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00:00Sí, sí.
00:00Gracias, Luis Samediquier, en el medio de la final de la Liga de la Champions entre el PSG y el Inter de Milan.
00:08Y le voy a trajeto de todas las preguntas en español, en español o en enero.
00:13Gracias, Luis Samediquier.
00:43Gracias, Luis Samediquier.
01:13Gracias, Luis Samediquier.
01:43Gracias, Luis Samediquier.
01:45Luis Samediquier.
02:17Luis Samediquier.
02:19Luis Samediquier.
02:21Gracias.
02:23Luis Samediquier.
02:25Luis Samediquier.
02:27Luis Samediquier.
02:29Luis Samediquier.
02:31Luis Samediquier.
02:33Luis Samediquier.
02:35Luis Samediquier.
02:37Luis Samediquier.
02:39Luis Samediquier.
02:41Luis Samediquier.
02:43Luis Samediquier.
02:45Luis Samediquier.
02:47Luis Samediquier.
02:49Luis Samediquier.
02:50Luis Samediquier.
02:51Luis Samediquier.
02:52Luis Samediquier.
02:53Luis Samediquier.
02:54Luis Samediquier.
02:55Luis Samediquier.
02:56Luis Samediquier.
02:57Luis Samediquier.
02:58Este tipo de partidos tiene las dos situaciones.
03:25Este tipo de partidos tiene la propia gestión.
03:55Este tipo de partidos tiene la segunda final en tres años de la Liga de Champions.
04:03Esto significa que ellos juegan muy bien, que ellos juegan muy bien, que ellos juegan muy buenos con el ballon.
04:08En Milan, ellos saben muy bien lo que hacen con el ballon.
04:11Ellos son muy mobiles, ellos son jugadores de calidad.
04:13Ellos saben defender abajo, defender abajo.
04:15Es una equipa muy completa y un entrenador de muy alto nivel.
04:17El jugador...
05:24Estos son dos matchs que han sido muy buenos a ver en tant que fan de...
05:31Entonces, d'abord, je les ai vus como supporters.
05:33Ensuite, je les ai vus como entraîneurs.
05:35Et j'ai analysé l'Inter Milan.
05:37Il y a eu énormément de buts, bien plus que ce que je pensais.
05:40Et je pense que l'Inter Milan n'a jamais été derrière dans cette double confrontation.
05:49Il a toujours été devant.
05:51A aucun moment il n'était éliminé.
05:52Et donc, ça indique la capacité qu'ils ont à gérer les choses.
05:57Peu importe le moment du match.
06:00Ils sont capables d'avoir beaucoup de qualité en attaque.
06:03Ils sont bons en transition.
06:04Ils sont bons en attaque statique.
06:08Ils sont bons aussi sur les coups de pied arrêtés.
06:10Ils sont très bons défensivement.
06:12Je crois que ça a été un match très ouvert.
06:16J'espère que ça ne ressemblera pas à ces deux matchs, la finale.
06:19Mais je pense que ça va être amusant, émouvant.
06:23Parce qu'ils veulent avoir la balle.
06:24Ils aiment avoir la balle.
06:25Ils ont des joueurs qui sont très bons avec le ballon.
06:27Et nous avons les mêmes caractéristiques.
06:33Bonjour, Luis.
06:35C'est votre deuxième finale.
06:37Mais si je me permets, c'est une finale qui arrive avec un projet
06:42qui porte plus votre empreinte, vos idées.
06:46En tant qu'entraîneur, c'est ça la principale différence
06:48entre la finale avec le Barça et la finale avec le PSG.
06:53Arriver à une finale de Ligue des Champions
06:55est toujours quelque chose de très difficile.
06:57Et de fait, tous les joueurs rêvent de la jouer.
06:59Et la majorité d'entre eux n'y parvient pas.
07:01Et pour les entraîneurs, c'est la même chose.
07:03Mais je dois dire que le travail que j'ai fait à Barcelone
07:11a été un travail exceptionnel.
07:15J'ose le dire.
