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  • il y a 4 mois
Le journaliste Hubert Coudurier se désole du poids actuel de la France dans les négociations avec les Etats-Unis et l'Union européenne. «La France est isolée, a du mal à faire prévaloir ses intérêts», selon lui.

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Transcription
00:00Mais oui, parce que ce qui s'est passé montre la faiblesse de la France au sein de l'Europe,
00:05parce que Mme van der Leyen, qui représentait les Européens,
00:08a défendu d'abord les intérêts de l'automobile allemande, l'aéronautique,
00:13mais effectivement, les autres Européens ne voulaient pas d'une crise économique.
00:21D'abord, l'économie européenne est assez affaiblie,
00:23et donc on s'est soumis dans une certaine mesure, finalement.
00:27Et aujourd'hui, ça montre que le président Macron peut toujours dire
00:32que, comme François Mitterrand en son temps, la France est offerte de l'ence de l'Europe,
00:36mais c'est plus vrai.
00:37C'est plus vrai, nous sommes assez isolés,
00:39nous avons du mal à faire prévaloir nos intérêts,
00:42et c'est pour ça qu'aujourd'hui, nos producteurs de vin et spiritueux,
00:46je crois qu'il faut distinguer les deux, mais ne s'y retrouvent pas.
00:50Et ça aurait pu être pire, évidemment, mais c'est quand même très lourd.
00:57Sous-titrage Société Radio-Canada
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