- il y a 2 semaines
Lancement des Championnats du monde pour nos Bleus avec une opposition face à la Corée du Sud.
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00:00C'est le 6 champion olympique, c'est le 6 de départ des Jeux de Paris 2024 sur le terrain des Philippines pour ce premier match des mondiaux.
00:08C'est vrai que c'est un vrai signal, un vrai signal qui a envoyé d'aligner tout de suite ce 6 de départ,
00:16ce 6 de départ qui avait été tant performant à Paris lors des Jeux olympiques.
00:21Maintenant, c'est le début de compétition, petit à petit il faut que les réglages reviennent.
00:26Je pense qu'André Adjani a voulu aussi retrouver ses réglages, on sait que Jean-Patriar et Villengapet n'ont pas évolué lors de cette Ligue des Nations.
00:35Donc important de retrouver des repères.
00:40Et cette compétition, on le rappelle, mais ce n'est pas le même format, c'est un format beaucoup plus court et beaucoup plus rapide.
00:46On enchaîne les matchs quasiment tous les deux jours.
00:48Elle est montrée de l'application également, a sauvé tous les ballons.
01:02Et c'est Sud-Coréens qui prennent la tête dans ce deuxième set.
01:06Pour la première fois dans ce match.
01:08Et c'est aussi la première fois depuis longtemps qu'on n'avait pas vu Erwin Engapet commencer une compétition tout de suite dans le 6 de départ.
01:25Et c'est, je trouve, hyper rassurant de le voir sur le terrain aujourd'hui.
01:30On a couru pour tenter de sauver ce ballon.
01:39Jean-Patriar remet les pendules à l'heure.
01:41L'équipe de France revient à égalité de partout.
01:49On a beaucoup parlé d'Erwin Engapet, mais Jean-Patriar, lui aussi, doit retrouver du rythme.
01:53Même si lui, il n'a pas été absent à cause de blessures, mais plutôt pour raison personnelle.
02:00C'est une belle attaque, là.
02:03Belle attaque, là.
02:09Un peu de répondant de la part des Sud-Coréens.
02:12Oui, l'équipe de France qui avait fait le break d'entrée dans la première manche avec la qualité du service d'Antoine Brézard.
02:23Antoine Brézard, justement, pour Erwin Engapet.
02:26Ce ballon va être sauvé par les Sud-Coréens.
02:30Et c'est Jean-Patriar qui est à la conclusion.
02:36Antoine Brézard, aujourd'hui, va, je pense, donner des ballons un petit peu à tout le monde.
02:41Essayer de retrouver les bons ballons pour chaque joueur.
02:45On sait qu'à chaque fois, chaque joueur a besoin d'un ballon différent.
02:49Là, par exemple, Jean-Patriar a besoin d'un petit peu plus de hauteur.
02:51Ah, dommage.
02:55Barthélémy, là, Hachniezé et Trevor Clemneau qui avaient bien ralenti.
02:59Ils n'ont pas vu que ce ballon était juste au-dessus de leur tête.
03:02C'est un bloc à tout trouvé par les Sud-Coréens.
03:10Qui gardent la tête.
03:114 à 3.
03:13Dans ce début de deuxième set.
03:15Et ce ballon est dehors.
03:18Une faute directe donne le point à l'équipe de France.
03:21Donne le point de l'égalisation.
03:224 à 4.
03:24J'oubliais, mais il y a aussi un autre entraîneur français qui est voulu aussi en Corée.
03:29Mauricio Motapaès qui était l'entraîneur du pari-voilé et de Tours.
03:33C'est difficile, là, d'enfoncer Jean-Patriar.
03:48Il a été costaud, là, dans son duel au fil.
03:52On a essayé de l'enfoncer.
03:54Ça n'a pas fonctionné, là, pour les Coréens.
03:56Parthélémy Chineniez est toujours au service.
04:06Avec cette foot directe.