07:17Et ceux qui m'entouraient à cette époque-là,
07:19on disait tout le contraire.
07:21On me disait que c'était très facile de gagner la Champions League
07:23avec cette équipe-là.
07:24On a vu que non.
07:25Et le travail que je fais ici est un petit peu différent.
07:28C'est un projet dans lequel, dès le départ,
07:32nous avons eu avec la direction sportive et le président,
07:35nous avons géré le profil des joueurs que nous avons recrutés.
07:40C'est un projet de construction plutôt.
07:43Mais j'ai la grande chance d'avoir un nombre de joueurs
07:47de haut niveau, très haut.
07:49Ils jouent avec une mentalité d'équipe.
07:51Et ça, c'est très difficile à voir dans le football actuel.
07:54L'Inter a aussi ce profil-là.
07:58Beaucoup de très bons joueurs,
07:59mais qui jouent tous en fonction de ceux dont l'équipe a besoin.
08:02Et je crois qu'en cela, la finale de Barcelone
08:04et le travail de l'époque avaient été un très beau travail.
08:07Et ici, c'est un travail différent.
08:09Il a fallu élaborer davantage.
08:11Mais la qualité des joueurs, leur ambition et leur générosité
08:14fait que le travail est plus facile.
08:17Bonjour, José Barozo de l'équipe.
08:19Est-ce que vous pouvez nous parler de Gwara ?
08:21Est-ce que c'est un des symboles, justement,
08:23de ce football, de ce jeu que vous voulez ?
08:25On connaît, évidemment, et depuis longtemps,
08:27ses qualités offensives.
08:29Mais on découvre un joueur qui donne tout,
08:32y compris défensivement.
08:33Et justement, en quoi il est précieux défensivement
08:35pour l'équilibre, pour le repositionnement,
08:38pour votre jeu de position.
08:40Merci.
08:40Je dois dire que si l'on analyse en profondeur
08:51où sont les améliorations de notre équipe en termes défensifs,
08:54je dois dire que c'est véritablement sur la manière
08:58dont les attaquants défendent.
08:59Que ce soit Ous, Gonzalo, Cammini,
09:02que ce soit Ibrahim Baye, je ne veux oublier personne,
09:05Barcola, quel que soit le joueur qui joue
09:08dans une position haute,
09:10nous faisons un travail défensif
09:12de la part des attaquants exceptionnels.
09:14Et ça, c'est pour tout le monde, et c'est top.
09:16Aucun douté, si vous voyez les chiffres,
09:18vous verrez le nombre de ballons qu'il récupère.
09:20Et très étrangement, c'est l'un des concepts
09:26que je pense être les plus difficiles à obtenir
09:29parce que pour un joueur attaquant,
09:32il faut lui changer un peu l'état de spie
09:35pour qu'il défende, parce que lui,
09:36il est fait pour attaquer.
09:38Donc, Kouara, Ousmane, Gonzalo,
09:42Barcola, Ibrahim, tous les attaquants
09:44qui ont pu jouer en attaquant,
09:47cette mentalité qui est vitale
09:48pour pouvoir défendre en tant qu'équipe.
09:50Et de la même façon que nous demanderons
09:52aux attaquants de défendre,
09:53nous demandons aux défenseurs et aux gardiens
09:56d'amener le ballon dans les meilleures conditions
09:58aux attaquants.
09:59Ce n'est pas seulement de leur envoyer une patate
10:02et qu'ensuite, ils doivent la gérer.
10:05Travailler en tant qu'équipe, c'est la clé.
10:08La clé de cette saison,
10:09et ça a été aussi la clé de la saison passée.
10:11Je pense qu'on a été meilleurs cette année.
10:14Et c'est quelque chose qui me rend très heureux
10:17et qui, je crois, rend très heureux aussi mes joueurs.
10:20Bonjour, coach Adrien Chantorulé du Parisien.
10:23On a vu pendant l'entraînement l'importance de vos adjoints
10:26pendant une séance d'entraînement.
