- il y a 5 mois
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08:272
08:35D'un d'un d'un d'un d'un court
08:37le coup de douleur
08:38une spécifique
08:39le sly devient
08:40le bataille
08:41la base
08:41il s'agit de la slas
08:42et le bâle
08:42un 7-footer
08:4335 pour la fête
08:44un nouvel
08:44plus de la carrelle
08:45un nouvel
08:45un nouvel
08:46un nouvel
08:46un nouvel
08:50un nouvel
08:51un nouvel
08:53un nouvel
08:54un nouvel
08:55un nouvel
08:55un nouvel
08:56un nouvel
08:57C'est parti, c'est parti, c'est parti !
09:27C'est parti, c'est parti !
09:57The Pacers, a strong comeback, but the Thunder had the answer.
10:02A playoff gem for Jalen Williams.
10:06It's cool, it's just another one. We got one more, it's not first to three.
10:09One more win!
10:11One more win!
10:13One more win!
10:15Could you foresee having this type of game at the biggest game of your career?
10:22The biggest game thing I've gotten kind of numb to, because every time we play in the finals, it's the biggest game of your life, you know what I mean?
10:29So, I think that's given me a little more comfort in just, like, playing hard and playing aggressive.
10:33Tyrese, Rick said that there was a discussion at halftime about whether you should keep going or not, and that you insisted on him playing, even though you're obviously laboring.
10:43What went into that decision?
10:44I mean, it's NBA Finals. It's the Finals, man. I've worked my whole life to be here, and I want to be out there to compete.
10:52Got to be ready to go for Game 6.
10:53You want me to drive, or do you want to drive?
11:00Got to stay focused.
11:02Got to have the same sense of urgency we had tonight.
11:06To get one win against a team like that is going to be very hard.
11:08It's been very hard, so it's going to be no different next game.
11:11We've got to bring our A game.
11:12A game 5 d'une intensité folle qu'on a eu la chance de vivre sur Beansport.
11:29On va maintenant revenir, les gars, forcément, sur le cas de Jalen Williams, qui a été absolument exceptionnel.
11:34Un joueur qu'on a appris à découvrir, à adorer cette saison, qui a eu la jolie surprise d'être choisi All-Star.
11:40Un mec qui a connu une montée en puissance terrible dans ses finales.
11:44Je voudrais savoir, Xav, l'avenir que tu imagines à Jalen Williams ?
11:48C'est pas simple, cette histoire-là.
11:49C'est pas simple du tout, parce qu'avec Jalen Williams, c'est souvent d'ailleurs du tout ou rien.
11:54Début de saison, effectivement, il est tellement exceptionnel de la part d'Okesy qu'on imagine qu'Okesy va avoir plusieurs joueurs All-Star.
11:59Et que la deuxième option pour avoir un All-Star à prêcher, évidemment, on l'a tout de suite pensé.
12:03Et tout le monde a pensé à Jalen Williams, il est All-Star.
12:05Sauf que pour assumer son statut, ça a été assez compliqué.
12:08Je parle particulièrement pendant ses finales.
12:11Match 1 et 2, ils n'ont pas été bons du tout.
12:13Le match 3, il est bon, mais dans une défaite.
12:15Le match 4, il est très bon, c'est Sheik, il fait la différence à la fin.
12:18Et le match 5, là, clairement, c'est son match.
12:21Et c'est ce que vous disiez d'ailleurs, le temps qu'il est devenu capitaine, formidable.
12:24De là, lui trouver tout de suite, lui imaginer quelle sera réellement son allière,
12:29c'est pas si simple que ça, je trouve.
12:30On sait que c'est quelqu'un qui est pour l'instant encore dans un contrat rookie,
12:33il est extrêmement jeune, c'est sa troisième saison.
12:36Il a tout ce qu'il faut en boutique.
12:39Mais je trouve que pour un jeune, on lui en demande déjà énormément
12:41et qu'il finit par répondre présent.
12:43Donc son navire peut être brillant.
12:45Maintenant, je crois que c'est lui qui a les cartes en main, on verra.
12:47Mais je pense que son navire, en tout cas, oui, il y a de quoi être confiant pour lui.
12:52A confirmer.
12:53Il ira jusqu'où, Jelon Williams ?
12:55Il est déjà assez haut, il est déjà assez haut.
12:59C'est un garçon qui est qu'en troisième année de NBA.
13:02C'est quand même fantastique.
13:04Un couteau suisse restera toujours un couteau suisse.
13:07Il est capable de défendre les meneurs, il est capable de défendre les grands.
13:11Il l'a montré pendant la saison avec les blessés qu'il y avait.
13:14Il est capable de faire plein, plein de choses sur le terrain.
13:19Santa Clara l'a bien formé.
13:21Il s'est bien développé auprès de McDaniel et de Sheik.
13:26Maintenant, c'est un lieutenant.
13:27Il remplit les cases.
13:29Il est encore irrégulier au shoot, même s'il nous a fait un match fantastique
13:33à 40 points en mettant dedans.
13:36C'est peut-être sa plus belle progression à avoir.
13:39Après, dans sa carrière, je dirais qu'il va y avoir la fin du contrat rookie.
13:44Et il y aura des sous à donner.
13:47Est-ce que Casey va pouvoir suivre les grands affamés ?
13:52Vous voyez de quoi je parle ?
13:53Les grandes franchises qu'il prenne après ?
13:56Je pense que sur lui, ils n'hésiteront pas trop à envoyer le max.
13:59D'accord.
14:00J'imagine.
14:02Il y a toujours la référence Pippen.