04:09Allez, ce match va aussi servir à ça, à retrouver les premiers repères.
04:12C'est une mise en route dans ce championnat du monde.
04:15Avant d'affronter la Finlande, mardi, puis l'Argentine.
04:20Jeudi, on va monter d'un cran.
04:22Trouver les repères aussi dans cette nouvelle salle, au niveau du service.
04:27J'ai parlé tout à l'heure un petit peu du bloc.
04:30On avait été un petit peu défaillant par rapport à d'habitude.
04:35Et aussi au niveau du service.
04:36J'ai le souvenir de pas mal de matchs.
04:38On avait fait beaucoup, beaucoup de fautes au niveau du service.
04:41C'est quelque chose où il faut qu'on avance,
04:44qu'on arrive à faire un petit peu moins de fautes.
04:46L'équipe de France qui travaille ensemble depuis plusieurs semaines maintenant.
04:56D'abord un stage à Cannes.
04:59Puis, ils sont allés à Okinawa, au Japon, avant de rejoindre les Philippines.
05:05Bonne stratégie du staff.
05:07En tout cas, elle a été félicitée, soulignée par l'ensemble des joueurs.
05:11Okinawa en plus, ça leur a rappelé de bons souvenirs.
05:14C'est là où ils avaient fait leur prépa avant les Jeux Olympiques.
05:18En 2021, où ils ont remporté l'Or Olympique.
05:22Ils ont pu se frotter par exemple à cette occasion au Brésil à deux reprises.
05:26Deux matchs que l'équipe de France a remportés.
05:28Avant donc de se rendre aux Philippines avec un Monster Block une nouvelle fois pour Nicolas Logoff.
05:34Se rendre aux Philippines et donc depuis le Japon, c'était plutôt une bonne stratégie.
05:38Il n'y avait plus qu'une heure de décalage horaire.
05:39Bref, les Bleus sont en pleine prépa pour ce Mondial depuis déjà de longues semaines.
05:44Exactement, c'est vrai que déjà il y a le décalage horaire à encaisser.
05:48Donc le fait de venir plus tôt au Japon, c'est beaucoup plus simple à gérer.
05:53Et derrière, de pouvoir avoir ce genre de match amicaux comme les deux matchs réalisés contre le Brésil, c'est un vrai plus.
06:02Et c'est vrai qu'on a vu pas mal de vidéos, on les a vus à la plage.
06:06Mais attention, il ne faut pas se fier à ça.
06:08Ils ont aussi beaucoup, beaucoup travaillé.
06:10Trevor Cleveno l'a dit, il y a eu des moments fun, mais il y a eu aussi beaucoup, beaucoup de travail.
06:15Ils ont été plus souvent dans la salle de musculation et dans le gymnase.
06:23Et ce qui a fait dire à Nikola Logov, dans les colonnes de l'équipe, à l'issue de ce stage qui avait un niveau de fou.
06:37Un premier rallye dans ce match conclu par Erwin Engapet.
06:53Alors on ne sait pas ce qu'ils sont en train de se dire, on aimerait tellement être une petite mouche dans ces moments-là.
06:58Mais ça fait beaucoup rire tous ces garçons et ça nous donne le sourire à nous aussi.
07:01Et l'équipe de France a deux points d'avance.
07:03En tout cas, ce qui est sûr, c'est que là, on voit qu'Erwin, il n'est pas à 100%.
07:06On sent que même dans sa course d'élan, il ne prend pas le temps de reculer.
07:10Donc ça prouve qu'il a du rythme à retrouver dans son saut aussi.
07:13Et il a besoin de ce genre de match pour être prêt.
07:21La grosse réception d'Eugény Agrebénikov est dans la foulée.
07:47On fait la passe à Trévor Cleveno, ça fait 10 à 8 pour les Bleus.
07:50Gény Agrebénikov qui, lui, est déjà très bien dans ce championnat du monde.
07:55Il ne regarde pas Yenaresep, il est présent en défense.
