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  • 09/07/2025

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00:00Europe 1 Soir, 19h21, Pierre de Villeneuve.
00:04Georges Fenech est là, Vincent Roy aussi, on commente l'actualité.
00:07On a entendu Rima Hassan tout à l'heure exhorter la France lors d'une prise de parole au Parlement européen
00:13à changer de ton vis-à-vis de l'Algérie.
00:15Ottoman Nasrou, secrétaire général des Républicains, a réagi à ses propos.
00:18C'était ce matin sur CNews et Europe 1.
00:20Je demande à Rima Hassan de changer de ton vis-à-vis de la France,
00:22dont elle est censée représenter, porter les intérêts et les couleurs.
00:27Et je constate qu'elle sait effectivement l'inverse.
00:28Madame Hassan n'est pas aujourd'hui la représentante des intérêts français.
00:33C'est une réalité, c'est une évidence.
00:35Et en vous disant cela, je ne comprends pas pourquoi Madame Hassan se fait élire
00:39comme députée européenne française, si c'est pour être contre la France.
00:43On peut vivre dans n'importe quel pays du monde, on peut défendre les idées qu'on veut,
00:48mais il y a un moment où il faut sortir d'une grande hypocrisie.
00:50Et moi je le dis très clairement, tous ceux qui ont fait de leur fonds de commerce
00:53cette détestation de la France, Madame Hassan en est aujourd'hui légérie.
00:56Et je pense qu'il faut absolument combattre ces gens-là.
00:58Il faut combattre ce mouvement absolument par tous les moyens.
01:01Il y a quelque chose que je ne comprends pas, Georges Fenech,
01:03vous qui avez été magistrat, qui connaissez le droit, qui connaissez la loi.
01:08Comment est-ce que, à chaque fois qu'il y a des propos qui font réagir,
01:14énormément de Français en montrent les sondages,
01:16c'est ça pour Cedius, pour Europe 1, pour le JDD, et pas que.
01:22Il y a aussi d'autres sondages, Odoxa et Lab, qui sont sur les propos tenus depuis notamment,
01:28notamment le 7 octobre 2023 par la France insoumise,
01:32et tout particulièrement par Madame Hassan.
01:34Comment est-ce qu'à chaque fois, on arrive à passer sous la barrière judiciaire ?
01:40Il n'y a rien qui n'est pas de...
01:43C'est une députée française.
01:44On entend Othmane Nassau, qui a accessoirement été ministre,
01:47il y a peu de temps, sous le gouvernement Barnier,
01:50et qui dit, mais c'est une députée qui représente la France.
01:53Comment est-ce qu'il y est...
01:55Elle passe sous les...
01:57Sur cette question-là, la justice n'a pas à se mêler,
02:01heureusement d'ailleurs, d'un discours purement politique,
02:04même si ce discours, il nous irrite au maximum,
02:09puisqu'effectivement, on entend défendre des intérêts étrangers contre la France.
02:15Et ça n'est pas pénalement répréhensible.
02:17Par contre, il y a un certain nombre de propos,
02:20qui eux, tombent sous le coup de loi pénale,
02:21qui ne sont plus politiques,
02:22mais qui sont constitutifs,
02:26soit d'une apologie, du terrorisme,
02:29d'un appel à la haine, d'une discrimination.
02:32Ceux-là, d'ailleurs, font l'objet, actuellement,
02:34contre Rima Hassan,
02:36d'instructions par le parquet et par des juges.
02:39Souvenez-vous de la plainte de François-Xavier Bellamy, lui-même.
02:43Donc, voilà, laissons la justice intervenir
02:46sur ce qui relève d'infractions,
02:49et laissons le débat politique se dérouler ailleurs,
02:52que devant les instances judiciaires.
02:54Je crois que c'est important d'apporter des contrepoids,
02:57des contrepoints à ces discours,
02:59parce que Mme Rima Hassan, finalement,
03:02c'est la face immergée d'elle et fille,
03:04au Parlement européen.
