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Transcription
00:00Amis internautes, c'est le premier numéro d'émission Parcours d'espoir.
00:15Aujourd'hui, nous sommes un jeune qui a quitté le pays pour vivre en Europe,
00:19précisément en France. Nous devons nous parler de ce parcours.
00:23Nous devons nous parler de ce parcours d'espoir.
00:38Nous devons nous parler de ce parcours d'espoir.
00:41Nous devons nous parler de ce parcours d'espoir.
00:43Nous devons nous présenter à tous les internautes de Sénégal.
00:49Bonjour. Assalamu alaikum, je suis en Sénégal, je suis le plus connu ici comme ingénieur
00:57en images. Je vis actuellement à Paris.
01:02Aujourd'hui, nous devons nous parler de ce parcours d'espoir.
01:09Parcours d'espoir, peut-être que le cours de l'école, peut-être que le cours de l'école,
01:16peut-être que le cours de l'école.
01:18Donc, le cours de l'école, nous devons nous parler de 100 mois.
01:20Donc, nous devons étudier, école primaire, collège, lycée, université.
01:26Donc, je suis un master qui l'a arrêté après avoir été en France.
01:31et que nous devons nous ressentir à moi, par rapport à sa famille, la société Biganec et tout.
01:37Nous devons nous ressentir à moi.
01:39Je n'ai jamais voulu en fait partir en Europe.
01:43Je n'ai jamais voulu partir en Europe.
01:45Ce qui m'a amené là-bas, c'était ma passion parce que c'est à travers la photographie que j'ai découvert Paris.
01:51Donc, la méthode avec laquelle, en fait, la méthode avec laquelle ils travaillaient.
01:55Donc, Manimane, pourquoi pas ?
01:57J'ai découvert un environnement, une méthode d'étudier.
02:03Dans le moment où j'ai cherché, j'ai acheté mon bagage.
02:06Voilà.
02:07Voilà.
02:08Même là, comment c'est aujourd'hui ?
02:10J'ai dit.
02:11Et puis, jusqu'à présent, comme les gars et d'Oakhet,
02:14la prison est à ciel ouvert.
02:15Si vous êtes venu, vous êtes venu, vous êtes venu.
02:17Vous êtes venu, vous êtes venu, vous êtes venu, vous êtes venu, vous êtes venu.
02:20Comment vous avez-vous répondu et ressenti à construire les � Wilayare?
02:24Je pense, comme nous n'avons pas dit, comme tous les Sénégalais.
02:28Comment ça se trouve?
02:30Comment ça se trouve par un ط本 ?
02:32Faut la ainsi que d'autres parents,
02:37Pour plus, c'est à faire un peu de mouvement aux parents,
02:38Ils ne sont plus qui en veulent plus vienen,
02:40Increment,
02:41Il reste à croître tout ce bon moment public.
02:43Il reste à croître des év birpices,
02:45il reste à croître la probabilité.
02:47Mais le ressenti, c'est un ressenti maintenu, c'est inexplicable.
02:52Pour expliquer ça, les mots ne parviennent pas à décrire le sentiment.
02:57Parce que quand on parle, ce qu'on parle, c'est tellement qu'on parle,
03:01il n'y a pas le prix.
03:03Donc ce qu'on parle, c'est qu'on parle, c'est qu'on parle, c'est qu'on parle, c'est qu'on parle, c'est qu'on parle, c'est qu'on parle.
03:07Quelle difficulté, qu'est-ce que c'est ?
03:10Difficulté administratif, logistique, qu'est-ce que c'est ?
03:14Difficulté, c'est qu'il n'y a pas de difficulté.
03:18Parce que j'ai été hébergé par un ami, Goma Yakey,
03:23donc il avait pris tout en charge.
03:25Donc finalement, c'est un moment donné, ça m'a dormi.
03:28Donc voilà, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon.
03:30Mais quand même, demain, l'environnement va baisser.
03:34Il faut que beaucoup de gens, par exemple, aient lignes de doule,
03:40beaucoup de gens, beaucoup de gens, beaucoup de gens.
03:43Je pense qu'ils ont...
03:44Du taux, du taux, du taux.
03:46Comme je l'ai dit, beaucoup de gens.
03:48Donc à un moment donné,
03:50vous êtes obligé d'adapter.
