septembre.
01:00:10– Alors, voilà, les mails ont été rendus publics, et triste constat, la France a été
01:00:14avec les États-Unis la première à organiser la censure des réseaux sociaux, avec comme
01:00:19cible privilégié Twitter, donc c'est avant le rachat par Elon Musk, voilà, le président
01:00:24Macron a tenté avec insistance de contacter le PDG de Twitter à l'époque, Jacques Dorsay.
01:00:29– Alors, moi, ce qui est de haut, parce qu'un jour, je sors de chez moi, et moi, je tombe
01:00:31sur Jacques Dorsay, donc je suis allé dire bonjour à Jacques Dorsay.
01:00:35– Et là, j'apprends que Macron n'arrivait pas à le contacter, et en fait, c'est
01:00:40parce que Jacques Dorsay évitait d'avoir le contact direct.
01:00:43Déjà, le fait que la présidence américaine lui prenne la tête, déjà, c'était énorme.
01:00:49Mais il a cédé, il a censuré tout le monde.
01:00:52Moi, c'est Sibeth Ndai qui m'a censuré.
01:00:54– Ah oui.
01:00:54– Je suis en shadow ban sur Twitter, c'est pour ça que je demande à nos spectateurs,
01:00:57abonnez-vous à mon fil X pour faire monter, puis surtout parce que j'ai énormément
01:01:01de… j'ai régulièrement des attaques des trolls d'Israël, donc…
01:01:05– C'est… alors c'est arrobase Pierre Jovenovic ou Anselmo, voilà.
01:01:08– Eh bien, ce sera la conclusion de cette entretien.
01:01:11– Non, mais on va voir, regardez le mail, c'est 9 septembre, on a toutes les captures,
01:01:15mais c'est énorme, c'est absolument énorme.
01:01:18– Il y a un élément de la revue de presse que nous n'avons pas vue aussi,
01:01:20c'est la liste des licenciements.
01:01:23– Ça mériterait une émission tout à fait à part.
01:01:27Moi, je dis simplement, attention, pendant que toute la presse française s'occupe
01:01:34du nouvel gouvernement, etc., Macron est en train d'imposer, et veut faire imposer
01:01:39dans l'ensemble de l'Union Européenne, la carte d'identité digitale pour tous.
01:01:44C'est-à-dire que vous ne pourrez plus… voilà, on aura tout dedans, etc., vaccins, machins…
01:01:49– En fait, on va vers le crédit social à la chinoise, c'est exactement ce que veut Davos.
01:01:54– Exactement.
01:01:55– Voilà, c'est ce que veut Davos.
01:01:57– Oui.
01:01:58– Bon, on a beaucoup de choses, attends, j'avais un peu…
01:02:00– Oh là là, il y a encore plein d'éléments, mais les déclarations
01:02:04de certains Bessent américains, les États-Unis vont désormais traiter la richesse
01:02:11de leurs alliés comme un fonds souverain américain.
01:02:14– Oui, ah bah tiens, juste avant, quelque chose qui va vous faire de la peine,
01:02:18parce que vous nous avez sorti le « Au bonheur des dabs », vous vous souvenez ?
01:02:22– Oui.
01:02:22– Eh bien, il y a 28 500 villes françaises aujourd'hui…
01:02:25– Privées de dabs.
01:02:25– Qui sont privées de dabs, voilà.
01:02:28Et la presse régionale découvre seulement maintenant le phénomène,
01:02:31alors que nous, on en parlait il y a déjà 4 ans.
01:02:32– Mais vous savez pourquoi, parce que…
01:02:33– Vous vous rappelez ?
01:02:34– Bien sûr.
01:02:35– Vous vous annoncez la…
01:02:36– Oui, bien sûr, parce que la presse régionale,
01:02:38il ne possédait pas les banques.
01:02:40– Tiens, c'est notre lecteur, M. Déporte, qu'on salue,
01:02:44il dit « En parcourant cet article,
01:02:46j'ai pensé au nombre de fois que vous avez abordé ce point,
01:02:49et ça vient de la Banque des Territoires, donc la CDC. »
01:02:53C'est la Caisse des débrouilles et consignations.