03:06Mais c'est tous les jours qu'on entend,
03:07la part de la bouche des autres,
03:09nier même l'existence, un jour ou l'autre, de la France.
03:12Puisqu'on s'attaque à la langue française,
03:14on parle de créolisation,
03:15on est contre la France.
03:17Oui, il y a un ressentiment,
03:18il y a un ressentiment,
03:19des comptes à régler,
03:21le bagage doit leur paraître trop lourd,
03:24et au bout d'un moment,
03:25ça s'exprime, ça se sent.
03:27Oui, il y a une haine française,
03:30qui est du quoi,
03:32qui a la colonisation,
03:34qui, on sait que, par exemple,
03:36M. Mélenchon est né de l'autre côté de la Méditerranée,
03:40et donc, ça lui, a priori,
03:42c'est ce qui pourrait faire en sorte que...
03:44Mais il n'est pas le seul.
03:45Non mais, chez lui, ça l'a tant marqué
03:48qu'il faut sans cesse qu'on s'excuse de la colonisation,
03:52et qu'il envisage une créolisation du pays,
03:56en disant même la langue française,
03:58en attaquant vraiment tout ce qui est caractéristique
04:02de la France que nous connaissons et que nous aimons.
04:05Bon, il y a donc là un problème qui doit...
04:08C'est une négation de civilisation, en fait.
04:10C'est une négation de civilisation.
04:11On est dans le...
04:12Je ne veux pas sortir les grands mots,
04:14mais on frôle le négocianisme.
04:15Oui, oui, mais totalement.
04:17Mais je crois que là, on est chez Jean-Luc Mélenchon,
04:20dans cette phase-là.
04:21Il n'a pas toujours été ainsi.
04:22C'est pourquoi je dis qu'il y a des paniers, il y a des phases.
04:24On a mis 15 siècles d'histoire et de civilisation,
04:26et ce qui m'avait marqué, moi je me souviens,
04:29c'était pas tant sur le fond, c'était sur la forme.
04:32Il y avait ce phrasé de Jean-Luc Mélenchon,
04:35et à un moment donné, il dit, voilà, il faut la créalisation du...
04:37Cette langue s'appellera non plus la langue française, la langue créole,
04:41et puis les Français s'y feront.
04:42Oui, voilà.
04:43Un peu comme un monarque qui dirait,
04:46écoutez, ça sera comme ça.
04:48Voilà, de toute façon, il n'y a rien d'autre à dire.
04:50C'est dans la logique des choses.
04:52Un peu dans aussi la logique qu'avait dit de façon un peu folle
04:55ce réalisateur Mathieu Kassovitz,
04:57qui avait dit que, de toute façon, les Français de souche, il n'y en a plus.
05:00Oui, c'est ça.
05:00Voilà, ça avait été repris par Mme Rousseau au Parlement,
05:05qui avait dit que les Français de souche, il n'y en avait plus.
05:08Il y a quand même une chose qui est fondamentale dans tous ces propos,
05:12c'est que ça revient à couper le Français de ses racines.
05:17Et dès lors que l'on coupe...
05:19Exactement, c'est très juste que vous dites.
05:20Que l'on coupe un individu, que l'on veut couper à toute force,
05:24que le pouvoir politique veut couper à toute force un individu de ses racines,
05:28ça porte un nom, ça s'appelle le fascisme.
05:30C'est ce qu'a parfaitement théorisé quelqu'un comme Mussolini en Italie.
05:34La volonté était de vraiment couper quelqu'un de ses racines.
05:39Remontez à la révolution que M. Mélenchon connaît très très bien.
05:44Regardez Robespierre, réinvention d'une autre religion,
05:48le culte de l'être suprême, réinvention d'un calendrier.
05:52N'oubliez pas tout ça.
05:53C'est un hébertiste, Mélenchon.
05:54Il connaît parfaitement son histoire.
05:56C'est très important.
05:57Je cite souvent la chute de l'Empire romain.
