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Avec Patrick Sebastien, chanteur, homme de télé, auteur de "Le carnaval des ambitieux" XO Éditions

Retrouvez Bercoff dans tous ses états avec André Bercoff du lundi au vendredi de 12h à 14h sur #SudRadio.

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##CA_BALANCE-2025-05-29##

Catégorie

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News
Transcription
00:00comme chacun sait. Mais il y a des personnes, je ne sais pas pourquoi, qui ne savent plus où ils habitent et qui se disent
00:06mais il y a des problèmes. Et vraiment un certain Patrick Sébastien, que évidemment un undergrante
00:12complètement inconnu du grand public, s'est dit que ça ne va pas très bien en ce moment. Et il l'a dit
00:18notamment à CNews. Il a dit je ne savais pas lorsque j'étais petit qu'on me reprochait d'être blanc
00:23et vous parlez d'exclusion. Patrick Sébastien, bonjour.
00:27Bonjour mon ami Bercos, comment vas-tu ?
00:30Ça va et toi ? Allez on se tutoie, il n'y a pas de raison qu'on ne se tutoie pas là.
00:34Oui parce qu'on se connaît depuis tellement longtemps.
00:36Absolument. Alors Patrick, c'est intéressant parce que là je vous ai écouté depuis quelques jours
00:42et effectivement et vous n'êtes pas le seul là, franchement ils sont des centaines de milliers sinon des millions
00:47à se demander quelque part, quelque part où ils habitent et à se demander pourquoi et vous l'avez dit
00:53d'ailleurs, pourquoi ils ont l'impression de se sentir eux culpabilisés, exclus, presque assignés à résidence.
01:02Expliquez-nous, qu'est-ce qui vous a amené à dire ça ?
01:05Non rien, j'ai juste réagi au truc de Kassovitz qui a dit qu'on était les fans de race.
01:11Il n'a pas complètement tort, on va finir tous métissés, ce qui n'est pas plus mal.
01:15J'ai expliqué que moi j'ai trois enfants, j'en ai deux qui sont blancs et un qui est métissé et une qui est métissé.
01:24Mais en même temps je ne me vois pas expliquer à mes deux enfants blancs que ce sont des fans de race
01:28et expliquer à ma fille métissée qu'elle est supérieure.
01:32Moi je tiens à mon identité.
01:35C'est vrai que le racisme anti-blanc il existe aujourd'hui, il est clair.
01:39On a presque... Être un homme blanc aujourd'hui, c'est presque suspect.
01:49Alors mes potes noirs me disent, vous ressentez un petit peu ce que nous on ressentit pendant des siècles.
01:55Ce qui n'est pas faux, ce qui n'est pas faux dans le fond.
01:57Mais moi je tiens l'identité, je ne suis pas un farouche, je ne suis pas un extrémiste.
02:03J'ai juste envie qu'on me laisse...
02:06Comment on peut dire ?
02:07En tant que français.
02:08Non, c'est ça, c'est que j'ai mes références, j'ai mes valeurs, j'ai ma culture.
02:13Et j'aimerais pouvoir ne pas me faire montrer du doigt juste parce que j'ai grandi avec Pagnol,
02:21parce que j'ai grandi avec Gabin, avec Jodassin, avec ces gens-là,
02:26que ce n'est pas plus honteux qu'autre chose.
02:29C'est clair.
02:30Mon identité, j'y tiens, voilà.
02:34Comme j'ai des potes qui sont des gens de banlieue qui sont des potes à moi,
02:38qui sont des rappeurs même, qui ont leur identité à eux,
02:41et on peut très bien cohabiter sans se faire montrer du doigt.
02:45Mais aujourd'hui c'est suspect.
02:46Ce que j'ai dit dans l'émission, ce qui est vrai,
02:49c'est que quand je me suis fait virer de la télé,
02:51l'argument c'était il y a trop d'hommes blancs de plus de 50 ans.
