00:00Il y a beaucoup d'informations sur le trésor et l'observateur partage ces informations avec les observateurs pour qu'ils puissent s'assurer qu'il n'y a pas de dégâts dans le trésor.
00:27Aïda Mbène, si l'on regarde l'observateur qui dit que le trésor public cambriolait l'Etat touché au cœur
00:42Si l'on regarde le journalisme, le trésor public est le cœur de l'Etat.
00:52Le fait de cambrioler le trésor public, effectivement, on cambriole le cœur de l'Etat.
00:59C'est ce qui pose problème.
01:01Avec énormément d'objectivité, je vais analyser ce qui se passe par rapport à l'information donnée par le syndicat.
01:07Par contre, les malfaiteurs ont soublié des bureaux stratégiques situés au deuxième étage.
01:16Plusieurs objets de valeur ont été emportés, dont des ordinateurs reliés directement au cerveau de la direction générale
01:24où sont stockés toutes les informations financières du trésor public.
01:28C'est ce qui pose problème.
01:30C'est la responsabilité du journaliste.
01:36C'est ce qu'on appelle en journalisme la conscience professionnelle.
01:42C'est très important.
01:46Si l'on sait que le trésor public est à l'aide de l'Etat,
01:50il est sensible à l'information donnée par les objets de valeur.
02:00Si l'on sait que les ordinateurs sont connectés directement au cerveau du trésor public,
02:07c'est extrêmement grave comme information.
02:11Si c'est vrai, encore que...
02:15Avant de poser une question sur la facilité d'accès aux informations financières de l'Etat du Sénégal à travers le trésor public,
02:28je n'aurais pas posé cette question.
02:31C'est ce que le Sénégalais a fait.
02:33Mais le syndicat au trésor a confirmé ce que je pensais et ce que beaucoup d'entre nous pensaient.
02:41Quoiqu'il en soit, il faut savoir la vérité de l'information financière d'Etat
02:48qui se trouve dans le trésor public.
02:50Mais je ne serai pas dans le cinquième état du Sénégal.
02:55C'est-à-dire que tout le monde doit avoir accès.
03:01C'est pourquoi je dis que ces informations sont quasi inaccessibles au trésor public.
03:07Même un agent du trésor, un inspecteur du trésor ne peut en avoir accès.
03:12Ou même des empreintes et des données qui sont liées directement au trésor.
03:19C'est-à-dire qu'il faut réfléchir un peu à ce qui se passe.
03:25Il ne faut pas s'intéresser à ce qui se passe.
03:28Mais avant que le trésor ne parle, il y a un autre inspecteur du trésor
03:32qui m'a dit qu'il n'y a rien à perdre dans ce journal.
03:37Car ce qu'il dit est diamétralement opposé à la réalité.
03:41Je le répète encore.
03:44Quand on dit que l'Etat est attaqué au cœur, c'est un problème.
03:48Mais si tu as des ordinateurs, des objets de valeur et des données financières
04:00mais que tu n'as pas les données financières de l'Etat du Sénégal,
04:05tu deviens milliardaire de facto.
04:09Si tu as des données financières d'une banque, tu deviens milliardaire de facto.
04:14Car c'est ce qu'on a apporté au niveau international.
04:18Donc, si on nous donne des informations sur ce sujet,
04:23je dirais qu'il s'agit d'une source similaire.
04:28Parce qu'il y a quelque chose que j'ai oublié
04:32et je vais le répéter pour tout le monde.
04:36S'il y avait une nationalité sénégalaise,
04:40et qu'il y avait une guerre,
04:43si on lui donnait des informations pour déstabiliser les soldats
04:48et les journalistes,
04:50il n'aurait pas été capable d'éliminer cette information.
04:53C'est la conscience professionnelle, la responsabilité citoyenne qui l'interpelle.
04:57Il n'a pas besoin d'autocensurer pour sauver son pays.
05:01Maintenant, j'ai l'impression que les gens ne s'y sont surtout pas surpris.
05:06Au contraire, ils ont pris des étincelles
05:12pour faire un feu d'incendie.
05:16Donc, je pense que c'est extrêmement grave de parler ainsi.
05:22Mais ce n'est pas la première fois.
05:27Parce que j'ai passé l'étape de la pression.
05:34On a vu ici, au coeur d'une élection,
05:38l'observateur a annoncé qu'il allait financer Ousmane Sonko.
05:42Ce jour-là, ils ont laissé les enfants
05:47et les ont emprisonnés.
05:49Les milliers de prisonniers.
05:51La grande interrogation que les gens se posaient
05:53c'est ce qu'ont dit les forces spéciales.
05:56C'est-à-dire qu'ils ont la conscience professionnelle
06:00d'aller interpeller.
06:02Ce qu'on leur a donné de l'information
06:04c'est pour ça qu'ils se sont étonnés.
06:06Parce que c'est ce qu'ils se sont étonnés.
06:08Ce qu'on leur a donné de l'information
06:10c'est une information importante
06:12pour les réunir,
06:14alerter s'il le faut,
06:16donner la bonne information.
06:18C'est le rôle des médias, c'est ce que nous attendons.
06:20Mais de la même manière,
06:23les informations, on les hiérarchie selon leur ordre d'importance.
06:26Et leur ordre de sensibilité.
06:30Mais, je vous en prie
06:32ce que j'ai vu ce jour-là
06:34s'ils n'ont pas été interpellés,
06:38je ne crois pas qu'ils ont été interpellés
06:40en matière d'information.
06:42Moi, si j'avais une seule chose à savoir,
06:44je l'aurai donné à l'observateur.
06:46C'est ce qu'on a fait ce jour-là.
06:48C'est ce qu'on a fait ce jour-là.
06:50Et ce qu'on a donné comme information
06:52à travers le syndicat
06:54s'ils n'ont pas été interpellés par le groupe,