06:00Et après, il y a eu d'autres régimes.
06:02Et après, on a construit autre chose.
06:04Aujourd'hui, on est, la plupart des Français,
06:06sans vouloir d'ailleurs critiquer quoi que ce soit,
06:10on est dans l'ère du temps.
06:11Et donc, on est habitué, on nous parle maintenant de l'IA, du quantique.
06:14Et puis, dans nos vies qui sont difficiles,
06:17à tous les niveaux,
06:18on se réfugie dans une série télévisée sur Netflix.
06:21Il y a cette espèce de confort,
06:23cette petite ouate, vous voyez,
06:26confortable, accessible.
06:28Et on en perd justement le fait que,
06:31secrètement, des choses peuvent intervenir
06:34qui nous échapperaient.
06:35Pardon Georges.
06:35Non, ça rejoint d'ailleurs le débat précédent,
06:38sur l'entrisme.
06:40En fait, quand on parle de djihad,
06:42il y a le djihad violent,
06:44celui qui se manifeste par le terrorisme,
06:47notamment...
06:47Je vais en Syrie,
06:48je prends les armes,
06:49je vais dans des camps d'entraînement,
06:50et je vais commettre des attentats.
06:51Exactement.
06:52Mais il y a une autre forme de djihad,
06:54dans laquelle, notamment,
06:55les frères musulmans,
06:56se sont illustres quotidiennement.
06:58C'est ce phénomène d'entrisme soft,
07:02qui...
07:03Silencieux.
07:03Voilà, silencieux,
07:05qui s'habille sous des visages humanitaires,
07:08etc.
07:08Vous voyez, moi j'ai connu ça,
07:09par ailleurs,
07:10dans le phénomène sectaire.
07:11C'est toujours soft,
07:12on n'effraie pas.
07:13Et donc,
07:14si on n'a pas conscience de cela,
07:16apparemment,
07:17le gouvernement,
07:19le président de la République,
07:20en ont enfin pris conscience,
07:22puisque ça fait encore l'objet
07:23d'un conseil de défense.
07:25Et donc,
07:26ce qu'on peut déplorer fortement,
07:29c'est qu'une partie de notre classe politique
07:31accompagne ce mouvement,
07:33finalement.
07:34C'est ça qui est terrible.
07:35Et on se demande,
07:36mais jusqu'où ?
07:36Parce que quand vous vous rappelez
07:37que Jean-Luc Mélenchon
07:38a failli se qualifier
07:39pour second tour des présidentielles,
07:41qu'aux dernières législatives,
07:42ils ont eu des députés élus
07:43au premier tour,
07:44dans des grandes villes,
07:45on se dit,
07:46mais jusqu'où ça peut aller ?
07:47Et il fait tout pour,
07:48et il fait tout pour,
07:49en ce moment,
07:49pour 2027.
07:50Bien sûr.
07:50Et n'oublions pas ça.
07:51Et bien sûr.
07:52Et n'oublions pas non plus
07:53qu'il théorise
07:57ce qui,
07:58d'une certaine façon,
07:59a déjà eu lieu.
08:00Je m'explique.
08:01En mobilisant
08:01une sorte de lumpenproletariat
08:03dont on parlait tout à l'heure,
08:05en essayant de jouer
08:06sur ces cordes sensibles-là,
08:08un petit coup de Gaza,
08:12un grand coup d'antisionisme
08:14qui maquille un antisémisme.
08:16Voilà.
08:16On fait résonner
08:17un certain nombre de choses
08:18et on essaie
08:19de trouver
08:20ce qui est issu de la Révolution,
08:22une légitimité.
08:24Je m'exprime.
08:25M. Mélenchon a compris
08:26que la Révolution
08:26avait fonctionné
08:27avec une double légitimité.
08:30La France,
08:31c'est toujours un conflit
08:32de légitimité.
08:34Depuis la Révolution,
08:35on sait cela
08:35et on ne risque pas
08:36de se tromper.
