00:00Dans le départ de Bérou, qui semble-t-il inéluctable, le 8, il semble qu'il y ait quand même encore un message, c'est que le pays est dans un état calamiteux.
00:11D'ailleurs, je vous rappelle que la bourse a perdu, la bourse de Paris, a perdu 1,60, oui, tout le monde s'en fout, il n'y a que moi que ça intéresse.
00:19Néanmoins, dans les 15 jours qui viennent, puisque le sort de M. Bérou semble scellé, n'est-ce pas ?
00:26Personne ne va voter pour lui, à part, je pense, le Bloc central et les Républicains.
00:31Je pense que quand même, on va surveiller de très près, un, les taux d'intérêt, qui vont probablement augmenter de manière assez spectaculaire.
00:40Et les notes des agences qui doivent arriver quelques jours plus tard.
00:42Oui, les notes des agences qui vont se préoccuper, décortiquer notre budget qui n'a pas très bonne mine, il n'y a pas de vraie réforme de structure.
00:49Il n'y a pas de budget, surtout.
00:50Il n'y a pas non plus.
00:51Jean-Claude, dans deux semaines, il n'y a plus de budget.
00:52Un budget d'austérité, mais il va falloir quand même qu'il y en ait un, peut-être, non ?
00:56On va reconduire celui de l'année dernière, comme à chaque fois maintenant, en attendant d'avoir un gouvernement.
01:00Parce que François Méron démissionne 2008, mais il peut rester là, Premier ministre démissionnaire, il peut rester là 3-4 mois.
01:06Sur la crise politique, je vous écoute avec beaucoup d'intérêt, on y est jusqu'aux oreilles et ça risque de durer.
01:14La crise financière, en revanche, il ne rigole pas trop, nos amis.
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