07:58Il a eu aussi quelques petits pépins physiques au niveau de sa cheville.
08:02On le sent aujourd'hui.
08:08Et Antoine Brézard, là, qui attaque.
08:10Oh, c'est bien joué, là, cette attaque rapide.
08:19Oui, c'est encore à l'appréciation de l'arbitre.
08:21On a vu les Français lever les bras.
08:23Génia qui dit, ce n'est pas du basket.
08:28Barthes qui dit, je vais faire la même chose.
08:30Ah oui, là, c'est vrai que c'était...
08:34On va voir si par la suite, il y a de la cohérence dans l'arbitrage.
08:38Encore une fois, on parle souvent de cohérence.
08:41Si elle garde cette ligne de conduite, il n'y a aucun problème.
08:49Oui, ce point arbitral d'accompagnement du ballon,
08:52c'est le seul aspect, finalement, du jeu,
08:57qui est 100% à l'appréciation de l'arbitre.
08:59Donc, on espère maintenant, de la part de l'américaine Prater,
09:02qu'elle sera aussi indulgente pour l'équipe de France
09:05qu'elle l'est pour les Sud-Coréens.
09:06Exactement.
09:07Il y a aussi, à l'époque...
09:08Alors, aujourd'hui, moins, parce que le règlement a changé
09:10sur les contacts de passe,
09:11où, en fait, on ne siffle plus vraiment les doublés,
09:14alors qu'à l'époque, c'était aussi plus ou moins
09:16à l'appréciation de l'arbitre.
09:17Aujourd'hui, il n'y a plus que ce contact-là.
09:19Ce contact à une main,
09:20est-ce que ce ballon est gardé, accompagné ?
09:23C'est toujours un petit peu...
09:24Voilà, c'est toujours difficile à lire pour l'arbitre,
09:28pour nous aussi, grand public,
09:30de pouvoir juger si le ballon a été accompagné ou pas.
09:36En attendant, Andréa Gianni,
09:37qui a demandé son premier challenge.
09:40Bon, un filet touché.
09:42Oui, le premier du match,
09:43alors que chaque équipe dispose de deux challenges
09:45par sept.
09:48Il ne l'avait pas utilisé dans le premier match.
09:49Je pense que le filet bougeait déjà avant.
09:52On le voit bien là.
09:52Donc, les images n'ont pas donné raison à Andréa Gianni.
10:01Ainsi, il perd ce challenge.
10:03Si les images lui avaient donné raison,
10:05il aurait toujours à disposition deux challenges.
10:08Désormais, il n'en a plus qu'un dans ce set.
10:10Ah, les Coréens qui sont un petit peu mieux dans ce second set
10:17pour trouver des solutions offensives
10:20pour gêner un petit peu plus l'équipe de France.
10:22L'équipe de France qui a, bien évidemment,
10:24logiquement baissé un petit peu le pied
10:25vu le résultat de la première manche.
10:27Antoine Brisa, lui aussi, doit trouver des repères.
10:35Il est déjà à deux ace.
10:42Ce premier match qui permet également d'appréhender
10:45la sono dans la salle avec cette petite musique
10:48que vous aimez tant, Yannick.
10:50Je crois qu'elles sont toutes en place.
10:52Le ace, ace est bien là.
10:53Le monster bloc également.
10:54Tout est prêt pour vivre un magnifique championnat du monde.
11:00On l'espère qui déjà a réservé quelques surprises
11:02et qu'on suivra d'ailleurs aussi après ce match
11:07de l'équipe de France par un Brésil-Chine.
11:10C'est à 15h.
11:10Rejoignez-nous sur l'équipe live.
11:12On va tenter sur les antennes du groupe l'équipe,
11:15sur la chaîne, mais également sur le live.
11:16Vous savez, l'onglet TV de l'application et du site l'équipe
11:18de vous faire vivre un maximum d'affiches
11:21et de grandes affiches,
11:23notamment dans cette phase de poule du Mondial.