10:27Comment vous définiriez votre staff avec lequel vous passez
10:30énormément de temps, que ce soit sur le terrain, en dehors ?
10:33Vous diriez que vous êtes un clan ?
10:35Je pense que la meilleure qualité que j'ai en tant qu'entraîneur,
10:43c'est de choisir mon entourage au milieu.
10:45Ce sont des personnes qui me font m'améliorer.
10:47Ce sont des gens qui tirent de moi le meilleur
10:50parce qu'ils me sortent de ma zone de confort.
10:52Ils sont exigeants, ils sont travailleurs.
10:54C'est difficile d'être dans mon staff.
10:56Et de fait, au fil des années,
10:58il y a plus de dix personnes et j'ai changé des gens.
11:01Ce sont des gens de très haut niveau qui en sont sortis.
11:04Mais j'ai cette capacité à être totalement inconformiste.
11:12Et même si on gagne, il faut s'améliorer.
11:14Voilà un peu mes règles.
11:15Il faut chercher des zones inexplorées.
11:17Et en ce sens-là, je suis entouré de gens de très haut niveau.
11:20Pas seulement les personnes qui sont arrivées avec moi,
11:22mais aussi les gens qui étaient déjà au club
11:24et qui sont rentrés dans notre staff.
11:26Les staffs, ce sont des gens qui se sont adaptés
11:27à ce que nous voulons.
11:30Et je crois qu'en ce moment,
11:31sans un staff très fort, très puissant, très stable,
11:34un entraîneur n'est rien.
11:36Bonjour coach.
11:37Valentin Feuillet, Foumercato au niveau des caméras.
11:40On a pu assister ce matin à l'entraînement.
11:42On a vu vos joueurs très détendus,
11:45qui plaisantaient, qui rigolaient.
11:46La joie de vivre est observable dans votre groupe.
11:49Quel est votre secret
11:50pour conserver une cohésion de groupe aussi saine,
11:53aussi bonne,
11:54à l'approche de deux finales très importantes,
11:56dont une historique pour le club ?
11:57Merci.
12:00Le secret,
12:02c'est qu'au lieu de venir travailler,
12:05tu viens de prendre du plaisir.
12:07Et c'est ce que nous essayons de faire
12:08en jouant au football.
12:09Ce sont des privilégiés
12:11parce qu'ils peuvent se dédier à son métier.
12:16Quand on commence une saison le 14 juillet
12:18et qu'ils arrivent au campus
12:20et qu'ils se demandent
12:22quel est l'objectif de la saison,
12:23l'objectif est celui-ci,
12:24celui que nous avons en ce moment.
12:26C'était un rêve au début de la saison.
12:28Et maintenant, il reste deux finales
12:29pour réaliser totalement ce rêve.
12:32Donc, c'est le meilleur moment
12:33pour prendre du plaisir,
12:34de continuer à faire ce que nous avons fait
12:36jusqu'à maintenant,
12:37si on peut améliorer encore mieux.
12:38Mais il faut être ambitieux
12:39et faire face à ces dix jours
12:44qui restent pour jouer ces deux finales
12:46et faire cela avec la meilleure des mentalités
12:48et surtout, prendre du plaisir.
12:49Prendre du plaisir, c'est l'objectif.
12:55Bonjour.
12:56Tu parlais il y a quelques temps
12:58de la première Ligue des champions
12:59que tu as conquise avec le Barça.
13:01Ça va faire dix ans, là.
13:03En quoi as-tu changé en tant qu'entraîneur ?
13:05En quoi as-tu évolué
13:07maintenant que tu es à une marge
13:09de pouvoir répéter cette expérience ?
13:10Tu sais, dix ans, c'est déjà pas mal.
13:14Et surtout, en club,
13:21avec la sélection,
13:22j'étais en sélection,
13:23donc je n'aurais pas pu gagner d'autres titres.
13:26Et donc, je pense,
13:31qu'en entraîneur, c'est évident
13:33que j'ai encore plus d'expérience
13:36et que je peux gérer cela
13:37avec plus d'expérience.
