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  • 11/07/2025
L’info du jour | 11 juillet - Mi-journée

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00:01La présidente de la Commission européenne échappe très largement à une motion de censure au Parlement européen,
00:06mais le débat risque de laisser des cicatrices.
00:16Sans surprise, le Parlement européen a rejeté la motion de censure contre la Commission européenne.
00:21Les partis au centre de l'échiquier politique ont fait bloc jeudi en faveur d'Ursula von der Leyen
00:26face à la droite radicale et à l'extrême droite.
00:28L'eurodéputé, à l'origine de cette motion de censure, se félicite tout de même de ce résultat.
00:34Selon lui, les 360 voix en faveur de la responsable allemande indiquent une fissure dans le soutien à la présidente de la Commission.
00:44Mais le Parti populaire européen, la famille politique d'Ursula von der Leyen, répond lui aussi avec des chiffres
00:53et souligne que l'opposition eurosceptique est en déclin.
00:56La motion de censure a été soutenue par 175 voix.
01:01Ces différences peuvent toutefois s'expliquer par la décision de plus de 160 euros députés
01:13de ne pas se présenter lors du vote.
01:15Ce scrutin et le débat qui l'a précédé en début de semaine
01:18ont surtout exposé les mécontentements de la coalition pro-européenne
01:22qui soutient la présidente de la Commission.
01:24Ce que nous avons vu aussi cette semaine, c'est que même dans la so-called
01:28front de la coalition, il y a des critiques, il y a des discontent.
01:34Et je dirais que les progressistes, les démocrates, les libéraux et les greens,
01:38nous sentons la frustration que les conservateurs, les EPPs,
01:42qui, de la fois et de la fois, vont dans l'alliance,
01:46qui votent ensemble avec l'extrême droite,
01:48quand même ça les suit et qu'on veut nous balancer les dommages qu'ils ont créés.
01:54Et je pense que nous avons montré très clairement cette semaine
01:57que nous ne devons pas rester pour ça plus tard.
02:01Si cette manche est remportée par Ursula von der Leyen,
02:04la présidente de la Commission ne ressort pas pour autant renforcée de cette séquence.
02:07Elle devra penser l'épée ouverte pendant la semaine.
02:14Des immeubles en croix aux flammes,
02:16de la fumée noire qui assombrit le ciel
02:18et des débris qui jonchent les trottoirs.
02:21Au lendemain d'une nouvelle offensive d'ampleur contre Kiev
02:24menée par la Russie au moyen de tirs de missiles et de drones
02:27dans la nuit de mercredi à jeudi,
02:29les secouristes portent assistance à la population en état de choc
02:33et tentent de venir à bout de nombreux incendies encore actifs.
02:36Selon les autorités locales,
02:38au moins deux personnes sont mortes
02:39et 16 autres ont été blessées dans l'attaque,
02:42qualifiées par Volodymyr Zelensky
02:43d'escalade de la terreur de la part de la Russie.
02:47De nombreux habitants ont trouvé refuge
02:48dans des stations de métro souterraines de la capitale ukrainienne
02:52et attendent un semblant de retour au calme.
02:55Cette attaque survient alors que les Etats-Unis
02:57ont annoncé la reprise des envois d'armes défensives en Ukraine
03:00et en amont de la rencontre entre le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio
03:04et son homologue russe Sergei Lavrov ce jeudi.
03:07Together with international efforts
03:13to boost both private and public investment
03:16in Ukraine's reconstruction,
03:19Russia's latest wave of unprecedented attacks against Ukraine
03:24has dominated discussions here
03:25at the fourth edition of Ukraine's recovery conference
03:29that is taking place here in Rome.
03:31In June alone, Russia launched around 5,500 drones
03:35against Ukraine, a record number.
03:38Now, on the first day of the conference,
03:40Ukrainian President Zelensky, speaking to journalists,
03:43said that as Russia wants to continue the war,
03:47unity among countries is the only way to stop the fighting.
03:52He also said that it's important to have guarantees
03:55in the next round of negotiations and not just words.
03:58and he stressed the importance of reaching an agreement
04:02among Western partners on the need
04:04to increase drone production.
04:07Now, we know that a few days ago,
04:08U.S. President Donald Trump said
04:10that he will send more weapons to Ukraine
04:12after early reports had suggested
04:14that the U.S. was going to hold some shipments.
