Trois destins, trois tragédies.
Un montage de mon DA favoris
Les 3 textes de la fin :
1) Il en est des sentiments qui vont comme des idées qui agitent le coeur des hommes. Ils vont, ils viennent commes les vagues de l'océan. L'amour est pareil aux flux et aux reflux des jours qui passent et s'en vont. Que ce soit la tempête ou le calme plat, un jour par là, un autre ici. La vie vous ballote au gré du vent. Comme les âmes sont étranges, telles des girouettes qui oscillent au souffle de leur rêve.
2)Elle s'appelait Oscar.
Elle était belle.
Elle était jeune.
Elle vécut dans une époque injuste, pleine de fureur et de larmes.
Elle fut comme un soleil qui illumina bien des vies.
Son regard était doux.
Elle fit face, seule au destin.
Elle n'avait qu'une arme : son COURAGE.
3) Je t'aimais André. Je t'aimais depuis longtemps peut-être, mais je m'en suis aperçu trop tard. Si j'avais reconnu plus tôt les sentiments que j'avais pour toi, nous aurions pu être très heureux ensemble. J'étais aveugle, pendant toutes ces années durant lesquelles nous avons vécut côte à côte, pas une fois, je n'ai vu à quel point tu m'aimais.
André, pardonne moi.. Je t'en prie, aimer quelqu'un sans s'en arpercevoir est une terrible forme de trahison.
André, dis moi.. C'est bien fini ? Fini à tout jamais ?
Aimer sans être aimer, c'est déjà de l'amour.
Les 3 textes de la fin :
1) Il en est des sentiments qui vont comme des idées qui agitent le coeur des hommes. Ils vont, ils viennent commes les vagues de l'océan. L'amour est pareil aux flux et aux reflux des jours qui passent et s'en vont. Que ce soit la tempête ou le calme plat, un jour par là, un autre ici. La vie vous ballote au gré du vent. Comme les âmes sont étranges, telles des girouettes qui oscillent au souffle de leur rêve.
2)Elle s'appelait Oscar.
Elle était belle.
Elle était jeune.
Elle vécut dans une époque injuste, pleine de fureur et de larmes.
Elle fut comme un soleil qui illumina bien des vies.
Son regard était doux.
Elle fit face, seule au destin.
Elle n'avait qu'une arme : son COURAGE.
3) Je t'aimais André. Je t'aimais depuis longtemps peut-être, mais je m'en suis aperçu trop tard. Si j'avais reconnu plus tôt les sentiments que j'avais pour toi, nous aurions pu être très heureux ensemble. J'étais aveugle, pendant toutes ces années durant lesquelles nous avons vécut côte à côte, pas une fois, je n'ai vu à quel point tu m'aimais.
André, pardonne moi.. Je t'en prie, aimer quelqu'un sans s'en arpercevoir est une terrible forme de trahison.
André, dis moi.. C'est bien fini ? Fini à tout jamais ?
Aimer sans être aimer, c'est déjà de l'amour.
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