Le président syrien a annoncé jeudi le transfert « à des factions locales et des cheiks » druzes la responsabilité du maintien de la sécurité à Soueida, théâtre d'affrontements communautaires qui ont fait plus de 350 morts depuis dimanche, affirmant vouloir éviter « une guerre ouverte » avec Israël dont il a condamné l'intervention dans le conflit.