11:33Belle attaque là, sur une balle hôte.
11:36Jean-Patrick qui est très efficace
11:38sur ce fameux poste 4.
11:42Pourtant, il est seulement sur une seule position,
11:45une seule position où il se retrouve sur le poste 4.
11:47Il arrive toujours à être performant sur ce ballon un petit peu haut.
11:51Et Aïs pour Erwin.
11:56Pour ceux qui ont l'habitude de voir Erwin Engapet,
12:00on sent que dans le saut,
12:01ce n'est pas encore complètement ça.
12:03Il a toujours cette épaule et ça, il l'aura toujours.
12:05Un bel intervalle à trouver par Erwin Engapet.
12:18Alors qu'ils réussissaient à accrocher l'équipe de France
12:21et à avoir peu de points d'écart,
12:24les Sud-Coréens là ont désormais 3 points de retard,
12:28ce qui a forcé leur entraîneur,
12:31Sanaï Raimires Ferraz,
12:32à demander un temps mort ?
12:35Oui, parce que pour l'instant,
12:37la différence dans le jeu,
12:38en tout cas dans ce second set,
12:40on met de côté la première manche,
12:42mais dans ce second set,
12:43dans le jeu, on va dire que la Corée
12:44fait plutôt le jeu égal,
12:45mais c'est vrai que la différence
12:47au niveau du service et du bloc,
12:50on est déjà à 5 cases,
12:52alors que la Corée n'en a pas réalisé un seul.
12:58Une faute directe, pareil.
13:04Ça aussi, un volleyball moderne.
13:08Les équipes qui font beaucoup de fautes
13:09ont peu de chances de remporter les matchs.
13:12Alors on le voit, c'est pourtant une belle passe.
13:15Là, il dévisse complètement son attaque.
13:19Désormais, plus 4 pour l'équipe de France
13:21et Erwin Engapet toujours au service.
13:24Pour un nouvel ace.
13:25Et voilà, ça fait sur les 3 derniers services,
13:292 ace pour Erwin Engapet,
13:32qui s'adonne le sourire, bien évidemment.
13:34Le troisième, c'est pas pour tout de suite.
14:02Antoine Mrizard à la défense de ce ballon.
14:04Erwin Engapet.
14:07C'est dehors.
14:08Ça a été bien poussé par Jean Patry.
14:13Les bleus sont passés à la vitesse supérieure
14:15après avoir été accrochés dans le début
14:17de cette deuxième manche.
14:20Erwin Engapet qui, sur un podcast de la Fédération,
14:24a mis en avance sa maman.
14:25C'est vrai que son papa étant entraîneur,
14:28on a beaucoup mis en avance son papa, Eric.
14:30Et il disait tout simplement,
14:33c'est ma maman qui m'emmenait partout,
14:35c'est elle qui m'a fait prendre ma première licence de volet.
14:37D'ailleurs, on embrasse Christine,
14:40la maman d'Erwin,
14:41qui doit bien évidemment regarder son fils
14:44pour retrouver le chemin de la compétition.
14:48C'est sous son impulsion à lui,
14:51à l'issue des Jeux l'été dernier,
14:54que certains ont dit,
14:55bon, allez, OK, on reste encore un an
14:58pour aller chercher cet or au Mondial,
15:02alors qu'il vient là de faire une incroyable attaque en pipe
15:05qui va être rendu.
15:08Ah, il n'y avait personne au soutien.
15:15Le point est pour les Sud-Coréens,
15:17mais on reprend le fil de notre conversation.
15:19Oui, c'est Arvin Engapet qui a poussé,
15:20Genia Grebennikov,
15:21Benjamin Tonuti,
15:23Nicolas Le Goff,
15:23allez les gars, on y retourne.
15:24Je pense que c'est vraiment,
15:25pour le coup, un objectif commun.