13:39Mais je me souviens que cette finale,
13:40j'avais été très, très stressé.
13:43Et je pense que ça,
13:44je peux l'améliorer
13:45parce que l'entraîneur a la capacité
13:49à transmettre un message ou un autre.
13:51Et donc, j'espère leur transmettre
13:52le calme de la tranquillité nécessaire
13:56pour affronter le match
13:57de la meilleure des manières.
13:58Ça, c'est mon objectif principal.
14:00Et pour le reste,
14:02je pense que toutes les erreurs
14:03que j'ai commises au fil de ma carrière
14:05en tant qu'entraîneur
14:06et en tant que joueur
14:07ont servi pour vivre le moment actuel
14:11dans la plénitude.
14:12Et bien sûr que je vais continuer
14:13de me tromper.
14:15Mais quand on le fait
14:16en partant d'une conviction,
14:19c'est un apprentissage
14:20qui est très important.
14:20Et en ce sens-là,
14:22je n'ai rien à changer.
14:22Bonjour, vous avez commencé
14:31avec un début de saison
14:32en Ligue des Champions
14:33qui était compliqué,
14:34avec un manque d'efficacité.
14:37Vous parliez des expected goals,
14:39mais il n'y avait pas forcément les buts.
14:41Vous avez surmonté
14:42des situations difficiles
14:43comme Liverpool.
14:45Donc, j'aimerais parler
14:45de l'évolution de votre équipe
14:46durant la Ligue des Champions.
14:48Et quels détails avez-vous vus
14:49qui vous mettent en confiance
14:50pour la finale
14:51et qu'est-ce que vous avez découvert ?
14:52La saison, depuis le début,
14:56si je parle en termes de jeu,
14:58moi, j'étais vraiment enchanté
15:00par ce que j'ai vu.
15:01Tout ce que nous avons tenté,
15:04tout ce qu'on a voulu améliorer
15:05avec l'équipe,
15:06ça s'est fait.
15:07Il y a des joueurs
15:07qui sont arrivés,
15:09qui étaient critiqués au début
15:10et dont on doutait
15:11et qui, tout d'un coup,
15:13explosaient,
15:13devenaient des stars de l'équipe.
15:16Donc, tout cela,
15:17on a dû le surmonter,
15:19faire le draw.
15:19En Ligue des Champions,
15:21on a joué des matchs
15:22de très, très haut niveau
15:23et on les a perdus.
15:25Atletico Madrid, Liverpool,
15:27mais je crois que,
15:28véritablement,
15:30le point,
15:31le moment de changement,
15:32c'était quand on est sorti
15:34du blocage
15:34en termes d'efficacité.
15:37Il y avait eu une causerie,
15:38on en a parlé
15:39en conférence de presse,
15:42on avait 1,9%
15:44d'efficacité.
15:46C'est quelque chose
15:47qu'on voit très peu
15:48et ça ne correspondait pas
15:48à notre niveau.
15:50Et quand on a analysé ça
15:51et qu'on a vu tout cela,
15:54on a dit,
15:55ne vous inquiétez pas,
15:55on va améliorer cela,
15:56on va améliorer la confiance.
15:58La confiance,
15:59ça ne s'achète pas
15:59chez Monoprix,
16:00il faut aller la chercher,
16:03la générer
16:03avec des habitudes de travail.
16:05Je crois que l'efficacité
16:07que nous avons obtenue
16:08grâce à la générosité
16:09des joueurs
16:10qui sont arrivés
16:11à des moments clés
16:12des matchs
16:13et dans les moments
16:13les plus délicats,
16:15on cherchait à mieux
16:16se placer dans la surface
16:18et on est passé
16:20de statistiques
16:21tout à fait lamentables
16:22aux meilleures statistiques
16:24européennes.
16:24Et quand ça,
16:25ça s'est équilibré,
16:26c'est là que tout
16:26est devenu plus fluide
16:27et ça s'est arrivé
16:28à partir de janvier
16:29et à partir de là,
16:31on a vu
16:31la même version
16:34de l'équipe
16:35que je voyais
16:35depuis le début de l'année
16:36mais là,
16:36on a eu de l'efficacité
16:37et ça fait qu'on est ici.