14:04Quand Pippen a perdu son rôle de lieutenant de Michael Jordan,
14:09il est sorti un peu des radars.
14:13Que ce soit à Portland, à Houston ou ailleurs.
14:17Revenons-en un petit peu à notre finale.
14:19Les gars, OK, si, il mène donc 3-2 désormais.
14:21A 3-2, sachez que vous avez 74% de chances d'être sacré champion.
14:253 chances sur 4.
14:26En gros, que ça passe.
14:28Comment, les gars, désormais, on évite le piège de croire que c'est déjà gagné, Xav ?
14:33C'est justement là où on attend un petit peu au Casey.
14:36Il faut faire ce fameux close-out.
14:39J'en ai parlé pendant tous les playoffs.
14:40Leur marge de progression, justement, par rapport à avant, elle est là.
14:43C'est-à-dire terminer les matchs et maintenant terminer les séries.
14:46Ça s'est très bien passé en termes de terminer les matchs.
14:48On l'a vu, on l'a vu sur le match 4 particulièrement.
14:53Quand ils reviennent à moins 2, les Pacers, finalement, ils réussissent tout de même à terminer le match au Casey.
14:58Est-ce qu'ils vont être à même de terminer la série maintenant ?
15:01Je pense que c'est exactement ce qu'ils veulent.
15:03Ils ne veulent pas du tout retourner à OKC, sauf déjà avec le trophée en main.
15:08Cette capacité à finir, est-ce qu'ils vont pouvoir l'avoir ?
15:10Ils ne l'ont pas eu contre Denver.
15:11Est-ce qu'ils vont l'avoir ici ?
15:13On va voir.
15:15Ce n'est pas du tout impossible.
15:1674% de chance, de toute façon, c'est totalement logique.
15:19On sait que s'ils perdent là, de toute façon, ils peuvent très bien gagner le prochain à domicile
15:23où ils seraient évidemment archi-favoris.
15:25Maintenant, il y a un match à jouer ce soir.
15:28Je pense qu'ils ont, là aussi, ils ont très envie que ça se termine aujourd'hui.
15:32S'ils le peuvent, ils le feront.
15:33C'est un piège, Jacques, de croire que c'est fini déjà ?
15:35C'est le piège.
15:37Ce n'est pas fini parce qu'il en reste un gagné.
15:39Le 16e, c'est le plus dur.
15:41Et quelque part, j'aime bien la référence à Denver.
15:44Parce que c'est exactement le rythme qu'il y a eu dans notre finale
15:50par rapport à la demi-finale de confs face au Joker et Denver.
15:55Et il s'était fait dominer, mal axé au match 6.
15:58Donc, il y a...
16:00Alors, chat et chaudé, crâle au froide.
16:02Je ne doute pas que Marc Daignan aura rappelé tout ça.
16:07Ils ont l'air quand même en mission.
16:09Ils trouvent des solutions.
16:11Caruso, Wiggins & Wallace.
16:14L'apport de Kenrich Williams aussi.
16:17Je veux dire, il ne faut pas non plus qu'ils soient perturbés.
16:21On en parlera sans doute après par Halliburton, pas Halliburton.
16:25Parce qu'autant, ça perturbe Indiana.
16:27Mais ça peut perturber au Casey aussi.
16:30Vous savez, le rôle de favori, ils l'ont.
16:34Là, je pense que c'est une meilleure équipe.
16:37Après, il faut le montrer sur le terrain.
16:39Et s'ils gagnent ici, à Indianapolis, dans Basketland,
16:43eh bien, ce sera quand même la cerise sur le gâteau
16:48ou ice on the cake, c'est ça ?
16:50Icing on the cake.
16:51Icing on the cake.
16:53Voilà.
16:54Ce serait d'une noblesse supérieure.
16:57On va prendre maintenant, les gars, un moment dans NBA Extra
16:59pour s'intéresser à un joueur que vous adorez.
17:02Je le sais, un gamin du Minnesota
17:04qui, dès ses années lycées, a su
17:06ce que le monde du basket attendait de lui.
17:10Voici l'histoire de Chetholm Gren,
17:12compté par Fred Schweckert.
17:20L'homme de l'ombre, jamais cité en premier,
17:23mais tellement essentiel dans le roster d'Oklahoma.
17:27Chetholm Gren avance sous les radars
17:29avec un volume de jeu des deux côtés du terrain
17:31qui parle pour lui.
17:36NBA Draft 2022, all the rest, ready to go.
17:39Let's do it.
17:42With the second pick in the 2022 NBA Draft,
17:48the Oklahoma City Thunder select
17:50Chetholm Gren from Gonzaga University.
17:52Star à l'université de Gonzaga,
17:58Chetholm Gren a déjà tout pour s'imposer en NBA,
18:01devenir une licorne.
18:02Malgré ses 2m29 d'envergure,
18:05il est capable de driver, shooter à 3 points
18:07et être une menace dans la peinture.
18:09Il est drafté par le Thunder la même année
18:10que Jalen Williams.
18:11Véritable two-way player,
18:33sa capacité à protéger la raquette
18:35va au-delà des lignes de stats.
18:37Sa mobilité lui permet de changer
18:38sur tous les écrans,
18:39ce qui colle avec la philosophie défensive
18:41de Marc Daigneault.
18:43On ne le fait pas beaucoup avec lui
18:44parce qu'il est tellement impactif
18:45au-delà.
18:47Mais il peut vraiment changer.
18:50C'est drôle,
18:51quand il est venu de la draft,
18:52c'était une des choses
18:54qu'ils ont vraiment reconnu
18:56avec lui,
18:57c'est qu'il est très changeable,
18:58il a de bons pieds.
