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  • il y a 6 mois

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Transcription
00:00Je vous remercie.
00:30Je vous remercie.
01:00Nous, nous sommes des afro-souvenéristes.
01:02Nous l'incarnons jusqu'au bout de nos ongles.
01:06Et sans aucun complexe.
01:09Selon ce qui nous a dit, le débat n'est pas, certes.
01:14Nous avons dit que les intérêts vitaux de cette nation sénégalaise.
01:18Nous avons de l'opposition.
01:23Mais malheureusement, malheureusement,
01:27nous avons de l'opposition.
01:29Et ce sera le plus dur.
01:32Parce que ici, à un an, un an et demi.
01:36Au cas où il n'y a sû outstanding,
01:37il n'y a sûrement pas de détention.
01:39Il n'y a fait pas le courant.
01:40Il n'y a grand bon keer, il y a eu ce� éternel
01:41et il n'y a rien.
01:45Il y a deserkurs qui sortent audiobooks.
01:48Ce que j'ai vu, c'est une personne qui est morte.
01:52C'est la seule chose que tu es morte.
01:55Parce que c'est un homme qui est de la mort.
02:00Je pense que c'est bien que nous,
02:05nous devons faire des choses que nous devons faire.
02:10Nous devons faire des choses pour nous faire.
02:13Nous devons continuer de le dire.
02:17Nous devons faire des choses.
02:20Nous devons le faire.
02:23Nous devons le faire.
02:25Nous devons le faire.
02:27Nous devons le faire.
02:29Une industrialisation,
02:31c'est un processus.
02:35Nous devons le faire.
02:37Un président de la république,
02:39un chef de gouvernement,
02:41c'est que,
02:43dans ce secteur,
02:45les ressources naturelles,
02:47nous voulons industrialiser nos matières premières.
02:51C'est ce qui se fait.
02:53De passage,
02:55vous avez un ministre qui va aller dans la France.
02:59Aujourd'hui,
03:01ce sont des complexes.
03:03Aujourd'hui,
03:05si nous avons vu nos intérêts du Sénégal en Arabie Saoudite,
03:07on ira les chercher méchamment.
03:09Nous cherchons le plus offrant.
03:11C'est ce qui se fait.
03:13C'est ce qui se fait.
03:15Nous devons dire maintenant
03:17notre combat.
03:19Il n'y a pas de combats au bas étage.
03:21Qui veut dire qu'un espace politique,
03:23il y a des chaînes.
03:25Il y a des chaînes.
03:27Il y a des chaînes.
03:29Il y a des chaînes.
03:31Il y a des chaînes.
03:33Il y a des chaînes.
03:35Il y a des chaînes.
03:37Il ne faut plus que d'autres choses.
03:39Vous savez,
03:40si nous sommes dans un régime,
03:41nous devons être fiers,
03:43pour les gens qui travaillent à l'origine.
03:45Et nous devons être fiers.
03:47Nous devons être fiers.
03:49Il y a des questions.
03:51Il n'y a pas d'autre chose, il n'y a pas d'autre chose ou il n'y a pas d'autre chose.
03:57Et le temps était très chiant.
03:59Donc, nous sommes là.
04:01Les gens qui sont venus à l'économie, ils ont aimé beaucoup de cris.
04:05Ils ont dit le président de la république, l'ex-président de la république Macky Sall.
04:12C'est lui qui a donné 50 000 milliards d'euros dans les pays.
04:16Il n'y a pas d'autre chose.
04:19Il y a des gens qui ont fait l'économie, dans l'Italie.
04:22Si on a fait l'économie, on a fait l'économie.
04:25L'économie qui a fait l'économie, il a fait une société française.
04:30Il a fait 13-14 milliards d'économie par l'économie.
04:35Il a fait une société française, une société sénégalaise,
04:40et il a fait 13-14 milliards d'économie par l'économie.
04:48C'est ce qu'on a fait.
04:51Le Réum Sénégal, tout ce qui conçoit une route au Sénégal,
04:55c'est ce que je disais.
04:57Le Réum Sénégal, il y a 3-5 milliards d'euros par kilomètre.
05:02Il y a des personnes qui ont une personnalité,
05:07des droits de l'économie,
05:09des droits de l'économie,
05:11des droits de l'économie,
05:13des fixe-facturations,
05:15des surfacturations,
05:17des délits.
05:19Ils ne sont pas d'euros.
05:21Et si on a des droits de l'économie,
05:23des droits de l'économie,
05:25des droits de l'économie,
05:26il y a des droits de l'économie.
05:27Mais je dois dire ce que tu dis.
05:29Sur les facturations,
05:30commissions,
05:31rétro-commissions,
05:32c'est ce qui nous vivons dans la maison.
05:34Dieu nous a donné la chance.