01:02:54– Oui, oui.
01:02:55– Voilà, c'est un bulletin, le bulletin de la…
01:02:58– La CDC, oui.
01:02:58– Voilà, et le Figaro, lui aussi, a écrit
01:03:00« La France a perdu 1500 distributeurs de plus,
01:03:04alors que les échos faisaient semblant de se demander
01:03:06combien de dabs restent-ils ? »
01:03:08– Quoi ?
01:03:09– Ça, c'était le 5 août.
01:03:11Non, mais incroyable.
01:03:12Là, j'ai l'impression que la revue de…
01:03:13– Alors, sur quotidien.com, là, c'est sur une page,
01:03:16vous pouvez tout lire, tout ce que vous avez vu ici,
01:03:19enfin, et tout ce que vous n'avez pas vu, d'ailleurs.
01:03:20– À cause de moi.
01:03:22– Tout d'abord, parce que là, la revue de presse de cet été,
01:03:26elle est d'une…
01:03:26– Elle est dense.
01:03:27– Non, mais en plus, il se passe des choses,
01:03:29ça annonce le futur.
01:03:30– Oui, bien sûr.
01:03:31– C'est très net, là.
01:03:32– C'est très net.
01:03:33– C'est très net.
01:03:33– Et un futur proche, hein, attention.
01:03:34– Oui, oui, oui, un futur proche.
01:03:35– Et encore, nous n'avons pas parlé des suites de l'émission,
01:03:39de M. Béroud, du sort de Nicolas…
01:03:42– De la dette française.
01:03:43– Qui paye, de la dette française,
01:03:45et bien d'autres sujets, chers téléspectateurs.
01:03:47– Si, tiens, la dette, juste pour finir.
01:03:49– Pour la route.
01:03:52– Voici les taux des autres pays.
01:03:54– Ah oui.
01:03:54– Alors, bon, ça, c'est la dette du 1er septembre, hein.
01:03:56– Oui, donc c'est intéressant.
01:03:57– La France doit payer 3,5 sur son obligation,
01:04:01donc sur sa dette, sur 10 ans.
01:04:03– 10 ans.
01:04:03– Sachant que tout pays qui emprunte à plus de 3% est mort.
01:04:07– Je l'ai dit déjà.
01:04:08– Si cela se maintient sur…
01:04:09– C'est pas bon, ça, on…
01:04:10Voilà.
01:04:11À titre de comparaison, l'Allemagne paye.
01:04:13Parce que c'est la comparaison qui est intéressante.
01:04:15L'Allemagne, 2,7%.
01:04:17Belgique et Espagne, 3,3%.
01:04:20Grèce, 3,5%.
01:04:23– Oui, un peu pareil comme la France.
01:04:25– Voilà, Italie, 3,6%.
01:04:27En réalité, 4%.
01:04:28– Avec les frais.
01:04:29– Avec les frais CTLM.
01:04:30– Voilà, frais de dossier.
01:04:31– Voilà, frais de dossier.
01:04:35– Ce qui est fascinant, en revanche,
01:04:38c'est que l'Angleterre doit payer 4,7%, donc 5,
01:04:43alors que son crédit défaut swap,
01:04:45donc la garantie contre l'impayé de Blight,
01:04:48est moins cher que ceux de la France ou de l'Italie.
01:04:51– Et pourquoi ça ?
01:04:52– Eh bien, justement, c'est un truc qui me fascine.
01:04:54Seule l'Allemagne, la Hollande et l'Irlande sont vaguement sous les 3%,
01:04:58donc 2,7% et les deux derniers à 2,9%.
01:05:02Ce qui est, voilà, en réalité, ils sont tous à 3%,
01:05:06et plus, ce qui signifie la mise en esclavage complète,
01:05:10voulue et organisée pour leur faillite,
01:05:13afin de les réunir dans les États-Unis d'Europe,
01:05:17la fameuse EUE, que veulent les Américains,
01:05:20depuis, c'est notre mise en esclavage.
01:05:21Et le ministre du Commerce américain l'a dit.