03:52Donc le temps d'adaptation,
03:54c'est le temps d'adaptation.
03:56C'est le temps d'adaptation,
03:58de sorte à ce que vous riez.
04:00Vous voyez, c'est le temps d'adaptation.
04:02C'est le temps d'adaptation.
04:03C'est le temps d'adaptation.
04:04C'est le temps d'adaptation.
04:05Quand tu arrives là-bas aussi,
04:06on va écolter.
04:07C'est vrai que dès maintenant,
04:08en avril, avril 2019,
04:11parce que photographie,
04:12on a des autres,
04:14on a des autres,
04:15peut-être après.
04:16Mais,
04:17on a des autres,
04:18mais pour le temps d'adaptation,
04:19quasiment,
04:20fin septembre,
04:21ou début septembre.
04:22Il faut que tu aies l'impression qu'on te plante des aiguilles.
04:27ou même s'ils ne prennent pas des aiguilles,
04:29ou pas de rame,
04:30donc voilà,
04:31l'adaptation est une réalité.
04:32Beaucoup.
04:33Oui,
04:34il faut que tu es obligé d'être obligé de tout le tir,
04:39on s'en fout.
04:40Il faut qu'il y ait un an,
04:41deux ans,
04:42que tu es obligé.
04:43Donc,
04:44c'est le temps.
04:45Quand tu as dit ce qu'on a dit,
04:46c'est l'affaire.
04:47Quelle est l'affaire ?
04:48Quelle est l'affaire ?
04:50Quelle est l'affaire de l'affaire ?
04:51Ça n'est l'affaire ?
04:52L'affaire de l'affaire ?
04:53C'est l'affaire ?
04:54Parce que,
04:55La différence est frappante, parce qu'ils sont organisés par rapport à l'église, je ne dis pas pour dénigrer ma nation, mais il n'y a pas d'organisation.
05:09Par exemple, je fais mon réveil, je sais que si je me réveille à 7h30, à 8h15 ou bien à 8h30, il y a le bus qui sera devant l'arrêt.
05:26Ça te pousse à réfléchir à l'extérieur, à l'extérieur, à l'extérieur, à l'extérieur.
05:44Il y a des difficultés par rapport à l'intégration et à l'extérieur ?
06:03Des difficultés par rapport à l'intégration, parce que nous avons aussi des lakts, des lakts.
06:10Quand nous avons des étudiants à l'Ukab, des étudiants, des étudiants, des étudiants, des anglais, des étudiants, des étudiants, des anglais, des étudiants.
06:19Mais le temps est là, parce que c'est leur langue natale, et c'est habituel chez eux.
06:26Et après, on a essayé d'assimiler les liens et de l'étudier.
06:33Et aussi, on a aussi des ressources financières et des ressources financières.
06:41Donc, on a obligé de faire des liens et de faire des dépenses.
06:48Parce que les liens sont les plus riches.
06:51Et les liens sont les plus riches.
06:56Et après, on a essayé d'accomplir des difficultés.
07:03Parlement des difficultés, qu'est-ce que tu penses que tu penses que tu penses à l'étudier ou à l'étudier ?
07:11Personnellement, je ne dirais pas qu'à l'étudier.
07:16Mais, en fait, je n'ai pas besoin d'accompagnement.
07:19Parce que je n'ai pas besoin d'accompagnement.
07:21Je n'ai pas besoin d'accompagnement.
07:23Récemment, je l'ai vécu récemment.
07:26Ça ne fait même pas deux ans.
07:28J'étais à l'école où je travaillais.
07:30Je travaille en tant que professeur des écoles.
07:33Et j'ai un parent d'élèves.
07:35Je n'ai pas besoin d'accompagnement.
07:36Je n'ai pas besoin d'accompagnement.
07:38Parce qu'il faisait froid.
07:39Donc, moi, j'attendais les derniers élèves.
07:41Parce que je n'ai pas besoin d'accompagnement.
07:43J'attendais les derniers élèves à ce qu'ils sortent.
07:46Et moi, j'étais habillé tout en noir.
07:48Par exemple, à Kodoudoumbi et tout.
07:50Le parent d'élèves, il arrive.
07:52Et puis, il ouvre la porte.
07:54Il ne me dit même pas bonsoir.