08:37Vous avez la légitimité
08:38du jeu de paume,
08:39c'est le vote,
08:40et vous avez la légitimité
08:41de la Bastille,
08:42c'est la rue.
08:43La légitimité de la Bastille,
08:44d'une certaine manière,
08:45elle a fonctionné,
08:46elle a marché,
08:47c'est franco-français.
08:48C'est l'appel
08:49à la désobéissance,
08:50aujourd'hui.
08:50Vous ne le trouvez pas ailleurs
08:52et M. Mélenchon,
08:53qui est un élève
08:54des maires,
08:55si j'ose dire,
08:56et d'un évertiste
08:57dans toute sa splendeur,
08:58a très bien compris
08:59que lui,
09:00il allait jouer
09:00la légitimité de la rue
09:02contre la légitimité
09:03de la Bastille.
09:03Il est en cela,
09:04d'ailleurs,
09:04c'est très curieux,
09:05il est en cela
09:05excessivement français.
09:06C'est encore ce qu'a dit
09:07pour prendre un exemple concret,
09:09non pas M. Mélenchon
09:10mais Mme Rousseau,
09:11qui,
09:12lors des manifestations
09:13de la 69,
09:14a dit
09:14il faut respecter la loi,
09:16etc.
09:16Le parlant député,
09:18mais je ne condamnerai pas
09:21ceux qui appellent
09:21à la désobéissance.
09:22Absolument.
09:23Donc voilà,
09:23on est très très loin
09:24du serment de...
09:24J'ai même entendu,
09:26non pas de sa part,
09:26mais je ne sais plus qui,
09:27de ce mouvement-là,
09:29légitimer,
09:29même d'une certaine façon,
09:30la violence.
09:31Oui.
09:32Vous vous souvenez ?
09:32Oui, il y a eu les attaques
09:34à Sainte-Soligne,
09:34notamment.
09:35Exactement.
09:36On comprenait,
09:36en tout cas,
09:37on comprenait,
09:37il peut y avoir
09:39des actes de violence.
09:41Là-dessus,
09:41je voudrais qu'on écoute
09:42M. Coquerel.
09:43Il était ce matin
09:44sur Sud Radio.
09:46Emmanuel Macron
09:47veut une loi
09:47avant la rentrée
09:48sur la lutte
09:49contre l'entrisme islamiste.
09:51Voyons ce qu'en pense
09:51le président
09:52de la Commission des Finances
09:54de l'Assemblée Nationale.
09:55LFI,
09:55faut-il le rappeler ?
09:56Il est en difficulté politique
09:58et ce qu'il fait,
09:58c'est qu'il divise les Français
09:59avec ce bon vieux système
10:01qu'est le racisme
10:02qui a toujours servi
10:03les possédants
10:03dans ces cas-là.
10:04Il est raciste ici,
10:05Emmanuel Macron ?
10:06Non, mais ça,
10:06ce qu'il produit,
10:07ça produit du racisme.
10:08Je vais vous expliquer pourquoi.
10:09C'est que les chiffres,
10:10maintenant,
10:10ne peuvent plus être contestés,
10:12vous avez une augmentation
10:13de 75%
10:14des actes islamophobes
10:15dans ce pays.
10:15Et que fait Emmanuel Macron ?
10:17Il pointe quelque chose
10:18qui est complètement poreux,
10:19c'est-à-dire
10:19dont un rapport
10:21qui est sorti récemment
10:22dit que ce n'est
10:23ni un danger sur le terrorisme,
10:24ni un danger
10:25sur une installation de califat,
10:26mais que, finalement,
10:28c'est une version intégriste
10:30d'une religion,
10:31d'accord,
10:32mais qui ne met pas
10:32en danger l'État.
10:33Et qu'est-ce que fait Macron ?
10:34Il pense qu'il faut changer
10:35la loi encore
10:36pour durcir ses conditions.
10:37Est-ce que, vraiment,
10:38c'est ça l'urgence ?
