Sur CNEWS, mardi 17 juin, Rachida Dati, ministre de la Culture, revient sur le Complément d'Enquête consacré à certains de ses honoraires : «Tout ce que j'ai, je l'ai gagné».
00:00Ce sont des documents qui ont été examinés par la justice, ils ont été tirés de la comptabilité, de la comptabilité d'un cabinet d'avocats et de ma comptabilité.
00:09Tout ça est déclaré, est très au clair. On veut toujours attaquer ma probité, mon honnêteté, jamais. Tout ce que j'ai, je l'ai gagné.
00:16Je ne suis pas la seule élue députée comme avocate. Moi j'aimerais que les investigations qui portent sur mon activité ancienne d'avocate,
00:23ce soit la même pour les autres. Beaucoup d'élus, beaucoup de députés, beaucoup de candidats à des élections suprêmes sont également avocats.
00:31Est-ce qu'une seule fois, on s'est intéressé à leur activité ?
00:33Selon vous, pourquoi c'est vous ? Pourquoi c'est vous la CIP ? Pourquoi les méthodes qui vous dénoncent les techniques à vous ?
00:38J'aimerais qu'on me juge sur mon bilan, d'une manière générale. On m'a toujours attaqué sur mes compétences et ma légitimité.
00:45Toujours la même chose. Lorsque j'étais garde des Sceaux, j'ai subi les mêmes attaques.
00:49Les mêmes attaques en illégitimité et des attaques sur les compétences.
00:54Lorsque j'ai porté la réforme de la carte judiciaire, qui était attendue depuis 25 ans.
00:58Lorsque j'ai porté la révision constitutionnelle de 2008, qui était une révision d'ampleur de la Constitution,
01:05qui encadrait les pouvoirs du Président, qui donnait plus de pouvoir au Parlement et plus de droits aux citoyens.
Rachida Dati est dans doute la plus grosse délinquante des politiques. Tout sa carrière, ses diplômes, ont été obtenus par passé droits et favoritisme (elle n a pa passe les concours) et elle a engrangé des millions d'euros en étant corrompue par des industriels ou des pays dictatoriaux quand elle était deputee. Dans un autre pays que la France, elle serait derrière des barreaux depuis longtemps. Mais Macron et sa femme aiment bien les pirates ou les délinquants apparemment du moment qu'ils les flattent ou les idolatrent.
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