07:55Donc, il entre directement.
07:57Et puis, il se retourne et il me dit.
07:59Monsieur, vous pouvez fermer la porte ?
08:01Je me dis, excusez-moi.
08:03Vous pouvez fermer la porte ?
08:04Pourquoi ?
08:05Vous n'êtes pas la sécurité ?
08:07Non, je suis professeur ici.
08:10Ah, excusez-moi.
08:11Et donc, voilà.
08:12Cette hypocrisie-là masquée.
08:14Étiquettait aussi les gens de couleur.
08:17Comme quoi.
08:18Vous n'êtes pas une structure.
08:20Vous n'êtes pas une structure.
08:21Vous n'êtes pas une structure.
08:22Vous n'êtes pas une structure.
08:23Qui est un niveau d'études.
08:24Ou quelque chose comme ça.
08:25Vous n'êtes pas un métier.
08:26Vous n'êtes pas un métier.
08:27Vous n'êtes pas un métier.
08:28Je ne veux pas en fait qu'ils aient cette considération
08:31envers mes compatrières.
08:33Parce que nous aussi, quoi qu'on puisse dire.
08:36Comme l'américain veut dire.
08:38C'est vrai.
08:39Il prend les cerveaux ici.
08:42Ils récupèrent les liables infos
08:44pour que nous nous construisons un doc.
08:46Nous, en fait.
08:47Hormis le fait que nous voyagons.
08:49Nous, nous devons nous avoir un respect.
08:51Nous, nous, en fait, on part.
08:53Je le disais récemment.
08:55Je le disais récemment par rapport aux problèmes
08:57qui sont en France.
08:58Par rapport aux papiers.
09:00Nous, en fait, nous, les Africains,
09:02on doit être des compatriotes.
09:07Un jour, on doit se lever tous.
09:10Nous, d'origine africaine.
09:12On se dit.
09:13Nous, nous.
09:14Nous, nous.
09:15Nous, nous.
09:16Nous, nous.
09:17nous, nous.
09:18Nous, nous.
09:19Nous, nous.
09:20Nous, nous.
09:21Nous.
09:22Et on verra comment la France fonctionne.
09:23Dans la journée noire.
09:24Dans la journée noire.
09:25Dans la journée noire.
09:26Dans la journée noire.
09:27Nous.
09:28Est-ce que ce sont les Français qui construisent des pays
09:31ou bien c'est nous-mêmes ?
09:32Ok.
09:33Après nous, nous.
09:34Nous, nous, nous.
09:35La main étrangère est primordiale pour le développement.
09:38C'est ça.
09:39D'accord.
09:40Vous avez peut-être une « cri de coeur » pour dire qu'on a une femme.
09:45On a peut-être dû à l'arrivée.
09:46Nous, on a de tout le temps.
09:47Donc, on vient d'ailleurs.
09:49En fait, ça vient du coeur.
09:51On a rien contre les Français parce que c'est eux qui nous hébergent.
09:55Oui.
09:56Nous.
09:57Nous.
09:58Nous.
09:59Nous.
10:00Nous.
10:01Mais, nous.
10:02Nous.
10:03Des fois, il n'y a qu'un petit souffle.
10:05C'est ce qu'il n'y a pas de bien.
10:07Il n'y a pas de mal.
10:08Tu as parlé de sans-papiers.
10:11Comment tu as vu les gens qui ont des papiers ?
10:16Des fois, tu as vu les gens qui ont des papiers.
10:18Quelles raisons-tu ?
10:20Moi, personnellement, je ne conseille à personne d'y aller en tant que sans-papiers.
10:24Même nous qui avons des papiers, on a d'énormes difficultés.
10:29Des fois, s'insérer, trouver du travail, trouver un logement.
10:35C'est tout ton problème.
10:36Donc, imagine que tu as vu les papiers.
10:39Si tu as des difficultés, tu as vu les gens qui ont des papiers.
10:43Quelle est-ce que tu as imaginé ?
10:45Je ne sais pas si tu as vu les gens qui ont des papiers.
10:48Déjà, le temps, le trajet, tu as vu les papiers.
10:51C'est horrible.
10:54Je vais donner un exemple.
10:55Au moment où tu as vu les papiers, tu as vu les papiers.
10:59Il faut que tu as vu les papiers.