10:39La rhétorique est intéressante,
10:41Vincent Roy.
10:42Le mot possédant est sorti,
10:43vous avez entendu.
10:44C'est les possédants,
10:46vous voyez,
10:46donc on essaie,
10:47encore une fois,
10:48on oppose.
10:49Voilà,
10:50mais c'est un...
10:50Alors là,
10:50vous avez tout un discours
10:52qui est déployé,
10:54alors tout un discours
10:55qui fait fi,
10:56qui fait fi du réel,
10:58et qui sert,
11:00encore une fois,
11:00cette idéologie
11:01dont nous parlions tout à l'heure.
11:02Mais qui fonctionne.
11:04Malheureusement,
11:04évidemment que ça fonctionne.
11:05C'est-à-dire que là,
11:07quand un certain nombre
11:08d'individus sur notre territoire
11:10entendent ce discours,
11:12comme on dit vulgairement,
11:12ça fait tilt.
11:13Ça fait tilt,
11:14et ça peut avoir des conséquences.
11:16C'est un peu comme,
11:17je reprends quelques exemples
11:18qu'on a cités dans les reportages,
11:20notamment que les reporters
11:21d'Europe 1 font
11:22sur ces sujets-là,
11:24avec les jeunes
11:25qui sont approchés
11:30par des jeunes
11:31qui étaient jeunes,
11:32mais qui le sont un peu moins,
11:33et qui, voilà,
11:34et ça marche à quoi ?
11:35Ça marche au cadeau.
11:36Tiens, je vais t'acheter une canette,
11:37je vais t'acheter un sandwich,
11:40tiens, tu voudrais
11:41une nouvelle paire de chaussures,
11:42ben tiens,
11:42on va aller la choisir pour toi,
11:44et puis après,
11:44et puis après,
11:44ben tiens,
11:45je vais t'expliquer
11:45comment ça marche,
11:46tiens, tu pourrais faire ceci.
11:48C'est exactement,
11:49ce sont des policiers
11:50qui racontaient ça
11:51au micro d'Europe 1,
11:53notamment comment on chassait,
11:54comment on faisait la chasse
11:56au recrutement
11:57pour le trafic de drogue,
11:59mais c'est la même chose
11:59pour l'entrée des mises-là-mistes.
12:00Tiens, je vais t'expliquer
12:01comment est-ce qu'il faut parler un tel,
12:03comment est-ce que...
12:03Tout ça,
12:04et vous disiez soft
12:05en bon français,
12:07mon cher Georges Fenech.
12:07Pardon, excusez-moi.
12:08Non, non, mais...
12:09Doux.
12:09Vous avez raison.
12:10Doux, voilà,
12:11mais on comprend mieux soft,
12:12effectivement, à l'oral,
12:13vous avez raison.
12:14C'est la même méthode.
12:16Exactement,
12:17c'est tout à fait
12:18la même méthode.
12:19Elle est efficace,
12:21elle est sans douleur,
12:23on ne se rend pas bien compte
12:24au départ,
12:25et quand on met le doigt
12:25dans l'engrenage...
12:26Et les jeunes sont influençables.
12:28Mais évidemment
12:28qu'ils sont influençables,
12:30évidemment.
12:31Et donc,
12:31dès lors que vous brandissez aussi
12:33à un certain moment
12:34un idéal,
12:35parce que c'est présenté
12:36comme un idéal.
12:37Bien sûr,
12:37tu vas devenir un héros.
12:39Exactement,
12:39parce que les jeunes
12:40manquent d'idéal.
12:42C'est la raison
12:42pour laquelle Georges
12:43a bien raison
12:44de rapprocher
12:45les...
12:46de parler
12:47des phénomènes sectaires.
12:49Parce que
12:49l'embrigadement,
12:50il se passe
12:51dans un cas
12:52comme dans l'autre
12:53exactement de la même façon.
12:54C'est trois étapes.
12:5620h...

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