16:38Donc chapeau,
16:40félicitations à mes joueurs
16:41pour leur générosité,
16:43pour leur confiance
16:44et surtout
16:44pour les supporters
16:46qui ont cru en nous
16:47à tout moment
16:48et qui ont toujours
16:49une confiance.
16:49Je me permets de faire un tout petit pas
16:53de côté.
16:54Ça vient de tomber
16:55mais Lucas Hernandez
16:56vient d'être appelé
16:57en équipe de France
16:59après 15 mois
17:01sans être en bleu.
17:05Je voudrais avoir
17:05votre réaction
17:06sur cette sélection
17:08et surtout,
17:09j'aimerais aussi
17:09que vous nous expliquiez
17:10le travail que vous faites
17:11avec ce genre de joueurs
17:13pour les faire revenir
17:14à ce niveau-là
17:15et le travail que vous faites
17:16sur la préparation physique
17:17parce que votre équipe
17:18sur les deux derniers rendez-vous
17:20qui viennent
17:20semble encore très fraîche.
17:22Merci beaucoup.
17:22Donc, avant tout,
17:30je me réjouis
17:31si ce que tu dis est vrai
17:32et qu'il revient en sélection.
17:33Lucas Hernandez,
17:34tant mieux.
17:35Il a toujours été
17:35un joueur de haut niveau.
17:38C'est un joueur
17:38qui a toujours aidé l'équipe
17:40en raison de sa mentalité,
17:42avec sa capacité de travail.
17:44Donc, là,
17:45en raison de décision
17:46de l'entraîneur,
17:47il joue un peu moins
17:48mais il est toujours prêt
17:49qu'il joue comme latéral,
17:51qu'il joue au centre.
17:52C'est l'un des joueurs
17:52d'expérience de l'équipe.
17:55C'est l'un de ceux
17:55qui se comportent le mieux
17:56à l'entraînement
17:57de tout le groupe
17:58et ça veut dire
17:58qu'il est prêt
17:59à entrer dans la compétition
18:01quel que soit
18:01le temps de jeu
18:02qu'on lui donne.
18:03Donc, je suis vraiment
18:04très content
18:05si cette nouvelle
18:06s'avère vraie
18:07et ensuite,
18:09le fait qu'on arrive frais,
18:11oui, je le pense,
18:12oui, qu'on arrive très frais
18:12en cette fin de saison
18:13mais ça a à voir
18:14avec la gestion
18:15du temps de jeu
18:16au fil des matchs
18:17que nous avons joués,
18:18de tous les matchs
18:19et je crois que
18:20l'objectif était
18:21d'être en position
18:24d'être compétitif
18:25et de gagner
18:26les trophées.
18:27Donc, maintenant,
18:27il faut voir
18:28si nous gagnons
18:29ces trophées.
18:29Nous sommes en tout cas
18:30là où on voulait être.
18:32Donc, il faut penser
18:32non pas seulement
18:3311, 12, 13, 14 joueurs
18:34mais à tout un effectif
18:36et je crois que nous l'avons fait
18:37par le biais
18:38de la gestion
18:39du temps de jeu
18:39et maintenant,
18:40nous sommes dans une situation
18:41dans laquelle
18:42n'importe quelle équipe
18:43aurait voulu se trouver.
18:46Bonjour.
18:51Une question de Grèce.
18:53Vous avez parlé
18:53d'efficacité,
18:55de gestion des minutes.
18:57Si je ne me trompe pas,
18:58il y a 18 joueurs
19:00qui ont marqué des buts
19:02pour le PSG
19:03au fil de la saison.
19:05Comment est-ce qu'un entraîneur
19:06se sent
19:06quand il voit
19:07ce genre de données ?
19:09Nous avons marqué
19:12plus de buts
19:13que la saison dernière
19:14et je pense qu'en France,
19:16en juillet,
19:17personne ne pensait
19:19que nous allions
19:19en marquer la moitié.