11:01Cette impression-là, tu as à chaque fois.
11:04Tu as vu les papiers.
11:06Quand tu as vu les papiers, tu as vu les papiers.
11:10Qu'est-ce qu'il doit ressentir ?
11:11Qu'est-ce qu'il doit ressentir ?
11:13Donc, l'humanisme aussi, je ne vais pas te dire.
11:16Mais l'humanisme, à un moment donné, tu ne sais même pas pourquoi.
11:19Parce qu'on a vu que l'événement ukrainien.
11:21Il y a eu un problème de guerre, l'Ukraine.
11:23On a pris les Ukrainiens, on leur a donné des papiers.
11:26Si, parce qu'on a vu les papiers.
11:28Alors qu'il y a des Africains qui sont là-bas, qui travaillent dans le noir.
11:32Qui font tout leur possible pour s'en sortir.
11:35Mais on voit qu'en fait, favoritisme de la femme.
11:38Et aussi, on a donné ce que nos dirigeants sont là.
11:42C'est mon dirigeant, parce que je te le disais tout à l'heure.
11:48À un moment donné, j'ai fait des photographies en France.
11:54Mais c'est parce qu'on n'a pas su valoriser le talent qu'il y avait ici.
11:59Je vivais en fait, en quelque sorte, de la photographie.
12:05Je parvenais à faire mes petites dépenses.
12:07Mais après, en tout parti aussi, j'avais mon espèce de talent.
12:12Mais quand j'ai pesé le pour et le contre, je me suis dit, il n'y a pas de photo.
12:22Donc ils m'ouvrent leurs portes, même si c'est le côté social, mais les opportunités que tu trouves là-bas, tu ne peux pas les trouver.
12:32C'est quasiment impossible.
12:34Voilà, donc nous venons avec nos dirigeants. Est-ce que nous devons encore encore notre culture ?
12:41Parce qu'ici, on n'a que notre ressource immatérielle, mais mon patrimoine immatériel.
12:46Notre patrimoine immatériel est sous nos traditions.
12:49Les cultures, les ramollins.
12:51Donc, nous devons de sorte que les acteurs culturels, nous devons le meneur pour les transfert.
12:56Parce que culture au Sénégal, on peut dire que nous devons être délésés un peu.
13:00Oui, nous devons être délésés.
13:01On peut voir un tout petit peu parce que, je ne sais pas si les gens qui ne devaient pas dire.
13:06Le nom du milieu culturel.
13:08Le nom du culturel, la culture qu'on commande ça englobe tout.
13:12Si je me disais que le nom du culturel aussi qui vit dans le milieu culturel, comment ils évoluent,
13:19ça me rend le cœur.
13:21On voit qu'ils ne sont pas respectés.
13:23C'est grave, c'est très grave, c'est un problème de Jugegué.
13:30D'accord, ce parcours professionnel depuis que tu es arrivé en France,
13:34tu as été le premier ministre de la Culture de l'UGB ?
13:38Tu as été le premier ministre de la Culture de l'UGB ?
13:40Tu as été le premier ministre de la France ?
13:41Tu as été le premier ministre de la France ?
13:43Ben écoute, parce que dans ma vie de France, j'avais déjà mon master au métier des arts et de la Culture de l'UGB,
13:51et je salue de passage mes professeurs, mes professeurs Seligano,
13:55et je ne les oublierai jamais, parce que ces personnes-là,
14:01ils ont fait quelque chose d'un âge et de la Culture de l'UGB aussi,
14:05ils ont fait quelque chose d'un âge et d'un âge,
14:08parce qu'ils nous ont fait connaître ce que nous sommes en fait.
14:11Parce que quand tu passes au métier des arts et de la Culture,
14:14ils vont t'apprendre que l'UGB est enracinement après l'ouverture,
14:19comme c'est que ça nous disait.
14:21Donc nous, nous sommes en fait dans mon motard,
14:24les gouttes et les gouttes de l'UGB.
14:26Mais arrivé en France aussi, quand j'ai fait ma première année,
14:31parce que je me suis demandé une année de pratique,
14:34parce que comme j'étais dans le domaine du cinéma,
14:36j'ai fait une année de pratique dans le cinéma et l'audiovisuel.