02:57Enfin depuis, je n'ai pas vu beaucoup de noirs sur le service public.
03:00Non mais le problème Patrick Sébastien, le problème c'est,
03:03attendez, pourquoi ce masochisme qu'on essaye d'inculquer ?
03:07Je veux dire, pourquoi ce serait...
03:08Vous savez quand vous dites, quand vos copains noirs, et c'est vrai,
03:12ils vous disent, oui nous aussi on n'a passé pas ça pendant des siècles,
03:14mais nous ne plus à oublier que les traites négrières,
03:16c'était aussi entre noirs, la traite arabe-humain, etc.
03:20Moi ce qui me fascine, c'est que cette culpabilité anti-blanc,
03:26on l'intériorise, on se dit, ah oui oui, c'est vrai qu'on a à se faire pardonner.
03:30Mais bien sûr qu'on a fait des...
03:31Enfin, les blancs et les autres, tout le monde a fait des...
03:34C'est pas une question de pardon et tout, on en arrive aujourd'hui à des...
03:39Mais c'est une minorité qui veut nous imposer ça.
03:41C'est bien plus général que ça.
03:43Il y a une minorité, j'ai cité la patronne du service public,
03:47qui a dit, je ne veux pas montrer la France telle qu'elle l'est,
03:51mais comme on voudrait qu'elle soit.
03:53Ça veut dire qu'il y a des gens aujourd'hui, c'est une dictature,
03:56il y a des gens aujourd'hui masqués,
03:58il y a des gens aujourd'hui qui veulent nous imposer,
04:00moi ma manière de vivre, ma manière d'être, je ne veux l'imposer à personne.
04:04Bien sûr.
04:04Je suis un humaniste, moi je ne peux pas être assis, je ne peux pas...
04:07Je comprends tout, je suis un soutien LGBT en plus,
04:11je comprends tout, mais je ne veux pas que ma différence à moi,
04:14on la mette à l'écart et c'est ce qui se passe aujourd'hui,
04:17c'est que moi quand je fais mes chansons, je vois les caricatures,
04:21et les gens disent, les gens qui écoutent les chansons de Patrick,
04:23ce ne sont que des blaireaux, des mecs qui ont la casquette Ricard,
04:26comme tu dis, des hétéros blancs, mais il n'y a pas que ça.
04:28Il n'y a pas que ça autour de moi, j'ai plein de gens de races différentes,
04:32de couleurs différentes, et simplement on veut nous rejeter dans un coin.
04:37À part qu'il y a quand même des différences essentielles,
04:40si demain tu dis, il va falloir tuer des noirs,
04:44tu vas être condamné avec raison.
04:46C'est une abomination de dire ça.
04:48Par contre, j'ai vu des mecs dire, il va falloir tuer des blancs,
04:51pour l'instant, ils sont passés un peu à travers les gouttes.
04:54Ça, ça me choque.
04:55– Oui, et c'est ça, le problème, c'est qu'on a, je veux dire,
05:01les gens ont besoin de se justifier d'application,
05:04t'as tout à fait raison de dire que c'est une minorité, bien sûr,
05:09mais je veux dire, ils ont remplacé la lutte des classes
05:14par la lutte des races, et d'autres par la lutte des places,
05:18mais c'est autre chose, mais c'est quand même hallucinant.
05:21– Moi, je ne comprends pas ça, autour de moi, j'ai de tout.
05:24Des amis, mes amis à moi, il y a des arabes, il y a des noirs,
05:28ma fille est métisse, c'est pas une question de race,
05:32c'est une question de personne, c'est une question de personne.
05:36Il y a des blancs qui sont des énormes enculés,
05:38des noirs aussi, des arabes aussi.
05:40C'est les généralités qui me font chier, c'est le classement.
05:43– On est bien là-dedans.
05:44– C'est le classement.
