Elisabeth Lévy : «Que ce soit une victoire ou une défaite, ils s'en foutent»

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Elisabeth Lévy, à propos des risques de la présence de casseurs dans Paris après la finale de la Ligue des Champions: «Que ce soit une victoire ou une défaite, ils s'en foutent».

Transcript

00:00Je ne marche plus, je l'avoue.

00:02Pour moi, ce que je vois dans le sport aujourd'hui,

00:04je suis frappée, j'en suis désolée.

00:07Alors les JO, vous allez me dire que ce n'était pas ça, c'est vrai.

00:10Mais c'est quand même qu'à chaque fois, on parle de...

00:12Vous savez, je vais finir là-dessus.

00:14Ce qui me frappe, c'est qu'en fait, on s'attend à du bazar.

00:17Et quand je dis du bazar, c'est parce que je ne veux pas dire de mots grossiers.

00:21Et c'est très bien, Elisabeth, bravo.

00:21Je ne veux pas, voilà, merci.

00:23Mais que ce soit une victoire ou une défaite du PSG,

00:27ils s'en foutent en réalité.

00:29Oui, eux, ils ne sont pas vraiment préoccupés par le match.

00:31Mais non, ce n'est pas vrai, parce que vous avez aussi des supporters

00:34qui appellent à aller tout casser dans Paris

00:36comme si c'était une façon de célébrer une victoire

00:39ou une défaite d'ailleurs, de tout casser.

00:42Donc moi, c'est ça qui me frappe, c'est qu'en fait, où est la joie ?

00:44Où est la joie des familles ? Où est la joie des enfants ?

00:48C'est-à-dire, personne ne peut aller regarder le match dans Paris ce soir,

00:51en famille, personne.

00:51Non, non.

00:52Musique

00:53...

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00:57...

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