18:58Alors que la NBA lui tend les bras,
19:21sa première année dans la Ligue
19:22sera une saison blanche.
19:23Il devra attendre 11 mois
19:25pour retourner sur les parquets.
19:26Un long process
19:27qui lui a permis
19:28de travailler certains aspects
19:29de son jeu.
19:39Dès ses débuts sur les parquets,
19:41Chet Tomgren a dû se battre
19:42pour faire partie des meilleurs.
19:44Très tôt,
19:44malgré sa grande taille,
19:46il va développer
19:46des mouvements d'arrière,
19:47non sans difficulté.
19:48Une abnégation
20:11qui va lui permettre
20:12de gravir les échelons.
20:13Chet Tomgren va rentrer
20:15dans la lumière
20:15un jour d'opposition
20:16avec Steph Curry,
20:17ce qui lui ouvrira ensuite
20:19les portes des facultés
20:20les plus prestigieuses.
20:22Le natif du Minnesota
20:29a tout pour devenir
20:30une superstar de la Ligue.
20:31Mais quand il peut enfin
20:47démarrer sa carrière
20:48en octobre 2023,
20:49c'est une autre licorne
20:50qui va prendre
20:51toute la lumière.
20:51Deuxième pour le vote
21:11de rookie de l'année 2024,
21:13Chet Tomgren démarre
21:14la saison suivante en trombe.
21:15Mais après seulement 10 matchs,
21:17c'est une nouvelle blessure
21:18qui va le couper
21:18dans son élan.
21:21S'il va encore manquer
21:32une trentaine de matchs,
21:33Chet Tomgren continue
21:34de gravir les échelons
21:35dans l'ombre
21:36du du All-Star
21:37chez Giff-Alexander
21:38Jalen Williams.
21:40À l'image de son équipe,
21:41au-delà de son talent,
21:42c'est sa précocité
21:43qui impressionne.
21:51Chet Tomgren fait partie
22:03de cette liste
22:04qui ont fait entrer
22:05les joueurs de plus de 2m10
22:06dans une autre dimension,
22:08capables de nous émerveiller
22:09en repoussant
22:10les limites de l'entendement.
22:12Un titre de champion
22:13validerait sa progression
22:15et le propulserait
22:16définitivement dans la lumière.
22:21L'incroyable histoire
22:23de Chet Tomgren
22:24racontée par Fred Schweckert
22:26de la Team NBA Extra.
22:27Toujours depuis Néapolis,
22:29j'aimerais que vous en parliez,
22:31Xavier Jacques,
22:31de Chet Tomgren.
22:32Racontez-moi un peu,
22:33coach,
22:33ce que vous voyez en lui.
22:34Je suis épaté.
22:35Je suis totalement épaté
22:36par sa dureté mentale,
22:39par ce qu'il nous montre
22:41dans ses finales,
22:42par sa capacité
22:44à alterner maintenant
22:45les deux postes,
22:454 et 5,
22:46sa capacité
22:47à assurer
22:48un repli défensif
22:49efficace
22:50sur Pascal Siakam
22:51qui est quand même
22:52le Usain Bolt du basket.
22:54Je suis épaté.
22:56Après,
22:56il peut mettre des paniers,
22:57il a de la dextérité,
22:59il a des côtés
22:59avec Victor
23:00Ouemaniama,
23:01ils ont des côtés communs
23:03à 2,20 mètres et plus,
23:04pouvoir manier le ballon,
23:06pouvoir tirer Exter,
23:07pouvoir enchaîner des moves.
23:09Je suis épaté
23:11par Chet Tomgren
23:12dont je pense
23:13qu'il sera
23:15un leader
23:16avec Cooper Flag
23:18de l'équipe olympique
23:19américaine 2028.
23:20Oh,
23:21out take,
23:21c'est déjà conclure.
23:22OK.
23:24Allez,
23:24je vais essayer
23:24de contrebalancer,
23:25je suis évidemment
23:26totalement d'accord,
23:27je le trouve assez bluffant,
23:28il faut quand même
23:29voir d'où il revient,
23:30vous devez le voir
23:30de toute façon
23:31dans le sujet
23:31d'où il revient,
23:33Chet Tomgren.
23:34Moi,
23:34je pense qu'il peut
23:35apporter plus
23:35à OKC dans cette finale.
23:38Il y a aussi
23:39ce changement tactique
23:41de 5,
23:41etc.
23:42J'ai trouvé par exemple
23:42un Artenstein
23:43bien plus efficace,
23:44bien plus important,
23:45dans le match précédent
23:46que Chet Tomgren.
23:47Il a ses moments,
23:48Tomgren,
23:48et particulièrement
23:49en premier quartan,
23:50on l'a vu plusieurs fois
23:50dans la série.
23:52Maintenant,
23:52j'ai tendance
23:52à en attendre
23:53peut-être un petit peu plus.
23:54C'est mon côté un peu chiant,
23:56je vous l'accorde,
23:56mais j'en attends
23:57peut-être un petit peu plus
23:59de la part de Chet Tomgren.
24:00Mais c'est vraiment
24:01dans l'idée
24:01de contrebalancer
24:02ce qu'a dit Jacques
24:02parce que bien sûr
24:03que quand on voit
24:04d'où il vient,
24:05quand on voit
24:06sa jeunesse
24:06et sa dextérité,
24:07son envie,
24:08etc.,
24:09il est bluffant,
24:10il est épatant
24:10et c'est vrai
24:11qu'il a un magnifique avenir
24:13si son corps suit.
24:14Ce sera un joueur
24:15évidemment dominant
24:15dans les prochaines années,
24:16c'est évident.