05:45– Mais pourquoi, par exemple, on ne peut plus parler,
05:48je veux dire, encore une fois, parce qu'elle est très plurielle,
05:50d'identité française ?
05:52Il y a une identité française.
05:53– C'est ça qui me gêne, c'est qu'on est montré du doigt,
05:57tout simplement, parce qu'on est des blaireaux,
05:59on est des beaufs, on est des populistes,
06:01juste parce qu'on est fiers de nos racines.
06:05Ça, ça m'embête un peu.
06:07Moi, je suis dans la France profonde, là, je téléphone,
06:09là, je suis dans le lot, chez moi.
06:11Il y a des gens de toutes couleurs, de toutes religions,
06:16c'est mes amis, ça ne me gêne pas du tout.
06:18Nous, on vit en parfaite ambiance.
06:20Mais il y a des gens en haut qui veulent, nous,
06:24nous faire passer pour des gros méchants, quoi.
06:27Ce qui n'est pas le cas.
06:28La France, le pays, la France, elle n'est pas raciste.
06:32Les Français ne sont pas racistes.
06:34On est en train de les...
06:36Par contre, il y a des gens qui ont intérêt
06:37à monter les uns contre les autres.
06:39– Mais c'est sûr.
06:39– Pour plein de raisons.
06:41– Pour plein de raisons, notamment de clientélisme électoral.
06:45Notamment de clientélisme.
06:46– Il y a des raisons électorales,
06:49il y a des raisons financières,
06:50il y a des collectifs, des associations qui n'existent
06:53que parce que ça leur fait de la thune.
06:56Il ne faut pas se mentir non plus.
06:59Après, moi, je suis très peur de ce wokisme
07:02qui veut fabriquer une race supérieure.
07:05C'est-à-dire, vous allez être intelligent,
07:07on va vous expliquer comment il faut être.
07:10Tu sais, la première...
07:11Le premier mot de la devise française,
07:13c'est liberté.
07:14Alors moi, je suis pour que chacun ait le droit
07:19d'être comme il veut, ce qu'il veut,
07:21en toute liberté, puisque c'est le premier mot
07:23de la devise française.
07:24Liberté.
07:24– Tout à fait.
07:25– Voilà.
07:26Donc, je suis libre, moi, d'être ce que je veux,
07:29sans me faire montrer du doigt,
07:30sans me faire mettre à l'écart,
07:32juste parce que j'aime d'où je viens.
07:40Voilà, tout simplement.
07:41J'aime d'où je viens.
07:43Je ne suis pas un fanatique.
07:45J'aime des choses modernes.
07:47– Mais Patrick, ce qui est intéressant,
07:49Patrick Sébastien, c'est de dire ça,
07:51qui est quand même...
07:52Moi, c'est frappé au quoi du bon sens.
07:55Ça fait passer pour le dernier des Mohicans,
07:57et ça fait passer, justement,
07:59je veux dire, pour une mise en question,
08:00alors que...
08:02– On est des milliers,
08:02on est des millions de Mohicans.
08:04On est des millions de Mohicans.
08:06Moi, je vois mes potes autour de moi,
08:08les gens qui m'entourent,
08:09et de tout milieu, attention.
08:11De tout milieu.
08:11Moi, dans mon public,
08:12qui écoute mes chansons,
08:15il y a plein de gamins qui ont 19 ans, 20 ans,
08:18qui ne sont pas des blaireaux,
08:19qui ne sont pas des beaufs à la con,
08:21qui sont de toute race,
08:22et qui seront plus tard chirurgiens,
08:23chefs d'entreprise.
08:26Il y a cette espèce de caricature
08:28qui m'emmerde,
08:30parce que ce n'est pas ça.
08:32Le blanc,
08:33moi, je n'ai pas choisi d'être blanc.
08:35Je suis que je te dise.
08:38– Personne n'a choisi d'être ce qu'il est,
08:40mais on n'a pas à le renier.
08:42Ce n'est pas ça.