19:21Nous avons marqué
19:22plus de buts.
19:23Il y a eu aussi
19:24plus de joueurs
19:24qui ont délivré
19:25des passes décisives.
19:27Bien sûr que les buteurs
19:28sont importants
19:29mais celui qui fait
19:30une passe décisive
19:31est tout aussi important
19:32que le buteur
19:32et en ce sens-là,
19:34nos chiffres sont exceptionnels.
19:36Pour arriver à cela,
19:37il faut avoir
19:38un objectif global
19:39et que l'équipe
19:40pense à donner
19:41toujours le ballon
19:42aux joueurs
19:43le mieux placés.
19:44C'est très difficile
19:44à faire.
19:46Et quand tu as
19:46la générosité
19:49que tu retrouves
19:50chez ces joueurs
19:51que j'ai,
19:52ce sont bien sûr
19:53les attaquants
19:53qui sont en situation
19:54de marquer
19:54mais il y a en effet
19:55beaucoup de joueurs
19:56qui ont marqué
19:57ou délivré
19:57des passes décisives
19:58et en tant qu'entraîneur
20:00et je crois aussi
20:01en tant que supporter
20:02être très, très...
20:06Je suis très content
20:07qu'on ne dépend pas
20:07d'un ou deux joueurs.
20:09L'équipe est toujours prête.
20:10Il y a au fil de la saison
20:11des blessures,
20:12des maladies,
20:13des sanctions
20:13et ça, ça ne permet pas
20:15d'utiliser un nombre
20:16réduit de joueurs.
20:17Donc moi, je pense
20:18que nous, nous avons
20:18un avantage,
20:19c'est qu'indépendamment
20:20des joueurs absents,
20:22bien sûr qu'il y a
20:22des différences
20:23entre les joueurs
20:23mais en tant qu'équipe
20:24nous sommes toujours prêts.
20:26Bonjour,
20:27Eman Val Kizet
20:28à Télévision
20:29à Monde de la ZTF.
20:30Une question,
20:31vous avez parlé
20:32de l'importance
20:33de l'équipe,
20:34du travail de l'équipe
20:36et à qui on parle.
20:38Tout le monde dit
20:39PSG,
20:40aujourd'hui,
20:40c'est une vraie équipe.
20:42Comment a aidé,
20:45par exemple,
20:46le départ de Mbappé
20:47de créer une telle équipe
20:49et l'esprit
20:51qui a peut-être changé ?
20:53Je ne sais pas.
20:54C'est à vous de dire.
20:57L'année dernière aussi,
20:59nous étions une véritable équipe.
21:01L'année dernière,
21:12j'ai dit ce que j'avais dit.
21:15Mon équipe était une véritable équipe
21:17l'année dernière.
21:18J'ai dit que
21:18je pensais que nous allions
21:20parvenir à améliorer l'équipe.
21:22C'était l'objectif.
21:23Il y a des joueurs
21:24qui sont arrivés,
21:25comme chaque année,
21:26il y a des gens qui viennent,
21:27qui partent.
21:27Les statistiques,
21:30les chiffres disent
21:31que nous sommes le meilleur
21:32et que nous sommes mieux placés
21:35que l'année dernière.
21:36Mais n'oubliez pas
21:36que l'année dernière,
21:36nous avons joué une demi-finale
21:38et nous avons gagné
21:39la Ligue,
21:40la Coupe
21:40et la Supercoupe.
21:41Nous étions déjà
21:42une véritable équipe.
21:43Il n'y a aucun doute là-dessus.
21:44Bonjour coach,
21:45Daniel Romano de Bluesport en Suisse.
21:48Je vous pose une question
21:49que vos joueurs m'ont invité
21:50à vous poser
21:51parce que j'en ai parlé
21:52avec eux tout à l'heure.
21:52Vous avez dit
21:53que l'Inter est une équipe
21:54qui aime bien aussi
21:55avoir le ballon,
21:56posséder le ballon.
