L'expert en sécurité Pascal Bitot-Panelli était l’invité de La Matinale ce jeudi 1er mai sur CNEWS. Il s’est exprimé au sujet des manifestations du 1er-Mai, qui pourrait générer des débordements : «Tout maintien de l'ordre est un cas d'espèce»
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00:00Les trois vecteurs principaux de la sécurité, c'est un, le professionnalisme.
00:03On ne peut pas en douter sur les escalons de gendarmerie, les compagnies de CRS, les compagnies d'intervention,
00:09la BAC, les BRAF, tous les gens, tous les acteurs, en tenue ou en civil, qui vont participer à ça.
00:15Même les services d'ordre des syndicats qui sont là, qui participent au collectif.
00:20Le deuxième vecteur, c'est le dosage.
00:23Il faut bien doser, il faut donc un engagement maximal des effectifs.
00:27Ça a été dit tout à l'heure par votre spécialiste.
00:29Oui, Tanguy Amon.
00:2912 000 policiers et gendarmes en France, 5 000 sur la plaque parisienne.
00:33Ça serait une grosse erreur que de sous-évaluer et de se faire déborder.
00:37Puis après, c'est l'adaptation.
00:39Tout maintien de l'ordre est un cas d'espèce.
00:41Donc, il faut s'adapter à ce qui se passe pour que le 1er mai ne devienne pas un champ de bataille pour la violence émeutière.
00:49Aujourd'hui, il fait très beau.
00:51C'est un point négatif parce que ça veut dire qu'il y aura beaucoup de monde.
00:53C'est l'atelier.
00:55C'est l'atelier.
00:56Sous-titrage Société Radio-Canada