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Trois moments qui ont marqué Élise Lucet
Brut
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25/03/2025
Charlie Hebdo, la vidéo de Penelope Fillon, quand Jacques Chirac lui a dit "abracadabrantesque"…
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News
Transcription
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Les attentats de Charlie Hebdo, ça a été extrêmement difficile à vivre,
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pas que pour moi, surtout pour l'équipe de Cache Investigation,
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parce qu'en fait, il se trouve que Charlie venait d'aménager
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quelques mois plus tôt, dans les mêmes locaux que nous, au même étage.
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En fait, ce jour-là, notre chargé de production, c'était un mercredi,
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et notre chargé de production, qui avait été embauché le lundi, Mathieu,
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est descendu fumer une cigarette, et en fait il a vu les frères Kwashi
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au travers d'une vitre qui était en plastique sablé,
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enfin, il voit deux hommes en noir, et il voit très clairement qu'ils sont armés,
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et il remonte comme une bombe en disant
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« Oh ! Il y a deux mecs armés en bas, je ne sais pas ce qui se passe ! »
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Et Edouard Perrin immédiatement dit « Ça, c'est pour Charlie ».
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Donc, ils évacuent tout le monde, ils font monter les gens de première ligne sur le toit,
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ils planquent toute l'équipe de la rédaction,
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et Edouard Perrin et Benoît Bringer, deux journalistes de la rédaction,
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mettent des gilets pare-balles et se disent « On va aller prévenir Charlie ».
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Sauf qu'au moment où ils sortent, les frères Kwashi arrivent dans le couloir,
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nous on avait un œilleton, donc ils les voient,
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après ils se déplacent parce qu'il y a une deuxième porte,
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ils essaient de voir s'ils peuvent sortir par la deuxième porte,
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mais en fait c'était comme un cul-de-sac,
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donc ils étaient complètement, enfin, je veux dire, ils se seraient fait tuer, je pense, très franchement.
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Et donc ils sont démunis, et ils entendent les frères Kwashi qui rentrent dans la rédaction de Charlie,
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ils entendent bien sûr la fusillade, moi je ne suis pas là à ce moment-là,
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je suis en train de préparer le 13h, je suis à la rédaction,
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et puis il y a une petite dépêche qui tombe, qui dit « Fusillade dans le 11e, des blessés ».
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Pas Charlie Hebdo, rien de précis.
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Et moi je ne m'inquiète pas, je me dis « Bon, c'est bizarre, c'est quoi ce truc ? »
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mais pas plus que ça, très franchement.
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Et puis à un moment, mon rédacteur en chef du 13h, Philippe Denis, me dit
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« C'est bizarre, il y a Benoît Bringer qui est en train de parler sur BFM,
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il y aurait eu une fusillade à Charlie Hebdo ».
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Et là, ça se connecte, je comprends immédiatement.
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Et je fais un truc que je pense que je vais toujours regretter, c'est que j'ai appelé Benoît,
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et je fais un peu ma chef, je lui dis « Bon, Benoît, prenez des caméras, allez filmer,
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le journal de 13h, c'est dans une heure et quart, il faut qu'on ait des trucs,
02:13
est-ce que tu peux filmer du toit ? »
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Et puis je ne suis pas super, parce que je lui laisse à peine le temps de répondre,
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il ne me répond pas aussi parce que je pense qu'il est complètement sous le choc,
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et au bout d'un moment, il me répond et il me dit « Mais Elise, tu n'as pas compris,
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c'est un massacre, c'est un massacre ».
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Et là, je n'ai plus rien dit, et je lui disais « Mais qu'est-ce qu'il s'est passé ? »
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Il m'a dit « Ils sont rentrés, ils ont rafalé partout, il y a des morts partout.
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Nous, ils ne sont pas rentrés chez nous, il n'y a pas de morts, il n'y a pas de blessés,
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mais c'est affreux, c'est horrible, on n'ose pas sortir,
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parce qu'ils venaient de sortir.
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Les frères Kouachi, c'est l'équipe de cage qui les a filmés dans la rue,
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ils venaient de tourner le coin de la rue.