01:05:25Les Américains sont non…
01:05:26– Bah tiens, il est là.
01:05:27– Bessent, il s'appelle.
01:05:28– Bessent.
01:05:29– Il est là, attends.
01:05:30Parce que tout à l'heure, vous voulez en parler ?
01:05:32– Oui, Bessent, il s'appelle.
01:05:33– Ouais, ouais, attends, c'est…
01:05:36Non, ça, c'est pas ça.
01:05:38Il est où ?
01:05:39– Il est où ?
01:05:41– Il est où ?
01:05:42– Il le dit, oui, il a dit, il faut…
01:05:44– Ah, il est là, le vol américain.
01:05:45Tiens, il est là, je l'ai, je l'ai.
01:05:47– C'est plus du cerveau, c'est de l'esclavage.
01:05:50– C'est de l'esclavage.
01:05:50– Voilà, tenez, regardez, regardez.
01:05:53C'est quelle date ?
01:05:5518 août !
01:05:56– Voilà.
01:05:56– Voilà.
01:05:57– Non mais, vous savez que c'est la première fois en 15 ans
01:05:59qu'il y a eu autant d'infos stratégiques…
01:06:03– Oui.
01:06:03– …en l'espace de…
01:06:05– Au mois d'août.
01:06:06– Donc alors ?
01:06:06– Alors, dans cette interview de Fox News,
01:06:08le secrétaire au Trésor américain a dit, enfin,
01:06:12« les alliés des États-Unis ne sont ni plus ni moins
01:06:15que ces esclaves économiques
01:06:16et qu'il fallait les voler en plein jour. »
01:06:19– Donc, chers spectateurs, chers amis belges,
01:06:22voilà, le Canadien aussi sont concernés.
01:06:26Voilà, 2008 n'a été ni plus ni moins
01:06:28que le vol globalisé des cotisations en retraite.
01:06:32– C'est ça qu'ils ont braqué.
01:06:46– Et ce monsieur ajoute aussi que les alliés de l'Amérique,
01:06:51les alliés européens de l'Amérique doivent être traités
01:06:52comme un fonds souverain américain.
01:06:54– Exactement.
01:06:54– Et en orientant les fonds à la discrétion du président américain,
01:07:00de manière à utiliser leur argent afin de construire des usines aux États-Unis
01:07:03et de relocaliser les industries américaines.
01:07:05– Et voilà, tout est dit.
01:07:06Voilà, donc ça, c'est…
01:07:07Regardez, vous avez même la vidéo.
01:07:09Je veux dire, jamais…
01:07:11– Il y a encore trois ans, jamais, ils n'auraient osé dire la chose.
01:07:14Bon, en même temps, j'ai toujours dit, vous le savez,
01:07:18les Américains ont libéré la France,
01:07:21ils sont allés, la France leur appartient.
01:07:22– Ils ont une créance.
01:07:23– Ils ont une créance.
01:07:24– Ils ont une créance éternelle, on va dire.
01:07:28C'est comme si nous, on leur disait,
01:07:29on a une créance éternelle sur les États-Unis.
01:07:31– Ben, pas sûr.
01:07:32– Ça a quand même déclenché la révolution française.
01:07:35– Mais oui, mais la guerre d'indépendance…
01:07:36– Ben, la guerre d'indépendance.
01:07:37– Ça, on les a aidés.
01:07:37– Ben, bien sûr.
01:07:38Sans nous, ils n'avaient pas, ils n'aimaient rien du tout.
01:07:41– Les Anglais les écrasés.
01:07:43– Et l'animateur de Fox News, il n'en revient pas,
01:07:45il dit, c'est de l'appropriation offshore.
01:07:48– Oui.
01:07:49– Donc, dans son langage, c'est du vol.
01:07:50– Oui.
01:07:51– Voilà, il dit, vous êtes en train de voler vos alliés.
01:07:54– C'est pas nouveau, hein ?
01:07:55– Au bénéfice de Blackrock.
01:07:56– Au bénéfice de Blackstone.
01:07:58– De Blackstone, de Vanguarde, de Vanguarde.