24:17Allez,
24:17on en vient
24:18à ces Pacers
24:19et on va parler
24:20de cette situation
24:21qui obnubile
24:22absolument toute la planète
24:23basket en amont
24:24de ce match-ci,
24:25c'est la situation
24:26de Tyrese Alliburton.
24:27Alors,
24:28à l'heure où on vous parle,
24:29ici,
24:29là,
24:29sur Monument Circle,
24:30dans Indianapolis
24:31et avant d'aller
24:32à l'entraînement
24:33de ces Pacers
24:33prendre plus d'infos
24:34auprès de Tyrese Alliburton,
24:35ce qu'on sait,
24:36c'est qu'il a une élongation
24:40qu'il veut jouer
24:42mais on ne sait pas
24:43dans quel état.
24:44Jacques,
24:44que pensez-vous
24:45de cette situation ?
24:47C'est compliqué,
24:48c'est très compliqué,
24:49il n'y a rien de pire
24:50pour des joueurs partenaires,
24:52il n'y a rien de pire
24:53pour un staff
24:54que de ne pas savoir
24:55si ton joueur
24:56est capable de jouer
24:57totalement.
24:58Rick Carlyle
24:59en fin de match
25:00et je comprends
25:01son erreur
25:01et elle est arrivée
25:03à tous les coachs
25:04quand un joueur
25:04vous a donné autant,
25:06vous allez au bout
25:07du truc avec lui
25:08tant qu'il ne vous dit pas
25:09je ne peux pas,
25:11je ne suis pas d'accord
25:12avec Tyrese Alliburton
25:14quand il dit
25:15si je peux marcher
25:16je peux jouer,
25:17peut-être que tu peux jouer
25:19mais pas avec
25:20Louis Wenzor
25:20dans le short,
25:22ça c'est sûr.
25:22Pas à ce niveau-là ?
25:23Pas à ce niveau-là.
25:24Donc c'est un bourbier
25:26pour Indiana,
25:28pour moi,
25:28c'est très difficile
25:29à gérer,
25:30il vaut mieux
25:31que le mec te dise
25:32je ne joue pas,
25:34il ne sera pas remplacé
25:35nominativement,
25:37il sera remplacé
25:38par le collectif
25:39parce que mettez-vous
25:40à la place de Casey
25:41s'il joue,
25:42qu'est-ce que vous faites ?
25:43Vous l'attaquez ?
25:44C'est comme
25:45tu as un boxeur
25:45qui a une coupure,
25:47tu tapes sur la coupure.
25:48Oui, oui.
25:51Complicado
25:51à gérer tout ça,
25:52des décisions à prendre
25:54pour Ricard Lall,
25:54on va aller prendre
25:55les dernières infos
25:55autour du cas
25:56Tyrese Alliburton,
25:58c'était juste avant
25:59la rencontre
26:00à la session média
26:01de Veil de Match.
26:01Il participé
26:03dans nos walkthroughs
26:05stuff.
26:06Mais c'est un walkthrough,
26:08donc c'est pas,
26:09il n'y a pas,
26:09il n'y a pas,
26:09il n'y a pas,
26:10il n'y a pas,
26:10il n'y a pas,
26:11il n'y a pas,
26:11il n'y a pas,
26:11il n'y a pas,
26:11il n'y a pas,
26:12tu voit mal.
26:13Le'回去
26:14c'est-à- cansé Adil.
26:15Il y a pas.
26:16Il y a pas.
26:18Il y a pas.
26:20Il y a pas.
26:20l'y a pas.
26:21il y a pas.
26:21On va pas.
26:22Il y a pas.
26:22Il y a pas.
26:24Il y a pas.
26:24Il y a pas.
26:25Il y a pas.
26:26Il y a pas.
26:27Il n'y a pas.
26:28Mais tu 것.
26:29Il ne va pas.
26:30T'ael pas.
26:31Angle vous.
26:31Il n'y a pas.
26:32For sure.
26:32Il n'y a pas.
26:33��ıncichtужд Feedback.
26:34Puc-même.
26:35Il n'y a pas.
26:36Il n'y a pas .
26:36L'y a pas.
26:37You know, he'll go through the day tomorrow, our prep sessions tomorrow, late afternoon, and they'll get together and do some testing, and that will determine whether he plays or not.
26:56And if he doesn't play, we have a plan, obviously, if we're without him.
27:02I have a lot of trust in our medical staff. I have a lot of trust in our organization to make the right decision.
27:07I think, you know, there's been many situations through the course of my career where they've trusted me on my body, and, I mean, you're here more than anybody, you know, I'm questionable from time to time throughout the course of the season, and they trust me to make the right decision on my body when the power is in my hands, and, you know, I'm going to try my best to do that, but, I mean, you understand, I want to be out there, and, you know, that's the plan.
27:32Scénario ultra compliqué pour ces Indiana Pacers en amont du match 6 de ce soir. Quelle trajectoire, Xav, on peut imaginer pour que les Pacers prolongent cette finale ce soir ?
27:44Le facteur Thierry Zaliberton est tellement particulier que c'est extrêmement compliqué. On sait que quand il est là, le plus-minus, il a plus 60 pour Indiana.
27:53Quand il n'est pas là, c'est moins 130. Donc, forcément, pour les uns comme pour les autres, c'est un facteur qui sera déterminant, et je trouve qu'il y a beaucoup d'interrogations, justement, avant le match, et très peu de certitudes.