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Il va falloir qu'on sorte, parce qu'il faut qu'on aille voir ce qui se passe en face.
03:00
Et voilà, ça a été un truc affreux, parce que moi je me dis « Il faut que je présente le journal ».
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« Bonjour à tous, édition spéciale de la rédaction en raison de cette attaque terroriste
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contre nos confrères de Charlie Hebdo. »
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On arrive au bout du journal, on a dû faire une heure de journal,
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et là, en fait, la liste des morts tombe, pendant le générique.
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Et c'est Nathalie Saint-Cricq qui me dit « Kabu est mort, Wawinski est mort,
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Bernard Maris est mort ».
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Et je pense que sur les images, on nous voit toutes les deux,
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la tête dans les mains comme ça, en train de se dire « Mais c'est pas possible ! ».
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Voilà, et la suite a été extrêmement difficile à vivre pour l'équipe de cage,
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parce que les premiers à être rentrés dans la rédaction de Charlie,
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c'est des gens de chez nous, c'est des gens de cage.
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« Envoyé spécial s'est procuré des documents inédits.
03:56
Une vidéo de la femme du candidat où elle affirme qu'elle n'a jamais été l'assistante de son mari. »
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L'interview de Pénélope Fillon, ça a été vraiment quelque chose de très important dans l'histoire d'Envoyé spécial.
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Il y avait notamment, je me souviens, Yvan Martinet, Tristan ou Alex qui travaillaient là-dessus.
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À un moment, Yvan Martinet dit « J'ai retrouvé une journaliste anglaise qui s'appelle Kim Wilshire,
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qui a fait une interview de Pénélope Fillon il y a deux ou trois ans.
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Je ne sais pas ce qu'elle dit dedans, mais bon, ça vaut peut-être le coup d'essayer de rapatrier les rushs. »
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Kim Wilshire dit « Je ne les ai pas les rushs en fait, c'est mon caméraman de l'époque qui les a. »
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On prend contact avec lui, on discute, le type nous dit « Je ne sais pas si j'ai encore la cassette. »
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Oui, en fait, finalement, il la retrouve.
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Et puis, on finit par signer un accord avec lui, il nous envoie la cassette.
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Et franchement, on paie ça, rien du tout. C'était vraiment de confrère à confrère.
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On obtient tous les rushs, nos journalistes sont en train de bosser.
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C'est un troisième journaliste, Pierre Monégier, qui part le soir avec les rushs,
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qui en fait étaient sur un fichier Vimeo. L'interview est assez longue.
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Et donc, il doit écouter absolument tous les rushs de Pénélope Fillon.
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Et puis, on a un WhatsApp groupé, on est tous sur un WhatsApp envoyé spécial.
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Et là, je pense qu'il était un truc comme 22h20 ou un truc comme ça.
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Et il nous écrit à 1h16m12s, elle déclare « Je n'ai jamais été l'assistante de mon mari ou quoi que ce soit d'autre. »
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Et là, on lit tous le WhatsApp et on fait « Oh ! Ok. »
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Pénélope Fillon dit elle-même qu'elle a été rémunérée.
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Enfin, elle ne dit pas qu'elle a été rémunérée, mais elle dit qu'elle n'a jamais travaillé avec son mari.
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Et on sait qu'elle a été rémunérée.
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On réussit à garder ça secret pour nous 48h à peu près.
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Et puis, on est en montage, ça commence à fuiter.
05:57
Et ça monte, ça monte, ça monte, ça monte.
06:00
Et on diffuse ça en exclusive dans Envoyé Spécial.
06:04
Et ce jour-là, il y a une audience de dingue pour Envoyé Spécial.
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Mais pour cause, tout le monde voulait voir cette vidéo de Pénélope Fillon qui disait elle-même
06:13
« Je n'ai jamais été l'assistante de mon mari ou quoi que ce soit d'autre. »
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Chapeau le boulot d'équipe, parce qu'à un moment, c'est ça.
06:19
Et je crois que cette toute petite phrase qui doit faire 7 secondes à peine, elle pèse lourd.
