Alors que l'hypothèse d'un départ des troupes américaines – et de leurs bombes nucléaires B61 – n'est plus à exclure, les chancelleries se tournent vers la France et le Royaume-Uni. Le futur chancelier allemand, Friedrich Merz, demande ainsi l'extension de la dissuasion nucléaire française. Emmanuel Macron, dès 2020, souhaitait que se « développe un dialogue stratégique avec nos partenaires européens qui y sont prêts sur le rôle de la dissuasion nucléaire française dans notre sécurité collective ».
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