01:08:01– Vanguarde, de KKR.
01:08:02– Exactement.
01:08:03– Et du pouvoir à McKinsey.
01:08:05– Voilà, si vous ne croyez pas, c'est le 18 août.
01:08:08Voilà, ne ratez pas cette revue de presse.
01:08:11Ne la ratez pas.
01:08:12– Ils ne la rateront pas.
01:08:14Cher Pierre, nous devons mettre un terme.
01:08:16– Absolument.
01:08:17– Provisoire à cette revue de presse.
01:08:18– Provisoire.
01:08:19– Ben, on vous retrouve, voilà, moi je retrouve,
01:08:22enfin, nos spectateurs à Varennes prochainement,
01:08:24on va voir les dates.
01:08:26On a plusieurs, et puis normalement, on doit retrouver…
01:08:28– On doit se retrouver tous les deux à Saumur.
01:08:30– On doit retrouver nos spectateurs à Saumur.
01:08:32– Vers le fin octobre, non, je vous ferai…
01:08:35– On va voir la capture des dates derrière nous.
01:08:40– Et on retrouvera le public sympathique de Saumur et du Ménéloir,
01:08:47qui nous avait fait, la dernière fois, un accueil absolument…
01:08:50– Absolument, tout à fait.
01:08:53– Le fait, c'est le mot.
01:08:55– Ben, moi, ça me fait d'autant plus plaisir,
01:08:57parce qu'au moins, vous partagez avec moi la…
01:08:59– C'était grâce à vous ?
01:08:59– Non, non, mais vous partagez à moi avec la chaleur
01:09:02de nos lecteurs et de nos spectateurs.
01:09:04C'est ça qui me fait continuer.
01:09:06– Oui.
01:09:06– Oui, parce que…
01:09:07– Début de ces années, quand même.
01:09:08– Oui.
01:09:09– Parce que je vous rappelle quand même que ma revue de presse,
01:09:12elle ennuie l'Élysée.
01:09:13– Oui.
01:09:14– Ça, au moins, on en a eu la preuve physique.
01:09:16– Ah oui, c'est ça.
01:09:16– Aussi bien la maison d'édition que moi-même.
01:09:19– Oui.
01:09:20– Voilà.
01:09:20– Merci, Pierre.
01:09:21– Merci à vous, Olivier.
01:09:22– Merci et soutenez TVL, soutenez Marouille de presse également.
01:09:27Mais croyez-moi que l'Élysée, aujourd'hui,
01:09:30veut littéralement contrôler, non seulement les réseaux sociaux,
01:09:34mais en plus, les médias indépendants.
01:09:36Pourtant, on n'est pas si nombreux que ça.
01:09:38Mais en tout cas, on salue tous nos collègues des médias indépendants.
01:09:41Merci à vous.
01:09:42– À très bientôt, chers spectateurs.
01:09:52Bonjour et bienvenue pour ce rendez-vous hebdomadaire
01:10:08de décryptage de l'actualité économique et géopolitique en mode affranchi.
01:10:13Je salue tous les abonnés de TV Liberté pour cet épisode que j'intitulerai
01:10:21« La France sentir bien avec une démocratie à l'agonie ».
01:10:30Je dois être très transparent.
01:10:32Au moment où j'enregistre cette vidéo, je ne sais pas encore si la note de la France
01:10:39sera ou non dégradée.
01:10:42Mais depuis le 25 août dernier, manifestement, même si ça doit être le cas,
01:10:50ça ne fait pas paniquer les marchés.
01:10:53On peut même remarquer que la séquence politique de la démission de François Béroud
01:10:59et de la nomination dans la foulée de M. Lecornu,
01:11:05ça n'a pas du tout chagriné les marchés.
01:11:08Les taux ont continué de se détendre.
01:11:11Je parle bien de nos taux français, les OAT,
01:11:15qui d'ailleurs sur la semaine font une meilleure performance que les bunds allemands.
01:11:22Alors on a même entendu des âneries comme quoi la France empruntait désormais plus cher que l'Italie.
01:11:30Alors peut-être, oui, durant quelques minutes, sur l'échéance deux ans.