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Aujourd'hui, on rapporte une histoire abracadabrantesque.
06:32
On a un producteur extérieur qui arrive dans notre bureau et qui nous propose,
06:37
juste avant le lancement de l'émission, la fameuse cassette mairie
06:40
où Jean-Claude Méry parle du financement occulte du RPR
06:43
et en gros accuse Chirac d'avoir lui-même touché des valises de billets
06:47
et puis le parti aussi pour son financement occulte.
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Sauf que Jean-Claude Méry, en question, il est mort.
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Donc on a la vidéo d'un monsieur dans un canapé avec des grosses lunettes
06:55
qui raconte ça et on se dit « Waouh, qu'est-ce que c'est que ce truc ? »
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On préempte la cassette, c'est-à-dire qu'on dit à Arnaud Hamelin
07:03
« Ok, on prend parce que c'est un document, peut-être une énorme révélation,
07:07
mais il faut qu'on travaille dessus, il faut qu'on fasse un travail d'investigation dessus. »
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Et c'était pour le tout premier numéro de Pièces à Conviction.
07:14
Et là, on se dit « Bon, on se donne 2 mois, 3 mois pour travailler
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et pour faire un vrai travail d'investigation dessus, mais on n'a pas eu le temps. »
07:21
Parce que moi, en fait, 10 jours après, Claude Chirac m'appelle
07:24
et elle me dit, on me la passe au téléphone, je me dis
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« Oh, ils sont déjà au courant qu'on a acheté la cassette mairie. »
07:29
Pas du tout. Elle me dit « Oui, vous comprenez, Élise, le Président souhaite intervenir.
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On est en septembre 2000, c'est juste avant le référendum sur le quinquennat.
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Le Président souhaite intervenir pour promouvoir le quinquennat,
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expliquer pourquoi c'est important de passer du septennat au quinquennat.
07:47
Bon, pourquoi pas effectivement intervenir dans le 19-20, dans le journal pour ça. »
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On part à Angoulême, préfecture d'Angoulême.
07:54
C'est là qu'on a rendez-vous pour l'interview de Jacques Chirac.
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Et dans le train, nos téléphones se mettent à sonner.
07:59
On avait chacun 2 portables ou 3 portables.
08:01
Et ça se met à sonner de partout.
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Et on se dit « Qu'est-ce qu'il se passe ? »
08:05
Et en 3 minutes, on a la réponse.
08:06
En fait, Arnaud Hamelin était allé vendre la cassette mairie au Monde,
08:11
au journal Le Monde, qui, sachant qu'on avait Chirac,
08:14
décide de sortir l'intégralité de la cassette mairie dans l'édition de 14 heures.
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Et nous, on faisait l'interview à 19h30.
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Donc un truc de fou.
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Et on se regarde avec Hervé et on dit « Bon ben, là, de toute façon,
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il faut absolument qu'on parle de ce sujet avec le président de la République. »
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Et on se fait une promesse sur le quai de la gare.
08:33
On se dit « Si on ne peut pas le faire,
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si d'une manière ou d'une autre, à cause de l'Élysée ou à cause de France Télévisions,
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on ne peut pas le faire, on démissionnera. »
08:40
Et on n'a pas démissionné.
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Bon, ça a été très long, toute l'après-midi.
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Moi, j'avais que le Chirac au téléphone toutes les heures,
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qui me disait « Ah mais non, mais pas question, il ne faut pas qu'on en parle. »
08:50
Qui, au bout d'une heure, me dit « Ok, on en parle. »
08:53
Au bout de deux heures, me dit « Ok, on en parle, d'accord, en début d'interview. »
08:57
Parce qu'elle voulait, au départ, qu'on en parle en fin d'interview.
08:59
Vers 15h-16h, je lui dis « Mais il y a des extraits de la cassette mairie sur le site du Monde. »
09:04
Début du site Internet du Monde.
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Ils diffusent des extraits de la cassette mairie.