08:43On n'a pas à s'en plaindre,
08:44comme certains,
08:45qui disent,
08:45« Ah là là là,
08:46moi, c'est fin de race,
08:48moi, c'est fini,
08:48tout ça, ça ne doit plus exister. »
08:50Mais c'est ça qui est hallucinant.
08:51– Dans le discours de casse-le-vite,
08:53c'est quelque chose qui est réel,
08:56parce que c'est ça,
08:57c'est qu'effectivement,
08:59je pense que le monde finira métissé,
09:03parce qu'il y a un mélange de…
09:06– Oui, pourquoi pas ?
09:06– Moi, ma fille,
09:08elle est métissée,
09:10elle va faire des enfants,
09:11ils seront métissés aussi,
09:13voilà.
09:14moi, je ne sais pas qui est mon père,
09:16si ça se trouve.
09:19Si ça se trouve,
09:20il était peut-être…
09:22– Pardon, Patrick,
09:22qu'est-ce que…
09:22– Mais moi, la couleur,
09:23la race,
09:25je ne sais pas, moi,
09:26ça ne va jamais gêner.
09:28C'est ceux qui nous mettent à l'écart,
09:31nous.
09:31– Voilà, mais c'est exactement ça.
09:33Et le problème,
09:34il n'est pas la couleur,
09:35il n'est pas la race,
09:36la religion,
09:37l'ethnie,
09:37tout ça.
09:38Le problème,
09:39c'est ceux…
09:40– C'est la vie.
09:40– Non, et c'est ceux,
09:41pardon,
09:41qui veulent nous imposer
09:42une autre civilisation.
09:43Moi, je n'ai pas envie
09:44d'être avec des gens
09:47à une femme
09:49qui est totalement recouverte
09:51de la tête aux pieds.
09:52Pardon.
09:53Je veux dire,
09:53il y a une France,
09:54il y a eu des gens
09:55qui se sont battus
09:56depuis des siècles,
09:59que ce soit pour la laïcité,
10:00pour la révolution,
10:01pour 429, etc.
10:03Il y a des valeurs.
10:04Pourquoi on doit…
10:04– Moi, je ne suis d'accord
10:05que sur la laïcité.
10:08Voilà,
10:09j'assume que tout signe extérieur
10:11de religion,
10:11quel qu'il soit,
10:12que ce soit…
10:13– Bien sûr.
10:13– Même les juifs
10:15qui passent dans la rue
10:16avec un signe…
10:17– Oui, un qui parle,
10:18tout ça.
10:19– Ça me dérange un peu, tu vois.
10:19– Oui, bien sûr.
10:20– Même la croix,
10:22tout ce qui est ostensible,
10:24tu vois.
10:24Après, chacun sa religion
10:25chez soi.
10:26– Bien sûr.
10:27Il y a une part de provocation.
10:30L'autre jour,
10:31j'étais avec un chauffeur taxi
10:32musulman
10:33qui me disait,
10:35qui me disait,
10:36la génération d'avant,
10:37quand mon père est arrivé,
10:39il allait à la mosquée
10:41en mettant la djellaba
10:42dans le sac.
10:43Il ne sortait ce truc
10:46que dans la mosquée
10:47pour respecter
10:48le pays dans lequel il était.
10:52Voilà, tout simplement.
10:53Et il me dit,
10:53le reste,
10:54c'est quand même de la provoque.
10:55C'est de la provoque
10:56plus qu'autre chose.
10:57– Oui.
10:57– C'est de la provoque
11:01et c'est une stratégie.
11:02Mais enfin,
11:02ça, c'est un autre problème.
11:03– Oui, c'est autre chose.
11:04– Mais honnêtement,
11:05Patrick,
11:06aujourd'hui,
11:08je veux dire,
11:10que vous n'êtes pas,
11:10enfin,
11:11vous avez fait le parcours
11:12que vous avez fait,
11:13tout ce que vous avez connu.