14:40Et puis après, je me suis dit voilà, comme j'ai fini,
14:43il vaut mieux que je continue.
14:44Et c'est là-bas que j'ai opté pour faire en masse,
14:47en direction de projets artistes et culturels internationaux.
14:50J'ai aussi travaillé six mois au ministère de la Culture et de la Communication du Sénégal.
14:56Il me faut dire que dans le monde, il y a un manque de réactivité,
15:02parce que j'étais chargé de la redynamisation de la communication du ministère
15:07et des institutions attachées au ministère de la Culture.
15:10J'avais développé 20 axes à dérouler sur six mois.
15:15Mais on a vu que sur les six mois, il n'y avait que trois axes qui avaient été développés.
15:20Six mois ?
15:21Sur six mois, alors que c'était 20 axes.
15:23Donc, pour te dire, à l'époque, c'était le ministère de la Culture et de la Communication.
15:27Et je travaillais avec le directeur de la Communication,
15:30que je salue de passage, parce que lui aussi, il s'y mettait à 100% pour que la mission réussisse.
15:36Mais voilà.
15:38Je te donne juste un exemple.
15:48Je suis arrivé au ministère et j'ai trouvé, en fait, qu'il y avait quasiment,
15:53pour le ministère, il y avait quasiment trois à quatre pages
15:56pour une institution qui est chargée de représenter le ministère de la Culture.
16:01Je ne sais pas si tu appréhendes la pesée du ministère de la Culture du Sénégal.
16:06Il y avait quasiment quatre pages.
16:08Dès qu'il y avait des publications, ça a été fait, il y a un an, des publications.
16:15Il y avait des présences sur les réseaux.
16:18Après, bon, quand je suis arrivé, le directeur, lui aussi, il a été très, très ouvert à ses propositions.
16:23Il m'a dit, dis-moi, qu'est-ce que tu veux qu'on fasse ?
16:26Je lui ai dit, bon, écoute Manu, une règle à bobe,
16:29comment lui, au moins qu'on soit visible ?
16:31Parce que moi, j'ai fait la direction du projet artistique international,
16:35pour qu'on soit visible au niveau international.
16:37Il m'a dit, par là, je te donne quatre planches.
16:39Donc moi, j'ai été, voilà, j'ai été là-bas pendant six mois,
16:44mais bon, finalement, j'ai décroché parce que je me dis que, après tout,
16:48quand tu te sacrifies pour la patrie, il faudra au moins que tu puisses voir les fruits et les résultats.
16:55Donc j'ai dit, quand il y aura vraiment les personnes qui seront prêtes à travailler pour le ministère,
17:00peu importe, pour d'autres structures culturelles,
17:03moi, je ne serais pas tant.
17:04Vraiment, parce que moi, ma patrie, c'est mon identité, en fait.
17:08En résumé, c'est ça, quoi.
17:10Donc, parlant de, par rapport à un ministère,
17:13que tu as une bonne vision,
17:16tu as une bonne vision,
17:17qui m'a une bonne vision,
17:19qui m'a une bonne vision,
17:21qui m'a une bonne vision,
17:23parce que moi, je ne me base pas sur l'arrivée des gouvernants,
17:28ou bien quelque chose comme ça.
17:30Moi, je me base plutôt sur la matière grise qui se trouve ici.
17:33Parce qu'en fait, quoi qu'on puisse dire,
17:35ce n'est pas Diomaï qui va exécuter les actions.
17:38Il faudra mettre les hommes qu'il faut à la place qu'il faut.
17:41C'est bon.
17:42C'est bon.
17:43Tu vois, parce que les gens,
17:44ils ne peuvent pas aussi, à un moment donné,
17:45faire des études internationales.
17:47Djangidji, voyeurs, c'est un bagage.
17:49On n'a pas dit qu'au service, c'est même.
17:51Alors qu'on peut les valoriser,
17:53ça ne leur coûte absolument rien.
17:55Et ça va au moins rendre service à notre pays.
18:00Donc, mais par rapport à la gouvernance,
18:03moi, je dis que voilà,
18:05ils ont encore du temps pour mettre en place des actions.
18:08Donc, on leur laisse faire,
18:09parce qu'à l'écart de deux ans,
18:11où il y a entre un an et deux ans,
18:13on a jugé en fait de la gouvernance.