28:02Le 5 de départ, bon, il devrait être dedans. Après, comment ça va se passer dans le match, on ne sait pas trop. Ce sera à suivre. Évidemment, tous les yeux seront braqués sur le mollet de Thierry Zaliberton,
28:14qui peut être un facteur bien plus qu'impactant, mais totalement déterminant. On verra. Mais le cœur des Pacers. Moi, je continue à croire que les Pacers, avec ou sans Thierry Zaliberton, peuvent aller chercher le match.
28:26Jacques, c'est quoi la trajectoire pour que ça gagne ce soir, les Pacers ? D'abord, est-ce que vous pouvez jouer de la même manière offensivement sans Thierry Zaliberton ? Je crois que la réponse est non.
28:35Est-ce que vous pouvez jouer défensivement de la même manière ? La réponse est oui. Donc, défensivement, que faire ?
28:43Continuer à essayer de baisser le pourcentage de chez, puisque vous n'empêchez pas de marquer des points à des lascars pareils. Vous pouvez baisser le pourcentage.
28:51Et espérer que Wiggins Wallace, que J-Dub, que Kenrich Williams, que qui vous voulez, Chetolmgren ou un autre, ne mettent pas trop dedans.
29:03Voilà. Le scénario parfait pour ces Pacers, pour qu'on ait tous droits à un match 7 dans cette finale.
29:10Voilà pour la première partie d'NBA Extra. Xavier, Jacques, on va prendre ces salles de l'autre côté du rond-point, tout droit.
29:17Et dans cinq minutes, on se retrouve de l'autre côté dans la salle. Ça vous va ?
29:21Gainbridge Fieldhouse.
29:22Vas-y, toi aussi.
29:23Gainbridge Fieldhouse.
29:25Quelle facilité. On se retrouve juste après la pub.
31:26Il ferait mieux de les mettre de temps en temps, parce qu'on ne peut pas dire qu'il a un gros pourcentage de réussite.
31:30Pour tout, gratuit, complet gratuit.
31:31Bon, Jacques, parlez-moi un peu de Thérèse et Hibberton, comment vous l'avez trouvé ?
31:34Déjà, on l'a trouvé sur le terrain, ce qui était quand même déjà une première nouvelle.
31:39La deuxième, c'est qu'il avait la couleur.
31:42Alors, à Indiana, les entraînements sont très répartis, les remplaçants, les titulaires et ceux qui ne sont pas dans la rotation.
31:50Et tout le monde a sa couleur.
31:51Il est dans la couleur des titulaires.
31:53Un toque, pas un toque, j'en sais rien.
31:55Je l'ai regardé shooter, on ne peut pas dire qu'il a appuyé beaucoup sur la jambe gauche, la jambe droite, qu'il l'a protégé en réception.
32:06Ça, c'est sûr.
32:07Après, le hasard a fait que j'étais à côté de l'interview qu'il a donnée.
32:12On vous a vu gruger les infos discrètement.
32:14Ceux qui sont venus s'installer, franchement, on ne peut plus être tranquille.
32:18Et je l'ai entendu dire, je ferai ce que je peux.
32:21Ça m'a un peu choqué, parce que ce qu'il doit faire, c'est ce qu'il doit, et non pas ce qu'il peut.
32:30Ce qu'il peut, c'est bien moralement, c'est bien par rapport à son envie, mais ce n'est pas suffisant par rapport à jouer avec Lugo Hensdorff devant vous,
32:42avec des mecs qui vous veulent la peau dans un match final NBA.
32:46Là encore, un tox, pas un tox.
32:50Et on le sera ce soir, ça, à 2h30 du matin, pour le coup d'envoi de ce match-ci.
32:54En attendant, l'interview du jour nous emmène à la rencontre d'un homme qui a longtemps été blessé cette année,
32:59mais qui fait un bien fou à ses Pacers depuis qu'il est de retour.
33:03Voici, devant la caméra du Tché, Aaron Nesmith.
33:07Aaron, bonjour, how you doing ?
33:08Doing good, good to see you.
33:09I'm good to see you too.
33:10You've been in the NBA Finals before, 2022 with the Celtics.
33:15Do you ever get used to this whole thing?
33:18No, you don't.
33:19You never get used to the whole, all the extra cameras, the media, you know, it's a whole kind of a show,
33:25but it's been fun and it's been easier to keep the main thing the main thing this year than it was in 2022.
33:34I'm sure, experience.
33:35What's your life like during the Finals?
33:38How different is it from the rest of the, you know, regular season?
33:42It's definitely harder, you know, I feel like you hear from a lot of people you didn't hear from for a long time,
33:47asking for tickets and just trying to keep things, you know, as normal as possible and continue your same routine.
33:53You still, like, I don't know, go out to the restaurant, check Instagram, I don't know, see your friends, family, everything.
33:58No, actually, yeah, personally, I've been trying to stay off social media as much as possible, pretty much ever since the Eastern Conference Finals.
34:05I've tried to limit my Instagram views, TikTok views, just because, you know, I'm just trying to stay focused and not hear any outside noise.
34:12Yeah, it makes sense.
34:13Aaron, let's talk some basketball.
34:14You guys are down 3-2.
34:16I'm curious about how you slept after game five.
34:20You know, I slept okay.
34:21I slept better after game five than after game four, just because I understand the moment, I understand where we are,
34:27I understand the opportunity we have in front of us to be able to, you know, really do something special here.
34:33We put ourselves in a position we wouldn't want to be in, but, you know, how great of a story is it to be able to come back and win two in a row to win the NBA championship first one in Indiana history.
34:42And I was going to talk to you about that, like, you guys, okay, you guys are down 3-2, but you have a game six to play here on your home court.