15:27Ils ont l'habitude de se dire les choses entre eux
15:29en disant un petit peu à l'image des Jeux Olympiques
15:31où ils se sont dit,
15:33bon, les JO, ça va être à Paris,
15:34ça ne va pas être simple,
15:35mais on oublie un petit peu le contexte parisien-français.
15:40On reste dans notre bulle.
15:41On ne va pas voir la Team USA au basket.
15:44On ne va pas voir certains sports
15:45où, bien évidemment, quand on est sportif,
15:47on a un petit peu envie d'aller voir partout ce qui se passe.
15:50Mais non, eux, ils sont restés dans leur bulle.
15:52Ils se sont passés le message en disant,
15:54non, on a un objectif commun.
15:55Là, pareil, pour les championnats du monde.
15:57Ils se sont tous dit,
15:58c'est peut-être notre dernière chance,
16:00tous ensemble, d'être champions du monde.
16:03Voilà, c'est le dernier,
16:04on va dire la dernière ligne du palmarès
16:06qui manque pour la plupart.
16:08Je pense à Benjamin Tonuti.
16:09Il n'y a plus que cette ligne-là
16:10qui manque à son palmarès.
16:14Ils ont vraiment envie
16:15et je pense qu'ils vont faire
16:17un très grand championnat du monde.
16:18Alors après, bien évidemment,
16:19ils vont rencontrer des équipes aussi hyper motivées
16:22comme l'Italie, la Pologne.
16:24On l'a dit potentiellement,
16:25c'est des équipes qu'ils vont rencontrer
16:26par la suite dans la compétition.
16:28mais aujourd'hui, ils sont prêts physiquement.
16:31Ils ont tous cet objectif commun
16:33et je pense qu'ils peuvent aller très, très loin.
16:37Et c'est tout ce qu'on espère.
16:39Une finale avec l'équipe de France
16:40le 28 septembre prochain.
16:45Sur la chaîne l'équipe, bien sûr.
16:54Je vous disais, on va vous proposer
16:55un maximum d'affiches sur la chaîne
16:57et sur l'équipe live.
16:58On sera bien en direct le dimanche 1-8
17:01pour vivre les finales.
17:03Et oui, il y en aura deux.
17:03Il y aura la petite finale
17:04et la grande finale de ce championnat du monde.
17:08Barthélémy Chinegnaise
17:08montre les muscles.
17:10L'équipe de France a désormais
17:117 points d'avance,
17:1220 à 13 dans cette deuxième planche.
17:14Et quel service plein-lignes, là.
17:31Les Coréens, à chaque fois qu'ils arrivent
17:33à réceptionner,
17:34ils arrivent à développer un jeu cohérent.
17:38Mais à chaque fois, les Français
17:39les mettent beaucoup en difficulté, là,
17:43au niveau du service réception.
17:46Alors qu'à l'inverse,
17:46les Coréens ne mettent pas du tout
17:48en difficulté à Génia Grebennikov
17:49et à Villene Gapette.
17:56Jean-Patrie sur cette attaque
17:57pour mener maintenant 21-14.
18:01C'est Sud-Coréen
18:01qui sont l'équipe la plus faible
18:03de la poule de l'équipe de France.
18:05La poule C pour les Bleus
18:08dans laquelle on trouve également
18:09l'Argentine et la Finlande.
18:11Si vous n'étiez pas avec nous
18:12au début de ce match,
18:13on en parlait.
18:14Les Finlandais qui ont accroché
18:16les Argentins
18:16un petit peu plus tôt dans la journée
18:18en remportant les deux premiers sets.
18:20Finalement,
18:21les Argentins se sont imposés
18:22en 5 sets,
18:24pardon,
18:253 à 2.
18:25Je t'ai concentré sur l'image
18:27où on a vu l'entrée
18:28de Benjamin Tonuti
18:29et de Théophore
18:31comme c'était déjà le cas
18:32ce double changement
18:32à la fin de la première manche.