09:09
Je lui dis « Donc, on va diffuser aussi des extraits de la cassette mairie, parce que c'est public. »
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Là, j'ai cru qu'elle allait m'étriper au téléphone en disant
09:16
« Quoi ? Vous allez diffuser un extrait de cette cassette ? »
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C'est du domaine public, maintenant. Il faut qu'on diffuse des extraits de la cassette.
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Donc j'obtiens qu'on en diffuse.
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Et puis, au final, l'heure avance.
09:29
Moi, j'ai à peine le temps de préparer mon interview.
09:31
C'était vraiment extrêmement tendu.
09:33
Et à 18h, elle m'appelle et elle me dit
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« Élise, le Président de la République souhaite vous parler en seul à seul,
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entre le journal régional et le journal national. »
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Ça, on se dit que ça va être un moment un peu tendu.
09:46
Entre le journal régional et le journal national, il y a 7 minutes de pub, d'interprogramme.
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Et il s'avance vers moi et il me dit
09:54
« Madame Lucet, vous n'êtes pas sans ignorer que le journal Le Monde a publié... »
09:59
Je lui dis « Évidemment, Monsieur le Président, je suis au courant.
10:02
Il faut absolument qu'on en parle. C'est important pour l'interview. »
10:05
Elle me dit « Écoutez, Madame Lucet, voilà ce que je vais vous dire. »
10:09
Et il me sort la réponse à la question qu'il avait prévue.
10:14
Et il me dit « Abracadabantesque » dedans, évidemment.
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Et moi, intérieurement, je me dis « Mais c'est pas français, ce truc-là ?
10:21
Qu'est-ce que c'est que ce mot bizarre ? »
10:24
Et en fait, je n'ai pas le temps de réfléchir à ça
10:26
parce qu'il finit ce moment entre nous en disant
10:30
« Vous comprendrez bien, Madame Lucet, que dans ces circonstances, je ne souhaite aucune relance. »
10:35
Et là, je vois l'heure tourner, c'est entrain dans 4 minutes.
10:39
Et je m'entends lui dire « Écoutez, Monsieur le Président, ça ne va pas être possible. »
10:44
Et comme c'était Jacques Chirac, ça s'est plutôt bien passé.
10:49
C'est-à-dire qu'il me dit « Mais pourquoi, Madame Lucet ? »
10:52
Je lui dis « Écoutez, Monsieur le Président, la France entière ne parle que de ça.
10:56
Depuis 14h, c'est sorti dans Le Monde, c'est sur France Info, c'est partout.
11:00
On ne parle que de ça.
11:02
Personne ne comprendrait qu'à l'issue de votre réponse, je ne vous pose aucune question.
11:07
Moi, j'ai mon rôle de journaliste, vous, vous avez votre rôle de chef d'État.
11:10
Mais c'est impossible que je ne vous pose pas de questions là-dessus.
11:14
Et là, Jacques Chirac « Antenne dans 2 minutes ! »
11:17
Donc, ça commence à se crisper sérieusement.
11:20
Et Jacques Chirac me fait une réponse incroyable.
11:23
Et il me dit « Écoutez, Madame Lucet, vous allez me poser des questions et je ne vais pas y répondre.
11:29
Antenne dans 1 minute ! »
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On rentre, je mets mon oreillette, on s'installe.
11:34
Et en gros, c'est ce qui s'est passé.
11:36
C'est-à-dire que moi, je le relance une fois, deux fois, trois fois derrière.
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Mais il me refait tout le temps la même réponse.
11:42
Il a décidé de ne pas me répondre plus que ça.
11:44
Et il change évidemment un peu sa version, mais il ne va pas au-delà.
11:48
Et ça a été quand même une sacrée bataille pour arriver à ce moment-là.
11:54
Et on est sortis, en fait, avec Hervé Brezini, mon directeur de l'Info de France 3 à l'époque,
11:59
assez élégamment.
12:01
C'est-à-dire que Jacques Chirac nous a salués, Claude Chirac nous a salués.
12:05
Il n'y a pas eu une violence qu'il y aurait pu avoir avec d'autres chefs d'État,
12:12
que j'ai connus dans d'autres moments.
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