34:49If I told you that a couple of months ago or even at the start of the season, you'd have gone for it, right?
34:54100%.
34:54I think, like, you know, even though it's not the ideal situation right now, today, three weeks ago, even, you know, I think we take this position.
35:02Like, it's something just to understand where we are and an opportunity in front of us and we're just going to go get it.
35:08How come you guys, like, are always the underdogs? Like, no one ever believes in you guys, like, against the Bucks, the Cavs, the Knicks, even, like, no one has ever trusted you before?
35:20Um, I don't know why you're asking me. Because we believe in each other. We believe, we've believed since the training camp that we could be in this situation.
35:28So, uh, that's, that's a question for the, the mass media.
35:33I'm sure. Yeah, right. I'll ask them. Um, I want to talk to you about this, uh, matchup you got against SGA.
35:40Like, you're spending part of your time in these finals guarding him. What's it like?
35:44Uh, it's challenging. You know, he's a good player. He plays at a good pace. Gets to his spots. Um, just gotta make a heart on him.
35:50And, uh, how do you get prepared for that? How do you work on it? Are you the type of guy that does video all the time, that watch, watches ESPN SportsCenter? I don't know how.
35:59It's just a lot of film watching games back, seeing, you know, seeing where he got the best of me and where I, you know, made life difficult for him and just trying to reciprocate that as much as possible.
36:09Okay, Aaron, before I let you go, a couple more questions. Uh, what are the goals for you in this league?
36:14Oh, to win these two games. And I'll be happy. And we'll see after that. Yeah. And we'll see after that. All right. Well, Aaron, you and I met in Paris a few months ago at the New Balance event.
36:25Uh, I'm just curious to know if France is on your bucket list to go back to on vacation someday? Absolutely. I feel like I didn't really get to see it as much as I wanted to because I had so many events to go do.
36:34So I definitely need to go back and explore it properly. Should the Paris and the South of France too. Yeah. All right. Absolutely. Thank you. I'll give you tips. Yeah. Thanks, Aaron. Thank you so much. Appreciate it.
36:43Petite ambiance musicale pour cette session d'entraînement du Thunder pendant qu'on finissait donc d'écouter Aaron Nesmith en interview.
36:53Un mec très sympa, Aaron Nesmith, qui en a plein la tête, moi, je trouve, mais qui est surtout sur un physique ultra impressionnant, Jacques.
36:59Ah oui. Ah là, c'est un bloc. C'est un bloc. C'est comme Luke Wensdorf en haut et plus tanké en bas. Niveau cuisse, mollet, cheville.
37:10Le Lascar, c'est un baobab. Il est planté au sol. C'est waouh.
37:14Ouais, beau physique basket, ouais. Et puis une tête bien faite. On l'a compris dans l'interview, a priori, ouais.
37:19Comment tu l'as trouvé, Aaron Nesmith ? Ouais, très cool. Plutôt sympa d'ailleurs. Bon, à quelques heures d'un match comme ça, je ne sais pas.
37:28Même plutôt détendu. C'est très bien, c'est très bien. Il faut se souvenir quand même que c'est un joueur qui, effectivement,
37:33comme tu lui as dit, qui connaît le chemin pour gagner un titre, qui a déjà connu les finales NBA.
37:39Alors, pas le titre, ouais. Mais voilà. Il s'est arrêté avant. Juste avant.
37:42Et sa progression est quand même incroyable. Parce que maintenant, il fait partie d'une équipe où il est un joueur majeur.
37:47Sans un grand Aaron Nesmith, peut-être que les Pacers n'auraient pas été là jusque là.
37:51Donc, non seulement c'est un joueur de plus en plus accompli, mais je pense que c'est un bon homme aussi de plus en plus aguerri.
37:57Ouais, ça se ressent clairement dans cette interview qu'on vous remettra à disposition pour ceux qui le souhaitent sur les réseaux sociaux NBA Extra.
38:04Alors, on a fait le point aussi, puisqu'on va bien parler du Thunder, avec notre petit Français de cette finale.
38:08C'est Ousman Dieng, qui nous a accordé un petit peu de son temps. Lui qui n'est rentré en jeu qu'une fois.
38:13C'était dans le match 2, deux petites minutes en fin de rencontre. Il ronge son mal, son frein.
38:18Il prend son mal en patience, comme vous voulez, en attendant d'avoir peut-être sa chance dans cette finale.
38:23En attendant, il nous fait surtout vivre de l'intérieur, où le Thunder en est, en menant 3-2.
38:27Ousman, je voudrais que tu nous racontes un petit peu l'ambiance pour vous dans le VCR du Thunder de cette finale.
38:32Déjà, on va repartir sur le match 5, votre victoire, qui a été hyper compliquée.
38:37Je voudrais que tu nous racontes comment ça se passe quand les Pacers reviennent à deux points dans le quatrième quartan, dans la tête, là, sur le banc.
38:43Forcément, on se pose des questions, parce qu'on sait qu'ils sont déjà revenus, ils ont fait ça tous les playoffs.
38:49Mais je pense qu'on est resté concentrés sur ce qu'on avait à faire et sur ce qu'on savait faire.
38:54Et ça a payé et on s'en est bien sortis, donc ça va.
38:58Il n'y a pas un début de doute dans ces moments-là ? Tu ne repenses pas au match 1 où tu te dis
39:02« Merde, ils nous ont fait le coup une fois et on est en train d'y repartir, là ? »
39:06Un peu, mais je pense que là, le match 5, on gérait bien notre match.
39:10On savait ce qu'on faisait et je pense qu'on était très bons dans ce match.