04:19Zelensky confirmed in the press conference
04:21that he had discussed the Pachet missile system
04:25with U.S. President Donald Trump,
04:27something that Ukraine sees as crucial
04:30to defend itself against Russian attacks.
04:33Now, on the first day of the conference,
04:35according to official figures,
04:37around 8,300 people took part in the event,
04:42which is going to continue on Friday,
04:44which is the second and last day of the conference.
04:47Giorgio Orlandi for Euronews in Rome.
04:50Giorgio Orlandi for Euronews in Rome.
05:20Utilisant un itinéraire contrôlé et légal.
05:22Sur les six premiers mois de l'année 2025,
05:42plus de 20 000 personnes sont parvenues
05:43à rejoindre les côtes britanniques
05:45à bord de Small Boats,
05:47soit presque 50% de plus
05:49que sur la même période l'année dernière.
05:51Emmanuel Macron a dénoncé
05:52le manque d'accords migratoires
05:54entre l'UE et le Royaume-Uni
05:55depuis le Brexit.
06:00Face à la hausse du nombre
06:01de traversées illégales
06:02de la Méditerranée depuis la Libye,
06:05la Grèce prend des mesures d'urgence.
06:07Ce jeudi,
06:08plus de 500 migrants
06:09ont été transférés au port de Lavrio
06:11après avoir été interceptés
06:13au sud de l'île de Crète.
06:15Le groupe,
06:16principalement composé de jeunes hommes,
06:17a été transféré pendant la nuit
06:19à bord d'un vracrier.
06:21En parallèle,
06:22une autre opération,
06:23menée par les autorités de Crète,
06:25a conduit au transfert
06:26d'un groupe de 200 personnes
06:27vers le port du Pyrée.
06:29Ces derniers seront par la suite
06:31envoyés dans des centres de détention
06:32en Grèce continentale,
06:34faute de place libre
06:35dans les centres d'accueil en Crète.
06:38Une situation
06:39qui intervient alors que
06:40le gouvernement grec
06:41souhaite mettre en œuvre
06:43des mesures d'urgence
06:44face à la hausse d'arrivée
06:45de migrants en provenance de Libye.
06:47Le Premier ministre
06:48a annoncé cette semaine
06:49la suspension
06:50pendant trois mois
06:51du traitement des demandes d'asile
06:53pour les migrants
06:54arrivant d'Afrique du Nord
06:55par la mer.
07:02Piège ou erreur stratégique,
07:04pourquoi l'UE a-t-elle voulu
07:05rencontrer le maréchal Haftar,
07:07l'homme fort de l'Est libyen ?
07:09Le commissaire chargé des migrations
07:11et trois ministres européens
07:12ont été expulsés mardi de Libye
07:14à cause d'un problème
07:15protocolaire selon Bruxelles.
07:18Après une rencontre
07:18avec le gouvernement
07:19libyen à Tripoli,
07:21la délégation européenne
07:22était censée rencontrer
07:23le maréchal Haftar
07:24à Benghazi.
07:25Mais celui-ci aurait tenté
07:26de forcer la main à l'UE
07:27en imposant la présence
07:29de ses ministres.
07:29It was simply a ruse
07:31by Haftar
07:31to try to legitimise
07:33this government
07:33and the civilian face
07:34of his military dictatorship.
07:37And so when the ruse
07:38didn't work
07:38and when the EU ambassador
07:40and other diplomats
07:42said that they are unable
07:43to meet with the government,
07:46well, Haftar,
07:47as the English say,
07:48he threw his toys
07:48out of the pram.
07:49he PNG'd the European diplomats
07:55and essentially sent them
07:56back to Europe
07:57because he was not able
07:58to use them
07:59for this political charade
08:00that he was trying to pull off.
08:02La Libye est divisée en deux.
08:04Dans l'ouest du pays,
08:05le gouvernement d'Union nationale,
08:07reconnu par l'ONU,
08:09est dirigé par le premier ministre
08:10Abdelhamid Beba.
08:12L'Est est contrôlé par son rival,
08:13le maréchal Khalifa Haftar,
08:15à la tête de l'autoproclamée
08:16armée nationale libyenne.