01:11:35Mais en réalité, sur 10 ou 20 ans, non.
01:11:40La France est toujours mieux traitée sur les marchés que la dette italienne.
01:11:48En revanche, ce que l'épisode politique qu'on vient de vivre révèle,
01:11:54c'est que tout a l'air effectivement cousu de fil blanc.
01:11:57On nous annonçait le chaos et on a eu un CAC 40 qui a refranchi les 7008.
01:12:04On a des taux longs qui sont retombés en dessous de 3,40.
01:12:09Et puis surtout, contrairement à la nomination de Michel Barnier,
01:12:14là on n'a même pas attendu 24 heures pour connaître le nom du successeur de François Béroud.
01:12:21Et puis, avant même que son nom ne soit officiellement cité comme Premier ministre,
01:12:29même le Rassemblement national annonçait qu'il n'irait pas dans le sens d'une destitution d'Emmanuel Macron,
01:12:38alors qu'il ne respecte en fait aucun des contrats moraux de la Ve République et de la Constitution.
01:12:48Car en effet, M. Lecornu, même si ses mérites sont immenses,
01:12:56est le plus éloigné, on va dire, de la photographie en temps réel de l'opinion publique et des forces politiques en présence.
01:13:09Emmanuel Macron a nommé un de ses proches, un de ses fidèles.
01:13:15Autrement dit, il ne va pas dans le sens du vote populaire.
01:13:22Il poursuit donc toujours sur la même ligne, c'est-à-dire nommer des gens qui sont favorables, bien sûr, à l'eurofédéralisme.
01:13:33Et avec M. Lecornu, opposition de l'OTAN, très anti-russes.
01:13:42On peut imaginer donc que le narratif, c'est les Russes, c'est la faute à Poutine.
01:13:47Ça va être un des axes pour expliquer que la France a des difficultés qui ne sont pas de son fait,
01:13:55mais qu'on résoudra tout en envoyant des soldats français sur le front russe.
01:13:59Il faut dire que la France, par rapport à d'autres pays qui connaissent des phases politiques compliquées,
01:14:10n'a pas de quoi inquiéter les investisseurs.
01:14:14Donc on ne va pas avoir de vraie pression sur notre dette et sur des changements politiques majeurs.
01:14:21Par contre, vous le savez, le Japon n'a plus de gouvernement depuis le 4 septembre dernier.
01:14:32Le Népal, eh bien le gouvernement a été chassé.
01:14:37Le palais présidentiel et le Parlement incendiés,
01:14:41parce que le gouvernement avait eu la mauvaise idée de couper les réseaux sociaux et TikTok.
01:14:47La situation reste très chaotique en Indonésie.
01:14:53Elle l'est également au Venezuela.
01:14:56En Argentine, Javier Mileï a subi un revers électoral majeur dans la région la plus peuplée.
01:15:05Donc on lit beaucoup que M. Mileï a sauvé l'Argentine de l'hyperinflation
01:15:11et que la misère sociale est en train de se réduire.
01:15:18Il ne semble pas que ce soit du goût de tous les électeurs qui, de nouveau, ont voté pour des péronistes.
01:15:27Donc oui, quand vous regardez un peu ce qui se passe ailleurs,
01:15:30eh bien on a l'impression que la France est un pays qui reste relativement stable.
01:15:36Mais Macron continue de jouer avec le feu et même avec le feu nucléaire
01:15:45en prétendant partager éventuellement notre force de dissuasion avec d'autres pays européens
01:15:52et en remettant ça sur le tapis épisodiquement pour dire aux Russes,
01:15:56attention, nous sommes une puissance nucléaire, nous pouvons envoyer des troupes au sol.
01:16:01Et justement, qui est Premier ministre ? Celui qui peut, ou plutôt qui, avant d'être Premier ministre,
01:16:09aurait été l'orchestrateur des fameuses troupes au sol.
01:16:14C'est quand même pas très rassurant.
01:16:16Pour vous remercier de votre fidélité, vous pouvez télécharger gratuitement notre rapport spécial
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01:16:36Merci et à bientôt.
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