18:15Parce qu'en Sénégal, il faut que j'allais.
18:17Il faut que j'allais faire un changement.
18:19Il faut que j'allais faire un changement.
18:21Donc, pour que j'allais aboutir,
18:24ça va prendre du temps.
18:26Photographie,
18:28comme le joueur, c'est ce parcours.
18:30Il faut que j'allais jouer.
18:32Bah, écoute, moi, par exemple,
18:34la photographie, c'est...
18:35Disons que c'est mon identité.
18:37Parce que,
18:38je n'ai pas l'identité,
18:39je n'ai pas l'identité.
18:40Sous quel anonyme ?
18:41Là-bas, sous l'ingénieur en images.
18:44Parce que des fois, quand tu marches dans les rues,
18:47on te dit, c'est eux-mêmes qui m'ont attribué ce nom.
18:49Je ne me suis pas auto-proclamé ingénieur.
18:52Non, non, non.
18:53Parce que c'est des gens...
18:54Maintenant, ils me donnent une photo,
18:56ils me donnent une photo,
18:57à un moment donné.
18:58Toi, tu es un ingénieur en images.
19:00Depuis, en fait,
19:01c'est tout le temps que j'allais me croire.
19:02Donc, l'autre moment,
19:03ils sont identités.
19:04Ils me jouent énormément sur mon parcours.
19:06Moi, je me dis que,
19:07peut-être qu'il y a quelque chose d'inné,
19:08il y a quelque chose d'appré.
19:09Parce que quand tu passes aussi au métier des arts et de la culture,
19:12tu apprends beaucoup de choses.
19:13Donc, tu dis dans le jungle exactement.
19:16comment est-ce que tu dois appréhender ton art,
19:19d'avoir déroulé sa art.
19:21Donc, moi, c'est ce qui m'a fait voyager en premier.
19:25Donc, ça m'a photographié avec l'Union européenne.
19:28Ils ont reconnu que, voilà,
19:29cette photographie,
19:30ça vaut la peine d'être étudié et d'être développé.
19:34Et évidemment, c'est un siège
19:36pour que je leur explique sur quoi je travaille et tout.
19:39Et ça m'a fait plaisir.
19:40C'est là-bas que j'ai découvert aussi,
19:41en même temps mes camarades,
19:42comment ils travaillaient.
19:43Je me suis dit pourquoi pas tenter l'aventure quoi.
19:45D'accord.
19:46C'est ça.
19:47D'accord.
19:48Aujourd'hui, j'ai une petite vie,
19:49je vais faire des difficultés et des bannières.
19:54Parce que, quand on a des bannières,
19:56on a des bannières.
19:57Aujourd'hui, un message que je vais lancer à la jeunesse
20:00pour que je vais vous demander,
20:01je vais vous demander,
20:02je vais vous demander de faire une vie
20:04pour que vous venez de faire une vie
20:06ou bien réussir.
20:07c'est une petite vie.
20:08Oui.
20:09Bah écoute,
20:10moi, personnellement,
20:11le message que je lance à tous les amis,
20:12c'est que moi,
20:15personnellement,
20:17nous nous sommes en bannières.
20:19Que nous sommes en étrangers,
20:20il faut que nous sommes en étranger,
20:21que nous sommes en étranger.
20:22Tu vas pouvoir exercer,
20:23ou bien tu vas pouvoir travailler.
20:24Je te donne juste mon exemple.
20:25Pour moi, je te donne juste mon exemple,
20:27maintenant je sais que des grands frères sénégalent ni les grands frères qui sont en Sénégal,
20:32ils sont en arrière.
20:34Donc c'est à dire que,
20:35on fait directement mon fernay,
20:37mais en vérité, on vit comme tout le monde.
20:39Ils ne existent pas comme cellules qui vivent sur Tinder et qui ont à peu près les gens.
20:43Peut-être la différence, justement, c'est à unosen d'un d'un d'un d'un d'un d'un d'un d'un d'un d'un d'un d'un d'un d'un d'un d'un d'un d'un d'un.
20:48C'est ce que j'ai fait pour moi, parce que nous sommes salariés, nous voyons que c'est
20:54ça, c'est ça.
20:55Donc, qui n'a qu'à ce moment-là?
20:57C'est ça.
20:58C'est ça.