11:15Est-ce que vous vous sentez,
11:16pour la première fois,
11:17ou en tout cas récemment,
11:19est-ce que c'est récent
11:20que vous vous sentez gêné
11:21par cette espèce de climat ?
11:23Parce que ça n'existait pas
11:24il y a encore 20 ans, ça.
11:25– Un petit peu,
11:26un petit peu gêné,
11:27un petit peu gêné,
11:28oui,
11:28parce qu'on a une suspicion permanente.
11:32Il y a des endroits
11:32où on n'est pas les bienvenus.
11:34Justement,
11:35parce que c'est ça qui est fou.
11:36C'est que moi,
11:37j'ai toujours été
11:37pour l'acceptation
11:39de toutes les différences.
11:40– Bien sûr.
11:40– Vraiment,
11:41toutes les différences.
11:42Et là,
11:43j'ai l'impression
11:44que ma différence à moi,
11:46ça veut dire,
11:46si on n'est pas différent,
11:47on est exclu.
11:49C'est complètement antinomique,
11:50cette histoire.
11:51C'est ces gens
11:52qui nous parlent
11:53de tolérance,
11:54qui nous parlent
11:55d'inclusion,
11:56qui nous excluent.
11:57Ça ne va pas.
11:58Si on inclut tout le monde,
12:00on m'inclut moi aussi
12:01avec ma différence.
12:03Et j'ai le droit
12:03d'avoir ma différence.
12:04J'ai le droit
12:04de préférer
12:05la France profonde.
12:08J'ai le droit
12:08de faire des barbecues,
12:10comme dit Mme Rousseau,
12:12sans être
12:13un immonde macho.
12:15– J'ai le droit
12:15de boire un bon vin.
12:17J'ai le droit de...
12:18– En plus,
12:19moi,
12:19je ne picole pas.
12:20Je ne picole pas.
12:21Tu vois,
12:22je fais partie
12:22d'une caricature
12:23de beauf,
12:24c'est-à-dire blanc,
12:26hétéro,
12:27soi-disant,
12:28qui bouffe,
12:30qui boit,
12:32qui bouffe...
12:32Je ne suis rien
12:33de tout ça.
12:34Je ne suis rien
12:35de tout ça.
12:36Je ne suis absolument rien.
12:37Alors,
12:37il y a cette caricature
12:38qui est très pratique.
12:39Parce que ça exacerbe...
12:41tu sais,
12:43le prochain bouquin
12:44que je fais,
12:45que je vais sortir,
12:46ça ne s'appelait même
12:47pas peur.
12:48J'ai analysé
12:51toutes nos peurs.
12:52Et je donne des solutions
12:54pour ne pas avoir peur
12:55dans tous les domaines.
12:56Et je me suis aperçu
12:57que politiquement,
12:58tout est basé
12:59sur la peur.
12:59Il y a l'extrême droite
13:00qui existe
13:02sur la peur
13:02de l'extrême gauche,
13:03l'extrême gauche
13:04qui existe
13:04sur la peur
13:05de l'extrême droite
13:05et au milieu,
13:07les autres
13:08qui existent
13:08sur la peur
13:09des deux autres extrêmes.
13:09Donc, en fait,
13:11on manipule
13:12les peurs aujourd'hui.
13:13Bien sûr.
13:13La peur de l'homme blanc.
13:14Comme on a manipulé
13:16la peur de l'arabe,
13:17la peur de tout ça,
13:18on manipule des gens
13:20pour des raisons politiques,
13:22électorales,
13:23des raisons du pouvoir.
13:23Et Patrick Sébastien,
13:24ça s'appelle
13:25tous les pouvoirs,
13:26ça s'appelle
13:26le management
13:27par la peur
13:28et c'est une vieille pratique
13:29qui est très, très respectée.
13:31Merci.
13:31Merci Patrick.
13:33Merci à toi, mon grand.

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