21:57C'est aussi une équipe
21:57qui attaque,
21:58ce n'est pas juste une équipe
21:59qui défend.
22:00Deux attaquants devant.
22:01Si ma mémoire est bonne,
22:02en Champions League,
22:03vous avez rarement joué
22:04contre une équipe
22:05qui avait deux attaquants.
22:06Il y a l'Atletico,
22:07si ma mémoire
22:08ne me fait pas défaut.
22:09Vous aviez perdu ce match
22:10de manière très injuste.
22:11Alors, qu'est-ce que ça change
22:12fondamentalement
22:13pour le PSG
22:14de jouer face à une équipe
22:16qui a deux attaquants
22:16comme Thuram et Lautaro ?
22:19Évidemment,
22:20le profil des équipes,
22:25nous savons
22:25qui jouent devant.
22:26Nous connaissons
22:27Lautaro et Thuram.
22:30Donc, ce sont deux joueurs
22:32qui jouent dans l'axe
22:33mais l'Inter
22:34est plus que cela
22:36parce qu'il faut
22:36les arrêter collectivement.
22:38Ils sont capables
22:39de partir de Sommer
22:40et de lancer les actions.
22:41Ils sont capables
22:42de jouer un football associatif,
22:44d'envoyer directement
22:45à Dumfries,
22:46à Thuram,
22:47à Lautaro directement.
22:48Donc, en fonction
22:49de ce dont ils ont besoin,
22:51ils ont des recours différents.
22:53Je crois que c'est une équipe
22:54qui nous ressemble
22:55parce qu'ils ont ce plaisir
22:56à avoir le ballon
22:58avec leur milieu de terrain,
23:00Mkhitaryan,
23:01Saranoglu.
23:03Et donc,
23:04les Centraux
23:05sont capables
23:05avec tous leurs joueurs
23:08défenseurs,
23:09Pavar, etc.,
23:09d'arriver aussi à l'avant.
23:11Donc, c'est une équipe
23:11qui nous ressemble beaucoup
23:12en ce sens-là
23:14parce que,
23:14peu importe qui manque,
23:16tu verras toujours
23:16les mêmes choses
23:17sur le terrain.
23:19Tu auras toujours du mal
23:19à leur prendre le ballon.
23:20Tu auras toujours
23:21des problèmes à attaquer
23:23quand ils défendent.
23:23Ils peuvent défendre
23:24haut ou bas
23:25mais c'est une équipe
23:26qui est faite
23:27à l'image
23:28d'un grand entraîneur
23:29qui est Insagi
23:30qui, en plus,
23:31c'est une équipe
23:32qui a de l'expérience
23:33parce qu'ils ont joué
23:34une finale de Ligue des Champions
23:35il y a peu de temps.
23:36Donc, c'est une équipe
23:37difficile à jouer.
23:38Donc, le Barça leur a marqué
23:39six buts
23:40mais ont été éliminés.
23:41Donc, c'est une équipe
23:42qui a éliminé aussi
23:43le Bayern de Munich.
23:44Donc, c'est très difficile.
23:45Mais nous aussi,
23:46nous sommes une équipe
23:47difficile à jouer.
23:49Donc, c'est sûr,
23:50c'est difficile à gérer
23:51mais ce sont deux styles,
23:52encore une fois,
23:53qui se ressemblent.
23:55Physiquement,
23:55ils sont plus forts que nous.
23:56Ils ont des coups de pieds arrêtés
24:01joués à très haut niveau.
24:02Nous avons pu le voir
24:03en demi-finale
24:04et au fil de la saison.
24:06Je crois que c'est
24:07l'une des meilleures finales
24:09de Ligue des Champions
24:09qu'on va pouvoir voir,
24:10en tout cas sur le papier.
24:13Une des meilleures finales
24:14de ces dernières années.
24:15Mais nous serons à la hauteur.
24:18L'Inter aussi,
24:20certainement,
24:20sera à la hauteur.
24:21Donc, maintenant,
24:21il s'agit de profiter
24:23de cette finale.
24:26Sous-titrage ST' 501

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