18:34Oui,
18:35et puis le score le permet
18:36de faire ces changements.
18:38On pourrait aussi voir
18:39Maty Seno
18:40qui a été préféré,
18:41on n'en a pas parlé,
18:42mais qui a été préféré
18:43à Timothée Karl
18:45dans la liste des 14 joueurs.
18:49Ça doit être un petit peu dur
18:50pour Timothée Karl.
18:52On sait qu'il a déjà été réserviste
18:54pendant les Jeux Olympiques de Paris.
18:56Là,
18:57il est aussi réserviste
18:58pour les championnats du monde.
19:00C'est le pari de la jeunesse
19:01pour Andrea Gianni
19:02avec Maty Seno
19:03qui a seulement 20 ans.
19:05Un mec qui a été vraiment
19:06très très bon
19:07à chaque fois qu'il a demandé
19:11d'être sur le terrain.
19:13Il a été hyper performant.
19:16Il a des qualités différentes.
19:17Il est capable aussi
19:18de très très bien servir.
19:21C'est l'avenir
19:23de cette équipe de France
19:24et puis le clin d'œil
19:30serait sympa, bien sûr,
19:32puisque Maty Seno,
19:35si ce nom vous dit quelque chose,
19:36est bien le fils d'Hubert Seno
19:38qui était dans l'équipe de France
19:41qui a décroché le bronze en 2022
19:43au championnat du monde.
19:45C'est la seule médaille au mondial
19:47pour une équipe de France de voler.
19:49C'est ce bronze en 2002.
19:51Ça remonte.
19:52Je me souviens
19:53parce que c'était en Argentine
19:55et à l'époque,
19:57l'équipe de France
19:57avait battu l'Argentine
19:59chez elle
20:01devant un public de folie.
20:04C'était la plus grosse performance
20:05à l'époque du volleyball français
20:07avec des joueurs
20:09comme Stéphane Antiga,
20:11bien évidemment Hubert Renaud,
20:14Mathias Patin,
20:15Loïc de Kergray.
20:17Une belle génération aussi.
20:18avec Quentin Jouffroy là
20:29qui n'est pas simple
20:31encore une fois
20:32de rentrer au service.
20:33On se souvient tous
20:34de son entrée
20:36en finale des Jeux Olympiques
20:40où il a réussi
20:42à faire 4 ou 5 services.
20:43c'était juste incroyable.
20:50Et là lui aussi
20:51à Quentin Jouffroy
20:51qui a été gêné
20:52par une blessure
20:54pendant l'été.
20:55On ne l'avait pas vue
20:55pendant la VNL,
20:57la Ligue des Nations.
20:58Celle-là,
21:07elle était bien placée.
21:09Grosse attaque
21:10de Barthélémy Chinegnaise
21:11en garde de Benjamin Tonuti
21:12qui a décidé
21:13de passer par le centre.
21:15Barthélémy Chinegnaise
21:16qui n'a fait aucun cadeau
21:17à ses adversaires
21:18et c'est une balle de 7,
21:19une première balle de 7
21:21avec Théophore au service.
21:28Ça revient
21:35et Benjamin Tonuti
21:37qui a décidé de servir.
21:38Trevor Cleveno,
21:39c'est dehors.
21:42C'était limite trop facile
21:43pour l'équipe de France.
21:46Trevor Cleveno
21:46qui a raté son attaque.
21:49Pourtant bien démarqué
21:51par Benjamin Tonuti.
21:52Benjamin Tonuti
22:06pour Théophore.
22:08Un bel défonce.
22:09Ça va revenir.
22:11Tonuti cette fois
22:12qui choisit
22:13Erwin Engapet.
22:16Là aussi,
22:17c'est défendu.
22:18Ce point continue.
22:20Engapet encore
22:21pour conclure
22:22ce deuxième set
22:2325 à 18.
22:25L'équipe de France
22:26mène désormais
22:272 à 0.
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