39:13Il y a eu un tout petit peu, forcément, mais je pense que c'était mieux que le match 1.
39:17C'est quoi le message du coach depuis ? 3-2, vous avez deux balles de match, au moins une pour ce match 6,
39:26puis éventuellement 7 si besoin à la maison.
39:28Qu'est-ce qu'il vous dit pour éviter qu'il y ait une espèce de facilité qui s'installe ?
39:33Justement, c'est de ne pas penser au match 7.
39:36On sait qu'Indiana, ils vont sortir leur meilleur match demain et il faut qu'on pense pareil.
39:43Il ne faut qu'on pense qu'au match 6 et pas qu'on ait la facilité de se dire
39:46« Oui, même si on perd, on a un match 7 derrière, il faut prendre le titre maintenant si on peut le prendre. »
39:52On ne prend pas de risques, évidemment.
39:53Ousmane, il y a un sujet qui intéresse tout le monde, évidemment.
39:57C'est le cas de Thierry Zaliberton.
39:59Je voudrais savoir ce que ça représente pour vous, si vous vous tenez au courant du truc
40:02et comment vous anticipez le fait qu'ils jouent, qu'ils ne jouent pas, qu'ils ne jouent pas à 100% ?
40:07Oui, forcément, on a vu un peu.
40:10Je pense qu'on ne se préoccupe pas de ça.
40:12Je pense que dans tous les cas, ils vont venir avec, comme je l'ai dit, leur meilleur match.
40:15Et oui, ils vont sortir leur meilleur match demain.
40:18Donc, que ce soit avec lui ou sans lui, on doit être prêt à tout et prêt à gagner.
40:23Toi, Ousmane, là-dedans, dans cette histoire, je voudrais que tu nous dises un peu ton ressenti.
40:26Alors, j'imagine que tu vis une expérience fantastique, mais qu'en même temps, il y a peut-être un petit peu de frustration, non ?
40:31De ne pas pouvoir jouer comme tu le voudrais ?
40:33Oui, bien sûr, bien sûr.
40:34Tout le monde rêverait de jouer et tout le monde aimerait jouer surtout dans des finales NBA comme ça.
40:39Mais bon, je fais l'essentiel.
40:41Je reste prêt.
40:42On ne sait jamais ce qui peut se passer.
40:44Et oui, non, je reste prêt.
40:46Je suis concentré, quoi.
40:47Quoi qu'il arrive, de toute façon, toi, tu as déjà établi ton programme pour après.
40:50Tu sais déjà ce qui t'attend dans les semaines qui viennent.
40:52Est-ce que tu vas prendre des vacances ?
40:54Est-ce qu'il y a l'équipe de France dans ta tête ?
40:56À quoi tu penses pour la suite ?
40:58Pour l'instant, à vrai dire, je suis concentré sur la série et sur ce qui se passe maintenant.
41:02Mais oui, je pense prendre un peu de vacances, aller voir ma famille et après, on verra le reste après.
41:06Ça marche.
41:07Merci beaucoup, Ousmane.
41:08Avec plaisir.
41:09Merci.
41:10Alex Caruso et le Thunder qui commencent à lancer très tranquillement leur séance.
41:15Je voudrais bien vous en faire parler, les gars.
41:17Mais pour le coup, vu ce qu'on en voit pour l'instant, ça va être difficile de débattre de ça.
41:20Xavier, je voudrais que tu me racontes un petit peu par rapport à ce que vient de nous dire Ousmane.
41:23Et bien, ce que tu ressens de la part de ce Thunder.
41:26Est-ce qu'il y a cette crainte, comme on en parlait en première partie de l'émission, de se laisser aller sur ce match 6 ?
41:31Oui, bien sûr. Bien sûr qu'il y a cette… Moi, Ousmane, effectivement, il a raison. Il faut savoir terminer la série.
41:41Ils sont tous raccords là-dessus. D'ailleurs, moi, j'ai écouté Aaron Wiggins aussi parler de ça.
41:45Ils disent justement que ce qu'ils ont appris pendant ces playoffs, c'est justement ça, à terminer les matchs, à terminer les séries.
41:51Ils ont raté justement une occasion de le faire contre Denver.
41:54Et donc là, ils veulent montrer qu'ils ont encore progressé et terminé la série dès ce soir.
41:59On va voir ce que ça va donner. Mais en tout cas, clairement, pas inquiets, pas inquiets, en mission.
42:05Ils ont vraiment l'intention de terminer ce soir, clairement.
42:07Et Jacques, concernant Ousmane, j'imagine que vous avez connu ça dans votre carrière en tant que coach, de devoir gérer ça.
42:12Ça ne doit pas être simple à vivre pour lui qui doit avoir cette envie d'entendre son nom appelé.
42:16Oui, mais les joueurs NBA, une des règles en NBA, c'est rester prêt. Sans ça, on se fait mettre dehors.
42:23Si on n'est pas prêt le jour où tu as la chance, tu es dehors.
42:27Donc, j'ai trouvé intéressant une chose, très intéressant une chose, c'est quand il a été branché par Rémi sur le retour qu'a eu Indiana à deux points.
42:39Bien sûr.
42:40Il y a eu des événements dans cette série. Le panier d'Ali Burton, le quatrième carton de Chez lors du match 4.
42:47Et là, ça ressemblait tellement à ce qui s'était passé.
42:50Dans le premier, ils ont grandi et Marc Daigneault avec eux. Et ils sont restés sereins, ils sont restés lucides.
42:59Et ça me fait dire que demain, ils sont prêts à affronter ce qui va se passer.
43:04Ou il va y avoir des tournesols qui vont fleurir en 24 heures.
