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  • il y a 6 mois
Quand un comédien tente de distribuer des "free hugs" aux militants d'extrême droite le 1er mai, la discussion prend vite une autre tournure.

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Transcription
00:00C'est envahir vraiment, c'est une invasion, c'est une submersion migratoire.
00:10C'est une invasion, c'est une destruction du peuple français.
00:12Vous pensez vraiment que c'est un choix de quitter son pays d'origine
00:14pour aller fuir la misère et arriver dans un monde qu'on ne connait pas,
00:17avec une langue qu'on ne connait pas ?
00:18Nous sommes sur une ligne de politique de remigration de la plupart de la population
00:32pour les grévines et extra-européennes.
00:35C'est clair, net et précis.
00:37On a trouvé formidable les luttes d'indépendance,
00:41on a dit c'est formidable, on se débarrasse des européens
00:43et on va être libre et on n'en veut plus chez nous.
00:46Nous, on va pratiquer exactement la même chose en France,
00:48c'est-à-dire qu'on va décoloniser la France.
00:50Nous, on leur propose, même en première classe, un aller simple en charteur,
00:54pas autre chose, c'est tout.
00:55On n'est pas pour la guerre civile, justement, on va hésiter qu'il y ait cette guerre civile.
00:58Et vous allez faire comment pour ceux qui sont nés en France, par exemple ?
01:01Bah écoutez, même ceux qui ne connaissent pas leur pays d'origine,
01:03ils feront connaissance.
01:05D'accord. Et pour une personne comme moi,
01:07qui suis de mère française, blanche, comme vous,
01:10c'est ce qu'on peut considérer comme français, je suppose,
01:12qui a les yeux bleus également,
01:14et mon père qui vient du Sénégal, je dois aller lui parler.
01:17Vous irez où vous voudrez, mais vous ne donnez pas de leçon aux français.
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