20:59Je n'ai pas de problème.
21:00Qui est au Sénégal, j'ai aussi gagné.
21:02Donc, pourquoi les jeunes disent que c'est pour qu'ils voulaient voyager, pour moi?
21:07Est-ce que les fenêtres ne se trouvent pas par rapport à l'extérieur?
21:12Mais tout ça, comme je l'ai dit, ils ont suivant de leur culture et la culture, ça englobe
21:17tout.
21:18C'est-à-dire qu'ils vous ont vendu l'image, la belle image, l'étoffe.
21:21Donc, là, comme vous l'ont dit, c'est la partie visible de l'iceberg qu'on vous montre,
21:27mais en vérité, là-bas, tu endures des choses, à un moment donné, tu as tout ça.
21:32Même si ma grande-sœur de ma vie, tu as tout ça, est-ce que nous n'avons pas ici?
21:36Parce que tu sacrifies, tu laisses ta famille et tout, tout ce que tu as connu, tu laisses
21:41ça derrière pour partir là-bas, pour l'année.
21:44Et après, peut-être, les racerages, les lescs, les papes, les affaires, les bonnes,
21:48je sais que ça me mentir parce qu'on a toujours le temps.
21:51Pourquoi vous sacrifiez l'année pour...
21:53Toujours, toujours, toujours, pour le faire.
21:56Mais en vérité, vous n'êtes pas de nous.
21:58Par exemple, comme nous, comme nous, on a dit, il y a souvent un exemple de la
22:01Je ne pense pas qu'il n'y ait pas d'argent, mais je ne pense pas qu'il n'y ait pas d'argent.
22:10Comme tu l'as dit, il n'y a pas d'argent, mais le problème c'est de trouver des gens, des hommes de confiance.
22:16Ils ne peuvent pas faire des projets.
22:19Est-ce qu'il y a un problème pour les gens qui vivent ?
22:24Je ne dirais pas que je l'ai vécu directement, mais j'ai eu des camarades.
22:30Parce qu'il y a des personnes de confiance, c'est-à-dire qu'il n'y a pas d'argent depuis longtemps.
22:40Il n'y a pas d'argent, mais il n'y a pas d'argent.
22:46Et c'est des millions.
22:48Donc là, quand tu vois des cas et des cas et des cas, je ne t'encourage pas à investir ici au Sénégal.
22:57Mais quand même, quoi qu'on puisse dire, il faut voir les amis.
23:01Il faut voir les amis, madame, c'est-à-dire qu'on n'est jamais mieux que chez soi.
23:06Je sais, on n'est jamais mieux que chez soi.
23:08Je sais, on a fait des amis aujourd'hui.
23:10Mais d'une côté, tant qu'on a dit, c'est le projet d'avenir.
23:14Que représente l'espoir pour demain ?
23:21L'espoir, c'est ici.
23:24L'espoir, c'est ici.
23:25On a une jeunesse.
23:26On a la matière grise.
23:28On a une jeunesse, on a la matière grise.
23:31À 17h, tu sors, tu redales les personnes qui sont là-bas.
23:34Jeunes, au milieu de leur âge.
23:37Par exemple, nous nous sommes des Québécois.
23:43Moi, à l'avenir, ce que je vois, mes projets, c'est rien d'autre qu'ici au Sénégal.
23:47Parce que c'est mon domaine, c'est la culture et l'art.
23:52Donc, dans ma perspective, peut-être aider les jeunes à évoluer dans leur milieu.
24:03C'est-à-dire que ce soit artistique ou culturel.
24:05Comme je l'ai dit, moi, il n'y a rien de plus noble que la transmission du savoir.
24:13C'est ça.
24:15Mais il faut croire en vous.
24:17Donc, je vais vous donner un message.
24:19Croyez en vous.
24:21Croyez en vos rêves.
24:23Et puis, mettez pierre par pierre, brique par brique, pour pouvoir réaliser votre rêve.
24:29C'est ça.
24:31Parcours d'espoir dans la Lontagne.
24:33Les ingénieurs en images.
24:35Nous vivons en France.
24:37Je vous remercie.
24:39Je vous remercie.
24:41Je vous remercie.
24:43Merci beaucoup.
24:45Merci beaucoup.
24:47Sous-titrage Société Radio-Canada
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