43:07Et puis voilà, ça va être un grand moment de basket.
43:12On attend évidemment avec impatience ce match 6 qui nous attend.
43:16Maintenant, les gars, vous le savez, en fin d'NBA Extra, on a droit au traditionnel top 10.
43:20Si je vous dis aujourd'hui, top 10 des plus beaux dunques de l'histoire des finales.
43:24Vous pensez à qui, là, comme ça ?
43:26Il y a Manu Ginobili, à un moment donné, qui va être dedans, je pense.
43:29Ah oui.
43:30Peut-être.
43:31Mais il y retourne l'animal !
43:33Qui a retourné la salle en deux, j'avais dit ce jour, là. Bien joué.
43:36Gros commentaire, ça, encore.
43:37Et il y retourne l'animal, c'est exactement ça.
43:39Bon, il y aura...
43:40Du Jordan.
43:41Du Yanis.
43:42Du Yanis.
43:43Bien sûr qu'il sera, évidemment.
43:44Est-ce qu'il y a le contre sur Dunk ?
43:46Non, c'est un concours de Dunk.
43:47Non, c'est un concours de Dunk.
43:48C'est un concours de Dunk.
43:49Parce que le contre sur Hayton.
43:50Sur Hayton, le alley-oop a été magnifique.
43:52Il y aura du Bill Russell, il y aura tout ce que vous voulez.
43:54Il y aura, bien sûr, son Altesse Michael Jordan.
43:56Voici le boulot de notre Nasa Adoré.
44:20Il y aura un baseline drive, et il slams it in.
44:23Richler made his mind up.
44:24He knew his team needed a big basket.
44:26He says, give me the rock.
44:27Jordan.
44:32Yes, it counts.
44:34Sam Perkins waits.
44:35It's too late under the basket with Jordan attacking the way he does.
44:38He almost shifts to another gear.
44:40He elevates, and then...
44:43By Kersey.
44:44It's a three-on-one.
44:45Richler, yes, and it counts.
44:48A facial served up by Clyde Rexler.
44:52Not the case with Kendrick Perkins.
44:54Sprained knee.
44:55Shot in Brown!
44:56Wow!
44:57Wow!
45:06Philadelphia.
45:07Doctor trying to steal.
45:08He's got it.
45:09Goes to the foot.
45:10Here he comes.
45:11Doctor looks for daylight.
45:13He is absolutely awesome in that type of a situation, Brent.
45:16He's starting to take matters into his own hand, Van Horn.
45:20Now, you gotta get this aim from Kerry Kittles.
45:22Oh!
45:23Kobe Bryant with the snap and the facial.
45:27Oh my gosh.
45:28Down, Kobe.
45:29Down!
45:30Down!
45:31Oh my gosh.
45:32Now the look tough to go...
45:34You got to the ball in the career.
45:35slam.
45:36Yeah, the ball in the career.
45:37Oh!
45:38It's not possible…
45:39Oh!
45:41Bryan Heiter!
45:42Here, here, now that's fitness mindset.
45:43That he's one player to do.
45:44He's the top!
45:45Done!
45:46Why am I beating
45:51Il sort vraiment du ventre pour aller envoyer un aller-ou-plâne.
45:54Oh, ya, ya !
45:58Et ce sera volé par Lebron James.
46:02Oh oui, oui, oui !
46:07Il fait un carton monumental, Lebron.
46:12Monumental.
46:17Il faut que c'est pannier 11.
46:19Et la merde, il y retourne l'animal.
46:21Oh, là, là, là, là !
46:23Mais c'est un malade, c'est un malade !
46:26Oh, qu'est-ce qu'il a pété ? C'est pas possible !
46:28Il a retourné la salardeuse !
46:29Yannick, il y a une marque là-bas !
46:32Oh, le deck monstrueux !
46:35Il est complètement fou !
46:42On en aura parlé de Chet Holmgren, évidemment, dans cette finale NBA
46:46qui se prépare pour ce match-ci.
46:48qui nous attend ce soir à 2h25 du matin.
46:51Oh là, je t'ai volé ton job !
46:52Quelle heure le rendez-vous, Xavier Vaution ?
46:55Je viens de le dire.
46:55Bonne fête à toutes les Michelin.
46:57Voilà, c'est sans doute beaucoup plus important.
46:58Et on va se mouiller avant de se quitter un petit peu.
47:00Je veux savoir, Xavier Vaution Jacques Monclar,
47:02si cette série se prolonge ou se termine ce soir ?
47:05Terminé.
47:06Terminé, ma droite ?
47:07Terminé.
47:08Oh, bah, juste pour faire l'inverse.
47:10Terminé, Game 7.
47:12On devrait, tu dirais, terminé ou pas ?
47:14Ah, d'accord.
47:16Je peux me mouiller, moi aussi ou pas ?
47:17Je t'en prie.
47:18Moi, je pense que ça continue.
47:19Moi, je pense que les payseurs d'Allego, ils vont la chercher
47:21et qu'on part sur un match de 7.
47:22J'aurais tendance à être dans cette tendance-là aussi, ouais.
47:25Ok.
47:26Je suis encore seul contre tous, incroyable.
47:28pour en discuter.
47:29Le rendez-vous est à 2h25 ce soir pour ce match 6.
47:32On sera là avec Zav, avec Jacques, évidemment.
47:34Et puis demain, Marie, Chris, Fred vous attendent pour le débrief
47:37du titre ou du match 7 à venir ?
47:39Ça, on verra dans la soirée.
47:40Passez une bonne journée et à tout à l'heure pour le match.
47:42Ciao tout le monde.
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