Affaire Mansour Faye_ surprenante réaction de Pa Assane Seck

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Transcript

00:00On va pas se faire la paix.

00:02On va se faire la paix.

00:04On va se faire la paix.

00:06Mais il y a rien de plus difficile.

00:08On va se faire la paix.

00:10On va se faire la paix.

00:12C'est ce qu'on a fait.

00:14On a fait ça au début.

00:16Au début de l'année dernière.

00:18Au départ.

00:20On a fait ça à deux reprises.

00:25Alors, il y a une chose que je veux dire.

00:27Un boulevard.

00:30J'ai du mal à parler d'enfants.

00:34Je pense toujours à leurs familles.

00:36Malheureusement, la situation est telle qu'elle est.

00:42Si quelqu'un n'est pas en sécurité,

00:44qu'il n'ait rien à te donner ou à t'offrir,

00:48je ne vais pas m'occuper d'eux.

00:50Donc, si tu penses que tu n'es pas en sécurité,

00:55objectivement, administrativement, je ne te le dirai pas.

01:00Il y a un problème de communication.

01:04On donne presque l'opportunité à quelqu'un qui ne devait pas l'avoir,

01:08d'avoir cette opportunité-là, d'exister.

01:10C'est ce qu'il faut faire.

01:12Tout le paparazzo administratif,

01:14il doit être en sécurité.

01:16Il ne doit pas sortir.

01:20Il ne doit pas être à l'aéroport.

01:22Parce qu'à l'aéroport aussi, ça permet d'exister.

01:24Quand je vais à l'aéroport,

01:26ils me suivent.

01:29Pour moi, c'est de l'information.

01:33On doit l'avoir.

01:35Réellement, il y a un problème.

01:37Il y a un problème entre Safa et Marwa.

01:39Quand je suis à l'aéroport,

01:41je leur dis que c'est un droit.

01:43Je leur dis que c'est un droit.

01:45Je leur dis que c'est un droit.

01:51Quand je suis à l'aéroport,

01:53je leur dis que c'est un droit.

01:55Je leur dis que c'est un droit.

01:59Je leur dis que c'est un droit.

02:02Ils doivent parler de ça.

02:04C'est un droit.

02:08Je ne suis pas maître.

02:10Lorsque je suis entré dans la faculdade de droit,

02:12je ne sais pas.

02:14Je suis un maître.

02:16Tu veux que les gens apprennent

02:18sur la c'est pas vrai.

02:20On ne peut pas parler de ça.

02:22Pas tout de suite.

02:24C'est une sécurité gouvernementale.

02:26J'ai le droit de couper l'Internet.

02:28C'est la même chose en ce moment-là.

02:30Il y a des gens qui veulent qu'on parle de vie et de mort.

02:33Je leur disais qu'on ne peut pas couper.

02:35Cheikh vient et me dit qu'on peut couper.

02:38C'est vrai, on ne peut pas couper.

02:42Cheikh vient et me dit qu'on ne peut pas couper.

02:47On est là pour parler de droit.

02:49Par contre, c'est la même chose dans ce pays.

02:53On est là pour parler de droit.

02:55C'est la même chose dans ce pays.

02:58Si Mareme Faisale n'est pas là,

03:01je pense qu'elle n'aura pas le droit de faire ce qu'elle a fait.

03:09Je n'ai même pas envie d'en parler parce qu'il s'est passé tellement d'énormités.

03:16Il y a des gens qui sont là pour faire des enfants.

03:21Pour moi, c'est la mère.

03:22C'est la mère qui doit être trompée.

03:24C'est la mère qui doit être trompée.

03:26C'est la mère qui doit être trompée.

03:29J'aurais super aimé entendre Mugen dire

03:32qu'on doit arrêter ce qu'on fait pour les enfants.

03:36Parce que c'est la mère.

03:40Mais elle en a vécu dans ce contexte.

03:42Au contraire, on la voyait danser, chanter.

03:46Ce n'est pas une raison pour justifier le mal qu'elle ressent.

03:50Non, c'est la mère qui doit être trompée.

03:53Mais c'est ce qu'elle a vécu.

03:55Ce n'est pas la mère qui doit être trompée.

03:57C'est la mère qui doit être trompée.

03:59Quand je pense à l'image de Mme Sanko

04:03qui est la deuxième femme de Ousmane Sankri,

04:05on l'a cité.

04:07On l'a appelé la première dame, Mme Faysal.

04:11Ca ne dérangeait pas.

04:14C'est pour ça qu'on l'a appelé comme ça.

04:18C'est Dieu qui nous a appellés.

04:22C'est Dieu qui nous a appellés.

04:25N'ayez pas peur de la mort.

04:28N'ayez pas peur de la mort.

04:32La mort et la mort sont les mêmes choses.

04:36Ce n'est pas la première fois qu'on s'est rendu compte

04:40qu'on voulait sortir de cette situation.

04:44Et c'est la même procédure.

04:46On n'a rien fait.

04:48On est allé à l'aéroport.

04:51On a intercepté les gens.

04:53C'est ce que j'ai rappelé.

04:58C'est ce qu'il y a de mieux.

05:01C'est ce qu'on a vécu au Sénégal.

05:04Parce qu'on a été ciblés.

05:06C'est ce qu'on a fait.

05:08On ne devait pas se battre pour la même chose.

05:12Parce qu'on s'est rendu compte qu'il y a une rupture.

05:18Je ne l'aurai pas dit.

05:21Je vais vous dire quelque chose.

05:24Il y a des choses qui se passent.

05:28Il y a des menaces et des rassemblements.

05:32Tu vois ce que je veux dire?

05:33C'est vrai qu'il y a des choses qui se passent.

05:39C'est vrai mais je ne vais pas vous en parler.

05:43Parce qu'en Djamona, couper l'internet

05:47et bloquer beaucoup d'emplois, c'est un des problèmes que j'ai rencontré.

05:51Pourquoi?

05:52Parce que j'ai perdu un marché dans le contexte de Djamona.

05:56J'ai coupé l'internet.

06:01Mais est-ce qu'il s'en va?

06:05Il y a beaucoup de choses qui se passent.

06:07Quand des gens comme lui disent que ce qu'ils ont fait n'était qu'une erreur

06:16et qu'ils ne devraient pas faire ce qu'ils ont fait

06:19je dis qu'ils ne devraient pas le dire.

06:21C'est un homme qui sait bien qu'il ne peut pas faire ce qu'il veut.

06:27Parce qu'il ne peut pas le faire normalement.

06:29C'est vrai.

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