00:00Je sais quand je peux tenter des choses parce que voilà j'ai les jambes et que
00:12la physio mid-course me permet de faire ça mais je sais aussi des fois quand il faut rester caché.
00:17Là c'est Axel Laurence qui vient de replacer une avec Julien Bernard.
00:21A la fois réfléchi mais qui voilà qui aime sentir la course c'est le gars qui n'est jamais
00:29le plus fort mais qui arrive toujours à s'en sortir.
00:31Je pense que chez les professionnels on peut voir le niveau je pense qu'il est assez extraordinaire
00:41et j'arrive souvent à me surpasser, à essayer d'aller un peu plus loin et c'est ce qui fait
00:46que j'arrive à faire de plus en plus de résultats quand je suis pas forcément le plus fort.
00:52Ce nouveau chapitre je pense pas, je pense un peu la continuité.
01:01J'ai trouvé une super ambiance, je pense que pour moi il y a le bon côté performance
01:07mais à la fois aussi on laisse un peu de liberté.
01:10Je savais que j'avais une place à prendre et que voilà il y avait dans mon compartiment
01:24un peu puncher qui va vite, il n'y avait pas grand monde donc...
01:28Moi je crois un peu à l'instinct, j'ai toujours fonctionné pareil et donc là dessus j'ai
01:45pas changé.
01:46Après physiquement voilà j'évolue, je prends de l'expérience, les défaites aussi ça fait
01:51ça fait progresser et petit à petit voilà chaque année j'arrive à gravenir un petit
01:56échéant, à devenir un peu meilleur.
01:58Not for today.
02:01Quand la course est dure, c'est ça que j'aime d'avoir.
02:04Pas des grandes montées, des petites montées ça peut aller jusqu'à 5-6 kilomètres mais
02:09c'est vraiment des journées usantes où toute la journée ça monte, ça descend un peu comme
02:13en Bretagne finalement.
02:14Au mur de Bretagne, Jean Robic est follement acclamé.
02:18Je pense qu'il n'y a pas plus mythique sur le Tour de France et en Bretagne pour
02:25le cyclisme donc c'est sûr que ça donne en plus une envie de multiplier pour ça.