Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • avant-hier
Violences - Pascal Praud réclame une commission d'enquête sur "l'engagement à l'extrême gauche de France Inter": "La radio touche 600 millions par an pour ne plus faire du journalisme mais du militantisme" - VIDEO

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Hier, France Inter a consacré 3 minutes et 05 secondes durant sa matinale entre 7h et 10h du matin
00:10aux événements très graves et inacceptables, pour reprendre les mots d'Emmanuel Macron,
00:15événements qui se sont déroulés à Paris, notamment dans la nuit de samedi à dimanche et dans celle de dimanche à lundi.
00:21S'il existe un consensus pour juger grave ces violences, ces dégradations, ces interpellations, ces tirs de mortier, ces pillages,
00:29pourquoi France Inter n'en parle pas ou peu ? 3 minutes en 3 heures de temps.
00:37France Inter n'en parle pas parce que s'est pointée la responsabilité de casseurs, de voyous, de délinquants, de criminels
00:44qui viennent majoritairement des quartiers et qui sont issus le plus souvent de l'immigration.
00:50Si la liberté d'expression est totale en France, qu'elle doit être préservée,
00:54le service public est soumis à un devoir d'informer et d'une certaine neutralité.
01:01Occulté comme l'a fait, France Inter s'est fait grave, révèle un choix idéologique.
01:07Ce n'est plus un travail de journaliste, mais une mission de militant.
01:12France Inter a transformé son antenne en meeting pour réécrire le drame de Crépolle,
01:17pour privilégier la voix du Hamas dans le drame humanitaire qui se déroule à Gaza
01:22ou pour critiquer sans mesure et sans nuance Donald Trump.
01:26Tout cela ne poserait aucun souci si la rédaction de France Inter n'était pas payée par les impôts des Français.
01:32La station reçoit une dotation de 600 millions d'euros par an via Radio France
01:37et ce parti pris politique qui penchait hier à gauche et aujourd'hui à l'extrême gauche
01:43est entendu en roue libre du matin au soir sur une grille des programmes
01:48que Mme Sibylle Veil, PDG de Radio France, valide par peur des syndicats
01:54ou par crainte de grève, disons-le, Mme Veil ne sert à rien.
01:59Alors que faire ?
02:01Seule une commission d'enquête permettra d'en savoir plus sur les choix éditoriaux de la station.
02:06C'est le devoir des députés, c'est l'exigence des citoyens.

Recommandations