05:36Je sais que tout ce que nous avons à l'économie,
05:40c'est que l'enfant d'Adam doit être à l'économie,
05:41il doit être à l'économie,
05:42il doit être à l'économie,
05:43et il doit être à l'économie.
05:45Si tu nous demandes à Dieu,
05:47ce que tu as dit,
05:48c'est que tu le fais dans ton bureau,
05:49ou ton bureau,
05:50ou ton bureau,
05:51c'est la chieure de ton front.
05:52Donc, si tu es à l'économie,
05:54nous ne sommes pas à l'économie,
05:56nous ne sommes pas à l'économie.
05:58Les gens qui nous ont voulu
05:59veulent faire notre économie.
06:02Le premier ministre,
06:03qui va nous dire,
06:04il a dit que le président,
06:05il a dit que le président,
06:07il a dit que le président,
06:08il a dit que le ministre de l'industrie,
06:10le président du Maroc,
06:12nous allons faire comme les marocains.
06:15C'est ce qui nous a fait,
06:16le président de la première,
06:17qui n'a pas eu le deuxième au rang mondial sur le fossat.
06:19Nous allons industrialiser notre fossat,
06:21le président de la première majorité,
06:22qui mentionnaient de nos milliers,
06:23qui dans les anciens,
06:24qui ont fait le plan de la première.
06:25Les gens qui m'ont dit que le président
06:26va vivre.
06:27Il n'y a pas d'économie.
06:28Et on ne va pas d'économie.
06:30Il a dit,
06:31il n'y a pas d'économie.
06:32Il n'y a pas d'économie.
06:34Il a dit que le président,
06:35il a dit que le ministre
06:36de la première première,
06:37elle ne s'est dit,
06:38qu'il n'y ait pas d'économie,
06:40mais il n'y ait pas d'économie.
06:41Il a dit que le ministre a saying
06:42le premier ministre,
06:43que dépassé le président de l'initiée,
06:44ça a commencé.
06:45Tu ne sais pas pourquoi?
06:47Parce qu'à ce moment-là, il n'y a qu'une personne qui a été détournée.
06:51C'est ce que c'est.
06:54Mais quand le père était à Réoumi,
06:58il n'y avait pas d'écrivain.
07:02La force restera à la loi.
07:05Il n'y a pas d'écrivain, il n'y a pas d'écrivain.
07:09C'est ce qu'il fait.
07:12Aujourd'hui, il y a une justice indépendante.
07:17Il y a deux régimes.
07:20Les ministres de l'Intérieur.
07:22Si on n'avait pas eu le ministre de l'Intérieur politique,
07:25si on n'avait pas eu le ministre de la Justice politique.
07:29Aujourd'hui, il y a des forces de défense et de sécurité.
07:32Il y a des forces.
07:34Ce sont des magistrats.
07:36On ne sait pas qu'ils sont eux.
07:38Il n'y a pas d'écrivain.
07:40Il n'y a pas d'écrivain.
07:42Il n'y a pas d'écrivain.
07:44Il y a des choses qui ne sont pas d'écrivain.
07:46C'est une société qui est d'écrivain.
07:50Il y a des choses qui sont très fortes.
07:54Il y a des choses qui sont très fortes.
07:56Il y a des choses qui se font mieux.
07:58dans le secteur du secteur minier.
08:02Vous avez tout ce qu'on a dit.
08:05Sauf qu'il n'y a pas de temps,
08:07il n'y a pas de temps,
08:08il n'y a pas de temps,
08:09il n'y a pas de temps,
08:10il n'y a pas de temps.
08:11Qu'est-ce qu'il y a?
08:12Je le dis ici,
08:14solennellement,
08:16au niveau du ministère des Mines,
08:19il n'y a pas de mise en demeure
08:21pour arrêter son travail.
08:24Cela n'existe pas.
08:26Il y a deux personnes qui ont été
08:30en train de faire des titres miniers,
08:34des autorisations,
08:36nous leur donnons à prendre des ressources minérales
08:40pour les mettre en place.
08:42Sur le cadastre minier,
08:44il n'y a pas de temps.
08:46Il n'y a pas de rédevant fixe,
08:48de rédevant minière,
08:50de cotiser fonds de précaution et d'appui,
08:52de cotiser fonds d'appui au développement local.
08:55Nous avons déjà fait ça au premier.
08:57Il y a des gouvernements qui ont été
08:59appuyées au gouvernement.
09:00Nous n'avons pas de temps
09:01pour nous que nous devions avoir
09:02l'investissement.
09:03Nous devons avoir l'économie,
09:05nous devons avoir l'économie,
09:07nous devons avoir l'économie.
09:09Nous devons avoir l'économie,
09:11nous devons avoir l'économie.
09:13Parce qu'il y a des milliards qui sont en jeu
09:19Il va falloir que les lignes bougent
09:21Et les lignes vont bouger
09:22Et positivement dans le bon sens
09:25Assalamu alaykoum
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