08:18L'Union européenne coopère
08:19avec la Libye
08:20afin de lutter contre
08:21l'immigration illégale
08:22et les filières de passeurs.
08:24Ces dernières années,
08:25les traversées pour l'Europe
08:26depuis l'Est libyen
08:27sont en hausse.
08:32Toutefois, des questions
08:59se posent sur le besoin
09:00de lieu de rencontrer
09:01le maréchal Haftar.
09:02Il accuse notamment
09:20la famille Haftar
09:21d'instrumentaliser les migrations
09:23pour tenter d'obtenir
09:24des concessions de lieux.
09:26Ces derniers jours,
09:27des îles grecques ont connu
09:28un fort afflux de migrants
09:29en provenance de Libye.
09:32Le Canada n'a pas échappé
09:36à la nouvelle volée
09:37de droits de douane
09:37de Donald Trump
09:38qui annonce une taxe
09:40de 35%
09:41sur les exportations canadiennes
09:42vers les Etats-Unis
09:43à partir du 1er août.
09:45Comme une vingtaine
09:46d'autres dirigeants internationaux
09:47cette semaine,
09:48le premier ministre canadien
09:49Mark Carney
09:50a reçu une lettre
09:51du président américain
09:52lui annonçant
09:52cette nouvelle augmentation tarifaire.
09:55Celle-ci viendra s'ajouter
09:56aux taxes déjà appliquées
09:57à des secteurs spécifiques
09:58tels que l'acier,
09:59le fer et les automobiles.
10:02Si la guerre tarifaire
10:03engagée par Donald Trump
10:04est mondiale,
10:05les tractations avec Ottawa
10:06ont un caractère
10:07éminemment politique
10:08face à l'insistance
10:09du président américain
10:10pour que le Canada
10:11rejoigne les Etats-Unis.
10:12À plusieurs reprises déjà,
10:14Donald Trump a essayé
10:15d'utiliser ses droits de douane
10:16comme une incitation
10:17en déclarant publiquement
10:19que le Canada
10:19n'aurait plus à les subir
10:20s'il devenait
10:21le 51e Etat américain.
10:23Face à la posture agressive
10:24de Washington,
10:25Ottawa cherche depuis
10:26plusieurs mois à développer
10:27des partenariats
10:28avec d'autres puissances mondiales.
10:33Le président américain
10:34Donald Trump
10:35a déclaré
10:36qu'il imposerait
10:36des droits de douane
10:37de 50%
10:38sur les importations brésiliennes,
10:40citant un procès
10:41de chasse aux sorcières
10:42contre l'ancien président
10:43brésilien
10:44Jair Bolsonaro.
10:46Bolsonaro est accusé
10:47d'avoir organisé
10:48un coup d'Etat
10:48après sa défaite électorale
10:50de 2022.
10:51Les chefs d'accusation
10:52sont notamment
10:53la participation
10:54à une organisation
10:55criminelle armée
10:56et tentative
10:57de saper
10:58l'ordre démocratique
10:59brésilien.
11:01Dans une lettre
11:01adressée
11:02à l'actuel président
11:03Luis Ignacio
11:05Lula da Silva,
11:07Trump déclare
11:08que le procès
11:08ne devrait pas avoir lieu
11:09et demande
11:10qu'il prenne fin
11:11immédiatement.
11:12Lula a répondu
11:13que les droits
11:14de douane
11:14de 50%
11:15déclencheraient
11:16la loi brésilienne
11:17sur la réciprocité économique,
11:19ce qui pourrait
11:19entraîner la suspension
11:20des accords
11:21sur le commerce,
11:22l'investissement
11:23et la propriété intellectuelle
11:24conclue avec les Etats-Unis.
11:26Lula a également noté
11:27que les Etats-Unis
11:28ont maintenu
11:28un excédent commercial
11:29de plus de 410 milliards
11:31de dollars
11:32avec le Brésil
11:33au cours
11:33des 15 dernières années.
11:35Bolsonaro, lui,
11:36n'a pas commenté
11:37l'annonce de Trump
11:37mais il s'est déjà dit
11:38victime
11:39de persécutions politiques.
11:40?
11:42Uncesté
11:42?
11:42Uncesté
11:43?
11:43Uncesté
11:43?
11:45Uncesté

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